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Pourquoi le Concours Avenir est le plus attractif et le plus sélectif pour intégrer une école d’ingénieur post-bac associative

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Ecoles d’ingénieurs post-bac 2017 :  le Concours Avenir poursuit son développement et confirme sa position de leader*.

Pour sa huitième édition, le Concours Avenir a enregistré une nouvelle augmentation de 9% du nombre de candidats issus de la filière S par rapport à l’année dernière. Il confirme ainsi sa forte attractivité pour l’entrée en première année dans ses écoles d’ingénieurs membres.

8 960 candidats de Terminale et Bac+1 se sont inscrits au Concours Avenir qui proposait 1 900 places en première année de prépa intégrée, soit près de 5 candidats pour 1 place.

*Ces résultats positionnent le Concours Avenir comme le plus attractif à ce jour (en nombre de candidats) mais aussi le plus sélectif parmi les différents concours permettant l’accès aux écoles d’ingénieurs postbac associatives et confirment le fort intérêt des élèves de Terminales S pour ses sept écoles membres.

La procédure de recrutement commune « Avenir+ », qui proposait 630 places, a attiré 4 100 candidats qui ont souhaité intégrer les écoles en admissions parallèles en 2ème, 3ème ou 4ème année en fonction de leur cursus (soit une augmentation de 12% et plus de 6 candidats pour une place).

Le Concours Avenir regroupe 7 écoles d’ingénieurs, présentes sur 12 campus distincts : l’ECE Paris, l’EIGSI (La Rochelle et Casablanca), l’EISTI (Cergy-Pontoise et Pau), l’EPF (Sceaux, Troyes et Montpellier), l’ESIGELEC Rouen, l’ESILV Paris – La Défense et l’ESTACA (St Quentin en Yvelines et Laval).

http://www.concoursavenir.fr/

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Un “stage dating” avec Altran France pour les élèves-ingénieurs ESILV

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Un accès privilégié au recruteurs du leader mondial en conseil en ingénierie avancée pour la promotion 2018 de l’ESILV, dont Altran France est le parrain.

130 entretiens sur une journée, un bilan plus que positif pour cet événement dédié au recrutement des élèves-ingénieurs de dernière année, pour leur stage de fin d’études.

Automobile, aéronautique, spatial, défense et naval, transports, énergie, électronique, sciences de la vie, télécoms, finance, tous ces secteurs sont couverts par l’entreprise, qui recrute chaque année 350 stagiaires, avec un taux de conversion en CDI de 80%.

1400 jeunes diplômés sont recrutés chaque année en France par Altran : défis technologiques et développement des compétences techniques et personnelles sont au programme pour ces jeunes professionnels.

Altran France accompagne la promotion 2018 depuis un an par le biais de ce parrainage, qui inclut notamment des conférences métiers sur l’innovation et les domaines industriels au sein desquels Altran intervient,  des invitations à des événements pour les élèves-ingénieurs – comme le Salon du Bourget en juin dernier ou encore l’implication dans une chaire de recherche autour du Big Data.

Ce “Stage Dating” était coordonné par l’association étudiante De Vinci Partners, qui accompagne la Direction des Partenariats Entreprises du Pôle Léonard de Vinci dans ses activités : l’occasion pour ces futurs professionnels de se familiariser tôt avec le monde du recrutement !

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Développement personnel : développer son potentiel avec les soft-skills

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Une semaine transversale “à la carte” pour les élèves-ingénieurs de dernière année à l’ESILV, afin d’aborder en toute sérénité la dernière étape de leur vie étudiante avant le grand bain du stage de fin d’études puis du premier emploi.

C’est la dernière ligne droite pour la promo 2018 : la dernière année d’études en école d’ingénieurs, après un parcours en trois ou cinq ans rythmé par le développement de leurs compétences d’ingénieurs, des projets, des stages, des séjours à l’international.

Après un dernier semestre de cours, les élèves-ingénieurs entameront leur stage de fin d’études, qui bien souvent débouche sur le premier emploi… l’immersion définitive dans le monde professionnel.

En complément des compétences techniques qu’ils ont su développer au fil de leurs études, une dernière semaine transversale est au programme, dans le cadre de l’enseignement dédié aux soft-skills, ces compétences relationnelles et comportementales chères aux recruteurs, celles qui feront la différence.

Ce parcours dédié aux soft-skills est déployé sur les cinq ans de la formation, et encadré par un département dédié, commun aux trois écoles du Pôle Léonard de Vinci. En équipes pluridisciplinaires, les étudiants de l’IIM, école du digital, de l’EMLV, école de commerce et de l’ESILV, école d’ingénieurs, développent ensemble leurs capacités à coopérer, à interagir efficacement, à communiquer, au cours de semaines transversales ou de modules “au fil de l’eau”.

Cinq jours intensifs en développement personnel

Point d’orgue d’un parcours conçu sur cinq années, cette dernière semaine transversale a pour thématique le développement personnel. Pendant la semaine, chaque étudiant de dernière année suit deux formations différentes de développement personnel, de deux jours chacune. Un projet pédagogique original et spécifique aux école du Pôle Léonard de Vinci.

La semaine est “à la carte”, d’après un catalogue de 28 formations proposées en développement, personnel et professionnel, suivant un référentiel souvent pratiqué en entreprise pour former les ingénieurs et managers.

Pour faciliter et guider leur choix les étudiants doivent identifier cinq soft-skills sur lesquelles ils souhaitent travailler, parmi les suivantes :

  • Améliorer vos relations interpersonnelles, par une meilleure compréhension des autres, leurs personnalités et leurs motivations
  • Savoir vous affirmer et vous positionner sereinement face aux autres
  • Savoir affronter les tensions relationnelles et les situations difficiles, notamment par la communication non violente, pour les résoudre efficacement
  • Découvrir vos talents et vos ressources, apprendre à les valoriser au mieux, et renforcer votre confiance en vous
  • Apprivoiser et gérer le stress, en identifiant vos facteurs de stress et en apprenant à les surmonter
  • Savoir comment atteindre vos objectifs et obtenir ce que vous souhaitez
  • Gérer efficacement vos émotions et développer votre intelligence émotionnelle
  • Optimiser votre impact, votre leadership personnel et votre force de conviction
  • Développer votre leadership en apprenant à manager une équipe
  • Développer votre éloquence et votre performance dans la prise de parole en public
  • Optimiser votre créativité, stimuler votre imagination, utiliser votre intuition
  • Développer votre esprit entrepreneurial, dans une perspective de création d’entreprise

Toutes les études le montrent : l’impact des soft-skills sur le marché du travail, l’insertion et et l’évolution des jeunes diplômés est réelle.

A l’ESILV et dans les écoles du Pôle Léonard de Vinci, déployer ce programme de formation sur une période longue, à grande échelle et de façon transversale à plusieurs établissements d’enseignement supérieur avec des profils d’étudiants très différents les uns des autres permet à ces derniers d’améliorer de façon significative leur potentiel d’employabilité et d’évolution professionnelle.

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Le risque de crédit : des modèles au pilotage de la banque, deuxième session du MOOC développé par l’ESILV

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Deuxième session en cours pour ce cours en ligne disponible gratuitement sur la plateforme France Université Numérique et développé par l’ESILV.

Depuis la crise des subprimes et la crise bancaire déclenchée par la faillite de Lehman Brothers, le risque de crédit a focalisé l’attention des régulateurs, des politiques et des médias.

Piloté par Vivien Brunel, Head of Risk and Capital Modeling à Société Générale et enseignant-chercheur en ingénierie financière à l’ESILV, ce MOOC introduit les principales notions liées à l’activité de financement, décrit les risques associés à ce métier et les méthodes que les banques utilisent pour le gérer.

Ce cours s’étend sur 8 semaines et propose  des séquences vidéos synthétiques (environ 30 minutes par semaine) ;  des questionnaires à choix multiples afin de vérifier votre compréhension du cours à la fin de chaque semaine ;  un forum, favorisant l’émulation autour de notions traitées dans le cours et qui sera animé par l’équipe de l’ESILV.

Inscriptions jusqu’au 8 décembre 2017

Conférence “Une histoire moderne du risque de crédit”

Comment une crise locale sur une partie du marché immobilier américain a-t-elle pu déclencher une crise financière puis économique à l’échelle de la planète ? Retrouvez également une conférence exclusive de Vivien Brunel donnée à l’ESILV pour les élèves-ingénieurs de la majeure ingénierie financière.

Dans cette conférence, Vivien Brunel détaille le contexte du marché immobilier américain des années 2000 et les effets aggravants de la crise des subprimes tels que les mauvaises pratiques en vigueur de certains prêteurs, les anomalies des modèles d’agences de rating, les opportunités et les dangers du transfert de risque de crédit et de la titrisation, la difficulté d’identifier correctement et de quantifier les risques encourus, le manque de transparence des institutions financières, les faiblesses de la réglementation et de la supervision du système financier.

