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Au salon du Bourget 2017, les élèves-ingénieurs ESILV accueillis par Altran France, parrain de la promo 2018

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Le Paris Air Show, l’événement incontournable de l’aéronautique et de l’espace au Bourget, en immersion pour les élèves-ingénieurs de l’ESILV sur l’invitation du parrain de la promo 2018, Altran France.

Elèves-ingénieurs à l’ESILV, et invités par Altran, au Salon International de l’Aéronautique et de l’Espace du Bourget, une opportunité en or pour ces futurs ingénieurs passionnés !

Altran présentait sur un chalet dédié au salon de l’aéronautique tout le potentiel des technologies de rupture pour révolutionner l’ensemble des activités de ses clients de l’aéronautique et proposer de nouveaux modes de collaboration.

Portée par la révolution numérique et la convergence des mondes réels et virtuels dans l’Internet des objets, l’industrie aéronautique fait face à une rupture sans précédent de ces modèles traditionnels.

Parmi les innovations en démonstration au Paris Air Show, Altran France a présenté un dispositif complet d’expérience utilisateur en cabine, incluant réalité virtuelle, montre connectée, chariot de service autonome, siège passager imprimé en 3D et un concept avancé d’électronique imprimable.

Toujours dans l’innovation de rupture, l’industrie 4.0 était également au programme : immersion à l’intérieur d’une usine virtuelle connectée à une véritable usine grâce à des capteurs intelligents et des tableaux de bord gérés à distance en temps réel, salle de contrôle numérique, opérateur connecté. L’Usine du Futur en version démo !

Les élèves-ingénieurs ont pu tester ces innovations et échanger avec les équipes de leur Parrain Altran pour découvrir un peu plus encore les activités du groupes et les possibilités et missions offertes par Altran, leader du conseil en ingénierie avancé.

Le chalet idéalement situé en bord de piste à également permis des émotions visuelles et auditives en compagnie des équipes Altran, Managers et recruteurs, au passages des aéronefs et autres démonstrations aériennes.

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Les entreprises au coeur de la pédagogie : le comité de perfectionnement du cursus ingénieur de l’ESILV

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Associer étroitement les entreprises partenaires de l’école d’ingénieurs aux évolutions des cursus, afin d’être toujours en phase avec les attentes du marché de l’emploi, c’est l’objectif du comité de perfectionnement de l’ESILV.

Une fois par an, réunir des représentants des entreprises partenaires de l’école autour des enjeux actuels et futurs de leurs métiers et de leurs secteurs d’activité : c’est une des composantes des relations entreprises à l’ESILV.

Fin juin 2017 s’est tenue la session annuelle du comité de perfectionnement de l’école sur la campus du Pôle Léonard de Vinci à Paris La Défense.

Invitées à venir réfléchir et échanger avec les responsables des majeures du cursus ingénieur, les entreprises ont répondu à l’appel et participé à cet événement dédié à l’innovation pédagogique.

Chaque année, l’ESILV adapte son cursus et ses enseignements, dans un environnement où les technologies évoluent constamment : pour rester à la pointe, l’apport de la vision entreprise et sectorielle est un enjeu essentiel.

Les entreprises partenaires, par majeure, au comité de perfectionnement de l’ESILV

Pour la majeure Nouvelles Energies : Alstom, Engie, Nexans et Sopra Steria.

Pour la majeure Ingénierie Financière : Deloitte, Société Générale, Ingénico et Difcam (Crédit Agricole)

Pour la majeure Informatique, Big Data et Objets Connectés : Altran, Microsoft, SFR, Dassault Systèmes et le laboratoire CEDRIC du CNAM

Pour la majeure Mécanique Numérique et Modélisation : Naval Group (DCNS), Airbus, Dassault Aviation et Ansys

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9 projets étudiants sur la technologie blockchain

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Art, vote électronique, actuariat, musique … la blockchain ne se limite pas au bitcoin : partout où il y a transaction, la blockchain peut intervenir comme moyen de sécurisation.

La blockchain est la technologie émergente qui permet de sécuriser une transaction de façon totalement transparente et décentralisée.

Connue du grand public avec l’apparition des cryptomonnaies, dont le Bitcoin est le plus illustre représentant, ce nouveau moyen de sécuriser des transactions sans intermédiaire unique voit progresivement son champ d’action s’élargir.

Exemples avec ces projets 2016-2017 des élèves-ingénieurs de 4e année à l’ESILV.

1 – Blockpad, framework de développement Blockchain

Un projet de Lu Ji, Mouna Wahby, Clara Mostacchi, Victorien Merlier.

BlockPad est un framework basé sur Linux qui mette à votre disposition plusieurs Blockchains telles que Bitcoin, Ethereum, Monero, NXT (et plein d’autres encore) ainsi que des outils de développement dédiés en vue de simplifier et de rendre accessible la technologie Blockchain à tout le monde.

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2 – Une blockchain sécurisée pour le marché de l’art

Des étudiants ont travaillé en étroite collaboration avec une startup qui se développe dans le milieu de l’art. Avec pour ambition de révolutionner ce marché vieillissant, la startup Seezart souhaite proposer une traçabilité, une certification et une sécurité sans faille basées sur la technologie Blockchain pour l’un des derniers marchés non régulés qui souffre fortement de la fraude.

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3- La technologie Blockchain comme nouveau vecteur de service client

Un projet de Louise Courant, Carlemidji Maignan, Louis Piquet, Julien Sonnery.

La filière Recherche & Innovation du groupe Veolia souhaitait étudier l’utilisation des technologies Blockchain comme moyen d’apporter un service aux clients en fournissant un système Blockchain “clé en main”. Le cas d’usage était le suivant : il est proposé à un client, du Groupe Veolia, équipé d’une unité de cogénération d’utiliser un système de Blockchain afin de valoriser ses surplus d’énergie en lui permettant de revendre ou de valoriser les surplus.

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4 – Blockchain et identifiants internationaux de la musique

Du fait de l’explosion du marché de la musique numérique sur Internet, il est devenu de plus en plus compliqué pour les sociétés de droits d’auteurs de percevoir ces droits de manière régulière et compréhensible pour les fournisseurs. Afin de régler ce problème et d’établir une base de donnée fiable pour tous les acteurs de l’industrie musicale, les étudiants ont travaillé à l’établissement d’une Blockchain globalisant les données des différentes sociétés de droits d’auteurs et des sites de référencement de ces identifiants internationaux et établissant un degré de confiance sur chacune de ces informations contenues dans le ledger.

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5 – Blockchain et smart contracts pour l’actuariat

Un projet de Marie Lefaix, Camille Nardeau, Jean-Livio Akollor, Matthieu Coront Ducluzeau.

Un plan de Perfectionnement Professionnel Continu (PPC), principe déclaratif basé sur la confiance, est mis en place afin de définir les exigences minimales auxquelles doivent répondre les actuaires pour obtenir la certification de l’Institut des Actuaires (publications, conférences, etc.).  Mais comment rendre ce dispositif plus innovant et sécurisé afin de faciliter les inspections ? Avec ce projet, les étudiants ont créé une Blockchain et mis en place des smart contracts permettant la vérification automatique du nombre de points PPC de chaque actuaire dans le but de délivrer ou non une certification à la fin de chaque année.

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6 – Utilisation de la technologie Blockchain pour le vote électronique

Un projet de Ilias Hmani, Modou Mbow Pape, Erwan Restes, Ametepe Akakpo.

Pour concevoir ce système de vote électronique, les étudiants ont utilisé la Blockchain Ethereum plus particulièrement « test rpc » qui permet de générer des comptes avec une clé publique et une clé privée. Ils ont également appris et utilisé le langage « solidity » qui permet de créer les smart contrats.

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7 – Application de crowdfunding sur Blockchain Ethereum

Abie Fund est une application de financement participative décentralisée déployée sur Ethereum. L’objectif de cette application est de permettre à toutes personnes de participer au financement de différents projets axés sur un thème global (thème humanitaire, environnemental, etc.). Ce qui différencie cette application des sites de crowdfunding existant est que celle-ci est basée sur la plateforme décentralisée Ethereum. Par conséquent, les dons des utilisateurs seront en éther, qui représente la monnaie principale d’Ethereum. Chaque don donne le droit de voter ou non pour chaque projet proposé. Finalement, le projet qui aura le plus de votes sera financé par les dons récoltés.

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8 – Unblock It : comprendre la blockchain

Un projet de Killian Roy, Adriana Rosa, Auriane De Coligny, Karim Kidiss.

Les étudiants ont relevé le défi de créer un outil qui puisse expliquer ce qu’est la Blockchain, faisant ainsi de cette technologie mystérieuse un sujet compréhensible et utilisable pour un grand nombre. Afin d’éviter de faire des cours rébarbatifs ou bien incompréhensibles pour les personnes n’ayant aucune connaissance scientifique, leur méthode pédagogique consiste en l’explication complète et simplifiée de la Blockchain. Ainsi, en plus de partir de zéro, ils ont utilisé une approche dans laquelle on favorise l’accessibilité au contenu. Cette démarche a pour but de proposer un produit pertinent.

