Ce partenariat révolutionnaire a été présenté, dans le cadre de l’AVEVA World France 2016 par Guillaume Montandon, Chef de service et Responsable des outils d’ingénierie chez AREVA Projets.

AVEVA est éditeur de solutions logicielles d’Ingénierie pour les secteurs du Process, de l’Energie et de la Marine. Le métier d’AVEVA est de permettre la création et la gestion d’exploitations industrielles digitales complexes.

L’objectif du partenariat est de répondre à la demande grandissante de ressources formées aux solutions AVEVA sur le marché.

Après des expériences difficiles de recrutement, la solution qui s’est présentée était limpide. Il fallait à présent devenir acteur du marché et induire un réel changement.

Après une étude approfondie, le choix s’est porté sur l’ESILV basée à la Défense en région parisienne. Plusieurs critères ont déterminé la sélection de l’école. Il devait s’agir d’une école d’ingénieurs généraliste numérique avec une formation en alternance, proposant des cours d’ingénierie assistée par ordinateur et ouverte à ce type d’initiative.

Partenariat avec une école d’ingénieurs pour initier des élèves en alternance à l’administration PDMS

Notamment, la demande de compétences autour du logiciel AVEVA PDMS, principalement utilisé dans les études d’ingénierie (conception 3d, production de plans de constructions 2d, traitement de données …) pour la construction de plates-formes pétrolières Off-shore ou bien de site industriels On-shore a motivé le partenariat.

PDMS est utilisé pour la conception d’usines dans les domaines de l’industrie énergétique (pétrole, gaz, nucléaire), chimique, pharmaceutique, alimentaire.

De manière concrète ce partenariat repose sur deux axes principaux. Une première phase de formation avec un module de 35h sur l’installation générale avec les solutions AVEVA (14h de cours théorique et 21h de travaux dirigés au sein de l’école) complété par les formations dispensées par AVEVA.

La deuxième phase est une alternance en entreprise pendant laquelle  l’école présélectionne une dizaine d’élèves les plus performants pour suivre la formation Conduite de projets chez AVEVA. Un aspect important à ce stade est le retour d’expérience du formateur, véritable allié dans cette étape. Les élèves sont ensuite reçus en entretien et les contrats en alternance sont signés.

De grands groupes industriels comme AREVA, EDF, Sofinel, Orinox supportent et soutiennent cette initiative de partenariat AVEVA/ESILV.

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Altran France,  leader du conseil en innovation et ingénierie avancée participe à la création d’une Chaire « Big Data for Customer Experience » avec l’ESILV et l’EMLV.

Parrain de la promotion 2018 des écoles du Pôle Léonard de Vinci, Altran France s’engage également dans une démarche de recherche et d’innovation en collaboration avec les enseignants-chercheurs de l’ESILV et de l’EMLV, avec la création de la chaire « Big Data for Customer Experience ».

L’objectif est d’élaborer des algorithmes innovants pour exploiter les données afin de proposer de nouveaux services permettant d’analyser et d’améliorer la relation client (offre, qualité, satisfaction, prospection de nouveaux marchés, etc…).

La chaire repose sur l’exploitation des technologies Big Data, un domaine d’expertise de l’ESILV, avec de nombreux travaux, notamment, en Big Data et tourisme.

Les professeurs titulaires de la chaire sont Gaël Chareyron, Responsable du département Informatique, Big Data et Objets Connectés (IBO) de l’ESILV et Marcos Lima, Responsable du département Marketing, Management et Entrepreneuriat de l’EMLV.

Dans le cadre de cette thématique de recherche et d’innovation, des recrutements de doctorants sont en cours.

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Les écoles du Pôle Léonard de Vinci déploient une formation aux soft-skills pour les étudiants, dont les élèves-ingénieurs de l’ESILV.

Former les élèves-ingénieurs aux compétences relationnelles, leur donner un atout supplémentaire face aux recruteurs, telle est la mission du Département des Soft-Skills, conduit au Pôle Léonard de Vinci de façon transversale par Laure Bertrand, et selon un programme déployé sur les 5 années du cursus.

Ces formations sont réalisées en transversalité avec les étudiants des trois écoles du Pôle Léonard de Vinci, qui partagent le même campus, sur un schéma unique en France dans l’enseignement supérieur.

Les élèves-ingénieurs de la promo 2021 ont vécu leur première « semaine transversale » Soft Skills. Le thème de cette semaine, « Savoir vendre ses idées ».

La capacité à communiquer pour convaincre est une compétence majeure, dont les étudiants auront besoin dans toute leur vie d’étudiant et dans toutes leurs expériences professionnelles.

Trois modules de formation leur ont été dispensés, autour de l’élaboration du contenu d’un message, de la conception d’un support visuel et enfin de la prise de parole en public.

Les groupes constitués d’élèves-ingénieurs de l’ESILV, d’étudiant en école de commerce de l’EMLV et de futurs pros du digital de l’IIM ont ensuite passé deux jours à mettre en pratique les connaissances acquises en travaillant en équipes-projet pluridisciplinaires.

Ils ont été évalués lors de soutenances sur le contenu du message, la structuration du discours, la prise de parole en public, la communication verbale et non verbale et le support visuel qui accompagne une présentation et en améliore l’impact.

Savoir vendre ses idées : une semaine transversale promo 2021

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Maylis et Julien, ESILV et EMLV, promo 2016, fondateurs de Gopened, remportent le prix du public au Dayclick Challenge des startups 2016

Evènement fédérateur des acteurs du numérique, le Dayclick 2016, sous la bannière des Talents du Numérique s’est tenu au CentQuatre à Paris. Il rassemble jeunes, étudiants, startups, business angels autour d’un programme dense : hackathon, conférences, challenge des startups, job dating, coaching, espace métiers….

Gopened, une startup créée au Pôle Léonard de Vinci par une élève-ingénieure de l’ESILV et un étudiant en école de commerce de l’EMLV, remporte le prix « Coup de cœur du public » au Dayclick Challenge, qui a rassemblé 66 startups du numérique.

Julien et Maylis, les deux fondateurs, se sont rencontrés lors de leur dernière année de cursus, en majeure entreprendre, une filière transversale aux trois écoles du Pôle Léonard de Vinci.