Les différentes crises qui se sont succédé depuis 2007 ont eu de nombreuses conséquences sur les mécanismes de régulation des marchés et des institutions financières, sur les pratiques de marché et, in fine, sur le financement de l’économie. Nous conclurons cet exposé par les éléments de contexte qui vont écrire l’histoire du risque de crédit pour les années et décennies à venir.

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Une journée au Google Cloud Summit 2017 : Jean-Slégel, promo 2019

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Jean-Slégel Guillaume, élève-ingénieur promo 2019, a assisté à l’évènement Cloud organisé par Google à Paris, dans le cadre du développement d’un projet. Compte-rendu.

À l’affut des nouveautés sur l’intelligence artificielle pour faire grandir ma startup ElectrikWalk, un projet débuté l’année précédente dans le cadre d’un PING – le projet de première année du cycle ingénieur à l’ESILV – j’ai assisté le 19 octobre dernier à la plus grande conférence Cloud de Google, qui se tenait pour la première fois à Paris.

« Vous aurez la possibilité d’être inspirés par de nouveaux cas d’usage, d’apprendre des meilleurs experts du secteur et d’échanger votre point de vue avec vos pairs lors de cet événement immersif réunissant les dirigeants, les clients, les partenaires, les développeurs, les décideurs IT et les ingénieurs de Google. » annonçait l’évènement, que demander de plus ?

Ce jeudi 19 octobre, je débarquai au Palais des Congrès à 8h30 pour une journée qui s’annonçait très enrichissante !

Après un rapide petit-déjeuner la Keynote débuta dans le grand amphithéâtre avec Sébastien Marotte vice-président de Google Cloud EMEA ravi de voir un public si fourni – plus de 3000 personnes étaient attendues durant la journée – et se rappelant les débuts de Google Cloud pour l’entreprise ou il n’avait attiré qu’une quarantaine de professionnel dans un petit cinéma parisien.

Le VP de Google Cloud se veut réaliste, Google n’est pas leader sur le marché du cloud  – les spécialistes placent Amazon et Microsoft devant – mais le géant du numérique compte bien rattraper son retard : pour illustrer ses propos il cite Urs Hölzle disant qu’en 2007 le marché du mobile était dominé par Nokia et BlackBerry, un an plus tard, c’était au tour d’Apple et Android.

Pour Google il n’y a pas de doutes, l’IA sera indispensable à la société de demain.

Après une matinée pleine de promesse, l’après-midi laissait place à la démonstration.Damien Roux, Customer Engineer chez Google Cloud vint nous faire une rapide et concise introduction au Machine Learning, une bonne manière de me rappeler mes cours d’intelligence artificielle avec Dr Clément Duhart, professeur-chercheur. Pour Google « Machine Learning is learning from examples and experiences. ».

Le champ d’utilisation des API d’intelligence artificielle est extrêmement large, et les exmples donnés en conférence le sont autant : du tri de légumes (!) géré automatiquement avec une Raspberry Pi au traitement d’une base de plusieurs terraoctets de données en quelques secondes en passant par AlphaGo, l’IA imbattable de Google au jeu de Go.

Mais quel est le lien entre le Cloud et l’intelligence artificielle me diriez-vous ? Si l’on en croit Astro Teller, le directeur de Google X « We need to fail faster. ».

Une IA se perfectionne en ajoutant de la donnée et de la puissance de calcul permettant d’interagir avec ces données. Le Cloud donne une forte possibilité d’élasticité à ses clients, que ce soit sur le plan du stockage de données ou du traitement des requêtes, tout est géré de manière automatique dans les Datacenter Google Cloud facturés à la seconde.

Google Cloud propose des API en fonction des besoins de ses clients

Au cours de cette journée de conférences, Google a fait appel à des partenaires (Accenture, Devoteam ou encore SFEIR) ainsi que des clients (La Redoute, Dailymotion, Early Birds…) pour appuyer ses propos.

Bientôt ElectrikWalk ?

Cette journée de conférence m’a conforté dans mon orientation professionnelle, la donnée et l’IA sont assurément le nouvel or noir, et ça tombe plutôt bien, dans la mesure où le Big Data et le machine learning sont enseignés à l’ESILV et que je suis ce cursus.

L’IA, le machine Learning et le big Data vous intéressent ? Contactez Jean-Slégel sur Linkedin !

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Un forum entreprises pour trouver son stage de fin d’études : plus de 200 recruteurs à l’édition 2017

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C’est le temps fort du premier semestre pour les élèves-ingénieurs de l’ESILV dans le processus de recherche du stage de fin d’études : le forum entreprise du Pôle Léonard de Vinci, au cours duquel les recruteurs des entreprises partenaires des écoles viennent à la rencontre des étudiants.

Organisé de façon annuelle par le département des partenariats entreprises du Pôle Léonard de Vinci, le forum entreprises est l’occasion pour les étudiants de 4e et 5e année du cursus ingénieur de l’ESILV de profiter de la présence sur le campus de plus de 200 recruteurs représentant plus d’une centaine d’entreprises pour prendre la température du marché des stages et de l’emploi.

Tous les secteurs d’activités sont représentés sur cet événement dédié au recrutement de stagiaires de fin d’études : on trouve parmi les entreprises présentes aussi bien des startups que des grands groupes de plus de 1000 salariés, dans des activités comme la banque, la finance, l’assurance, le numérique, le conseil en ingénierie, les transports, l’énergie, le Big Data, l’aéronautique…

L’association étudiante De Vinci Partners intervient également en support logistique et organisationnel de cette journée consacrée à l’insertion des élèves-ingénieurs : plus de 150 étudiants mobilisés pour accompagner les recruteurs et faciliter leur mise en relation avec des candidats sur le campus.

Cette année encore, nombreux sont les postes à pourvoir, en stage de fin d’études, dans les domaines du développement web, de la transformation digitale et du big data, et du numérique de façon plus générale. Tous les secteurs d’activités sont impactés par cette mutation profonde de l’économie, et les besoins en recrutement des entreprises de toute taille sont importants. Les offres en finance de marché, en énergie, en ingénierie avancée ou en modélisation sont également au rendez-vous.

Vous souhaitez recruter un élève-ingénieur en stage de fin d’études ? Jetez un oeil au calendrier des stages ou bien déposez votre offre.

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C’est quoi un ingénieur ?

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“Plus tard je serai ingénieur !” Oui, mais quelle réalité se cache derrière cette appellation ? Au fond, c’est quoi un ingénieur ? Éléments de réponse.

Pas facile de savoir quand on est lycéen ce qu’est exactement un ingénieur et où il travaille, à moins d’en connaître autour de soi (et encore…) ! Génie, scientifique, geek, polytechnicien, manager, que cache cette appellation ?  

Ingénieur, un « titre » unique

Ingénieur, c’est avant tout un « titre » délivré aux diplômés des 206 écoles habilitées par la Commission des Titres d’Ingénieur. La CTI évalue les formations d’ingénieurs et garantie leur qualité. Le titre équivaut au grade de master et à un niveau BAC + 5. 

Cet organisme de référence définit ainsi « le métier » de l’ingénieur : « Il consiste à poser, étudier et résoudre de manière performante et innovante des problèmes souvent complexes de création, de conception, de réalisation, de mise en œuvre et de contrôle, ayant pour objet des produits, des systèmes ou des services – et éventuellement leur financement et leur commercialisation – au sein d‘une organisation compétitive. Il prend en compte les préoccupations de protection de l’homme, de la vie et de l’environnement, et plus généralement du bien-être collectif. » 

Cette définition est certes un peu complexe mais bien à l’image des problèmes que doit résoudre un ingénieur, généralement en charge de la conception, de la direction, de la mise en œuvre et de l’innovation de projets.  

L’ingénieur est un scientifique et plus encore

Un ingénieur possède un ensemble de savoirs techniques, économiques, sociaux, environnementaux et humains adaptés à ses missions, reposant sur une solide culture scientifique, afin de pouvoir contribuer au progrès de la société.  

Dans un monde complexe et globalisé, en pleine mutation technologique et environnementale, l’ingénieur doit aujourd’hui savoir innover, créer, manager, s’adapter et même entreprendre… Et bien sûr parler couramment l’anglais pour pouvoir travailler à l’international ou avec des équipes multiculturelles. 