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9 – Proof of concept de Blockchain Ethereum privée

Un projet de Louis Charpentier, Antoine Gaste, Salem Moulio, Medhi El Hassani

Le projet s’articule autour de la mise en place d’un Proof of Concept (POC) pour le groupe ELCIMAï. L’idée était de prouver l’utilité et la valeur ajoutée d’une sécurisation des transactions bancaires utilisant un procédé Blockchain.

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Dates de rentrée ESILV 2017-2018

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En cette période de résultats finaux des concours d’entrée et résultats du bac, il est maintenant temps de se projeter vers la rentrée 2017-2018 pour aborder une nouvelle année en école d’ingénieurs !

L’ensemble de l’équipe pédagogique de l’ESILV, école d’ingénieurs généraliste au cœur des technologies numériques accueillera ses élèves-ingénieurs et nouveaux intégrés, prépa intégrée et cycle ingénieur aux dates suivantes pour la rentrée 2017 :

  • 1ère année : 11/09/2017
    • à 09h30 (demi-promo)
    • à 11h30 (demi-promo)
  • 1ère année STI 2 D : 04/09/2017 à 11h30
  • 2e année : 04/09/2017
    • à 08h30 (demi-promo)
    • à 10h00 (demi-promo)
  • 3e année (apprentissage) : 06/09/2017 à 10h30
  • 3e année (nouveaux intégrés) : 06/09/2017 à 09h00
  • 3e année : 09/10/2017
    • à 08h30 (demi-promo)
    • à 10h30 (demi-promo)
  • 4e année (apprentissage) :  04/09/2017 à 13h30
  • 4e année : 04/09/2017
    • à 13h30 (demi-promo)
    • à 14h45 (demi-promo)
  • 5e année (apprentissage) : 05/09/2017 à 13h00
  • 5e année : 05/09/2017 à 13H00

Fermeture estivale été 2017

Le Pôle Léonard de Vinci ferme ses portes du vendredi 28 juillet au soir au mercredi 16 août au matin. Les dossiers d’inscriptions encore en cours à cette période seront traités dès la réouverture.

En cas de questions, contacter le service des admissions au 01 41 16 70 98 (Nafhate) ou au 01 41 16 71 03 (Valérie).

Souvenir … la rentrée 2016

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Estelle Mossely, première boxeuse française Championne Olympique de boxe

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Il y a un an, elle a fait vibrer la France aux Jeux de Rio en décrochant l’or olympique. Retour sur le parcours d’Estelle Mossely, boxeuse et ingénieure ESILV promo 2015 !

Un objectif, l’or olympique. Une discipline, la boxe. Une sportive, Estelle Mossely. Une fois parvenue au sommet, en accomplissant son objectif sportif, Estelle revient sur son parcours à l’occasion de la remise officielle de son diplôme d’ingénieur de l’ESILV.

Pendant 5 ans, Estelle a su concilier pratique sportive de haut niveau et études d’ingénieur, un parcours exigeant, et une réussite sur tous les plans : multiple championne de France, puis en 2016, championne du monde à Astana et enfin le sacre ultime aux Jeux Olympiques de Rio, avec un pays entier derrière elle.

Un parcours exemplaire, qui a nécessité du travail, de l’envie et une détermination de tous les instants.

Encore bravo Estelle, et merci !

 

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Comment le numérique révolutionne l’énergie : 5 projets d’élèves-ingénieurs sur l’efficacité énergétique

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L’avènement de l’ère numérique révolutionne le secteur de l’énergie, en phase avec les défis de la transition énergétique. Zoom sur 4 projets d’élèves-ingénieurs en lien avec les problématiques d’efficacités énergétiques.

Ces projets interviennent en 4e année du cycle ingénieur, et sont le fait des étudiants de la promotion 2018. En équipe, ils travaillent pendant l’année sur une problématique d’innovation industrielle en lien avec leur majeure d’enseignement, ici Nouvelles Energies. Les projets peuvent être réalisés en partenariat avec des entreprises ou des laboratoires de recherche.

Modèle Multi-Agent de Smart Grid

Un projet de Nicolas Grassi, Ivan Lozano, Yasmeen Trifiss, Paul Michon

L’objectif de ce groupe d’étudiants est de montrer, visualiser et valoriser les outils scientifiques qui œuvrent pour la démocratisation des Smart Grid. En effet, si ils veulent promouvoir ces outils c’est parce que le concept de Smart Grid est bien trop peu parlant pour la majorité du monde et n’est pas connu, ni même développé.

Il s’agit ici d’une maison intelligente, représentant un gros agent intelligent et constitué de plusieurs autres petits. Mis bout à bout, on en vient à obtenir un quartier intelligent puis une ville intelligente.

La réalisation des étudiants présente une interface graphique pour consulter en temps réel les statistiques de consommation de la maison comme la production électrique et la consommation électrique. Cette visualisation bien plus parlante que de simples chiffres sur un compteur fonctionne avec des mesures effectuées par des capteurs.

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Analyse du marché de l’énergie pour l’effacement énergétique

Un projet de Guillaume Manzano, Dylan Rabetrano et Juspreet Singh

L’effacement énergétique consiste en cas de déséquilibre offre/demande d’électricité a provisoirement réduire la consommation physique d’un site donné ou d’un groupe d’acteurs, l’intérêt étant d’éviter de construire de nouveaux moyens de production d’énergie, étant donné que l’énergie électrique ne peut être stockée à grande échelle, il est important d’optimiser et d’équilibrer la production et la consommation.

Ce projet vise à étudier les techniques d’effacement énergétique qui reposent sur un marché de l’énergie possédant un prix dynamique (fonction de l’offre et de la demande, ou des prix de production).

L’objectif de ce projet est de comprendre les mécanismes se cachant derrière le prix dynamique, puis de proposer des approches et méthodes d’analyses de courbes afin de prédire les allures de la courbe dans le futur dans le but d’aider au développement de l’effacement énergétique qui prend une place importante dans le contexte actuel. En effet, avec la croissance des pays en développement et l’évolution des besoins des populations, la demande énergétique ne fait que croître.

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Modélisation d’un Smart-Grid autonome et indépendant dans un environnement dynamique

Un projet de Etienne Pouteau, Laura Saadi, Emilie Sabourin et Jennifer Xia

Ce projet fait partie d’un programme de recherche dirigé par Guillaume Guerard, enseignant-chercheur et membre du De Vinci Research Center. L’objectif de ce programme est de modéliser un Smart-Grid autonome et indépendant dans un environnement dynamique.

Au sein de ce projet, le sujet consiste à étudier les échanges financiers du Smart-Grid lors de l’expression de besoins énergétiques. Dans leur modèle, les étudiants considèrent les acteurs comme des consommateurs, mais ils peuvent également être « prosommateurs », ce qui signifie qu’ils peuvent être à la fois consommateurs et producteurs d’énergie.

La question est la suivante : Que faire de cette énergie ? A qui l’acheter ? Au voisin ? Au fournisseur d’électricité ? A quel instant ? Ou bien serait-il plus rentable de l’utiliser ou même de la stocker ? Le travail des étudiants consiste à répondre à ces questions en créant un algorithme de pricing dont l’objectif est de prendre la meilleure décision selon des paramètres en temps réel.

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Analyse des pertes d’énergies sur le réseau français

Un projet de Mathilde Béranger, Nicolas Coindin-Redoute, Lucile Boyer-Nardon et Dylan Portela

Ce projet d’étudiants est orienté sur de la recherche. Ils ont étudié le réseau français pour analyser les pertes d’énergie. Il sera capable de prédire la future consommation d’électricité, d’avoir une meilleure production, et donc de faire économiser de l’argent aux producteurs.

Pour atteindre cet objectif, les étudiants ont fait de nombreuses recherches pour comprendre le fonctionnement du réseau et étudier de nombreux modèles mathématiques au sein de la théorie des graphes.

Ils se sont concentrés le réseau Breton simple et facilement modélisable. Cette région ne produit pas beaucoup d’énergie en raison de son réseau électrique. En effet, après un changement radical de politique d’énergie, la Bretagne a abandonné le nucléaire pour laisser place aux énergies renouvelables. Le point négatif est que l’utilisation de ces énergies primaires ne produit que très peu d’énergie pour pouvoir combler une demande beaucoup plus élevée. Elle est donc, en grande partie, alimentée en électricité depuis l’extérieur par des lignes hautes tensions (400-225kv).

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Numérique et gestion de l’énergie

Un projet de Nicolas Meyer et Anselme Troiville

En accord avec la théorie des Smart-Grids, ce projet se positionne dans une vision mêlant numérique et gestion de l’énergie afin d’apporter à l’utilisateur un confort optimisé tout en limitant ses dépenses énergétiques. Géré par un boitier intelligent, ce système est économe, bon marché et est modifiable selon les besoins du client.