Prix du public du Day-click challenge pour @Gopened360 ! #ledayclick pic.twitter.com/SaFY2sZTlw

— Syntec Numérique (@syntecnumerique) October 18, 2016

Gopened  propose à des entreprises des visites virtuelles à 360° d’intérieur basées sur la technologie StreetView de Google. Tous les photographes Gopened sont agréés Google Street View Trusted, gage de qualité pour les commerçants et les internautes.

Plus de 66 startups ont participé à cette journée challenge : en remportant le prix du public, Gopened et ses fondateurs gagnent 1 an d’accompagnement avec l’entreprise Audiens, un accompagnement or ALVEN Capital, 1 an d’abonnement au Syntec, des places pour le Prix de la SACEM.

Prix du public au Dayclick Challenge

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Les étudiants de dernière année des 3 écoles du Pôle Léonard de Vinci se sont vus consacrés une semaine transversale dédiée au développement de leurs « soft-skills », les compétences non-techniques et non académiques dont les recruteurs sont de plus en plus friands.

L’insertion professionnelle réussie passe, outre le savoir-faire technique, par des candidats capables de faire preuve d’un panel de compétences liées au savoir-être.

Au cours d’une semaine de formation complète, les étudiants-ingénieurs de l’ESILV ont travaillé aux côtés des étudiants de l’école de commerce EMLV et des étudiants de l’école du multimédia IIM afin d’approfondir aux côtés de professionnels, cinq thèmes leur permettant de se différentier sur le marché de l’emploi : l’assertivité, le process communication, le leadership, la prise de parole et la créativité.

La transversalité au Pôle Léonard de Vinci permet aux étudiants des 3 écoles de s’initier au fonctionnement en mode projet, et ainsi de se frotter à des intérêts et des objectifs différents selon les profils. L’enjeu est donc de préparer ces futurs professionnels à ce que sera leur quotidien en entreprise.

Semaine transverse promo 2017 : déployer son potentiel avec les soft-skills

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Lors du Hackathon Dayclick qui s’est déroulé au Centquatre le 18 octobre, une équipe transversale de 5 étudiants du Pôle Léonard de Vinci a eu 6 h pour travailler sur les problématiques de la formation et de l’emploi pour les personnes en situation de handicap.

Le Dayclick, événement fédérateur du numérique en France, a rassemblé étudiants, professionnels du numérique, startups, business angels lors d’une journée complète dédiée au digitale avec au programme des conférences, un job dating, des séances de coaching et le hackathon. Au cours de ce dernier, 15 écoles se sont affrontées et n’ont eu que 6 minutes pour présenter à un jury de professionnels le projet qu’elles avaient conçu.

L’équipe du Pôle était composée de Marion et Thomas, élèves-ingénieurs à l’ESILV, de Noémie, étudiante à l’EMLV en Digital Marketing & Data Analytics et de Jérémie et Alexandre, étudiants en web et e-business à l’IIM.

Leur solution, présentée avec un prototype fonctionnel, prend la forme d’un serious game associé à un réseau social : l’outil permet d’agréger les situations vécues par les personnes en situation de handicap dans un cadre professionnel ou de formation, chaque situation est ensuite notée par la communauté.

La base de données ainsi constituée est ensuite mise à disposition en open-data. Le dispositif permet de mieux cerner les différentes problématiques au quotidien du handicap dans des situations que sont les accès à la formation et à l’emploi.

La vidéo du Hackathon Dayclick 2016

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Soufiane Rital est Data Scientist chez Dassault Systemes. Dans le cadre du partenariat avec l’École d’Ingénieurs ESILV, il est intervenu afin de présenter aux futurs ingénieurs, 3 métiers liés à la Data, des profils recherchés au sein des organisations.

Dassault Systemes, « The 3DExperience Company », est le premier éditeur de logiciels français, et propose aux entreprises et aux particuliers des logiciels spécialisés dans la conception 3D.

A l’occasion de la collaboration avec l’ESILV, Dassault Systemes participe aux forums entreprises et forums d’alternance, intervient à l’occasion de conférences d’experts pour les 4e et 5e année, se positionne sur des conférences métiers pour les 4e année ou encore participe aux tables rondes dans le choix des majeures des futurs ingénieurs de l’ESILV.

La conférence de présentation des métiers du Big Data a bénéficié aux élèves-ingénieurs de la majeure Informatique, big data et objets connectés.

En qualité d’expert, M. Rital évoque la « Data Double face » celle qui va permettre d’un côté de créer et d’améliorer les services et de l’autre de surveiller ceux-ci. La problématique de la donnée est en effet de faire parler celle-ci, de lui conférer une réelle valeur.

Dans le but de stocker, d’analyser et de faire parler la donnée, ce sont 3 métiers vers lesquels les ingénieurs peuvent se tourner : le data ingénieur, le data scientist et l’ingénieur data vizualisation. Les 3 métiers se doivent impérativement de maîtriser la programmation et la complexité algorithmique.

Les métiers du Big Data

Data Ingénieur

Le Data Ingénieur est celui qui va se charger de récupérer les données en Open Data, Open API ou encore Open IOT . Il doit maîtriser le workflow des données de l’entreprise et connaître les différents métiers de l’entreprise.

En deuxième lieu, l’ingénieur doit savoir maitriser le web scraping, l’extraction du contenu de sites web, le crawling, logiciels automatiques ou robots qui vont permettre le scraping. Les futurs data ingénieurs doivent maîtriser des langages de programmation, au moins Python voire Java ou C++.

Côté « stockage de données » il faut maîtriser les bases de données relationnelles avec NewSQL et NoSQL.

Data Scientist

80% du travail du Data Scientist est de travailler sur les data collectées par le data ingénieur et de nettoyer les données récupérées. Il doit faire parler ces données par des classifieurs.

Le Data Scientist doit également maîtriser les différents aspects de la data au sein de l’entreprise, de la récupération des données et les langages de programmation Python, Java et C++.

Afin de réellement pouvoir produire une analyse de ces données une fois récupérées, l’ingénieur data scientist doit être compétent en statistiques descriptives et inférentielles mais aussi en graphes et algorithmes pour extraire l’information des données brutes.