En plus de ses compétences scientifiques et techniques, l’ingénieur doit faire preuve d’une capacité développée en matière de gestion d’équipe, de projets et d’entreprise. Généraliste ou expert, c’est aussi un manager. Il passe une grande partie de son temps de travail à étudier le projet selon les contraintes humaines, économiques et financières qu’il implique. Ce poste à responsabilités suppose par ailleurs une force mentale et une autonomie de travail importantes. Les horaires de travail sont variables et l’ingénieur doit faire preuve de flexibilité et d’adaptabilité. 

Des centaines de métiers différents pour l’ingénieur

Ingénieur, c’est une multitude de métiers dans les grandes fonctions de l’entreprise : recherche & développement, études & conseil, production & exploitation, achats & logistique, qualité, vente, etc.  

Son environnement de travail est variél’ingénieur peut exercer dans tous les domaines d’activités : l’industrie, l’énergie, les télécommunications, la sécurité, la finance, la santé, les transports (aéronautique, automobile, ferroviaire, etc.), l’environnement, la construction, le numérique, l’agroalimentaire, etc.  

Attiré par l’innovation, près d’un ingénieur diplômé sur 2 travaille en recherche, études et développement au moment d’entrer dans la vie active pour concevoir les produits de demain ou améliorer ceux qui existent. 

21 % sont des ingénieurs de production, ils suivent la fabrication des produits ou matériaux au jour le jour depuis la réalisation des plannings jusqu’au contrôle qualité. 

L’ingénieur peut aussi être un référent technique et scientifique. L’ingénieur-conseil est appelé consultant et se voit confier la gestion de projets dans de nombreux domaines (aéronautique, énergie, bâtiment, banque…). 

Il peut également disposer d’une double-compétence dans la négociation commerciale et la connaissance parfaite des produits ou des services, pour vendre par exemple des produits ou solutions technologiques complexes, en tant qu’ingénieur technico-commercial ou ingénieur d’affaires 

Pour mener à bien ses projets, l’ingénieur est amené à organiser, gérer et animer des équipes et à évoluer au cours de sa carrière vers des postes de management et de décision (directeur industriel, directeur technique, responsable de production…). Avec un parcours souvent accéléré quand il possède déjà une formation d‘ingénieur manager. 

La montée en puissance des nouvelles technologies fait aussi émerger de nouveaux métiers : conséquence directe du big data, le métier de data scientist (pour exploiter les bases de données) a le vent en poupe. En France, 2 000 postes devraient être créés d’ici à 2018. 

Le diplôme d’ingénieur un sésame pour l’emploi

Avec des niveaux de rémunérations élevées (56 000 € de salaire médian annuel tous âges confondus) et le plein emploi (3,9% de chômage), les ingénieurs demeurent très recherchés sur le marché de l’emploi, que ce soit à l’issue de leurs études ou plus tard dans leur carrière comme l’indique la dernière enquête d’IESF (Société des ingénieurs et scientifiques français) publiée le 28 juin 2017.

Les défis actuels, technologiques, informatiques ou environnementaux, placent les ingénieurs en première place dans le processus de création et d’innovation et garantissent de façon indéniable des débouchés dans les décennies à venir. Enfin, de plus en plus d’ingénieurs créent leur propre entreprise ou start up dès leur sortie d’école, voire même pendant leurs études.  

Si la profession est majoritairement composée d’hommes, près de 80%, elle tend progressivement vers plus de parité : les étudiantes en école d’ingénieurs représentent aujourd’hui plus de 28 % des effectifs. Pour renforcer la mixité de leurs équipes scientifiques et techniques, de nombreuses entreprises ont lancé des campagnes de féminisation, avec des objectifs chiffrés. Les jeunes ingénieures diplômées sont donc très recherchées. 

Ingénieur, ingénieure, c’est un avenir ouvert sur une foule de possibilités pour innover et transformer le monde, au service de la société d’aujourd’hui et demain. Alors pourquoi pas vous ?  Venez nous en parler aux prochaines Portes Ouvertes !

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Le développement des soft skills comme outil support en gestion de projet

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Le travail en équipe-projet sollicite la mise en œuvre d’un certain nombre de soft skills, qui vont permettre d’optimiser la performance technique du projet, la réponse aux besoins du commanditaire et le confort de l’équipe.

Un des axes essentiels de la pédagogie de l’ESILV est le fonctionnement en mode projet, qui se déploie sur les 5 années du cursus ingénieur, sur le mode “Learning by Doing”.

L’objectif de l’équipe pédagogique en charge du suivi et de l’accompagnement des projets réalisés par les élèves-ingénieurs est donc de proposer à ces derniers un double accompagnement sur l’année, à la fois technique et comportemental.

En premier lieu, un accompagnement méthodologique et technique du projet, par le PRM, Project Roadmap Manager, et ensuite un accompagnement soft skills du fonctionnement de l’équipe, par des formateurs dédiés, encadrés par le Département Soft Skills du Pôle Léonard de Vinci.

Le processus soft skills à l’ESILV concerne les projets des élèves-ingénieurs sur les cinq ans, et déployé en 2017-2018 avec un focus particulier sur les projets de deuxième année de prépa intégrée, les PIX2 et ceux de deuxième année du cycle ingénieur, les PI²4.

Cet accompagnement spécifique aux projets vient en complément de la formation au soft skills conçues et délivres de manière transversale aux trois écoles du Pôle Léonard de Vinci, un projet pédagogique original dans le monde de l’enseignement supérieur.

Les soft skills, ces compétences comportementales qui facilitent la gestion de projet

L’objectif prioritaire d’un accompagnement soft skills inscrit dans la pédagogie est de faire travailler les élèves-ingénieurs de l’ESILV sur des compétences comportementales qui vont faciliter le travail en équipe projet, tout au long de leur cursus et au cours de leur vie professionnelle.

Pour atteindre cet objectif, l’équipe pédagogique met en place des ateliers de formation tout au long du processus d’idéation et de réalisation du projet, animés par des formateurs dédiés et spécialistes soft skills, met à disposition des élèves-ingénieurs des outils comme par exemple le MBTI, et jalonne le parcours-projet d’un certain nombre de livrables soft skills.

Quelles sont les soft skills à privilégier en gestion de projet, celles qui renforcent une équipe, la rendent efficace, motivent ses acteurs ?

Analyser l’évolution de l’équipe

Il s’agit ici de développer chez les élèves-ingénieurs la capacité à savoir analyser l’évolution de l’équipe à chaque étape du déroulement du projet (Forming, Storming, Norming, Performing), pour comprendre les situations et mettre en place les solutions adaptées.

Identifier les talents

Qui fait quoi, et pourquoi ? Savoir identifier les talents spécifiques de chaque membre de l’équipe, pour les valoriser dans le projet, et faire en sorte que la complémentarité soit une force, au service de la réussite d’équipe est l’objectif ici.

Mettre en oeuvre les facteurs comportementaux clés de succès

Mettre en œuvre les comportements relationnels qui sont des « facteurs-clés de succès » de la performance d’équipe, pour un projet mené sereinement.

Les compétences comportementales à travailler sont par exemple :

  • savoir écouter les autres membres de l’équipe,
  • savoir s’exprimer et donner son avis, même s’il est différent de la majorité du groupe
  • savoir faire un feed-back constructif et formuler une remarque qui soit acceptable par l’autre
  • savoir recevoir une critique justifiée
  • savoir faire face aux critiques injustifiées
  • savoir résoudre un conflit.

Analyse et prise de recul en fin de projet

Enfin, en fin de projet, les élèves-ingénieurs doivent être capable collectivement d’avoir du recul, pour faire une bonne « relecture » du projet une fois que celui-ci est terminé (cf. « analyse post-mortem » ; cf. « réflexivité »). L’objectif est ici d’identifier les fonctionnements gagnants à reproduire, et les erreurs à éviter, dans une logique d’apprentissage par l’expérience et d’amélioration continue.

Le sujet des soft-skills vous intéresse ?  Découvrez le projet pédagogique “soft skills et tranversalité” développé par le Pôle Léonard de Vinci

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Combien de temps passe un recruteur sur un CV ?

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À l’occasion du Forum Entreprises 2017, des Responsables des Ressources Humaines (RH) et Chargés de Recrutement révèlent combien de temps ils accordent, en moyenne, à un CV.

Le CV, c’est un sujet épineux. C’est ce qui forge une candidature. Avec ou sans photo ? Y mettre les jobs d’été ou pas ? Parmi les professeurs et les professionnels, les opinions se divisent et il est parfois difficile de se faire un avis. Les étudiants accordent en conséquence beaucoup de temps à faire des choix et à travailler leur présentation. En revanche, si les points de vue divergent sur la structure même du CV, les recruteurs, eux, s’accordent sur le temps qu’ils consacrent à sa lecture, et c’est peu.

“On accorde, en moyenne, quelques secondes à la lecture d’un CV, ça va très vite.” Andrea Hallery, Responsable Recrutement chez Sopra Steria.

