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Channel: ESILV Ecole d'Ingénieurs
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Choisir sa majeure en école d’ingénieurs : les workshops orientation de l’ESILV

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Le workshop orientation de l'ESILV pour choisir sa majeure de spécialisation en école d'ingénieurs.

Au terme de leur troisième année, les élèves-ingénieurs de l'ESILV sont tenus de choisir une majeure parmi les quatre proposées en quatrième et cinquième années. Pour faciliter leur décision, l'école, la Direction des Partenariats Entreprises et l'association DeVinci Partners organisent des workshops orientation sur le campus qui réunissent alumni, entreprises et enseignants.

Mécanique numérique et modélisation, Informatique, Big Data et Objets Connectés, Nouvelles Énergies ou Ingénierie Financière ... chacune des majeures du cycle ingénieur étaient représentées lors de la dernière semaine de l'orientation. L'objectif : permettre aux élèves-ingénieurs d'être acteurs de leur choix en interrogeant les bons interlocuteurs.

Bénéficier de l'expérience des diplômés de l'ESILV

Afin d'accompagner les élèves-ingénieurs dans le choix de leur majeure, des alumni de l'ESILV ont été conviés aux workshops orientation. Ces diplômés ont eux-mêmes fait ce choix de majeure par le passé et bénéficient d'une expérience professionnelle orientée par leur spécialisation en quatrième et cinquième années. L'espace Informatique, Big Data et Objets Connectés a regroupé des anciens de l'ESILV désormais collaborateurs chez Accor, Microsoft, Coveo, Sopra Steria ou encore Wynd. Parmi les postes représentés, les élèves-ingénieurs ont pu s'entretenir avec une Lead Developer, un ingénieur Android, un directeur Practice CRM & IPM et un CEO. Les élèves-ingénieurs de la promo 2020 intéressés par la majeure Nouvelles Énergies ont échangé avec un Chef de projet chez Bouygues Énergie et Services, un Ingénieur R&D chez Eco-Adapt, un Ingénieur Solution & Innovation chez Metron et une BIM Manager Responsable DOE chez Brezillon. Tous diplômés de la promotion 2017, ces alumnis ont éclairé les élèves-ingénieurs sur la majeure Nouvelles Énergies. Celle-ci donne aux futurs ingénieurs les compétences nécessaires pour répondre à la nécessité de la transition énergétique. Dexia, Natixis et la Société Générale CIB comptaient parmi les entreprises représentées aux workshops orientation à travers la présence d'alumni de la majeure Ingénierie Financière.
Formés à l'ensemble des compétences nécessaires pour comprendre et maîtriser la complexité des marchés financiers, ces anciens occupent désormais les postes suivants : Model Risk Manager Stress Tests, Head of Trading and Structuring, Assistant Trader Dérivés Exotiques Equity et Consultant.
La majeure Mécanique Numérique et Modélisation était, elle, représentée par des alumnis occupant les postes d'Ingénieur d’Études Vibration et Choc, Ingénieur Mécanique, Sales Manager, Consultant Support, pour n'en nommer que quelques-uns, dans des entreprises telles que Sanofi, Dassault Systèmes, Groupe Bertrandt et Avnir Engineering.

Stages, alternance et expériences à l'international pour renforcer son profil

En outre, les anciens de l'ESILV ont évoqué leur parcours au sein de l'école d'ingénieurs. Ils sont notamment revenus sur leurs expériences internationales, dans le cadre de stages ou d'échanges académiques . La cinquième année peut être sanctionnée par double diplôme en France (ISUP, EMLV, CNAM, CentraleSupelec …) ou à l'international (Canada, États-Unis, Espagne...). Les élèves-ingénieurs en quête d'orientation ont également pu interroger leurs aînés sur les stages réalisés au cours de leur cursus, notamment le stage ingénieur de fin d'études d'une durée de cinq à six mois. Trois majeures, Mécanique numérique et modélisation, Informatique, Big Data et Objets Connectés, Nouvelles Énergies proposent un cursus de trois ans en alternance sur un rythme de deux jours en entreprise et trois jours à l'ESILV.