Ingénieur Data Viz

L’ingénieur Data Viz ou Data Vizualisation a pour objectif la mise en forme des données récoltées, extraites puis traitées.

Responsable de la partie visualisation des données, il doit se doter, en plus des connaissances des data collectées au sein de l’entreprise et des outils de programmation, d’outils de visualisation comme AngularJs, D3-js, HighCharts ou encore Graphviz.

En ce qui concerne la programmation, avec Python, Java et C++ le Data viz ingénieur doit connaître le langage Javascript car la valorisation de la donnée passe le plus souvent par des plateformes web, où ce langage règne en maitre pour le design d’interface.

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David Dupuis, promo 2016, s’est lancé dans un doctorat en informatique après l’obtention de son diplôme d’ingénieur en 2015. Il est le premier doctorant de la chaire « Empreintes Numériques » créée en partenariat avec Kwanko en janvier dernier.

Lors de ma première année à l’ESILV, j’y ai découvert l’informatique et j’ai tout de suite su que c’est vers quoi je voulais poursuivre ma carrière. Ayant testé mon goût pour divers secteur de l’informatique : le développement de logiciel de test d’implants neurologiques et le développement web chez Reverso, je savais que je voulais m’orienter vers un domaine qui me rapprocherait du client et me permettrait de faire du développement informatique de haut niveau. C’est pourquoi je me suis orienté vers la majeure Big Data que propose l’ESILV.

J’ai toujours été passionné par les sciences. L’idée de faire de la recherche m’étais venu dès la 3^ème année. Cependant je voulais faire de la recherche appliquée. C’était une préférence personnelle de vouloir développer des choses concrètes. En janvier, je suis parti à San Francisco afin de suivre des cours de data science jusqu’en avril. J’avais décidé de m’orienter vers ce domaine plus spécifique encore qui converge autour du machine learning, un domaine pointu de l’informatique.

Je veux utiliser mes compétences en informatique afin d’aider les personnes pour qui je travaille à prendre de meilleures décisions ou à améliorer le service ou le produit qu’ils produisent. Lorsque je suis rentré en France, Jérôme Da Rugna et Gaël Chareyron m’ont proposé de faire un stage de fin d’étude en recherche au terme duquel je me lancerais dans un doctorat en informatique. Le doctorat serait financé par la chaire Kwanko-ESILV. C’est cet aspect appliqué qui me décida à accepter la proposition.

Ma thématique de recherche à lieu autour du real-time bidding (RTB), autrement dit l’achat automatisé de places publicitaires en ligne mise aux enchères en temps réel. Le RTB est ce qui permet aux marques de pouvoir cibler les personnes qui voient leurs publicités. Il y a un certain nombre d’acteurs intermédiaires entre les marques et les utilisateurs lambda, dont Kwanko qui gèrent les campagnes publicitaires pour des grandes entreprises.

Ma mission est d’aider Kwanko à améliorer leur performance tout en faisant avancer la recherche autour du RTB qui est extrêmement complexe. Avec l’amélioration des algorithmes pour cibler les utilisateurs il est de plus en plus dans l’intérêt de l’utilisateur de ne pas bloquer les publicités qui lui sont présentés.

Mon directeur de recherche est Cédric Du Mouza et mon tuteur de thèse est Gaël Chareyron.

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Sergio Focardi est enseignant-chercheur en Finance quantitative à l’ESILV et fait partie du De Vinci Research Center Finance Group. Il co-signe un ouvrage avec Frank Fabozzi, professeur de finance à l’EDHEC, et Hassan Fallahgoul, post-doctorant à l’École Polytechnique Fédérale de Lausanne.

Sergio Focardi est également directeur du MSc Investment Banking and Risk Management. Il collabore avec Hasan Fallahgoul, chercheur post-doctorant au Swiss Finance Institute à l’École Polytechnique Fédérale de Lausanne. Les recherches de ce dernier s’intéressent à l’économétrie financière, la finance quantitative, les procédés de Lévy et le calcul fractionnaire. Franck Fabozzi, co-auteur de l’ouvrage, est enseignant en finance à l’EDHEC Business School et conseiller scientifique senior à l’Institut du risque de l’EDHEC. Il a enseigné pendant 17 années à l’École de Management de Yale et à Princeton au département de la Recherche Opérationnelle et de l’ingénierie financière.

Publié aux éditions Academic Press, Elsevier, véritable référence dans le domaine de la recherche académique, cet ouvrage présente la théorie du calcul fractionnaire et les processus fractionnaires ainsi que leur application aux données financières.

Le paradigme fractionnaire ne concerne pas uniquement le calcul, il s’applique également aux processus stochastiques, utilisés dans de nombreuses applications en économie financière telle que la volatilité de la modélisation, les taux d’intérêt, ou encore les données à haute fréquence.

L’intérêt des processus fractionnaire est la mémoire à long-terme, le chemin de dépendance, les propriétés non-markoviennes, l’autosimilarité, les factales, et le comportement de diffusion anormale.

Les auteurs proposent donc dans cet ouvrage un guide pratique pour les étudiants, les chercheurs, les gestionnaires de risques et les gestionnaires quantitatifs d’actifs souhaitant appliquer le calcul fractionnaire et les processus fractionnaires à l’évaluation des actifs, l’analyse financière des séries chronologiques , la modélisation de la volatilité stochastique et l’optimisation du portefeuille boursier.

Ils abordent l’équation de Chapman-Kolmogorov, l’équation de Fokker-Planck, la dérivée fractionnaire de Riemann-Liouville, la répartition géostable, les dynamiques de prix et la théorie de la marche aléatoire.

Cet article Sergio Focardi co-écrit un ouvrage sur le calcul et les processus fractionnaires et leur application à l’économie financière est apparu en premier sur Ecole d'Ingénieurs Paris-La Défense ESILV.

En février 2017, l’ESILV ouvrira ses portes à des étudiants en première année qui cherchent à se réorienter. Le programme restart-postbac permet ainsi d’intégrer une école d’ingénieurs en semestre accéléré et de rejoindre le cursus en deuxième année dès septembre 2017.