Combien de temps passent les recruteurs à lire un CV ?

Seules quelques secondes sont accordées à la lecture d’un CV.

Pour plusieurs recruteurs, quelques secondes suffisent à étudier un CV. Géraldine Botta-Mas, Responsable RH à Décathlon ne passe pas plus de 30 secondes sur un CV.

Pour Charline Ivars, Chargée de recrutement chez HTI Automobile, 10 secondes, seulement, sont nécessaires pour examiner les compétences d’un postulant. En si peu de temps, elle est capable de déterminer si le candidat correspond au poste et à la culture de l’entreprise.

Pour Marine Bonlieu, Business Manager pour Altran, les mots-clés et expériences-clés priment. Ils lui permettent de déterminer la pertinence ou non d’un profil. Ainsi, elle peut faire son choix très rapidement.

Le meilleur conseil pour un CV : être concis et clair.

Comme le dit Cécile Ceza, Responsable du développement RH pour Mon Album Photo/M6 , ” il faut être transparent la lecture d’un CV est très rapide”. Elle nous confie ne jamais y passer plus de 5 minutes.

La rédaction d’un CV prend beaucoup de temps, pourtant l’avis des recruteurs se forge en quelques minutes tout au plus. Alors, mieux vaut être concis et aller droit au but.

Misez sur les mots-clés qui vous caractérisent. Axez sur les expériences les plus représentatives de votre parcours. Finalement, le but est de passer beaucoup de temps à faire son CV pour qu’il soit compréhensible en quelques secondes.

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Prépa intégrée ou classique pour rentrer en école d’ingénieur ?

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Félicitations, vous avez décidé de devenir ingénieur.e ! Mais vous hésitez encore, comme beaucoup de lycéens de terminale S ou STI2D, sur la meilleure voie pour y parvenir : suivre une classe préparatoire scientifique ou intégrer directement une prépa intégrée en école postbac ? Pas facile de choisir, d’autant plus que le monde de l’enseignement supérieur a considérablement évolué ces 20 dernières années en multipliant les voies d’accès aux études d’ingénieurs.

Aujourd’hui, environ la moitié des écoles d’ingénieurs – soit une centaine d’établissements- sont accessibles après le bac. Et plus de 50% des ingénieurs diplômés en France n’ont pas suivi de classe préparatoire distinctes des écoles d’ingénieurs. Alors comment faire le bon choix ? Est-ce une question de niveau ? d’ambition ? ou d’état d’esprit ? Et si cela dépendait surtout de vous et de votre motivation ?

La prépa classique : 2-3 ans encore au lycée 

Les CPGE  – Classes Préparatoires aux Grandes Ecoles – permettent de se préparer en 2 ans (parfois 3 ans si on ” khube ” la 2ème année, ce qui donen des “5/2”) aux concours d’entrée d’un large choix d’écoles d’ingénieurs, des plus prestigieuses aux moins connues, en fonction des résultats obtenus.

Plusieurs filières scientifiques existent – MPSI /MP (Mathématiques, Physique et Sciences de l’ingénieur), PCSI/PC (Physique, Chimie et Sciences de l’ingénieur) ou PSI (Physique et Sciences de l’ingénieur), PTSI/PT (Physique, Technologie et Sciences de l’ingénieur), BCPST (Biologie, Chimie, Physique et Sciences de la terre), à choisir selon ses matières préférées et les concours auxquels elles préparent.

Le rythme y est particulièrement soutenu et les enseignements uniquement théoriques, pour « muscler » ses connaissances scientifiques et ses méthodes de travail, forger sa résistance au stress et tenter d’obtenir le meilleur rang possible dans les classements aux concours. En étant assuré d’intégrer une école d’ingénieur au final – il y a plus de places disponibles aujourd’hui dans l’ensemble des écoles d’ingénieurs que d’élèves en classe prépa – mais pas forcément dans celle de son choix ou qui corresponde à son projet professionnel.

La prépa intégrée : 5 ans en école d’ingénieur ?

En classe préparatoire « intégrée », la sélection s’opère à partir de l’analyse du dossier scolaire de 1ère et Tle, complétée pour certains concours par des épreuves écrites basées sur le programme de terminale S et parfois des entretiens, afin de poursuivre ses études durant 5 ans dans la même école.

En prépa intégrée, les enseignements sont assurés directement au sein de l’école, en apportant une pédagogie différenciée et les compétences transversales nécessaires pour devenir ingénieur.e.

Contrairement aux idées reçues, le rythme y est aussi intense qu’en prépa, avec un volume d’heure de cours assez important, accompagné de travail régulier, individuel et collectif. Mais la pression diffère grâce au contrôle continu et la poursuite de la scolarité pendant 5 ans au sein de la même école afin d’obtenir son diplôme (et « titre ») d’ingénieur.

Plus de théorie ou de pratique ?                                                                                                                                        

L’autre différence fondamentale réside dans les modalités d’apprentissage et l’état d’esprit. Développer l’excellence individuelle reste l’apanage de la « prépa» pour favoriser la réussite aux concours. L’enseignement est essentiellement théorique. Le suivi est très encadré, régulier, exigeant avec pour objectif de booster sa performance et révéler tout son potentiel. Au prix parfois de sa vie personnelle, sociale ou sportive, mise de côté pendant ces deux ou trois années.

En revanche, le travail collectif et en mode projet est privilégié dans les écoles d’ingénieurs postbac. Dans certaines, il est valorisé grâce à une pédagogie « active » pour transmettre des connaissances scientifiques et techniques mais également des « soft skills » comme le travail en équipe, la communication, le management.

La pratique occupe une place centrale : les notions théoriques sont expliquées en cours magistraux (CM), leurs applications détaillées en travaux dirigés (TD), puis expérimentées en travaux pratiques (TP), projets et stages. Les élèves rentrent rapidement dans le vif du sujet grâce à des projets concrets, donnés par des entreprises ou conçus par des professionnels, qui ont pour but de les mettre en situation réelle afin qu’ils appréhendent les attentes du monde professionnel.

Des stages sont également proposés entre la 1ère et 2ème année, ainsi qu’une ouverture internationale pour certaines écoles ou formations. La vie associative permet enfin de rencontrer les autres élèves, de réaliser des activités et projets ensemble, tout en permettant de s’épanouir.

Prépa intégrée ou classique : une décision qui vous appartient au final !

Faire le point sur ses motivations, ses ambitions, ses ressources, sa confiance et résistance au stress, son projet professionnel, c’est essentiel pour faire son choix par rapport à soi et non par rapport aux avis des professeurs, de sa famille ou aux classements publiés par la presse.

On peut avoir 12 de moyenne en terminale S et décider, si on sent qu’on en a encore « sous le pied », de poursuivre en classe prépa pour renforcer sa capacité de travail et son excellence individuelle. On peut aussi avoir des résultats brillants, avec 16 ou 18 de moyenne, et choisir d’intégrer une prépa intégrée parce qu’on a trouvé une école adaptée à son projet professionnel ou qui laisse le temps de le mûrir tout en offrant une large palette de spécialisations possibles en fin de cursus, où l’état d’esprit et l’accompagnement pédagogique paraissent plus épanouissants et enrichissants par rapport à sa personnalité. Il n’y a pas de bon ou de mauvais choix.

Alors à vous de bien réfléchir à la voie qui vous convient le mieux, de discuter et d’échanger avec les élèves des écoles ou prépas lors des salons ou journées portes ouvertes pour en savoir plus sur les avantages et inconvénients de ces deux solutions possibles pour devenir ingénieur.e, avant de faire VOTRE choix. Ce sera sûrement le meilleur !

Vous hésitez entre une prépa intégrée ou une prépa classique pour vos études en école d’ingénieurs ? Venez en discutez aux Journées Portes Ouvertes !

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Étudier au Canada : en échange ou en double diplôme à l’UQAC

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Marilou Larouche a présenté les avantages de l'UQAC à une assemblée d'élèves ingénieurs de l'ESILV Paris

Réaliser une partie de son cursus à l’étranger est désormais indispensable à un élève-ingénieur. A l’ESILV, l’international est obligatoire au cours du cycle, en échange académique, en stage ou dans le cadre d’un double diplôme en 5e année, par exemple à l’Université du Québec à Chicoutimi.

Marilou Larouche, du département international de l’UQAC a présenté les avantages de cet établissement aux étudiants de l’ESILV. Située à environ deux-cent kilomètres au Nord de Québec, l’UQAC se trouve dans la région du Saguenay Lac-Saint-Jean. Dépaysement garanti pour les étudiants de l’ESILV, plus habitués aux tours de La Défense qu’aux fjords canadiens ! L’UQAC compte cent quatre-vingt programmes d’études et quatre cent cinquante projets de recherches. Le givrage atmosphérique, l’aluminium, les forêts boréales, les ressources minérales et l’étude des populations comptent parmi les domaines d’excellence mis en avant par Marilou Larouche.