Le boitier intelligent est nommé PiiBox : ce boitier possède un microcontrôleur Arduino Yùn, ainsi que de nombreux capteurs pour assurer le confort du client. Les capteurs sondent non seulement l’environnement, mais surveillent également la consommation électrique en temps réel. En cas de pic de consommation électrique, la PiiBox bloque la mise en route de certains appareils énergivores en attendant que la consommation diminue.

Pour gérer les paramètres utilisateurs et pour consulter des informations générales, le client se connecte à une application web accessible depuis un ordinateur, une tablette ou même un smartphone. L’application donne des informations telles que la consommation, l’état des appareils, ou encore certaines données des capteurs de la PiiBox.

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C’est la rentrée en prépa intégrée pour la promo 2022, bienvenue en école d’ingénieurs !

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Bacheliers scientifiques, les nouveaux élèves-ingénieurs de l’ESILV découvrent le monde des écoles d’ingénieurs en cette rentrée 2017, sur le campus du Pôle Léonard de Vinci.

La transition avec le lycée est effectuée !

Lundi 11 septembre 2017, les nouveaux élèves-ingénieurs de l’ESILV font leur rentrée, après un parcours de sélection qui les a vu passer les épreuves du Concours Avenir, d’abord, et les épreuves du bac ensuite. Les études secondaires sont désormais bien terminées, bienvenue dans le monde de l’enseignement supérieur.

Accueillis par l’équipe de la scolarité qui va les accompagner pendant les cinq années que dure le cursus ingénieur, les élèves-ingénieurs de première année de prépa intégrée de la promo 2022 ont ensuite découvert les professeurs et la direction de l’école en amphithéâtre pour un mot de bienvenue.

Un programme chargé pour leur première semaine « Welcome Week » les attendait, entre découverte du campus, expérimentation de la transversalité, journée d’intégration du BDE et forum des associations étudiantes.

Un business game transversal, découverte des Soft Skills

En équipes transversales avec les étudiants de l’EMLV, école de commerce du Pôle Léonard de Vinci et l’IIM, l’école de l’internet et du multimédia, les étudiants futurs ingénieurs ont participé à un business game sur deux jours, une simulation d’entreprise dans un univers concurrentiel encadré par le département des Soft-Skills.

L’occasion d’un premier aperçu de ce qui va les guider pendant leurs études à l’ESILV, la coopération et le travail en équipe, avec des étudiants issus de cursus différents du leur.

La journée d’intégration et le forum associatif, la vie étudiante

Au stade historique du Racing Metro 92, c’est sous le soleil, ou presque, que les nouveaux intégrés des trois écoles du Pôle Léonard de Vinci ont pu goûter aux joies de la vie étudiantes grâce à la journée d’intégration organisée conjointement par Leocampus et le BDE Gatspulv, accompagnés et encadrés par les 40 associations étudiantes que compte le campus de Paris La Défense, ainsi que des administratifs et professeurs des écoles.

Objectifs : développer la cohésion et l’esprit d’équipe !

En final de cette semaine, le forum des associations étudiantes du Pôle, où la vie et les projets associatifs sont encadrés et valorisés.

 

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Craig Wright, Bitcoin et le futur de la blockchain

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Craig Wright, l’entrepreneur australien qui pourrait être à l’origine du Bitcoin, en conférence exclusive à l’ESILV, sur le thème du Bitcoin et de son potentiel futur.

Révolutionner la manière dont les transactions de toute nature peuvent s’effectuer, plus de sécurité, plus de transparence… ce sont les promesses du Bitoin, et de la technologie Blockchain.

A l’heure où le grand public connait surtout le Bitcoin en tant que “Cryptomonnaie”, le Dr. Craig Wright expose ici sa vision des usages futurs de Bitcoin et de sa Blockchain, pour “construire un monde meilleur”.

Aujourd’hui Chief Scientist de nChain, une entreprise dont l’objectif affiché est de développer de nouveau usages autour de la blockchain Bitcoin et ainsi d’en augmenter la valeur ajoutée sur le long terme, Craig Wright livre aux élèves-ingénieurs de la majeure ingénierie financière de l’ESILV ses projets pour l’avenir de Bitcoin.

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Un semestre en Lettonie : François, promo 2017, en Erasmus à l’Université de Riga

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François de la Porte des Vaux, élève-ingénieur de la promo 2017, est parti pour un semestre d’échange international à l’Université de Riga. Témoignage d’une expérience Lettone !

Arrivé à l’ESILV après 2 années de classe prépa PSI, je suis désormais en 5ème année en filière Mécanique Numérique et Modélisation (MNM) et je viens tout juste rentrer après cinq fabuleux mois en Lettonie.

La vie d’un élève-ingénieur du Pôle Léonard de Vinci à Riga

Le choix de cette destination pour un semestre Erasmus peut sembler étrange : bien que capitale européenne, Riga est méconnue en France ! Surnommée “la perle de la Baltique“, c’est pourtant la ville la plus importante des pays Baltes (plus de 600.000 habitants) et un lieu qui mérite vraiment le détour à plusieurs titres.

La vieille ville est un dédale de petites rues datant du moyen âge ; on y trouve une multitude de restaurants, terrasses, boutiques. C’est vraiment superbe et très animé, et la vie y est très agréable !

Riga a l’avantage d’être en Europe et dans la Zone Euro (pas besoin de visa ni de changer de monnaie), de plus c’est une destination éligible à la bourse Erasmus (environs 800 € pour le semestre).

Bien que le letton soit une langue assez difficile à apprendre, il est très facile de se faire comprendre en parlant anglais ou russe. Des petits avantages qui rendent la vie bien plus facile. Le salaire moyen d’un Letton est d’environ 800 €. Notre pouvoir d’achat ici est donc vraiment très élevé (point non négligeable pour un semestre Erasmus). En effet, pas de souci d’argent, on peut sortir tous les soirs, aller au restaurant, en bref se faire plaisir.

Un coucher de soleil sur la vieille ville de la capitale lettone, photo de Aigars Bokāns Jansons

Voici quelques exemples de prix : une pinte de bière coûte entre 1 et 2,50 € dans un bar et au supermarché … 0,70€ ! On peut manger un bon repas pour 7 € à l’extérieur. Les cigarettes sont à 2,50 € et le menu le plus cher au McDo est à 5,50 €.

En tant qu’étudiants Erasmus, nous vivons tous en coloc’ dans de très grands appartements, dans ou proche de la vieille ville (rarement à plus de 15 min à pied). Les loyers sont d’environ 200-300 € par personne et par mois. Par ailleurs, les transports ne sont pas chers et nous utilisons en permanence le taxi pour nos déplacements (une course de 15 min coûte environ 3 €).

L’Université de Riga

En ce qui concerne l’intégration des étudiants, tout se passe très bien car nous sommes pris en charge par l’ESN Riga (Erasmus Student Network, une sorte de BDE qui s’occupe des Erasmus), qui organise entre autre l’Integration Week. You have to be ready ! Fêtes tous les soirs, tournées des bars, balades en kayak, visites, etc.

On découvre les meilleurs endroits de la ville, on rencontre des jeunes du monde entier et on se fait d’emblée plein d’amis ! C’est une semaine très intense juste avant que les cours ne démarrent.

Comme il faut aussi étudier un peu, j’étais inscrit à la Riga Techical University (RTU), la 2ème plus grande université de Lettonie après la Latvian Universty (LU). Le choix des cours est assez varié. Et les cours sont évidement en anglais. Il est par ailleurs relativement facile de valider le semestre car il suffit d’un 4/10 pour obtenir les crédits ECTS.

La charge de travail diffère d’une matière à l’autre mais, dans l’ensemble, reste assez légère car le niveau général est également plus faible qu’en France. J’avais environ une quinzaine d’heures de cours par semaine que je suivais avec assiduité.

Kayak en pleine vieille ville, Riga

Durant tout le semestre, l’ESN organise des événements. Il y en a pour tous les goûts : croisière sur un ferry avec plus de 1 000 étudiants venus de tous les pays Baltes, voyages, soirées, repas d’échanges culinaires, paintball, tournois sportifs, cours de langues, etc.

Ces activités sont toutes très abordables ou bien gratuites. Tout le monde y trouve son bonheur !

On peut aussi aller supporter l’équipe de hockey locale, le Dynamo Riga ! Les lettons sont très sportifs et adorent notamment le basket. On trouve partout des salles de sport à des tarifs très abordables (20 €/mois pour la plus grande des pays baltes).

L’opéra national et la bibliothèque nationale valent aussi le détour pour travailler ou se cultiver.

Plage de Jurmala, à 20 minutes de train de Riga, Lettonie

La localisation de Riga est idéale pour voyager dans toute l’Europe du Nord. Une multitude de villes sont à portée de Riga en ferry (Stockholm, Helsinki, St Petesbourg, Copenhague).