Choisir sa voie tout de suite après le bac n’est pas forcément évident. Insatisfaction, erreur d’orientation, échec aux premiers examens de PACES (médecine), peur de décrocher, l’ESILV propose aux élèves en bac+1 de se réorienter en école d’ingénieurs dès février 2017 afin de ne pas perdre une année complète et de pouvoir intégrer la deuxième année dès la rentrée prochaine.

Un semestre accéléré en école d’ingénieurs, rentrée le 20 février 2017

18 semaines de cours intensifs de fin février à mi-juillet, 455h de cours dont 100 heures d’enseignements transversaux avec les 2 autres écoles du Pôle Léonard de Vinci, l’EMLV, école de commerce, et l’IIM, école de l’internet et du multimédia.

Origine des élèves de Restart-Postbac en 2016 pour l’ESILV, école d’ingénieurs, 50% PACES, 27% licence, 10% prépa, 5% DUT

Infos pratiques rentrée décalée 2017

• Date de rentrée : lundi 20 février 2017
• Fin des cours : 8 juillet 2017
• Cours en semaine + éventuellement samedi (notamment examens)
• Volume horaire de face à face : 455 heures
• Programme délivre 60 ECTS
• Admission : dossier universitaire + entretien individuel
• Ouverture portail inscription : mi-décembre via la procédure Avenir+
• Frais de candidature : 100 euros / 40 euros pour boursiers
• Prix du programme : 5 500 euros, 1500 euros en sus du tarif initial pour le programme ingénieur-manager
• Nombre de places : 50

http://www.esilv.fr/cursus/restart-postbac/

Programme du semestre accéléré Restart-Postbac 2017

Le programme comprend 4 Unités d’Enseignements dédiées au programme de l’ESILV : Mathématiques (analyse, algèbre, Statistiques), Physique et Sciences de l’Ingénieur (Électronique, Mécanique statique et dynamique, Thermodynamique, Environnement technologique), Informatique (Algorithmique et langage C#, Systèmes électroniques et informatiques) et Projet d’Imagination et d’exploration.

Point d’orgue des écoles du Pôle Léonard de Vinci ( ESILV, IIM, EMLV), le cursus prévoit 100 heures de cours transversaux dont la première semaine dite d’intégration commune aux élèves des trois écoles. Les étudiants vont ainsi travailler sur de la simulation de découverte de l’entreprise, des outils informatiques du manager, de l’anglais, le projet Voltaire etc.

« Transformer l’échec en succès c’est possible !  Depuis la création de notre programme ReStart, les étudiants qui franchissent les portes de nos prépas en février, réussissent à 90% à passer en 2^ème année. Motivés et travailleurs, ils parviennent à réaliser le programme de l’année en un semestre et comptent souvent parmi les meilleurs éléments les années suivantes » précise Pascal Brouaye, Directeur Général du Groupe Léonard de Vinci.

ESILV

École Supérieure d’Ingénieurs Léonard de Vinci Habilitée par la Commission des Titres d’Ingénieurs (CTI), école d’ingénieurs généraliste, l’ESILV forme en 5 ans des ingénieurs opérationnels qui s’insèrent parfaitement dans le monde professionnel. Le projet pédagogique de l’école s’articule autour des sciences et des technologies numériques. Enseignements en petits groupes, travail en équipe, pédagogie par projet, stages et expériences internationales complètent le cursus. Spécialisations : Ingénierie Financière, Nouvelles Énergies, Informatique, Big Data et Objets connectés, Mécanique Numérique et Modélisation. L’ESILV propose, en coopération avec l’EMLV, la possibilité de suivre le double diplôme Ingénieur-Manager.

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Louis Charpentier, promo 2018, est élève-ingénieur à l’ESILV en ingénierie financière. Dans le cadre de son stage de 4e année, il a eu l’opportunité de travailler pendant 5 mois en tant qu’Analyste Blockchain au sein de la Banque de France.

La Blockchain est une technologie émergente de réseaux « pair à pair » pressentie comme une innovation majeure qui pourrait potentiellement révolutionner de multiples champs économiques et sociaux.

Les enjeux de la Blockchain pour la Banque de France

La Banque de France a un rôle de régulateur et se doit de porter un regard sur les nouvelles technologies qui peuvent changer le fonctionnement de la finance.

En parallèle et en support à cette réflexion, la Direction de l’Organisation du SI expérimente les usages concrets des technologies de registres distribués afin d’éprouver in concreto les conditions de leurs implémentations et de leurs déploiements : faisabilité, coûts complets, risques.

Ces travaux et réflexions visent à explorer le potentiel et les impacts techniques, réglementaires et juridiques de la Blockchain sur les écosystèmes financiers français et européen : évolutions des schémas de paiement, accélération des processus de règlements, incursion des crypto-monnaies etc.

La Banque de France développe ainsi sa stratégie de conduite vis-à-vis des mutations induites par l’application aux métiers de la place des modèles d’architectures Blockchain.

Mon rôle était de faire des premières expériences autour de cette nouvelle technologie, le travail était principalement d’étudier les nouveautés et les changements et de fournir des informations concrètes pour les besoins de la Banque de France, le deuxième était de produire des applications tests pour voir et expérimenter cette technologie en interne sur différentes problématiques.

Pour ce poste, Louis était rattaché à la DSI de la Banque de France:  « OI »– Organisation & Information qui est structurée en trois grandes directions, la DOSI, dont le directeur est Thierry Bedoin (Direction de l’Organisation du SI), la DIPRO (Direction des Projets), et la DIT Direction de l’Informatique et des Télécommunications), sous la tutelle de monsieur Andres Lopez Vernaza (DOSI), Responsable de compte, et de son supérieur, Jean-Baptiste Baraton (DOSI), Head of Blockchain IT Think Tank.

Dans ce contexte, son rôle est d’assister des différentes équipes en charge des Proof Of Concept Blockchain ainsi que les équipes chargées de la communication et de la formation autour de la Blockchain.

Son stage s’est déroulé notamment en équipe avec Terry Pasquet, autre stagiaire ESILV sur la thématique Blockchain.