Un programme d’accueil sur mesure pour les étudiants internationaux

Avec 7000 étudiants de 50 nationalités, l’ADN de l’UQAC est résolument international. Les étudiants en semestre d’échanges ou en double diplôme peuvent donc compter sur un accompagnement pour leurs premiers pas à l’université.

“Une fois arrivés à Chicoutimi, il y a un accueil personnalisé réservé à tous les étudiants internationaux. Il y a une foule d’ateliers et d’activités en lien avec l’intégration académique et avec l’adaptation culturelle”.

Marilou Larouche a expliqué aux étudiants de l’ESILV qu’au-delà des grands espaces canadiens, le dépaysement a également lieu dans les salles de classe de l’UQAC. La pédagogie nord-américaine veut en effet que les heures de cours soient en faible nombre pour permettre aux élèves de travailler sur des projets d’études.

 

Une 5e année d’études en double diplôme

L’ESILV permet aux élèves ingénieurs de vivre une expérience à l’étranger dès la 3e année pour un semestre d’échange académique dans l’une des universités partenaires de l’école, ou en stage en entreprise lors de la 4e ou de la 5e année. Ils ont par ailleurs la possibilité de partir en dernière année dans le cadre d’un double diplôme. L’ESILV en compte treize à l’international, dont trois à l’UQAC ; Maîtrise en informatique, Maîtrise en mécanique (équivalent Master 2) et DESS en éco-conseil.

 

 

 

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Un double diplôme en informatique et business intelligence avec le Cnam pour les élèves-ingénieurs ESILV

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Ce nouveau double-diplôme vient enrichir l’offre de double-diplôme pour les élèves-ingénieurs de 5e année, avec une coloration recherche et développement.

Le parcours recherche à l’ESILV est destiné aux étudiants qui souhaitent inscrire leurs études dans une thématique Recherche et Développement, ou qui se destinent à une poursuite d’études en Doctorat à l’issue de leur cursus ingénieur.

Parallèlement, des liens forts se sont noués depuis plusieurs années entre les équipes de recherche du Cnam et les enseignants-chercheurs de l’ESILV, dans le cadre notamment de collaborations entre le De Vinci Research Center et le laboratoire CEDRIC.

Le double diplôme désormais accessible aux élèves-ingénieurs du parcours recherche de l’ESILV permet aux étudiants après une 4ème année en Majeure IBO (Informatique, Big Data & Objets connectés), d’effectuer leur 5ème année en Master 2 SIBI (Système d’information et Business Intelligence) au Centre Cnam Paris.

Le cursus comprend un semestre de cours dispensés au Cnam, suivi d’un semestre de stage Recherche parmi les équipes du laboratoire CEDRIC (Centre d’études et de Recherche en Informatique et Communications) du Cnam.

Fondé en 1988, le laboratoire CEDRIC regroupe des recherches menées en informatique, mathématiques appliquées et électronique du Cnam. Les membres du Cédric sont enseignants-chercheurs en Informatique, en Mathématiques ou en Electronique, au Cnam à Paris.

Les recherches du laboratoire couvrent un large domaine et sont développées par sept équipes : Ingénierie des Systèmes d’Information et de Décision (Isid), Radiocommunications (Laetitia), Médias Interactifs et Mobilité (MIM), Méthodes Statistiques de Data Mining et Apprentissage (MSDMA)
Optimisation Combinatoire (OC), Systèmes Sûrs (SYS) et Bases de Données Avancées (Vertigo)

L’obtention d’un master permet l’accès au doctorat pour les élèves-ingénieurs, mais aussi l’insertion professionnelle dans les entreprises qui traitent de l’information pour développer des systèmes Business Intelligence.

L’obtention d’un doctorat permettra aux étudiants d’accéder aux carrières d’enseignants-chercheurs dans les IUT, Universités et écoles d’ingénieurs ou encore de prétendre à des postes de chefs de projet ou d’ingénieurs R&D.

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Ecole généraliste ou spécialisée pour devenir ingénieur ?

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Toutes les écoles et formations d’ingénieur dispensent à la fois des enseignements généraux – permettant au futur diplômé de s’adapter à divers secteurs au cours de sa carrière- et des enseignements de spécialité – qui le rendent opérationnel dès sa sortie d’école. Un mélange que chaque école dose comme elle le souhaite en fonction de son histoire, de ses spécificités et de ses débouchés.

Alors comment choisir entre une école d’ingénieurs généraliste ou spécialisée ? Existe-t-il des différences fondamentales au niveau des cours et des débouchés ensuite ? Et si c’était avant tout une question de détermination ?

Se spécialiser pour s’épanouir dans sa passion

Si en terminale, vous êtes passionné par une matière en particulier comme la chimie, la biologie, la mécanique ou l’informatique, une école spécialisée peut être le choix privilégié qui permettra de vous épanouir dans votre passion. Il est toutefois important de vérifier au préalable que les cours enseignés correspondent bien à l’idée que vous vous en faîtes et de vous renseigner sur les débouchés professionnels du secteur en étant certain de vouloir rester spécialisé dans un seul domaine, durant toute votre vie.

Certains secteurs particulièrement attractifs comme l’aéronautique peuvent connaître des crises conjoncturelles ou structurelles. Il faut alors faire preuve d’une détermination sans faille pour pouvoir rebondir ou évoluer. Le spatial, qui fait également souvent rêver, offre un nombre limité de postes aux jeunes diplômés, autant le savoir avant de se lancer !

D’autres secteurs cherchent de nombreux profils d’ingénieurs spécialisés mais peinent à les recruter, en particulier dans le numérique devenu aujourd’hui le premier recruteur d’ingénieurs en France. Les salaires peuvent également être très variables en fonction des secteurs, c’est un élément qui peut avoir son importance comme critère de satisfaction dans l’emploi futur, même si ce n’est pas le seul !

Prendre le temps de découvrir dans une école généraliste

Si vous avez des interrogations sur votre projet professionnel, l’envie de découvrir les différents domaines de l’ingénierie avant de choisir votre voie, un intérêt et des capacités équilibrées dans différentes matières scientifiques, une école généraliste vous laissera le temps de vous déterminer progressivement.

Ce type d’école propose un tronc commun large et pluridisciplinaire, puis des spécialisations ou dominantes sous forme d’options, de majeures ou de cours électifs pendant les deux dernières années d’études. Un bagage généraliste permet d’évoluer ou de rebondir dans sa carrière plus facilement, en étant mieux armé et adapté à un monde en mutation permanente ainsi qu’aux défis technologiques actuels comme du futur.

Un atout indéniable pour certains recruteurs ! Mais cela suppose une bonne ouverture d’esprit et un intérêt réel pour des matières variées. Tout le monde n’est pas capable d’en faire preuve.

Bien vérifier avant de choisir

Pour mieux comprendre si l’école est généraliste ou spécialisée et si elle correspond vraiment à ce que vous recherchez, il est essentiel de bien vérifier les différents cours enseignés et le volume horaire correspondant, au-delà des débouchés « variés » dans tous les secteurs d’activité, souvent valorisés par les écoles.

La dénomination « généraliste » peut être parfois un peu galvaudée et utilisée de façon abusive par certaines écoles qui forment plutôt autour d’une thématique plus restreinte (biologie, transports, informatique, électronique, etc.), sans offrir une dimension réellement pluridisciplinaire et polyvalente.

Prenez le temps de bien comprendre la formation dispensée et de comparer avant de faire votre choix. Allez visiter les écoles lors des journées portes ouvertes pour y rencontrer l’équipe enseignante, les élèves et les anciens élèves. C’est le meilleur moyen de découvrir « l’âme » de l’école et de sonder ce qu’elle a « dans le ventre » !  Et surtout de vérifier si elle vous paraît en adéquation avec votre projet !

Car c’est votre motivation qui fera la différence au final pour devenir ingénieur d’ici quelques années, en exploitant pleinement vos premières expériences professionnelles réalisées au cours de vos stages en France et à l’international. Ensuite votre capacité à gérer vos deux ou trois premiers postes déterminera votre profil de carrière dont vous serez l’unique acteur… ou actrice !

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ReStart-PostBac : un semestre accéléré en école d’ingénieurs à partir de février 2018

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ReStart-PostBac, pour un semestre accéléré en école d'ingénieurs, rentrée en février 2018

Les étudiants cherchant à se réorienter en école d’ingénieurs pourront faire leur rentrée à l’ESILV en février 2018, grâce au programme ReStart-PostBac. Son objectif; permettre aux étudiants en quête de réorientation de rejoindre une école en cours d’année et d’y suivre un semestre accéléré.