Faire un choix de spécialisation ingénieur éclairé grâce aux professeurs et aux entreprises

Aux côtés des alumnis, de nombreuses entreprises ont participé aux workshops orientation afin d'éclairer les élèves-ingénieurs dans leur choix de majeure, parmi lesquelles Sopra Steria, Ausy, Altran et Ingénico. L'équipe pédagogique était mobilisée pour cet évènement autour des quatre majeures de l'ESILV. Physique, Smart Grid et Optimisation, Mécanique des Fluides, Finance de marché, Actuariat, Simulation Mécanique ou encore Mécanique de la rupture et Expérimentation : autant de cours enseignés par des spécialistes à même de renseigner les élèves-ingénieurs de troisième année sur leur secteur. L'ESILV, école d'ingénieurs à Paris propose deux ans de cycle préparatoire ou prépa intégrée et une troisième année de cycle ingénieur consacrés à un enseignement généraliste et numérique. Retrouvez plus d'informations sur les majeures.

Une année au Québec : Ayoub, promo 2018, en échange à l’UQAC

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Ayoub, une année en double diplôme à l'UQAC.

Ayoub Adibord fait partie de la promotion 2018 de l'ESILV, majeure Nouvelles Énergies. Il a fait le choix de passer sa cinquième année à l'Université du Québec à Chicoutimi pour y suivre un DESS en éco-conseil dans le cadre d'un double-diplôme. Cours sur le campus ou en forêt, températures glaciales et chaleur des Québécois... Retour sur une année dépaysante et enrichissante.

L'UQAC, partenaire de l'ESILV, compte cent quatre-vingt programmes d’études dont un DESS en éco-conseil.

L'ESILV, une école d'ingénieurs généraliste au cœur du numérique

Après un bac scientifique, j’ai suivi la voie des Classes Préparatoire aux Grandes Écoles (CPGE), plus précisément une PCSI-PC au lycée Turgot à Paris. Suite aux concours e3a, j’ai été admissible à l’ESILV. C'est en passant l'oral à l’ESILV que j'ai décidé d'intégrer cette école. J'ai toujours été attiré par les domaines de l'énergie et du développement durable. Ma réflexion par rapport à ces domaines à évolué au cours de la troisième année généraliste. L'ESILV m’a permis d’avoir une nouvelle vision des enjeux liés à la transition énergétique et même au-delà, à savoir la transition socio-écologique. Une des facettes de l’ESILV où je me suis le plus retrouvé, est celle des associations étudiantes. Parallèlement aux cours, j’ai un fort engagement associatif au sein du Pôle Léonard de Vinci. En effet, au cours de ma 4ème année, j’ai été responsable communication de l’association Aider-Donner-Agir, membre de l’association Poletech et du Bureau Des Étudiants GATSPULV. De plus, j’ai participé à plusieurs Projet Engagement Étudiant comme les Léolympiades et paralympiques et l'International Fair.