Plusieurs problématiques rentrent en jeu. Il est nécessaire de rendre compte de la pertinence des scénarios Blockchain sur les cas d’usages concernés par rapport aux exigences de la Banque de France, d’un point de vue fonctionnel, technique, budgétaire et de sécurité.

L’expérimentation « MADRE » en passant par la Blockchain

La Banque de France, en tant que tiers de confiance et instance centrale, gère et met à disposition un certain nombre de registres et référentiels au service des acteurs de la place financière. Le projet MADRE sur lequel j’ai apporté mon aide vise à revoir la gestion informatique de plusieurs de ces registres en passant par une Blockchain.

Aujourd’hui, le projet MADRE est toujours en cours de développement, il est développé en partenariat avec les plus importantes banques françaises.

Ce projet est le premier projet de la Banque de France sur une technologie Blockchain.

A propos de la Banque de France

Banque centrale, la Banque de France mène, dans le cadre de l’Eurosystème, des actions de politique monétaire. Elle est aussi institut d’émission, superviseur financier, institution de la République. Elle tient également le rôle de garant de la stabilité monétaire, de la stabilité financière, de la sécurité des moyens de paiement.

Véritable acteur international, elle est également au service des entreprises et des particuliers, gardien des réserves de change de la France.

https://www.banque-france.fr

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Les élèves-ingénieurs de 5e année des majeures Mécanique Numérique et Modélisation et Nouvelles Énergies ont assisté à une conférence  sur la sûreté nucléaire dans le cadre du partenariat de l’ESILV avec AUSY.

AUSY est un groupe international de Conseil et d’Ingénierie en Hautes Technologies : son business model est fondé sur une forte culture de l’innovation et une complémentarité métier entre les systèmes d’information et les systèmes industriels.

AUSY accompagne le nucléaire grâce à ses compétences dans le domaine de la sûreté et les problématiques de la sécurité nucléaire créent de nouveaux besoins.

Expertise métier sur les connaissances des normes nucléaires

Mathilde Christienne est ingénieur chef de projet au sein d’AUSY. Elle est diplômée de l’institut national polytechnique de Grenoble en physique nucléaire.

L’objectif de ce séminaire est avant tout de pouvoir apporter aux étudiants des connaissances complémentaires à ce que va leur donner la formation ESILV.

« Compte tenu du contexte actuel, la signature de l’Hinkley Point (construction de deux EPR en Angleterre),  nous avons voulu avant tout apporter aux élèves les bases et les connaissances des normes nucléaires et des métiers : présentation d’une installation, organisation de l’exploitant, assurance de la qualité, domaine de fonctionnement de l’installation, conduite en situation normale, contrôles réglementaires, règles de sécurité, règles de radioprotection, gestion des sources. » Radoin Belaouar, responsable de la majeure Mécanique numérique et modélisation

Il va y avoir une réelle demande pour ce projet, et cela sera un point fort pour les élèves-ingénieurs de l’ESILV s’ils entrent dans la vie active avec le savoir de l’environnement de la sûreté nucléaire et des éléments spécifiques qu’il y a à prendre en compte.

Pour AUSY et ses clients, connaître l’aspect sûreté et les normes nucléaires est une réelle plus-value qui valorise totalement la formation d’ingénieurs ESILV.

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Jean Rohmer, docteur d’état en informatique, est responsable de la Recherche partenariale et des partenariats de l’ESILV et représentait cette dernière lors d’un séminaire sur l’Intelligence artificielle et le Big Data à l’INALCO. Il est également vie-président de l’Institut Fredrik R. Bull.

L’Équipe de Recherche Textes, Informatique, Multilinguisme (anciennement Centre de Recherche en Ingénierie Multilingue) est une Équipe d’Accueil de l’Institut National des Langues et Civilisations Orientales (INALCO) habilité à accueillir des doctorants depuis 2007. L’Équipe est adossée au département Textes, Informatique, Multilinguisme.

Elle a accueilli le 8 novembre dernier le séminaire de recherche sur l’intelligence artificielle, le big data et le réchauffement sémantique.

La question suivante a été posée : « Pourquoi est-il si difficile de faire des systèmes intelligents et comment progresser ? », en particulier dans les applications concernées par le langage naturel. Toute application intelligente implique plus ou moins le langage naturel.

Jean Rohmer est ainsi revenu sur l’histoire des applications de l’intelligence artificielle, au gré des outils disponible, et des modes, et a insisté sur l’importance de la représentation des connaissances. Il a également proposé paradoxalement d’utiliser le langage naturel pour représenter les connaissances, le langage naturel n’étant pas moins structuré que les données des informaticiens, mais au contraire beaucoup plus structuré, et donc plus apte à rendre compte de la réalité du monde complexe.

L’utopie ou la légèreté actuelle laisse croire que l’on peut automatiser le traitement de problèmes complexes. Cela a conduit à ce que nous appelons le « Réchauffement Sémantique ».

Enfin, quelques pistes ont été abordées pour progresser face à ces difficultés, en particulier via une démonstration de l’outil IDELIANCE-MENTAL, qui essaie par exemple d’aider à prendre des notes sémantiquement structurées, en se basant sur ce le « Calcul Littéraire ».

A propos de l’ER-TIM

Le département « Textes, Informatique, Multilinguisme » de l’INALCO assure une formation permettant l’obtention du diplôme de Licence avec une spécialité de langue orientale et Traitement Numérique Multilingue, et du diplôme de Master « Traitement Automatique des Langues »

Les débouchés des formations proposées par le département TIM se situent le plus souvent dans les domaines de la société de l’information : la croissance des données textuelles produites par tout type d’acteurs (individus, institutions, sociétés, gouvernements, organisations non gouvernementales, associations….), dans toute langue, sur tout média (mobile, tablette, ordinateur), pour tout usage (forum médical, blog personnel, site d’information, revue en ligne, cours en ligne, site de prévention de certains comportement….) implique l’intervention de spécialistes qui sauront mettre de l’ordre dans ce désordre, en vue d’une tâche spécifique.

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Le Pôle Léonard de Vinci a accueilli Solange Ghernaouti pour une conférence sur la cybersécurité, proposée par l’Institut Bull.