Le sentiment de s’être trompé de voie, l’échec aux premiers examens de première année de médecine (PACES), la peur de ne pas réussir à suivre le rythme… les raisons de vouloir se réorienter en cours d’année vers une école d’ingénieurs sont nombreuses. L’ESILV, école d’ingénieurs généraliste, offre à ces étudiants Bac+1 l’opportunité d’intégrer un cursus accéléré en février 2018, sans perdre d’année. ReStart-PostBac permet ainsi d’accéder à la deuxième année dès septembre 2018.

 

Infos pratiques

  • Date de rentrée : vendredi 26 février 2018
  • Fin des cours : 13 juillet 2018
  • Cours en semaine + éventuellement samedi (notamment examens)
  • Volume horaire de face à face : 395 heures
  • Programme délivre 60 ECTS
  • Admission : dossier universitaire + entretien individuel
  • Ouverture portail inscription : 1er décembre
  • Frais de candidature : 40 euros / gratuit pour boursiers
  • Prix du programme : 5 750 euros
  • Nombre de places : 60

Candidatures via la procédure Avenir +

Plus d’informations

Programme du semestre accéléré ReStart-PostBac 2018

Le programme accéléré comprend quatre Unités d’Enseignements : Physique et Sciences de l’Ingénieur (Électronique, Mécanique statique et dynamique, Thermodynamique, Environnement technologique), Mathématiques (Analyse, Algèbre, Statistiques), Informatique (Algorithmique et langage C#, Systèmes électroniques et informatiques) et Projet d’Imagination et d’Exploration.

La transversalité et l’hybridation sont au cœur du projet pédagogique des écoles du Pôle Léonard de Vinci (ESILV, IIM, EMLV). Tout au long du cursus accéléré, les étudiants suivront cent heures de cours transversaux avec les étudiants des autres écoles et partageront la même semaine d’intégration. Les projets transversaux portent sur les outils informatiques du manager, la découverte de l’entreprise, les langues vivantes ou encore le projet Voltaire.

Les cours magistraux sont limités aux enseignements fondamentaux et ne représentent que 10% du volume des cours. La pédagogie du Pôle Léonard de Vinci valorise les enseignements en groupe, pour faciliter l’apprentissage et les interactions entre les étudiants et le corps enseignant.

Le semestre accéléré est exigeant en termes de travail et d’implication personnelle, mais les promotions précédentes ont permis de déterminer que le taux de réussite des étudiants ReStart-PostBac pour le passage en année supérieure est de 90%.

ESILV

École Supérieure d’Ingénieurs Léonard de Vinci Habilitée par la Commission des Titres d’Ingénieurs (CTI), école d’ingénieurs généraliste, l’ESILV forme en 5 ans des ingénieurs opérationnels qui s’insèrent parfaitement dans le monde professionnel. Le projet pédagogique de l’école s’articule autour des sciences et des technologies numériques. Enseignements en petits groupes, travail en équipe, pédagogie par projet, stages et expériences internationales complètent le cursus. Spécialisations : Ingénierie Financière, Nouvelles Énergies, Informatique, Big Data et Objets connectés, Mécanique Numérique et Modélisation. L’ESILV propose, en coopération avec l’EMLV, la possibilité de suivre le double diplôme Ingénieur-Manager.

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Son-Ha, promo 2019, remporte le hackathon robotique organisé par MBDA

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Robotique et défense au programme de ce premier hackathon MBDA remporté par Son-Ha Nguyen, élève-ingénieur à l’ESILV au sein de la majeure informatique Big Data et Objets Connectés, avec son équipe. Récit.

Dans le cadre d’un challenge organisé par MBDA, j’ai participé le 18 novembre dernier, à leur premier Hackathon.

Cette société est spécialisée dans le domaine de la Défense, et, ayant déjà une expérience dans l’Armée de l’Air – j’ai passé 2 ans en école militaire dans l’armée de l’air, à l’Enseignement Technique de l’Armée de l’Air, où j’ai pu recevoir une formation de sous-officier me préparant à l’école des Sous-Officier de Rochefort- je suis très intéressé par cette entreprise, notamment pour la découvrir et essayer d’y obtenir un stage.

MBDA répond aux besoins opérationnels des forces armées et apporte notamment à la France et à l’Europe des capacités essentielles : celles de décider, de s’engager et de garantir leurs intérêts fondamentaux en matière de sécurité et de défense.

Des équipes pluridisciplinaires pour un hackathon robotique

Les équipes ont été formées par MBDA. J’ai dû donc travailler avec d’autres élèves ingénieurs, qui ne suivent pas le même cursus que le mien. Certains venaient de Centrale Paris, d’autre d’INSA, de Télécom Saint-Etienne ou encore de Polytech Paris Sud. De plus, chaque équipe était accompagnée par deux experts Logiciel et Électronique de chez MBDA, qui pouvaient nous fournir de l’aide en cas de besoin.

Le pitch du hackathon était le suivant :« La situation géo-politique de la Terre pousse des équipes d’ingénieurs électronique et logiciel à sonder le système solaire à la recherche de nouvelles planètes. Missilon pourrait être l’une d’entre elles. En tant qu’élève ingénieur, tu as été choisi(e) pour l’étudier. Tu dois y effectuer des relevés pour déposer un camp de base dans une zone non hostile. »

L’objectif du Hackathon était donc de concevoir de A à Z un prototype de robot contrôlé à distance par une tour de contrôle. Le robot devait aller d’un point A à un point B, en recevant des informations seulement de la tour de contrôle. De plus nous devions développer une interface homme-machine (IHM) pour permettre de lancer le robot ou de l’arrêter.

Techniquement, nous avons fait en équipe des choix pour la réalisation du roboto. Au niveau des langages utilisés : Java pour l’IHM, C sous Arduino pour le robot, et du Python pour le scan. Côté électronique, cartes et capteurs, nous avons utilisé une Raspberry Pi, une Arduino Uno et un capteur Ultrasons.

Ambiance de travail studieuse au hackathon robotique organisé par MBDA

Un accompagnement par le staff Usine.io pour structurer la démarche projet

Nous étions encadrés par le staff de l’Usine.IO, organisme qui accompagne les entreprises dans leurs projets, afin qu’ils soient mieux structurés.

Par conséquent, lors du déroulement de la journée, ces derniers nous ont aidés dans notre démarche de prototypage, en commençant par l’architecture globale, en passant par de la programmation, et en finissant par un pitch.

A la fin de la journée, notre prototype était capable , de scanner l’environnement du robot. De plus, nous avions un robot fonctionnel qui avançait, et nous avions une ébauche d’IHM permettant d’actualiser la position du robot.

Un prototype de robot fonctionnel développé en une journée de hackathon intense

Une victoire pour l’équipe de Son-Ha

Cette journée s’est conclue sur les pitchs des différentes équipes, et au terme des délibérations du jury, mon équipe est arrivée première exæquo avec une autre : une belle victoire !

Cette journée m’a permis d’avoir un challenge personnel, de travailler avec d’autres étudiants qui ne sont pas issus de la même école que la mienne, et de découvrir la société MBDA plus précisément.

Au final, une journée passionnante autour de la robotique : un grand merci à MBDA et à l’Usine.IO pour cet évènement !

En équipe, une victoire méritée !

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L’ESILV partenaire de Moneytrack, première plateforme blockchain pour les paiements dirigés

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Premier projet blockchain soutenu par le Fonds Unique Interministériel, Moneytrack est une solution de dématérialisation et de sécurisation des paiements dirigés, à destination du secteur de l’assurance.

Ce projet, à l’initiative de TruffleCapital est conduit en partenariat avec l’ESILV, l’Inria, Keyrus, Ocaml Pro et Wizypay : il bénéficie des labels Finance Innovation et Systématic Région, et vient d’être sélectionné par le Fonds Unique Interministériel. Il s’agit du premier projet Blockchain à être soutenu par ce dernier.

Le projet Moneytrack vise à répondre à un besoin récurrent du secteur des paiements : contrôler l’usage fait par un moyen de paiement mis à disposition d’un consommateur, à titre personnel ou à titre professionnel.

MoneyTrack est une plateforme susceptible de remplacer les intermédiaires classiques sur le marché des paiements dirigés. Le paiement dirigé désigne un paiement financé par un tiers et destiné à une typologie d’achats, parfois effectués chez un commerçant prédéfini.

Ce projet vise deux marchés principaux, celui des titres cadeaux en premier lieu et celui de l’assurance multirisque habitation à terme, en dématérialisant et sécurisant le règlement des sinistres.