Étudier à l'étranger : un défi et un rêve

Je suis d'origine franco-tchadienne. Venant d’une famille d’expatriés, j’ai très vite appris à m’adapter. Mes multiples voyages m’ont permis d’acquérir une culture et une ouverture d’esprit qui ont forgé ma personnalité. Grâce à ma double nationalité et à mon parcours atypique, je parle trois langues : l’anglais, l’arabe tchadien et le français. Partir à l’étranger c’est le rêve ! Cependant passer du rêve à la réalité semble plus compliqué qu’il n’y parait. Sortir de son confort quotidien (famille, amis, cadre de vie...) et se retrouver à des milliers de kilomètres de son pays d’origine, peut être un véritable défi. Pourtant étudier à l’étranger possède de réels avantages : devenir autonome et indépendant, découvrir une autre culture, vivre une aventure unique, découvrir de nouvelles façons d’enseigner, relever de nouveaux défis, etc.
Je suis actuellement à Chicoutimi, une ville située à 200 km au nord de Québec. Je suis un DESS (Diplôme d’Études Supérieures Spécialisée) à l’Université du Québec à Chicoutimi (UQAC) dans le but de devenir éco-conseiller, en double diplôme avec l'ESILV.
L'éco-conseiller est un professionnel de l'intégration des principes du développement durable dans les organisations. Formé aux sciences de l'environnement, à la communication et à la gestion de projets, il peut être amené à travailler dans diverses institutions, entreprises, collectivités ou associations. Il dispose d'un bagage de savoirs et de savoir-faire lui permettant d'analyser les dimensions économiques, écologiques, sociales, éthiques et de gouvernance d'une problématique tout en étant capable de communiquer aussi bien avec les spécialistes de ces disciplines qu'avec le public. Le programme que je suis à l'UQAC, se caractérise par son caractère pluridisciplinaire et par sa capacité à répondre aux besoins multiples de cohortes d'étudiants provenant d'horizons disciplinaires, culturels et sectoriels diversifiés. Le DESS en éco-conseil propose des activités d'apprentissage théoriques et pratiques dans une perspective de transformation socio-écologique.

S'immerger dans la culture québécoise

Une fois arrivés à Chicoutimi, il y a un accueil personnalisé réservé à tous les étudiants internationaux. Il y a une foule d’ateliers et d’activités en lien avec l’intégration académique et avec l’adaptation culturelle. Par exemple, un atelier concernant l’inscription à RAMQ : Régie de l'assurance maladie du Québec, la recherche de logement ou encore un atelier d’hiver, pour profiter pleinement des activités en plein air et ne pas rester enfermé chez soi. Dans le cadre des cours, je me suis rendu dans plusieurs villes, comme Québec ou Montréal. Ces déplacements avaient pour but de rencontrer différents acteurs, allant du simple citoyen, à des acteurs du secteur industriel et forestier. J’ai eu la chance de rencontres des « Autochtones » de la réserve de Mashteuiatsh située au Lac Saint-Jean. Le mot « Autochtones » peut prêter à confusion, au début, je n’appréciais pas comment la plupart des gens l’employaient, mais lors de ma visité dans la réserve, en parlant avec quelques habitants, j’ai compris qu’être « Autochtones » signifie celui dont les ancêtres ont vécu dans ce pays. Au cours de ce déplacement, j’ai séjourné dans un Tipi (le Tipi est une tente de forme conique traditionnellement utilisée par certains peuples de l'ouest du Québec) chez Claude Boivin, natif de la communauté montagnaise de Mashteuiatsh au Lac-St-Jean, Claude m’a fait découvrir le mode de vie des Pekuakamiulnuatsh d'hier à aujourd'hui, sur son petit coin de territoire appelé Aventure Plume Blanche. Je n’oublierai jamais ce moment. Il nous a accueilli avec beaucoup de gentillesse et de chaleur. Il a su nous faire partager avec beaucoup d'émotion son histoire et ses coutumes.
En octobre, janvier et mars derniers, je suis allé en forêt de Simoncouche. Il s'agit de la forêt d’enseignement de recherche de l’UQAC. J’ai séjourné dans un chalet mis à la disposition des élèves par l’UQAC pour travailler tranquillement et n’avoir pour voisin que le bruit des arbres, et peut-être des ours...
Je reviens tout juste d’un séjour en Floride. Le contraste est assez flagrant, quitter Chicoutimi à -15 °C et arriver à Miami 30 °C, le choc thermique a été impressionnant ! Les billets d’avion sont relativement abordables et on peut se rendre facilement aux États-Unis  depuis le Canada.