Place Rouge, Moscou, Russie

Par ailleurs, partir à la découverte de la Lituanie, Estonie, Pologne ou Russie est vraiment facile grâce aux départs quotidiens de cars. C’est une occasion rêvée pour visiter de superbes villes. Sans oublier, les voyages organisés par l’ESN Riga dans de nombreux pays. En particulier le voyage en Laponie qui offre l’opportunité d’aller au-delà du cercle polaire, de tester la balade avec des chiens de traîneau, de se baigner dans l’arctique (pour les courageux) et surtout d’admirer les aurores boréales !

L’aurore boréale que nous avons eu la chance d’admirer début décembre, Saäriselka, Laponie, Finlande

Il y a aussi des lieux intéressants en Lettonie à l’extérieur de Riga : la plage de Jurmala, les châteaux de Sigulda et les parcs naturels (parfaits pour passer le dimanche en plein air !). De plus, tout est accessible en train ou en bus.

Découvrir la Lettonie est vraiment une opportunité à saisir ! Il ne faut pas hésiter, ne pas avoir peur de l’inconnu : Riga est la ville parfaite pour un Erasmus.

C’est une occasion unique de découvrir ce coin du monde, de se plonger dans un pays différent. J’y ai vécu des moments incroyables, des aventures intenses et toujours entouré d’amis du monde entier.

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Smart Cities, construire le monde de demain

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Une conférence à destination des élèves-ingénieurs de la majeure Nouvelles Energies, par notre partenaire Sopra Steria.

Laurent Cousonnet, Directeur Smart Cities et Innovation au sein de Sopra Steria, livre ici sa vision des enjeux autour du concept de SmartCity, un mouvement de fond observé dans les villes d’aujourd’hui.

Quatre grands piliers viennent définir le concept de Smart City, autour d’une définition globale qui centre la ville et son développement plus soutenable et plus humain autour d’un usage des technologies en faveur du progrès et de la relation.

Une Smart City, c’est un territoire plus efficient : dans un contexte de crise des finances publiques, il devient nécessaire de “faire plus avec moins”. La ville connectée a pour objectif d’améliorer la performance territoriale, notamment via l’utilisation des smart grids.

Une Smart City, c’est une ville plus durable et plus agréable à vivre, où la qualité environnementale est une préoccupation majeure et l’optimisation des transports et des déplacements une réalité pour ses habitants.

Une Smart City, c’est un espace où la sécurité est renforcée, grâce entre autres à l’usage des technologies d’analyse prédictive rendue possible par l’utilisation du Big Data.

Une Smart City, c’est enfin plus de démocratie : une cité “intelligente” permet de tendre vers l’idéal démocratique au sens étymologique du terme, où le pouvoir repose sur la population.

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Comment le numérique révolutionne l’énergie : 5 projets d’élèves-ingénieurs sur l’efficacité énergétique

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L’avènement de l’ère numérique révolutionne le secteur de l’énergie, en phase avec les défis de la transition énergétique. Zoom sur 4 projets d’élèves-ingénieurs en lien avec les problématiques d’efficacités énergétiques.

Ces projets interviennent en 4e année du cycle ingénieur, et sont le fait des étudiants de la promotion 2018. En équipe, ils travaillent pendant l’année sur une problématique d’innovation industrielle en lien avec leur majeure d’enseignement, ici Nouvelles Energies. Les projets peuvent être réalisés en partenariat avec des entreprises ou des laboratoires de recherche.

Modèle Multi-Agent de Smart Grid

Un projet de Nicolas Grassi, Ivan Lozano, Yasmeen Trifiss, Paul Michon

L’objectif de ce groupe d’étudiants est de montrer, visualiser et valoriser les outils scientifiques qui œuvrent pour la démocratisation des Smart Grid. En effet, si ils veulent promouvoir ces outils c’est parce que le concept de Smart Grid est bien trop peu parlant pour la majorité du monde et n’est pas connu, ni même développé.

Il s’agit ici d’une maison intelligente, représentant un gros agent intelligent et constitué de plusieurs autres petits. Mis bout à bout, on en vient à obtenir un quartier intelligent puis une ville intelligente.

La réalisation des étudiants présente une interface graphique pour consulter en temps réel les statistiques de consommation de la maison comme la production électrique et la consommation électrique. Cette visualisation bien plus parlante que de simples chiffres sur un compteur fonctionne avec des mesures effectuées par des capteurs.

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Analyse du marché de l’énergie pour l’effacement énergétique

Un projet de Guillaume Manzano, Dylan Rabetrano et Juspreet Singh

L’effacement énergétique consiste en cas de déséquilibre offre/demande d’électricité a provisoirement réduire la consommation physique d’un site donné ou d’un groupe d’acteurs, l’intérêt étant d’éviter de construire de nouveaux moyens de production d’énergie, étant donné que l’énergie électrique ne peut être stockée à grande échelle, il est important d’optimiser et d’équilibrer la production et la consommation.

Ce projet vise à étudier les techniques d’effacement énergétique qui reposent sur un marché de l’énergie possédant un prix dynamique (fonction de l’offre et de la demande, ou des prix de production).

L’objectif de ce projet est de comprendre les mécanismes se cachant derrière le prix dynamique, puis de proposer des approches et méthodes d’analyses de courbes afin de prédire les allures de la courbe dans le futur dans le but d’aider au développement de l’effacement énergétique qui prend une place importante dans le contexte actuel. En effet, avec la croissance des pays en développement et l’évolution des besoins des populations, la demande énergétique ne fait que croître.

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Modélisation d’un Smart-Grid autonome et indépendant dans un environnement dynamique

Un projet de Etienne Pouteau, Laura Saadi, Emilie Sabourin et Jennifer Xia

Ce projet fait partie d’un programme de recherche dirigé par Guillaume Guerard, enseignant-chercheur et membre du De Vinci Research Center. L’objectif de ce programme est de modéliser un Smart-Grid autonome et indépendant dans un environnement dynamique.

Au sein de ce projet, le sujet consiste à étudier les échanges financiers du Smart-Grid lors de l’expression de besoins énergétiques. Dans leur modèle, les étudiants considèrent les acteurs comme des consommateurs, mais ils peuvent également être « prosommateurs », ce qui signifie qu’ils peuvent être à la fois consommateurs et producteurs d’énergie.

La question est la suivante : Que faire de cette énergie ? A qui l’acheter ? Au voisin ? Au fournisseur d’électricité ? A quel instant ? Ou bien serait-il plus rentable de l’utiliser ou même de la stocker ? Le travail des étudiants consiste à répondre à ces questions en créant un algorithme de pricing dont l’objectif est de prendre la meilleure décision selon des paramètres en temps réel.

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Analyse des pertes d’énergies sur le réseau français

Un projet de Mathilde Béranger, Nicolas Coindin-Redoute, Lucile Boyer-Nardon et Dylan Portela

Ce projet d’étudiants est orienté sur de la recherche. Ils ont étudié le réseau français pour analyser les pertes d’énergie. Il sera capable de prédire la future consommation d’électricité, d’avoir une meilleure production, et donc de faire économiser de l’argent aux producteurs.

Pour atteindre cet objectif, les étudiants ont fait de nombreuses recherches pour comprendre le fonctionnement du réseau et étudier de nombreux modèles mathématiques au sein de la théorie des graphes.

Ils se sont concentrés le réseau Breton simple et facilement modélisable. Cette région ne produit pas beaucoup d’énergie en raison de son réseau électrique. En effet, après un changement radical de politique d’énergie, la Bretagne a abandonné le nucléaire pour laisser place aux énergies renouvelables. Le point négatif est que l’utilisation de ces énergies primaires ne produit que très peu d’énergie pour pouvoir combler une demande beaucoup plus élevée. Elle est donc, en grande partie, alimentée en électricité depuis l’extérieur par des lignes hautes tensions (400-225kv).

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Numérique et gestion de l’énergie

Un projet de Nicolas Meyer et Anselme Troiville

En accord avec la théorie des Smart-Grids, ce projet se positionne dans une vision mêlant numérique et gestion de l’énergie afin d’apporter à l’utilisateur un confort optimisé tout en limitant ses dépenses énergétiques. Géré par un boitier intelligent, ce système est économe, bon marché et est modifiable selon les besoins du client.

Le boitier intelligent est nommé PiiBox : ce boitier possède un microcontrôleur Arduino Yùn, ainsi que de nombreux capteurs pour assurer le confort du client. Les capteurs sondent non seulement l’environnement, mais surveillent également la consommation électrique en temps réel. En cas de pic de consommation électrique, la PiiBox bloque la mise en route de certains appareils énergivores en attendant que la consommation diminue.

Pour gérer les paramètres utilisateurs et pour consulter des informations générales, le client se connecte à une application web accessible depuis un ordinateur, une tablette ou même un smartphone. L’application donne des informations telles que la consommation, l’état des appareils, ou encore certaines données des capteurs de la PiiBox.

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C’est la rentrée en prépa intégrée pour la promo 2022, bienvenue en école d’ingénieurs !