Solange Ghernaouti, docteur en informatique de l’université Paris VI, membre de l’Académie suisse des sciences techniques, directrice du Swiss Cybersecurity Advisory and Research Group, est professeur en sécurité de l’information à la faculté des HEC de l’université de Lausanne.

Associate fellow du Geneva Centre for Security Policy, membre de l’Académie suisse des sciences techniques, elle est également chevalier de la Légion d’Honneur depuis 2013.

Experte internationale en cybersécurité auprès d’instances onusiennes, gouvernementales et d’institutions privées, elle est l’auteur de nombreux ouvrages scientifiques ou de vulgarisation sur les télécommunications, la sécurité informatique, la cybercriminalité et le cyberpouvoir. Elle intervient également lors de sommets mondiaux sur la société de l’information.

Ses recherches et enseignements concernant les problématiques de sécurité et de criminalité liées aux technologies de l’information et de la communication.

L’évolution de la « technologisation » de la société est abordée au travers du prisme des usages abusifs, déviants et criminels que la transformation numérique autorise. Une approche critique du visible et de l’invisible du phénomène cybercriminel, les acteurs et leurs boites à outils ainsi que des éléments de maitrise des risques cybers, sont présentés en s’appuyant sur des études de cas.

Les élèves-ingénieurs de l’ESILV qui suivent la majeure « Informatique, Big Data et Objets Connectés » sont particulièrement concernés par les questions touchant à la cybersécurité.

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Participer à un projet en recherche spatiale porté par le CNES, une opportunité unique pour les élèves-ingénieurs en aéronautique de la majeure mécanique numérique et modélisation de l’ESILV.

Le projet Perseus, Projet Etudiant de Recherche Spatiale Européen Universitaire et Scientifique, est un programme à caractère pédagogique mis en place par le Centre National d’Etudes Spatiales (CNES).

Les objectifs de PERSEUS ?

• la recherche d’innovations et le développement de technologies prometteuses, applicables aux systèmes de transport spatial ;
• la réalisation de ces travaux par les jeunes, dans un cadre universitaire ou associatif, dans une initiative pédagogique destinée à développer leur motivation pour les métiers de l’aéronautique et de l’espace ;
• le développement d’un ensemble de démonstrateurs, sol et vol, permettant d’établir un dossier d’avant-projet détaillé d’un système de lancement de nanosatellites ( 10Kg).

4 élèves-ingénieurs  de la filière Mécanique Numérique et Modélisation participent cette année à deux macro-projets pour la fusée SERA (fusée supersonique) : Emeric VIARD, Louis JOSEPH, Yassine MEMOUNE et Adrien AROULANDA, promo 2018 de l’ESILV.

C’est dans le cadre de leur activité associative au sein de Leofly, l’association étudiante des passionnés de l’aéronautique du Pôle Léonard de Vinci que les élèves-ingénieurs participent à ce projet d’envergure européenne.

A travers SERA, PERSEUS propose aux étudiants un projet unique en France avec :

• Un vol supersonique
• Un cycle de vie complet
• Des relations avec le CNES et les industriels pour préparer aux métiers du spatial

L’objectif du projet auquel sont rattachés les étudiants de l’ESILV est de concevoir un réservoir pour l’oxygène liquide de SERA : actuellement, le réservoir de SERA fait plus de 10 kg et l’objectif est de le ramener à 8 kg.

Au cours du projet, les élèves ont accès aux savoir-faire du CNES (aide technique des ingénieurs) et sont en contact régulier avec le projet PERSEUS de la direction des lanceurs du CNES.

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Cyril Grunspan, enseignant-chercheur à l’ESILV et membre du De Vinci Finance Group et Ricardo Pérez-Marco, membre du CNRS et IMJ-PRG) ont organisé, avec le support du Labex MME-DII en modélisation économique et de l’Institut Poincaré et de la société informatique de France, une journée Bitcoin et Blockchain.

Suite à une journée consacrée à la Blockchain et à l’émergence d’une nouvelle forme de confiance numérique, un nouvel atelier sur le protocole Bitcoin a été organisé.

Le succès du protocole Bitcoin et de la technologie Blockchain fait rêver quant à ses applications potentielles dans le futur qui vont bien au-delà des cryptomonnaies.

Plus que jamais il est nécessaire de faire une mise au point avec le monde académique pour cerner en juste mesure les potentialités de cette technologie innovante.

La Journée Bitcoin-Blockchain était l’occasion de créer une rencontre entre le monde académique et le monde financier, entre les startups et les grandes entreprises.

Le matin a été consacré à l’introduction et à la présentation au Bitcoin ainsi qu’à la cryptographie. L’après-midi s’est concentré sur le développement et l’aspect économique de ces technologies et aux questions monétaires :

Introduction et cryptographie

• 9:00-9:30 Bienvenue, présentation.
• 9:30-10:15 Stanislas Marion (Kaiko) Une introduction au Bitcoin
• 10:15-11:30 Manuel Valente (Ledger) Blockchain et oracles matériels
• 11:00-11:30 Pause
• 11:30-12:15 Daniel Augot (INRIA, LIX) Fonctions de hachage et preuve de travail dans bitcoin
• 12:15-13:00 Georg Fuchsbauer (INRIA, ENS) Cryptomonnaies anonymes
• 13:00-14:00 Pause déjeuner

Développement et aspects économiques

• 14:00-14:45 Fabrice Drouin (ACINQ) Lightning network
• 14:45-15:30 Antoine Ferron (Czam) Colored coins
• 15:30-16:00 Pause
• 16:00-16:45 Jean-François Serval (Groupe Audit-Serval & Associés) Caractéristiques nécessaires ou souhaitables d’un étalon monétaire
• 16:45-18:00 Table Ronde: Régulation, économie et finances.

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Le 24 novembre 2016, les associations « UPSTI » et « Elles bougent » organisaient ensemble la quatrième édition de la journée nationale « Les Sciences de l’Ingénieur au Féminin » dans de nombreux collèges et lycées partout en France.

L’objectif, une journée exceptionnelle afin de sensibiliser les jeunes collégiennes et lycéennes aux carrières scientifiques et technologiques au travers des témoignages d’ingénieures, techniciennes et élèves ingénieures.