La solution développée repose sur la technologie d’échanges distribués et sécurisés Blockchain. Celle-ci permet de valider et de faire exécuter des Smart Contracts de paiement entre l’ensemble des parties prenantes de la chaîne de transaction (émetteurs, consommateurs, commerçants, établissements de paiements).

S’adressant à des secteurs en pleine transformation digitale, le projet Moneytrack combine recherche académique, expertise scientifique, savoir-faire applicatif et transformation numérique.

L’implication de l’ESILV au sein de ce consortium de recherche entre dans le cadre du développement de la recherche partenariale du laboratoire De Vinci Research Center, communs aux trois écoles du Pôle Léonard de Vinci, et valorise l’expertise Blockchain des enseignants-chercheurs de l’ESILV.

La recherche partenariale De Vinci Research Center

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Étudier en Australie : Tristan, promo 2018, en double-diplôme à l’UTS

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Tristan Pereira, étudiant à l'ESILV, en double diplôme à l'UTS en Australie

Tristan Pereira, promo 2018 de l’ESILV, a choisi de suivre sa cinquième et dernière année en double-diplôme en ingénierie financière à l’University of Technology à Sydney. Avec dix heures de décalage horaire, interview la tête en bas.

Intégrer une école d’ingénieurs pour mettre à profit son goût pour les mathématiques et la finance;  Tristan Pereira a mûri son projet d’études dès le lycée. En revanche, au moment de sélectionner l’ESILV après son bac S, il était encore loin de se douter que ses études l’amèneraient à suivre un MSc en finance quantitative à Sydney.

De la terminale S aux côtes australiennes, parcours d’un élève-ingénieur

Dès la terminale scientifique, je savais déjà que je voulais intégrer une école d’ingénieurs. J’avais une préférence pour la prépa intégrée, ce qui enlève le stress de passer des concours supplémentaires pour intégrer une école et ce qui donne l’assurance d’être déjà admis dans l’une de ces écoles. C’est dans ce but que j’ai passé le concours Avenir. J’ai choisi de mettre l’ESILV en premier choix sur la plateforme APB car ma soeur avait été étudiante à l’EMLV quelques années plutôt. Elle connaissait donc bien le Pôle Léonard de Vinci et m’a vanté les qualités de l’ESILV et sa vie étudiante. L’école réunissait tous mes critères : une prépa intégrée, une filière finance et une localisation en région parisienne. La journée portes ouvertes a conforté mon choix, j’étais donc ravi d’être accepté !

J’ai souhaité partir à l’étranger car je savais que le faire dans le cadre étudiant ne se représenterait plus. Avec les partenariats académiques de l’ESILV, je n’avais que l’embarras du choix, sur les plans géographique et académique. Quitte à partir, j’avais envie de partir loin ! J’avais donc en ligne de mire l’Australie, la Nouvelle-Zélande, la Corée du Sud, le Japon et l’Amérique du Sud. Mes critères concernaient la situation géographique et les programmes proposés par les universités partenaires.

Je me suis donc renseigné plus précisément sur les écoles dans lesquelles je pourrais partir en échange, dans les zones géographiques que j’avais ciblées, et une destination s’est distinguée pour plusieurs raisons : l’UTS à Sydney.

Tristan Pereira, étudiant à l'ESILV, en double diplôme à l'UTS en Australie

La première d’entre elles était la possibilité d’effectuer un double diplôme en finance quantitative, ce qui en plus de la formation reçue à l’ESILV, renforce mon CV. Sachant qu’il s’agissait d’un double diplôme, cela impliquait une mobilité d’un an et non un semestre, donc double plaisir ! Enfin, je ne peux pas le cacher, les conditions climatiques en Australie sont bien meilleures que celles que l’on connaît en France, alors mon choix a été assez rapide, surtout lorsque l’on a la plage a seulement trente minutes de transport de notre lieu d’études et que l’on peut en profiter même en hiver …

La vie d’étudiant à l’UTS

Cap sur l’Australie ! Je suis un MSc en finance quantitative à l’University of Technology Sydney, en parallèle de la formation reçue à l’ESILV. Le premier semestre a surtout été consacré à la gestion des risques et au pricing de certains produits financiers, le tout grâce à de modèles mathématiques rigoureux, sans oublier l’usage des mathématiques comme le calcul stochastique.

Les neuf heures de cours par semaine sont réparties en trois créneaux de trois heures les lundis, mercredis et jeudis soirs de 18h à 21h. Ceci peut paraître peu, mais c’est vite rattrapé par le travail personnel en parallèle. Certes je suis parti à l’étranger, mais pour obtenir un second master, donc je suis très loin d’être en vacances ! C’est pour cela que j’ai adopté un rythme de travail assez soutenu pour pouvoir mettre toutes les chances de mon côté et réussir dans mes études. La quantité de travail est conséquente, mais je m’aménage du temps libre pour aller à la plage, faire une partie de foot, du footing ou encore pour boire un verre sur le rooftop de la résidence étudiante. En général je fais du sport le matin (je suis passionné de rugby), j’étudie l’après-midi, je vais en cours en fin de journée et je retrouve des amis le soir.

40 000 étudiants, 70 nationalités

L’UTS regroupe près de 40 000 étudiants, il est donc facile de rencontrer du monde ! L’intégration des étudiants internationaux a été incroyablement facilitée par l’organisme qui s’occupe de notre logement, via des évènements qui nous permettait de nous rencontrer et d’échanger. Les résidences étudiantes sont toutes récentes et bien équipées, avec des billards par exemple. Comment ne pas rencontrer de nouvelles personnes ? Autre moyen de se faire des amis, les activités proposées par toutes les associations de l’université.

Malgré mon emploi du temps chargé, j’ai quand même pu partir un peu à la découverte du pays-continent. J’ai donc eu la chance de faire des randonnées autour de Sydney, où les paysages sont époustouflants. Bien sûr il y a aussi les incontournables de la ville comme l’Opera House et le Harbour Bridge. Je suis également parti à la découverte de Canberra, capitale un peu méconnue mais qui a son charme, même si elle reste une très petite ville pour un pays d’une telle envergure.

Bien évidemment, j’ai rencontré les animaux représentatifs de ce pays dans leur habitat naturel, notamment les kangourous, qui sont très peu craintifs, surtout lorsqu’on a bananes et carottes en poche !

Tristan Pereira, étudiant à l'ESILV, en double diplôme à l'UTS en Australie

Maintenant que je suis en vacances pour 4 mois, la Tasmanie, Great Ocean Road, Melbourne, Adélaïde, Kangaroo Island, Nouvelle-Zélande, Indonésie, grande barrière de corail, Ayers Rock, et plein d’autres destinations sont au programme … en espérant effectuer un maximum de ces voyages ! Il y a tellement de choses à faire ici que je suis obligé de faire des choix !

Mes conseils : sortez de votre zone de confort et profitez !

Je finis mon année en juillet 2018, ensuite je dois faire un stage de fin d’études. L’idée de le faire à l’étranger me tente bien ! Tout d’abord parce que j’ai vécu une expérience extraordinaire en Australie et puis car il s’agit d’une belle opportunité pour pratiquer une langue étrangère, tout en découvrant une autre culture. Le seul inconvénient avec le fait de repartir à l’étranger, serait de me tenir éloigné encore un peu plus longtemps de mes proches…et de la gastronomie française !

Si j’avais un conseil à donner, ce serait de partir seul, pour pouvoir s’ouvrir et découvrir de nombreuses choses. Si vous partez en groupe, vous aurez tendance à rester dans votre zone de confort et à côtoyer uniquement les gens que vous connaissez, ce que je trouve dommage.

Si vous partez seul, vous ne serez confronté qu’à vous-même, et c’est dans l’adversité que l’on avance. Cela facilitera votre intégration et vous vous ouvrirez facilement aux autres étudiants étrangers, qui seront sensiblement dans le même cas que vous et qui seront par conséquent très sociables. Car ne l’oubliez pas, vous serez là-bas pour un semestre ou deux au maximum et ça passe très vite ! Ne perdez pas de temps à vous demander si vous devriez faire ceci ou cela. Laissez-vous inonder par cette envie de découvrir de nouvelles personnes et nouvelles cultures et ainsi profiter de votre semestre à fond. Vous ne le regretterez pas et vous aurez d’incroyables souvenirs.

Cet article Étudier en Australie : Tristan, promo 2018, en double-diplôme à l’UTS est apparu en premier sur Ecole d'Ingénieurs Paris-La Défense ESILV.

“Push the limits of your creativity” : immersion visuelle au sein du Fablab du Pôle Léonard de Vinci

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L’association De Vinci fablab a réalisé une vidéo pour vous faire découvrir le Fablab. Une occasion de plonger au cœur du Learning Center du Pôle Léonard de Vinci.