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Bacheliers scientifiques, les nouveaux élèves-ingénieurs de l’ESILV découvrent le monde des écoles d’ingénieurs en cette rentrée 2017, sur le campus du Pôle Léonard de Vinci.

La transition avec le lycée est effectuée !

Lundi 11 septembre 2017, les nouveaux élèves-ingénieurs de l’ESILV font leur rentrée, après un parcours de sélection qui les a vu passer les épreuves du Concours Avenir, d’abord, et les épreuves du bac ensuite. Les études secondaires sont désormais bien terminées, bienvenue dans le monde de l’enseignement supérieur.

Accueillis par l’équipe de la scolarité qui va les accompagner pendant les cinq années que dure le cursus ingénieur, les élèves-ingénieurs de première année de prépa intégrée de la promo 2022 ont ensuite découvert les professeurs et la direction de l’école en amphithéâtre pour un mot de bienvenue.

Un programme chargé pour leur première semaine “Welcome Week” les attendait, entre découverte du campus, expérimentation de la transversalité, journée d’intégration du BDE et forum des associations étudiantes.

Un business game transversal, découverte des Soft Skills

En équipes transversales avec les étudiants de l’EMLV, école de commerce du Pôle Léonard de Vinci et l’IIM, l’école de l’internet et du multimédia, les étudiants futurs ingénieurs ont participé à un business game sur deux jours, une simulation d’entreprise dans un univers concurrentiel encadré par le département des Soft-Skills.

L’occasion d’un premier aperçu de ce qui va les guider pendant leurs études à l’ESILV, la coopération et le travail en équipe, avec des étudiants issus de cursus différents du leur.

La journée d’intégration et le forum associatif, la vie étudiante

Au stade historique du Racing Metro 92, c’est sous le soleil, ou presque, que les nouveaux intégrés des trois écoles du Pôle Léonard de Vinci ont pu goûter aux joies de la vie étudiantes grâce à la journée d’intégration organisée conjointement par Leocampus et le BDE Gatspulv, accompagnés et encadrés par les 40 associations étudiantes que compte le campus de Paris La Défense, ainsi que des administratifs et professeurs des écoles.

Objectifs : développer la cohésion et l’esprit d’équipe !

En final de cette semaine, le forum des associations étudiantes du Pôle, où la vie et les projets associatifs sont encadrés et valorisés.

 

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Craig Wright, Bitcoin et le futur de la blockchain

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Craig Wright, l’entrepreneur australien qui pourrait être à l’origine du Bitcoin, en conférence exclusive à l’ESILV, sur le thème du Bitcoin et de son potentiel futur.

Révolutionner la manière dont les transactions de toute nature peuvent s’effectuer, plus de sécurité, plus de transparence… ce sont les promesses du Bitoin, et de la technologie Blockchain.

A l’heure où le grand public connait surtout le Bitcoin en tant que “Cryptomonnaie”, le Dr. Craig Wright expose ici sa vision des usages futurs de Bitcoin et de sa Blockchain, pour “construire un monde meilleur”.

Aujourd’hui Chief Scientist de nChain, une entreprise dont l’objectif affiché est de développer de nouveau usages autour de la blockchain Bitcoin et ainsi d’en augmenter la valeur ajoutée sur le long terme, Craig Wright livre aux élèves-ingénieurs de la majeure ingénierie financière de l’ESILV ses projets pour l’avenir de Bitcoin.

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Un semestre en Lettonie : François, promo 2017, en Erasmus à l’Université de Riga

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François de la Porte des Vaux, élève-ingénieur de la promo 2017, est parti pour un semestre d’échange international à l’Université de Riga. Témoignage d’une expérience Lettone !

Arrivé à l’ESILV après 2 années de classe prépa PSI, je suis désormais en 5ème année en filière Mécanique Numérique et Modélisation (MNM) et je viens tout juste rentrer après cinq fabuleux mois en Lettonie.

La vie d’un élève-ingénieur du Pôle Léonard de Vinci à Riga

Le choix de cette destination pour un semestre Erasmus peut sembler étrange : bien que capitale européenne, Riga est méconnue en France ! Surnommée “la perle de la Baltique“, c’est pourtant la ville la plus importante des pays Baltes (plus de 600.000 habitants) et un lieu qui mérite vraiment le détour à plusieurs titres.

La vieille ville est un dédale de petites rues datant du moyen âge ; on y trouve une multitude de restaurants, terrasses, boutiques. C’est vraiment superbe et très animé, et la vie y est très agréable !

Riga a l’avantage d’être en Europe et dans la Zone Euro (pas besoin de visa ni de changer de monnaie), de plus c’est une destination éligible à la bourse Erasmus (environs 800 € pour le semestre).

Bien que le letton soit une langue assez difficile à apprendre, il est très facile de se faire comprendre en parlant anglais ou russe. Des petits avantages qui rendent la vie bien plus facile. Le salaire moyen d’un Letton est d’environ 800 €. Notre pouvoir d’achat ici est donc vraiment très élevé (point non négligeable pour un semestre Erasmus). En effet, pas de souci d’argent, on peut sortir tous les soirs, aller au restaurant, en bref se faire plaisir.

Un coucher de soleil sur la vieille ville de la capitale lettone, photo de Aigars Bokāns Jansons

Voici quelques exemples de prix : une pinte de bière coûte entre 1 et 2,50 € dans un bar et au supermarché … 0,70€ ! On peut manger un bon repas pour 7 € à l’extérieur. Les cigarettes sont à 2,50 € et le menu le plus cher au McDo est à 5,50 €.

En tant qu’étudiants Erasmus, nous vivons tous en coloc’ dans de très grands appartements, dans ou proche de la vieille ville (rarement à plus de 15 min à pied). Les loyers sont d’environ 200-300 € par personne et par mois. Par ailleurs, les transports ne sont pas chers et nous utilisons en permanence le taxi pour nos déplacements (une course de 15 min coûte environ 3 €).

L’Université de Riga

En ce qui concerne l’intégration des étudiants, tout se passe très bien car nous sommes pris en charge par l’ESN Riga (Erasmus Student Network, une sorte de BDE qui s’occupe des Erasmus), qui organise entre autre l’Integration Week. You have to be ready ! Fêtes tous les soirs, tournées des bars, balades en kayak, visites, etc.

On découvre les meilleurs endroits de la ville, on rencontre des jeunes du monde entier et on se fait d’emblée plein d’amis ! C’est une semaine très intense juste avant que les cours ne démarrent.

Comme il faut aussi étudier un peu, j’étais inscrit à la Riga Techical University (RTU), la 2ème plus grande université de Lettonie après la Latvian Universty (LU). Le choix des cours est assez varié. Et les cours sont évidement en anglais. Il est par ailleurs relativement facile de valider le semestre car il suffit d’un 4/10 pour obtenir les crédits ECTS.

La charge de travail diffère d’une matière à l’autre mais, dans l’ensemble, reste assez légère car le niveau général est également plus faible qu’en France. J’avais environ une quinzaine d’heures de cours par semaine que je suivais avec assiduité.

Kayak en pleine vieille ville, Riga

Durant tout le semestre, l’ESN organise des événements. Il y en a pour tous les goûts : croisière sur un ferry avec plus de 1 000 étudiants venus de tous les pays Baltes, voyages, soirées, repas d’échanges culinaires, paintball, tournois sportifs, cours de langues, etc.

Ces activités sont toutes très abordables ou bien gratuites. Tout le monde y trouve son bonheur !

On peut aussi aller supporter l’équipe de hockey locale, le Dynamo Riga ! Les lettons sont très sportifs et adorent notamment le basket. On trouve partout des salles de sport à des tarifs très abordables (20 €/mois pour la plus grande des pays baltes).

L’opéra national et la bibliothèque nationale valent aussi le détour pour travailler ou se cultiver.

Plage de Jurmala, à 20 minutes de train de Riga, Lettonie

La localisation de Riga est idéale pour voyager dans toute l’Europe du Nord. Une multitude de villes sont à portée de Riga en ferry (Stockholm, Helsinki, St Petesbourg, Copenhague).

Place Rouge, Moscou, Russie

Par ailleurs, partir à la découverte de la Lituanie, Estonie, Pologne ou Russie est vraiment facile grâce aux départs quotidiens de cars. C’est une occasion rêvée pour visiter de superbes villes. Sans oublier, les voyages organisés par l’ESN Riga dans de nombreux pays. En particulier le voyage en Laponie qui offre l’opportunité d’aller au-delà du cercle polaire, de tester la balade avec des chiens de traîneau, de se baigner dans l’arctique (pour les courageux) et surtout d’admirer les aurores boréales !

L’aurore boréale que nous avons eu la chance d’admirer début décembre, Saäriselka, Laponie, Finlande

Il y a aussi des lieux intéressants en Lettonie à l’extérieur de Riga : la plage de Jurmala, les châteaux de Sigulda et les parcs naturels (parfaits pour passer le dimanche en plein air !). De plus, tout est accessible en train ou en bus.