Les cours à l'UQAC

A l'UQAC, les cours sont regroupés par thèmes. A chaque semaine correspond un nouveau thème : changements climatiques, énergie, les ressources minérales, la forêt, ou encore les inégalités et équités. Je commence tous les jours à 8h30 et je finis à 16h. Il arrive parfois que je n’aie pas cours de la journée, ou une après-midi, j’en profite alors pour aller un tour en forêt, eh oui, la ville de Chicoutimi en est entourée ! J’en profite aussi pour visiter des musées et faire du sport cinq fois par semaine au pavillon sportif de l’UQAC. Le reste du temps se partage entre travail à la maison, sorties les vendredis et samedis soir en ville ou chez des amis. Petite anecdote, à l’ESILV on me confondait déjà avec le chanteur canadien The Weeknd, alors ici, l’effet est multiplié par 1000 ! Il y a encore quelques semaines, on m’a même demandé un autographe à l’entrée de l’UQAC et demandé de chanter une chanson.
Ce que je trouve curieux au Québec, c’est que tout le monde se tutoie, j’ai eu beaucoup de mal à m’y faire. Le plus important, c’est que les Québécois sont souriants, ouverts d’esprit et ne se compliquent pas la vie outre-mesure.
Côté climat, le froid s’est installé fin octobre jusqu’à maintenant… Les températures variaient entre -40 et 5 °C avec en moyenne 20 cm de neige. Il faut savoir que les appartements, et maisons sont thermiquement bien isolés, le problème se pose quand on franchit la porte d’entrée et que le froid te gèle instantanément...

Quelques conseils aux étudiants qui s'apprêtent à partir au Canada

Pour l'aspect administratif, n’attendez pas le dernier moment pour le faire, vous risquez de gros problèmes avec les douanes canadiennes. Prenez trois à quatre mois d'avance pour ces démarches. Pour le logement, il faut également vous y prendre au moins quatre à cinq mois à l’avance via les sites comme « Kijiji » ou encore Facebook, il y a des groupes comme « Les Français de l’UQAC » en partie dédiés à ça. Il y a tellement d’informations qui y circulent, allant de la météo, à l’achat de voiture. En parlant de voiture, pour profiter de votre séjour au maximum, une voiture serait un plus. Vous pourrez en trouver d'occasion. Si votre budget est limité, un vélo peut s’avérer utile.
Concernant les habits d’hiver, ne les achetez pas en France, car ils sont pas adaptés aux températures hivernales (-30 °C, -40°C), mais ici à Chicoutimi, les prix sont plutôt abordables. Vous pouvez en revanche ramener vos équipements de ski, la région du Saguenay regorge de stations !
Je vous recommande vivement une expérience à l’international que ce soit au Canada ou ailleurs dans le monde. Vous sortirez de votre zone de confort, cela vous forgera le caractère, vous vous surprendrez de ne plus dépendre de vos parents. Si vous en avez l’occasion, n’hésitez pas, c’est une expérience unique.

Méthode BIM : trois projets d’élèves-ingénieurs de l’ESILV

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Three student projects using the BIM Method

Le BIM ou Building Information Modeling, peut être traduit en français par "Modélisation des données d'un bâtiment". Cette technique permet la production, la gestion et la visualisation de données liées à la construction ou à la rénovation d'un bâtiment. Dans une perspective de préservation de l'environnement, le BIM est un atout majeur.

Au cours de la dernière décennie, le BIM a contribué à une plus grande efficience de l'industrie, en améliorant délais et coûts. Voici trois projets d'innovation industrielle réalisés par des élèves-ingénieurs de cinquième année, dans les majeures Nouvelles Énergies et Mécanique Numérique et Modélisation.