Dans cette vidéo, réalisée par Alexis Massol, l’association des élèves-ingénieurs pousse les portes du Fablab du Pôle Léonard de Vinci. On y découvre les divers éléments présents au cœur du Fablab. L’association étudiante De Vinci Fablab gère les équipements et fait découvrir l’univers de l’impression 3D et de la conception numérique aux étudiants du Pôle Léonard de Vinci.

Un Fab Lab (contraction de l’anglais fabrication laboratory, « laboratoire de fabrication ») est un lieu ouvert au public où il est mis à sa disposition toutes sortes d’outils. Notamment des machines-outils pilotées par ordinateur, pour la conception et la réalisation d’objets.

Parmi les projets déjà sortis concrètement du Fablab, on retrouve un prototype de robe connectée, un bras robotisé, une turbine d’avion entièrement imprimée en 3D, ou encore un drone.

Demo and Live, c’est la devise De Vinci FabLab !

De Vinci Fablab présente en image les équipements que l’on peut retrouver au cœur du Fablab. Des différentes imprimantes 3d à la découpeuse laser, toutes les installations utilisées par les étudiants sont passées revue. Toutes fonctionnelles !

Qu’est-ce qu’un Fablab ? C’est un laboratoire de fabrication qui a pour but de mettre à disposition du plus grand nombre un certain nombre de machines et de logiciels destinés à la réalisation de prototypes, pour concrétiser un projet industriel. Ces machines associées doivent nous permettre de tout fabriquer.

L’association propose toute l’année des formations ainsi que des ateliers et rencontre avec des partenaires ou autre FabLab. La vidéo présentée par l’association De Vinci Fablab est l’occasion de découvrir les divers équipements en pleine action, utilisée par les élèves pour leur projet. On y retrouve également les différentes créations faites avec les imprimantes 3D.

De Vinci Fablab, un lieu de création pour tous

« Push the limits of your creativity » à la fin de la vidéo nous invite à venir créer et inventer au sein même du Fablab. Un descriptif qui correspond bien aux ambitions de l’association De Vinci Fablab, qui souhaite avec ce lieu venir en aide aux élèves. L’espace est ouvert à tous et accueille des projets des trois écoles : IIM, ESILV, EMLV.

Pour rappel, les élèves-ingénieurs de l’ESILV accueillent des personnes pour un atelier spécialement dédié à l’initiation à l’impression 3D et des objets connectés, notamment avec la manipulation des Little Bits. Une session de 10 places a lieu régulièrement. Vous pouvez vous inscrire au De Vinci Fablab maker session sur le site du Pôle Leonard de Vinci.

Le site de l’association De Vinci FabLab

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Yohan, promo 2019, vainqueur du hackathon Blockchain Startup Token

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Yohan Maurin est élève-ingénieur à l’ESILV, promotion 2019, au sein de la majeure ingénierie financière. Pour sa première participation à un hackathon autour de la technologie blockchain, son projet a remporté les votes du jury. Récit.

Dans le cadre du hackathon organisé par RSK, Oraclize, Startup Token et Zilla, j’ai participé le 25 et 26 novembre dernier à mon premier Hackathon : ces sociétés sont toutes spécialisées dans la blockchain, notamment via les smart contracts ou les ICO par exemple.

La technologie Blockchain change la donne. En réduisant les coûts d’infrastructure et en augmentant la vitesse de l’échange de valeur, elle a déclenché un bouleversement sans précédent sur le plan social et économique. De formidables opportunités sont offertes au monde, en particulier à la population bancarisée. Cependant, cela crée également de nombreux défis à entreprendre et à réaliser.

Je me suis rendu seul au Hackathon, j’ai donc formé une équipe avec d’autres participants qui se trouvaient être dans le même cas que moi, à savoir deux élèves-ingénieurs qui étudient en Big Data à l’ECE, un business developer en blockchain et une consultante spécialisée blockchain.

Le thème de ce hackathon consistait à « développer un projet blockchain avec un token pour les personnes non bancarisées ». Un sujet très large qui a laissé beaucoup de possibilités de projets. Nous avons donc décidé avec mon équipe de concevoir et réaliser un prototype de communauté de micro-financement. Notre projet intitulé KAMANO consiste à créer un pot commun au sein d’une communauté pour subvenir au besoin que pourrait avoir un des membres de celle-ci.

Le projet que nous avons conçu en 24h fonctionne en cinq étapes :

  1. Les personnes forment une communauté.
  2. Une personne crée son projet et demande un microcrédit pour le financer. Elle fixe une deadline à partir de laquelle il ne sera plus possible de voter.
  3. Les autres personnes votent le projet (Pour ou Contre)
  4. Une fois la deadline atteinte, un smart contract se lance. Il permet de savoir si la majorité a voté True, dans ce cas le projet est validé.
  5. Une fois le projet validé le smart contract effectue le transfert d’argent du pot commun à la personne qui a émis le projet.

Pour ma part, je me suis occupé d’aider à développer l’idée du projet et de programmer le smart contract en Solidity, un langage de programmation orienté objet pour écrire des contrats intelligents.

Jusqu’ici je n’avais jamais écrit de programme en utilisant Solidity, je suis donc monté en compétence sur cette technologie en live, pendant la compétition ! J’ai pu bénéficier de l’aide d’une collègue qui travaille chez RSK et qui m’a aidé à corriger les erreurs de mon programme…

Une victoire pour l’équipe KAMANO

Le Hackathon s’est conclu le dimanche en fin d’après-midi avec le pitch de chaque équipe. Et au terme des délibérations du jury, l’équipe KAMANO a fini à la 1ère place !

C’était vraiment impensable pour moi de gagner avant d’aller au hackathon, puis même au cours de la compétition. Mais au fil des présentations nous avons commencé à y croire, avec raison.

Je conseille vraiment à tout le monde de participer à des hackathons et autres compétitions pour approfondir ses connaissances et apprendre des autres, mais également parce que tout le monde à ses chances de gagner ! un peu de motivation et de curiosité suffisent à faire de grandes choses…

Au final, je retiendrai de cet évènement un super week-end où j’ai pu approfondir mes connaissances en Blockchain et apprendre le langage Solidity. Un grand merci à tous les organisateurs !

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Coupe de France de Robotique 2018, DaVinciBot une nouvelle fois dans la course

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L’association DaVinciBot représente pour la 4ème année consécutive le Pôle Universitaire Léonard de Vinci à la Coupe de France de Robotique fin mai 2018.

Composée de 20 élèves-ingénieurs de 3ème année et 2ème année à l’ESILV, l’équipe de l’association est au travail depuis juillet 2017 avec l’ambition d’atteindre le top 30 de cette compétition robotique qui regroupe plus de 2000 participants.

Forts de leurs expériences des années passées, les membres de l’association DaVinciBot ont su se transmettre au fil des ans la passion de la robotique et la fierté de leurs résultats (44ème sur 200 équipes en 2017) pour pouvoir être une équipe efficace et compétitive.

Pour cette compétition, chaque équipe conçoit deux robots autonomes qui doivent mener, sans aucune intervention humaine, une série d’actions en lien avec le thème choisi par les organisateurs. Ces actions des robots sont réalisées au sein de “battles” qui confrontent deux équipes.

Le thème de la compétition évolue à chaque édition : cette année, c’est “Robots Cities” : le robot doit être capable de prendre soin de son environnement naturel, de construire une maison et d’exploiter respectueusement les ressources environnementales.

La manifestation qui se déroule durant quatre jours à La Roche sur Yon, en Vendée, attire chaque année des milliers de curieux et de passionnés de l’univers de la robotique qui viennent assister, gratuitement, aux centaines de “battles”.

” L’esprit de compétition est bien présent mais un vrai sentiment de partage règne tout au long de cet événement. Nous sommes avant tout des passionnés de programmation, d’électronique et de modélisation qui s’unissent pour vivre une expérience unique en équipe et concrétiser un rêve : créer un robot autonome. Cette année notre équipe est plus motivée que jamais ! Le top 30 est à nous ! La team DaVinciBot

Liens réseaux sociaux, site et contact

Site internet : http://davincibot.org/
Facebook : https://www.facebook.com/DaVinciBotEsilv/
LinkedIn : https://fr.linkedin.com/company/davincibot
Contact : assosdavincibotesilv@gmail.com

Bureau 2017-2018

Président : Hugo POUSSEUR
Vice-Président : Corentin LEMAITRE
Vice-Président : Nicolas FONTAINE
Chef de projet : Brice PARILUSYAN
Trésorier : Rabah HOUAOUI
Secrétaire : Hugo PIERRE
Responsable communication : Théo ISAMBOURG

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