Sept élèves-ingénieures de l’ESILV étaient présentes pour l’évènement dans sept lycées différents : lycée Jean-Perrin (Saint-Ouen-l’Aumône), lycée de l’Hautil (Jouy-le-Moutier), lycée Léonard de Vinci (Levallois-Perret), lycée Pasteur (Neuilly), lycée Richelieu (Rueil-Malmaison), lycée Newton (Clichy) et lycée Le Corbusier (Poissy).

Un grand merci à nos étudiantes qui ont pu susciter des vocations grâce à leurs témoignages sur leurs parcours tout au long de cette 4e édition des Sciences de l’Ingénieur au Féminin !

Shehrazade Haimeur, promo 2017, majeure Informatique, Big Data et Objets Connectés ; Lu Ji, promo 2017, majeure Ingénierie Financière ; Julie Garcia, promo 2017, majeure Mécanique Numérique et Modélisation ; Elise Cabrerizo, Alanis Hyon et Jennifer Scemama-Selander, promo 2020, en deuxième année de prépa intégrée, et Tiphaine Collot, promo 2021, en première année de prépa intégrée.

Au total, ce sont plus de 1000 intervenantes qui se sont mobilisées dans 180 établissements, collèges et lycées de toute la France pour rencontrer 15 000 jeunes filles.

L’ESILV est impliquée dans le nombreux évènements de l’association Elles Bougent pour toujours mieux valoriser les carrières et études scientifiques auprès des jeunes filles.

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Une semaine en équipes-projets pluridisciplinaires pour concevoir la ville de demain, en partenariat avec la Ville de Colombes, le défi de la promo 2018.

La Ville de Colombes a parrainé une semaine transversale sur le développement durable au cours de laquelle les étudiants de 4e année de l’ESILV (École d’Ingénieurs Léonard de Vinci), de l’EMLV (École de Management Léonard de Vinci) et de l’IIM (Institut de l’Internet et du Multimédia) ont travaillé en commun sur des problématiques d’innovation et de créativité sur 5 grand thèmes de la Ville de Demain.

600 étudiants des 3 écoles du Pôle Léonard de Vinci ont imaginé des solutions pour répondre aux 5 grands thèmes proposés par la Ville de Colombes pour concevoir la ville de demain : l’eau, le vivre ensemble, les changements climatiques, la biodiversité et la consommation et production responsables.

Ils ont dû s’appuyer sur l’existant dans la politique de développement durable de la ville et ont eu comme consigne d’ancrer leurs propositions dans l’espace urbain.

Chaque équipe a pu bénéficier du support d’un binôme constitué d’un consultant en Développement Durable et d’un consultant en créativité-innovation pour parvenir au terme de 5 jours de travail intense à la réalisation d’un prototype de solution présenté sur un stand.

Un programme dédié à la formation aux Soft-Skills

Cette semaine transversale s’inscrit dans le  programme de formation aux Soft Skills des écoles du Pôle Léonard de Vinci : les étudiants appartenant à la même promotion travaillent une fois par semestre en équipes projet pluridisciplinaires, associant des compétences différentes.

Le développement de trois Soft skills était visé par ce challenge « Concevoir la ville de demain » : la coopération en équipe-projets transversales, l’initiation au développement durable, à la RSE-RSO, qui permet aux étudiants de prendre la mesure de leur impact sur la société, et enfin l’expérimentation concrète des méthodes et outils de créativité et d’innovation utilisés en entreprise.

La semaine a été structurée dans une démarche progressive d’innovation, du benchmark et de l’analyse au prototypage en passant par des visites sur le terrain et la recherche ouverte d’idées.

Smart Cities, RSE, développement durable : les projets gagnants

Pour chacun des grands thèmes de la semaine transversale « Concevoir la Ville de demain« , une équipe a été récompensée :

• Défi sur l’eau : Lu Ji, Margot Liénart, Samuel Lazard, Maximilien Charbonnelle avec leur projet sur le recyclage de l’eau pluviale;
• Défi sur le vivre ensemble : Miryam Khlif, Jean-Paul Champy, Julien Gaudio, Alexandre Oger, Benoît Guilbert avec leur projet de bus solidaire « Colombus, en route vers vos rêves« ;
• Défi sur les changements climatiques : Mathilde Durand, Alexandre Rimbault, Antoine Pailleau, Jean-Mickaël Nounahon, Collyn He avec leur projet sur le recyclage des déchets verts
• Défi sur la biodiversité : Côme Formery, Arnaud de Saint Exupéry de Castillon, Noémie Tran, Pauline Perault, Alexis Lefort avec leur projet agricube sur le développement de l’agriculture urbaine
• Défi sur la consommation et production responsable : Fatma Yesilkaya, Mehdi Elloumi, Matthieu Julien, Clarisse Lawson-Guidigbe avec leur projet écolab sur le recyclage

Les projets gagnants seront mentionnés dans le rapport Développement Durable de la Ville de Colombes.

Ils feront l’objet d’une étude de faisabilité complète réalisée par les services techniques municipaux et pour ceux retenus, d’une présentation devant le Conseil Municipal de Colombes, en vue de leur réalisation.

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Asmaa Kafia est élève ingénieur en apprentissage à l’ESILV, promo 2017. Passionnée par le monde du bâtiment et de la construction (BTP) depuis toujours, elle a choisi la majeure Mécanique numérique et modélisation et effectue son alternance au sein de Vinci Construction France.

Après l’obtention de mon Baccalauréat S, j’ai fait une prépa PCSI afin de rentrer dans une grande école spécialisée dans le bâtiment et travaux publics. A la fin de mon année sup j’ai décidé de me renseigner sur les spécialités et enseignements des écoles et je suis tombée sur l’ESILV Paris qui proposait un enseignement généraliste tout en intégrant des cours centrés sur le bâtiment (smart building, calcul des structures, méthodes des éléments finis, etc.) : je souhaitais également faire un cursus d’ingénieur en apprentissage.

L’ESILV, école d’ingénieurs généraliste, un réel atout sur le CV

L’ESILV propose un enseignement généraliste qui touche plusieurs domaines : la finance, les nouvelles énergies, la mécanique et l’informatique, ce qui permet donc de monter en compétence rapidement et d’aborder de nombreux sujets.