Simulation BIM d'un gymnase

Un projet de Marion DUSSOUILLEZ, Allahma Al Redwan KHAN, Kévin MARY et Dina MAZLOUM  https://youtu.be/GLslSx3hYH8 "Aujourd'hui, la population mondiale a atteint les 7.5 milliards d'habitants. D'ici 2050, on estime la population à 9 milliards dont 6.4 milliards vivront en ville, soit 70% de la population mondiale. Au vu de cette forte croissance démographique, les nouvelles technologies ne cessent de se développer pour répondre à des besoins de plus en plus nombreux. Les besoins en énergies sont importants et coûteux mais les ressources s'épuisent.
Le BIM est une réponse pour minimiser la consommation d'électricité, d'eau et des déperditions thermiques d'un bâtiment dès lors sa conception et tout au long de son cycle de vie. Il existe 7 dimensions pour le BIM : coordonnées x, y et z, temps, coûts, efficacités énergétiques environnementales, durée de vie.
Le projet consiste à réaliser la rénovation d'un gymnase en utilisant la méthode BIM. Les élèves-ingénieurs se sont fixés un budget de 750€/m², hors coûts de maintenance. Dans l'optique de comparer l'apport des énergies renouvelables dans la consommation du bâtiment et d'en tirer des conclusions quant à leur degré d'importance, ils ont proposé deux solutions avec ce même budget. La première solution est la modélisation de ce gymnase raccordé au réseau électrique classique. Pour la deuxième, les élèves-ingénieurs incluront des énergies renouvelables (panneaux solaires avec batteries). Ils procèderont à un choix judicieux des matériaux à utiliser pour rendre ce gymnase moins énergivore ainsi qu'à l'utilisation d'appareils électronique à faible consommation d'énergie équipés de capteurs afin de surveiller les consommations de ce gymnase".

Conception BIM et préparation d’une tiny house la plus « autonome » possible

Un projet réalisé par Zainab ABOUELADL, Mathilde FEZARD, Sofia GACEM et Valentin ROSSI https://youtu.be/L5rNEeHYokg "Qu'est-ce qu'une tiny house ? Comme son nom l'indique, elle est à mi-chemin entre une petite maison et une caravane. Celle-ci repose sur une remorque lui permettant d'être tractée et emmenée partout. Plusieurs besoins sont à l'origine de ce projet : commercialisation de programmes immobiliers, sensibilisations à différentes actions (écologiques, fablab, etc.) ainsi qu'une mobilité professionnelle. Par exemple, dans certaines zones rurales les déserts médicaux représentent un enjeu majeur de cette Tiny house. Elle apportera aux aides-soignants une plus grande mobilité et un espace de vie et de travail, apportant les soins médicaux nécessaires aux Français.
Pour cela, la Tiny House se devra d'être autonome en énergie pour une semaine et respecter les contraintes liées au code de la route. La Tiny House doit également être respectueuse de l'environnement et réduire au maximum son empreinte carbone au cours de son cycle de vie (fabrication, utilisation et recyclage).
Ce projet s'inscrit dans diverses dimensions notamment l'innovation, l'environnement, l'économie et la santé. Il répond à l'ensemble de ces problématiques par : le coût : budget à respecter, coût de maintenance faible, consommation énergétique faible ; l'autonomie : une semaine pour une personne en eau, électricité, climatisation et chauffage ; Un faible impact sur l'environnement ;  Une manière saine et durable de vivre par des systèmes performants. Enfin, un aspect non négligeable de la valorisation de ce projet est l'aspect collaboratif et d'interopérabilité mis en œuvre par le processus BIM. Cette méthodologie de travail normalisée se base sur des outils numériques permettant de réaliser des maquettes virtuelles partagées. Elles rassemblent toutes les informations nécessaires à la construction d'un ouvrage. Le BIM facilite la conception et permet d'améliorer la collaboration entre les intervenants durant toute la durée du projet".