Découvrir la Lettonie est vraiment une opportunité à saisir ! Il ne faut pas hésiter, ne pas avoir peur de l’inconnu : Riga est la ville parfaite pour un Erasmus.

C’est une occasion unique de découvrir ce coin du monde, de se plonger dans un pays différent. J’y ai vécu des moments incroyables, des aventures intenses et toujours entouré d’amis du monde entier.

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Smart Cities, construire le monde de demain

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Une conférence à destination des élèves-ingénieurs de la majeure Nouvelles Energies, par notre partenaire Sopra Steria.

Laurent Cousonnet, Directeur Smart Cities et Innovation au sein de Sopra Steria, livre ici sa vision des enjeux autour du concept de SmartCity, un mouvement de fond observé dans les villes d’aujourd’hui.

Quatre grands piliers viennent définir le concept de Smart City, autour d’une définition globale qui centre la ville et son développement plus soutenable et plus humain grâce à l’usage des technologies en faveur du progrès et de la relation.

Une Smart City, c’est un territoire plus efficient : dans un contexte de crise des finances publiques, il devient nécessaire de “faire plus avec moins”. La ville connectée a pour objectif d’améliorer la performance territoriale, notamment via l’utilisation des smart grids.

Une Smart City, c’est une ville plus durable et plus agréable à vivre, où la qualité environnementale est une préoccupation majeure et l’optimisation des transports et des déplacements une réalité pour ses habitants.

Une Smart City, c’est un espace où la sécurité est renforcée, grâce entre autres à l’usage des technologies d’analyse prédictive rendue possible par l’utilisation du Big Data.

Une Smart City, c’est enfin plus de démocratie : une cité “intelligente” permet de tendre vers l’idéal démocratique au sens étymologique du terme, où le pouvoir repose sur la population.

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Un parcours bi-diplômant avec CentraleSupélec pour les élèves-ingénieurs ESILV

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Nouveauté en cette rentrée 2017 à l’ESILV, la possibilité pour les élèves-ingénieurs de dernière année d’obtenir un double diplôme en partenariat avec CentraleSupélec.

En fin de cursus, dans l’objectif de compléter leur parcours en équivalence de la 5e année à l’ESILV, les étudiants peuvent candidater au diplôme de spécialisation CentraleSupélec dans les options suivantes :

#Automatique
Diplôme de spécialisation Automatique pour la transition énergétique

#Data Sciences et Mathématiques
Diplôme de spécialisation Mathématiques Appliquées au Traitement de l’Information et du Signal

#Energie
Diplôme de spécialisation Energie
Diplôme de spécialisation Automatique pour la transition énergétique

#Génie Industriel
Diplôme de spécialisation Génie Industriel

#Informatique
Diplôme de spécialisation Systèmes Informatiques
Diplôme de spécialisation Systèmes Interactifs et Robotique
Diplôme de spécialisation Systèmes d’information sécurisés

#Mécanique, Aéronautique et Espace
Diplôme de spécialisation Mécanique, Aéronautique et Espace

#Traitement du Signal et Electronique
Diplôme de spécialisation Mathématiques Appliquées au Traitement de l’Information et du Signal
Diplôme de spécialisation Systèmes Interactifs et Robotique
Diplôme de Spécialisation Micro et nano électronique

La 5e année à CentraleSupélec pour les élèves-ingénieurs de l’ESILV se compose d’une période de cours suivie d’un stage en entreprise de 6 mois minimum.

L’accessibilité au parcours en double-diplôme est soumis à examen de la part du corps professoral de l’ESILV puis de celui de CentraleSupélec, par l’intermédiaire d’un jury fin juillet pour une rentrée en Septembre.

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Les “expériences” d’Airbnb, la vie rêvée des autres

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Gaël CHAREYRON, Responsable du département d’enseignement et de recherche Informatique, Big Data et Objets connectés de l’ESILV, Pôle Léonard de Vinci – UGEI et Sébastien Jacquot, Maître de conférences en Géographie, IREST, Université Paris 1 Panthéon-Sorbonne

En mars 2017, Airbnb a diversifié son offre, proposant des « expériences » : acheter du poisson pour préparer du sashimi à Tokyo avec un client régulier du marché, cuisiner et déguster une paella avec une habitante de Barcelone, découvrir la vie des abeilles avec un apiculteur dans le Sacramento, ou découvrir l’art du mime ou du street art à Paris… Ces expériences sont présentées comme des échanges avec un hôte, avec Amin, Andrea, Chabane, Toshi, Sara, dont la durée, le programme et le nombre maximal de participants sont précisés, ainsi que le prix, parfois plus de 100 euros par personne.

On pourrait y voir un approfondissement de la logique revendiquée d’Airbnb : la rencontre avec l’Autre et la découverte plus authentique de la destination, débordant la seule sphère de logement (« vivez là-bas comme des locaux »). Une autre perspective y verrait les logiques croissantes d’« uberisation ». L’habitant met en location temporaire non plus une chambre ou son appartement mais aussi une partie de son temps, ses savoir-faire ou simplement partage son temps de loisirs contre rémunération, permettant parfois des compléments de revenu substantiels, tandis que se poursuit la mise en prix et marché de nouveaux pans de la vie sociale.

Le documentaire sur le tourisme à Berlin, WelcomeGoodbye, réalisé par Nana Rebhan, expose une situation fictionnelle limite, celle d’un Berlinois louant sa vie pour une courte période à des touristes. S’agit-il alors d’adopter la vie des autres ? De l’appartement à la façon de faire ses courses, ses pratiques sportives et culturelles, ses goûts et pratiques culinaires ?

Quels précédents ?

Mais reprenons le fil : cela fait-il réellement rupture ?

En 1992, Lynn Brooks, une habitante new-yorkaise, fonde Big Apple Greeter. Cette association regroupe des habitants qui proposent des visites bénévoles de leur territoire, essentiellement de leurs espaces du quotidien, prolongeant éventuellement la visite par un verre ou repas échangé. La visite avec un Greeter se distingue de la visite classique par l’accent mis sur sa propre façon de résider quelque part, mais aussi par sa dimension non-marchande. À partir de New York, de nombreuses villes dans le monde ont vu éclore de telles initiatives : Buenos Aires, Shanghai, Sidney, Nantes, Paris (Parisiens d’un jour), etc. Alors que certains regroupements de guides professionnels craignent une concurrence déloyale, les Greeters sont parfois soutenus par des acteurs publics qui y voient une façon de changer l’image de la destination et de ses habitants.

Dans les années 2000, l’expression « tourisme créatif », mise en avant notamment par Greg Richard fait son apparition, désignant une forme de tourisme dans laquelle les visiteurs expriment ou développent leur créativité sur leur lieu de séjour, souvent accompagné par des habitants disposant d’une expertise artistique ou culturelle. Développée à Barcelone, Paris et Rome dans un premier temps, à travers le Creative Tourism Network, l’expression se diffuse aussi au niveau mondial, entrant en résonance avec l’idée d’un touriste pensé comme désormais actif durant son voyage. De façon plus large, le tourisme créatif pourrait être analysé comme un avatar du « tourisme expérientiel », qui découle de l’idée d’un marketing expérientiel, mettant en avant la relation avec le produit ou le service, plus que les qualités intrinsèques de ce dernier.

Un tourisme différent

Airbnb n’est d’ailleurs pas positionné seul sur ce développement de plateforme de réservation d’activités et d’« expériences » : les plateformes généralistes (Booking, Kayak) intègrent désormais la réservation d’activités (par exemple des billets d’entrée), tandis que d’autres plateformes se sont spécialisées sur des expériences proposées par des habitants (de Trip4real racheté par Airbnb à lovlilocals ou MeetJune).

Enfin, de nombreuses campagnes promotionnelles reposent sur le présupposé de touristes recherchant un autre tourisme, hors des sentiers battus et des districts touristiques, à la découverte des espaces du quotidien, marqué par une volonté de rapports plus authentiques. Ainsi, cette mise en avant des « expériences » semble être la version marchande des Greeters, doublé d’un approfondissement des logiques du tourisme créatif, prenant acte du tournant expérientiel et de la volonté d’explorer des territoires et pratiques qui ne sont pas d’emblée et unilatéralement touristiques. Bref, plus une synthèse marchande et globalisée de nouvelles tendances par un groupe mondialisé en situation dominante qu’une réelle rupture.

Imaginaires touristiques

Mais le développement des expériences peut être analysé sur un autre plan, celui de la caractérisation des destinations et de leurs imaginaires, dans un registre attendu quand il s’agit d’acheter du poisson à Tokyo et réaliser une paella à Barcelone, et plus inattendu dans l’apprentissage de la cuisine africaine avec des réfugiés d’une métropole européenne, la visite d’un musée avec un humoriste stand-up, ou le coaching style à Saint-Mandé. Là aussi doit-on en attendre un renouvellement des imaginaires touristiques et des modes de promotion ?