Le directeur technique de Vinci Construction France était à la recherche d’un ingénieur en apprentissage, évidemment motivé, ponctuel et travailleur, mais avant tout une personne ayant des bases sur différents domaines : la robotique, l’informatique, la gestion de projet, la mécanique (bâtiment) et les nouvelles énergies (environnement). Il me disait qu’il avait fait passer une cinquantaine d’entretiens et se retrouvait face à des étudiants spécialisés dans un seul domaine.

Grâce à mon parcours à l’ESILV, j’avais réussi à me démarquer et c’est en partie grâce à ça que j’ai obtenu mon contrat d’apprentissage.

Les projets autonomes sont un vrai plus pour les étudiants car cela permet une immersion presque total dans une petite entreprise. On développe beaucoup de compétences. Et puis on applique en partie la théorie vue en cours à l’ESILV et c’est donc une manière pour moi de ne pas oublier les enseignements dispensés à l’école. Mon unique regret est de n’avoir pas eu plus de cours en bâtiment, car l’ESILV n’est pas a proprement parler une école spécialisée en BTP.

Mes missions au sein de Vinci Construction France

VINCI c’est une implantation internationale et cela dans différents domaines. J’affectionne Vinci Construction France car c’est l’entreprise numéro 1 dans le BTP en France mais aussi par leurs ouvrages toutes plus impressionnants comme le Stade ARENA, la Fondation Louis Vuitton,  les uns que les autres. Des techniques uniques développées au sein de VCF font que leurs ouvrages sont d’une technicité inégalable et font également de VCF  un leader du bâtiment sur le territoire national.

Au cours de la première année de mon contrat d’ingénieur en apprentissage, je me suis à la fois occupée d’identifier les sujets pouvant faire l’objet d’un Retour d’expérience (REX) à travers tous les chantiers de Vinci Construction France, Construction et Réhabilitation, et du travail de vulgarisation des anciens REX rédigés. A partir de janvier 2016, mes missions se sont orientés vers le Numérique à ma demande.

Je me suis donc consacrée au projet « Bâtiment 2.0 » avec l’identification du potentiel des nouvelles technologies dans l’activité de chantier : réalité augmentée, scan d’ouvrages pour différents usages (drones, scanner laser, tablette, etc.), robotiques, etc : étude de prix, métrés opérationnels, commande de matériel, contrôle qualité, etc.

J’ai également travaillé sur les usages de la maquette BIM de chantier : en conception, en étude de prix, en phase chantier notamment avec les prestataires développant des applications tablettes de suivi de chantier. Enfin, je développais des passerelles d’échanges d’informations en temps réel entre fournisseurs et chantiers : suivi de commandes, pièces en fabrication, informations sur les livraisons…

J’ai également participé à la structuration du réseau d’experts interne de l’entreprise avec la mise en place d’un réseau social : l’idée est de numériser les Retours d’expérience qui sont actuellement partagés sous forme papier.

J’ai recherché des solutions numériques afin de connecter les collaborateurs VINCI Construction France avec la base de données des REX existantes et les moyens déployés qui ont permis la valorisation des REX. J’ai travaillé sur des axes d’améliorations du réseau social « Network Together » en collaboration avec Vinci Construction SI et Vinci Construction France.

Depuis le début de ma seconde année d’ingénieur en apprentissage, je suis affiliée au chantier MAPLS (Maison d’Arrêt Prison de la Santé, Paris 14^ème). Je participe au contrôle de la qualité des bâtiments en réhabilitations et en construction grâce à une application numérique sur iPad.

Je dois tester l’application numérique à travers des contrôles qualité (voir si le poteau a été bien posé, si les prémurs sont conformes, etc.) et faire les remontées à l’entreprise qui a développé l’application en question sur les fonctionnalités manquantes ou à modifier.

Ingénieur en apprentissage dans le BTP, être une jeune fille dans un monde masculin

Les statistiques montrent une répartition homme femmes très inégalitaire (75% Hommes, 25% Femmes) dans le secteur du BTP.

Mais le monde du bâtiment et des travaux publics n’appartient pas qu’aux hommes ! Les femmes ont bien leur place. Il existe énormément de métiers au sein de Vinci Construction France qui permettent aux femmes de s’intégrer au monde du bâtiment (Ingénieur Étude de Prix, Chef de Projet, Ingénieur R&D, Ingénieur Travaux, etc.).

Néanmoins c’est un monde dans lequel il faut avoir la tête sur les épaules et surtout beaucoup de caractère ! Les femmes sont d’autant plus très bien accueillies dans le monde du BTP.

Il faut savoir que le monde du chantier et le siège social sont deux mondes totalement différents et personnellement j’ai une préférence pour le chantier malgré la boue, le froid et le bruit. Le chantier est très enrichissant, on apprend beaucoup sur les technicités et complexités du bâtiment et le plus est qu’on observe l’évolution de la construction. En effet on voit en direct tous nos efforts se concrétiser en prenant de la hauteur tous les jours.

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Préparer le Concours Avenir, c’est préparer une entrée dans le monde de l’enseignement supérieur, au sein d’une école d’ingénieur post-bac. Avec le guide du candidat 2017, les élèves de terminale S disposent de toutes les informations pratiques pour aborder sereinement cette étape importante de leur orientation.

Au sommaire de ce guide, des informations disponibles sur l’éligibilité au Concours Avenir Bac, la préinscription sur le portail national Admission Post-Bac, l’expression des vœux, la constitution du dossier scolaire et sa procédure d’évaluation.

Une rubrique présente le passage des épreuves écrites le 8 mai, du choix du lieu de passage du Concours Avenir aux conditions spécifiques pour les épreuves écrites, en passant par la description et la modalité d’évaluation de celles-ci.

Les règles de déroulement du concours sont également au programme de ce guide du candidat du Concours Avenir Bac : horaires, entrées tardives, sortie des épreuves… du concret et du pratique.

Enfin, les phases d’admissions sont détaillées, avec les dates des phases et les procédures à suivre une fois les résultats du Concours Avenir connus.

Téléchargez le guide du candidat 2017 du Concours Avenir

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