La circulation des imaginaires touristiques s’est opérée de façon diversifiée, par les récits de voyage, les affiches et publicités (par les entités publiques ou les tour operator), les guides touristiques, les photos, etc. La présence sur le site Airbnb de cet onglet « expériences » proposant en vrac tout un ensemble d’activités décalées, de la visite classique du quartier historique ou du site culturel est-elle là aussi en rupture avec ces circulations antérieures ? Si les premiers guides mentionnaient d’abord des itinéraires et des commodités permettant le voyage (horaires et itinéraires ferroviaires, haltes et hébergements conseillés), la dimension expérientielle des voyages est rapidement mise en avant, aussi bien dans les récits de voyage que dans les guides touristiques. Ainsi le guide Baedecker de Paris 1878 suggère une visite des abattoirs de Villette et des marchés aux bestiaux attenants, une flânerie dans les bazars parisiens, la fréquentation des bals publics costumés (« tout ce qu’il y a de plus excentrique »), une attention aux cris de Paris, « du matin au soir », ou même la visite de la morgue pour apercevoir les corps exposés.

Des touristes avec leur guide à Petra (Jordanie).
Daniel Case/Wikipédia, CC BY

La destination ne se limite pas à ses aménités les plus classiques, elle est déjà présentée comme expérience possible. De fait, cette « nouveauté » de l’idée d’expérience peut surprendre. L’expérience est la connaissance théorique ou pratique issue de la relation avec le monde, et par extension désigne le vécu, en tant qu’il favorise cette acquisition de connaissances. L’ensemble du temps touristique peut être vécu comme expérience et expérimentation. D’une certaine façon, mettre l’accent par le mot « expériences » sur certaines activités vise surtout à les autonomiser et les constituer en services ou produits, comparables et transposables, et évaluables à travers le décalage possible entre la promesse et le vécu.

Une subjectivité assumée

La différence se fait plutôt dans le mode d’écriture : à un narrateur supposé expert qui expose l’intégralité des possibilités, et qui est effacé dans le texte (pas de « je »), se substitue la mise en avant d’une pluralité d’intermédiaires locaux, chacun proposant une façon de visiter et expérimenter la destination. L’expérience est vécue comme interaction. De plus, la production de la confiance ne réside plus dans l’objectivité et la compétence supposées du guide, mais dans une subjectivité assumée, et multipliée : multiplicité et personnalisation (par la photo, l’usage du prénom, la vidéo qui montre la situation) des intermédiaires, mais aussi des usagers qui laissent leur propre commentaire sur le site Airbnb. Cela s’inscrit en prolongement de la rupture occasionnée par le web 2.0 en matière de prescription touristique (ou de restauration, de critique de film, etc.), et le passage de l’expertise objectivée à l’expertise des pairs.

Ces transformations contribuent-elles à une promotion renouvelée des territoires ?

D’abord, elles se distinguent de la promotion institutionnelle par une mise en équivalence de toutes les expériences, partout dans le monde, relevant plutôt de la logique du catalogue d’un tour operator, et organisé par grandes destinations urbaines. Les 1882 expériences proposées mi-septembre 2017 concernent 36 destinations, sur tous les continents (Le Cap et Nairobi en Afrique par exemple).

Paris est la destination proposant le plus d’expériences (169, plus 7 immersives), suivi par Barcelone (161) et Tokyo (160). Airbnb propose douze catégories d’expériences. Les thématiques « cuisine et boissons » et « arts et design » dominent largement, tandis que « vie nocturne », « mode », « musique » ou « bien-être » sont des propositions expérientielles moins présentes.

L’expérience .
Site d’Airbnb

The ConversationMais chaque destination se distingue par la part respective de chacune : plus de « mode » à Paris, de « nature » à Seattle, Los Angeles ou Sidney, plus d’« art de vivre » à Tokyo. Pour Paris, les lieux explicitement mentionnés sont les must-seen de la promotion touristique habituelle mais visités de façon plus insolite (croissants sur les toits de Montmartre, jogging devant la Tour Eiffel…). Les propositions valorisent surtout une expérience alternative d’éléments déjà reconnus comme spécifiquement parisiens (la mode, la gastronomie). Bref l’expérience promise concerne plus un autrement qu’un autrepart.

La version originale de cet article a été publiée sur The Conversation.

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Découpeuse laser, tour à commande numérique : dans les secrets de l’atelier de fabrication de l’ESILV …

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C’est un endroit connu des seuls initiés… au -1 du campus de l’ESILV, au Pôle Léonard de Vinci, se cache un univers industriel, où les élèves-ingénieurs modélisent, conçoivent, fabriquent.

Chaque année, on ne compte plus les projets qui en sortent : complément “hardware” du fablab, l’atelier de fabrication qui et hébergé à l’étage -1 du Pôle Léonard de Vinci respire l’industrie.

Tous les élèves-ingénieurs y passent au cours de leur cursus, certains y établissent leur QG de façon quasi-permanente, à l’image des étudiants de Vinci Eco Drive, une association étudiante qui participe chaque année au Shell Eco Marathon et développe un véhicule électrique.

L’objectif de cet atelier de fabrication ? Offrir aux élèves-ingénieurs une première approche du monde de l’industrie et de la fabrication de pièces en tout genre, de leur modélisation sur des logiciels de CAO à la fabrication, grâce aux machines dont dispose cet espace dédié à la créativité et à l’innovation.

De la découpeuse laser au tour à commande numérique, en passant par le matériel de base pour construire, souder, assembler, concevoir, modéliser, l’univers du “-1” fleure bon l’industrie et la blouse bleue, indispensable pour y travailler.

C’est l’occasion également pour les étudiants de découvrir puis de maîtriser le lange informatique G-code, l’outil indispensable pour la programmation de commande numérique.

En toute sécurité, les élèves-ingénieurs y sont accompagnés par les professeurs en charge de la gestion cet espace pour la réalisation des pièces nécessaires à leurs projets d’études ou associatifs : pièces de véhicule électrique, pont portable, hydrolienne, pièces aéronautiques… Les conditions professionnelles sont réunies pour la conception et la réalisation des projets de niveau ingénieur.

Visite guidée de cet espace un peu spécial sur un campus niché au coeur du plus grand quartier d’affaires européen…

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Étudier au Canada : Louis-Vincent, promo 2017, en échange à l’Université du Québec à Chicoutimi

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Louis-Vincent Farré Vignaud, élève-ingénieur promo 2017, a réalisé son échange à l’international en 5ème année d’étude à l’ESILV. C’est au Canada, à l’Université du Québec à Chicoutimi (UQAC) qu’il est parti pendant un semestre.

Je suis issu de la promotion 2017 de l’ESILV, au sein de la majeure Nouvelles Energies. Après un bac S, j’ai été amené à faire une prépa scientifique PT au lycée Mermoz à Montpellier. Suite aux concours de la banque PT, ce sont les oraux qui m’ont décidé à choisir l’ESILV.

Passionné de physique et d’énergies, l’ESILV m’a attiré par sa majeure Nouvelles Energies. C’est une école généraliste numérique et je savais que je pourrais également y développer mes compétences en informatique. La position géographique et les moyens mis en place par l’ESILV pour nous sont impressionnants. Située à la Défense, l’école nous permet d’évoluer à notre rythme.

L’école nous accompagne beaucoup, que ce soit pour réserver des salles pour travailler, pour des réunions, l’accès à un atelier ou à un Fablab de qualité, une assistance pour créer des associations et même pour privatiser des salles sur plusieurs années afin de développer des projets en lien avec des associations.

J’ai participé à la création de deux associations étudiantes et été coprésident de LeoFly (association d’aéromodélisme) au sein de l’ESILV, où j’ai peu apprécier tous les moyens mis à notre disposition pour réaliser nos projets associatifs.

Une des qualités qui m’a aussi poussé à choisir l’ESILV est l’obligation de partir étudier à l’international. Le continent Américain m’intéressait beaucoup et j’ai choisi de partir en 5ème année vers le Canada pour les cours de management et d’informatique. Les côtés « nature » et « ouverture d’esprit » de ce pays m’attiraient et je cherchais un dépaysement avec la culture Européenne.

Chercher le dépaysement en allant étudier à l’étranger !

Un semestre en immersion au Canada

Située à 2 heures au Nord de Québec dans la région de Saguenay, c’est à l’UQAC (Université du Québec A Chicoutimi) que j’ai effectué mon séjour à l’étranger L’université met en place de fabuleux moyens pour nous aider à trouver des logements, s’occuper de tout ce qui est assurance, inscription, banque, forfait téléphone et autres. Des réunions d’information sont mises en place tout au long du séjour pour vivre au mieux cette expérience.

J’ai rencontré beaucoup de Montpelliérains et d’étudiants provenant de partout en France mais aussi des personnes du Togo et bien sûr, des Québécois.

L’université a aussi un rituel, c’est le PARTY (à prononcer « parté ») ou PU (Party Universitaire). C’est une soirée ambiance boîte de nuit qui prend place au sein de l’université. Des groupes et DJ’s viennent et mettent l’ambiance jusqu’à 3 heures du matin. Il y a des bars et ce qui est impressionnant c’est que le lendemain matin, aucun indice ne permet de dire qu’il y a eu une soirée !

Un point important, j’avais le choix à tous les cours que je souhaitais tant que l’ESILV les approuvait. J’ai donc choisi 2 cours de management et 2 cours d’informatique, ce qui me donnait une semaine du mardi 16h au jeudi 12h et me laissait un grand week end pour partir à la découverte de cette belle région !

Sur les conseils d’un ami faisant cette expérience avec moi au Québec, j’ai contacté par Facebook quelqu’un qui m’a proposé plusieurs appartements qu’il louait. Après avoir choisi, les formalités n’ont pas pris plus de 10 minutes ! Il est venu me récupérer à l’aéroport avec mes bagages et m’a aidé à m’installer avec une gentillesse extrême !

En ce qui concerne l’intégration, plusieurs associations sont ouvertes et actives au sein de l’UQAC. Faisant partie de celle des « génies », nous avons eu notre journée d’intégration dans une érablière … les informations sur cet événement resteront top secrètes.

Il y a eu également « la journée du recteur » où la nourriture est gratuite (hot dog, maïs à garnir de beurre, sel et poivre, boissons, pizzas). C’est aussi l’occasion de pouvoir gagner quelques prix : une dizaine de gains, variant de 500$ à 1000$. Le recteur pioche le nom d’un étudiant dans son université et ce dernier est récompensé d’une somme d’argent.

Enfin, pour s’habituer à ce nouveau milieux, rien ne vaut de sortir et partir à l’aventure ! Il y a de nombreux parcs, randonnées à faire dans le coin, des ours, des orignaux, des baleines à découvrir… Sans oublier leurs écureuils !

Ballade en forêt au Québec… et rencontre suprenante !

Une semaine type à l’UQAC

Le mardi à 16h, je commençais avec un cours de site web qui se terminait à 19h. Le lendemain, à 8h30, j’avais cours de management en gestion d’équipe de projet, puis à 13h, j’allais au cours de gestion de conflits jusqu’à 16h, et pour finir je faisais un peu de musculation et j’allais juste après à la patinoire pour achever ma journée de 20h à 21h30. Le jeudi matin, j’avais un cours de sécurité informatique de 9h à 12h. Le reste du temps se divisait en travail à faire chez soi, sorties dans des bars, road trip dans le Canada, visites de parcs nationaux et des villes comme Montréal, Ottawa, Toronto ou encore Niagara.

Ma semaine type m’a amplement permis de découvrir le Québec. Partir seul en road trip est un bon moyen de s’intégrer à la vie Québécoise. J’ai pu discuter avec beaucoup d’habitants : entre autres expériences, dans un fast food, j’ai rencontré deux femmes âgées de plus de 80 ans qui avaient pour habitude de venir tous les jours à cet endroit. En entendant mon accent français, elles entament la conversation et au bout de 10 minutes j’avais le beau-fils, qui était français, d’une de ces dames au téléphone car il avait besoin de conseil dans les papiers à faire pour résider au Québec. C’est une situation hors du commun que de pouvoir s’intégrer aussi rapidement en toute simplicité.

Une anecdote assez drôle digne d’une conversation avec des chtimis : Lors de mon inscription à l’université, j’ai été amené à converser avec des responsables de matières. Satisfait de notre conversation, je remercie pour le temps accordé et lui dis « Au revoir » et il me répond « Bonjour ». Ne comprenant pas où était le problème, je lui répète « Au revoir » car je pensais qu’il souhaitait poursuivre la discussion. C’est avec un grand sourire qu’il m’explique qu’il me souhaite la bonne journée par le terme « Bonjour ». L’important à retenir c’est que les Québécois sont souriants, ouverts d’esprit et ne se prennent pas la tête pour de simples problèmes.

Je recommande vivement une expérience à l’étranger ! C’est un moyen d’appréhender les sujets sous un autre angle, de développer ses moyens de communication, de découvrir un tout autre milieu très enrichissant.

Si vous en avez l’occasion, n’hésitez pas, c’est une expérience à l’ambiance unique. Et si vous voulez pousser la réflexion, n’hésitez pas à vous perdre vous aurez ainsi la chance de voir des paysages uniques et des personnes exceptionnelles.

PS : couvrez-vous car il fait très froid en hiver !

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Microsoft Experiences ’17, Hololens et la réalité virtuelle à l’honneur

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Pour approfondir leurs recherches et leurs connaissances sur les innovations dans le domaine de la réalité mixte, 4 élèves-ingénieurs de l’ESILV ont parcouru les allées du grand rendez-vous annuel de Microsoft. Compte-rendu !

Dany NARCISSE, Wilhem GUILLAUME, Nicolas MONTEIL, Son-Hà NGUYEN, élèves-ingénieurs promo 2019 de l’ESILV

Dans l’intérêt de notre projet de 4e année en école d’ingénieurs à l’ESILV, nous avons pu découvrir les nouvelles implémentations de la technologie innovante de l’Hololens dans les domaines de l’apprentissage et du partage d’informations.

En effet, nous effectuons notre projet chez la société Actimage en partenariat avec Renault où l’objectif est d’apporter des solutions aux problèmes rencontrée sur les chaines de montages grâce à la réalité mixte de l’HoloLens.

La technologie permet, contrairement à la réalité virtuelle, d’avoir un contact rapproché avec l’environnement qui nous entoure. L’utilisateur est capable d’avoir une interaction physique avec l’environnement, ce n’est plus du virtuel. La technologie se place au-dessus de la réalité avec des hologrammes et s’impose comme la technologie du futur.

L’HoloLens fonctionne donc avec les technologies de Microsoft. C’est une opportunité pour notre groupe d’appliquer les connaissances assimilées depuis les premières années du langage C# et de Visual studio aux technologies du futur dans l’optique de répondre à une problématique d’entreprise.

Nous ne sommes donc rendu au Palais des Congrès les 3 et 4 octobre afin d’approfondir nos recherches et nos connaissances concernant les innovations dans le domaine de la réalité mixte. Lors de cet évènement de nombreux talks étaient organisés sur les thèmes comme le ChatBot, la Blockchain ou encore la maintenance prédictive par exemple.

Hololens : la dématérialisation est en marche

On parle de dématérialisation du savoir, ou bien de la capacité à intervenir depuis des kilomètres sur une zone difficile d’accès de manière rapide et avec un coût réduit. Par exemple, un ingénieur américain spécialisé dans le système de freinage de formule 1 peut intervenir sur un problème mécanique rencontré sur un modèle en Europe depuis ses locaux.

Encore plus impressionnant, les scientifiques de la NASA pourraient assister d’encore plus près les astronautes de la station spatiale internationale lors d’expérimentations. On peut imaginer aussi l’utilité de l’HoloLens lors d’un état des lieux, après une catastrophe naturelle, on peut utiliser les outils de mesures de distances.

Ce sont des solutions qui offrent un gain de temps de manière simple et efficace.

Nous nous sommes rendus ensuite à la séance plénière ou de nombreux intervenants haut placés dans les entreprises partenaires sont venus nous parler de la transformation numérique qu’ils subissent.

Les annonces principales d’Experiences ’17

Pour nous accueillir en séance plénière, Laurence Lafont, directrice Marketing & opération chez Microsoft France nous a d’abord parlé de la stratégie de l’entreprise vis-à-vis des innovations. Microsoft a été l’auteur de nombreuses acquisitions ces dernières années. Elle l’explique par le potentiel de Microsoft à être catalyseur de ces nouvelles entreprises. Les partenariats ne sont plus les même qu’auparavant. Il est maintenant question de mieux intégrer les technologies entre elles.

L’assistant Microsoft Cortana est performant dans les tâches liées à la productivité et Alexa de chez Amazon pour le shopping. Les deux assistants peuvent désormais communiquer entre eux. On cherche à enlever cette friction entre les entreprises sur qui va en tirer le plus, le consommateur est au centre des discussions. La même chose citant produite avec les SMS il y a quelques années.

Un individu possédant un forfait chez un opérateur ne pouvait envoyer de message qu’aux personnes de ce même opérateur limitant grandement l’utilisation de ce moyen de communication jusqu’au jour où les opérateurs ont décidé d’ouvrir leur réseaux entre eux, faisant place à une véritable révolution de la communication SMS.

Après la venue de Peggy Johnson, vice-président exécutif du business développement chez Microsoft, Christel Heydemann président chez Schneider Electric France et Christophe Catoir président du Groupe Adecco France, le mot d’ordre s’est fait ressentir : la transformation. L’objectif des grandes sociétés est de catalyser les innovations et d’être d’autant plus à l’écoute des consommateurs. Faire face aux problèmes de demain commence par le travail en équipe.

Ces deux journées nous ont permis de faire de nombreuses rencontres et d’avoir un aperçu des nouvelles technologies qui s’inscriront dans le monde de demain.

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