Conception BIM et préparation de modules techniques sanitaires préfabriqués pour logements d’urgence

Un projet d'innovation industrielle réalisé par Ismaïl BEN HARIZ, Maxime PALLARDY, Julien PLANQUETTE et Dylan PORTELA https://youtu.be/xsROOVTvji0 "Ce projet d'innovation industrielle a été mené en partenariat avec les entreprises NeXT Gen Village et Smart Use. Ces deux sociétés souhaitent déployer des logements mobiles personnels ou professionnels en permettant au personnel médical de pouvoir réaliser des déplacements dans les déserts médicaux tout en étant autonome énergétiquement. Une Tiny House est, traduit littéralement, une "petite maison". Cette Tiny House doit pouvoir répondre aux activités d'une habitation principale à l'année, aussi bien en été qu'en hiver. Elle doit ainsi disposer de toutes les caractéristiques nécessaires au confort.
Les élèves-ingénieurs ont réalisé ce projet en collaboration avec une autre équipe qui a conçu la partie structure de la Tiny House. Afin de pouvoir effectuer un travail collaboratif de qualité, ils ont utilisé la méthode de travail s'articulant autour du BIM.
Les élèves-ingénieurs étaient en charge de réaliser la partie énergétique du logement. En ce qui concerne la fonctionnalité la Tiny House, elle est composée d'un séjour, une douche, un WC, une kitchenette et une chambre au niveau supérieur. Les élèves-ingénieurs ont décidé d'implémenter 17m² de panneaux solaires photovoltaïques d'une puissance totale de 3kWc pour exploiter au maximum les énergies renouvelables. Un système de batterie a été ajouté en complément pour stocker l'électricité produite. Cette électricité sert à alimenter l'éclairage LED, les équipements de la kitchenette ainsi que les équipements sanitaires. Pour le matériel sanitaire, un chauffe-eau thermodynamique utilisant les calories de l'air alimente la Tiny House en eau chaude sanitaire et le système de douche "Shower Loop". De plus, deux réservoirs se situant sous le plancher sont présents pour stocker de l'eau propre et récolter les eaux usées. Le chauffage est assuré par un plancher chauffant avec une circulation d'eau chaude provenant du ballon d'eau thermodynamique. Enfin, pour combler toute panne éventuelle, il y a la présence d'une prise externe afin de pouvoir se raccorder sur un réseau électrique externe". Retrouvez les projets des élèves-ingénieurs de l'ESILV, école d'ingénieurs généraliste à Paris

Pourquoi opter pour un bachelor en école d’ingénieurs ?

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Le Bachelor Ingénierie Numérique trois ans pour devenir un spécialiste du digital

Le Bachelor Ingénierie Numérique de l'ESILV, école d'ingénieurs généraliste, forme en 3 ans dans tous les domaines du digital. Quelles perspectives d'insertion professionnelle pour un diplômé d'un Bachelor en école d'ingénieur? Assia Touil Spicher, responsable du programme, a répondu aux questions de Studyrama Grandes Écoles. Extraits.

Accessible aux bacheliers S, ES, STI2D et STL, le Bachelor Ingénierie Numérique de l’ESILV forme des spécialistes du digital dans toutes ses composantes : informatique, systèmes et objets connectés et fondamentaux scientifiques.

Un recrutement en hausse dans le secteur du digital

"La révolution digitale que nous vivons touche les entreprises dans tous les secteurs, que ce soit dans le domaine de l’édition de logiciels, de conseils en technologie, ou de services numériques (ex. SSII).
Le Bachelor en Ingénierie Numérique proposé par l’ESILV a pour vocation de former des diplômés qui pourront répondre à la forte croissance de l’usage du numérique.
Comme par exemple : dans les innovations liées à l’intelligence artificielle, comme les chatbots ; la fabrication d’objets intelligents et connectés pour la collecte de données d’usage de clients ; dans la généralisation de la signature électronique via la blockchain ; l’optimisation de récupération de données via le big data ; la fabrication de pièces uniques en 3D, etc. Ces innovations doivent être faites dans des environnements de confiance qui respectent la législation et l’éthique, ce à quoi seront formés nos diplômés bachelor."

Devenir opérationnel en trois ans grâce au Bachelor

"Le diplôme du bachelor commence à connaître un essor grandissant parmi les recruteurs. Il a déjà fait ses preuves dans les écoles de commerce.
Il permet aux étudiants de se professionnaliser rapidement grâce aux stages et à l’alternance et donc de présenter un profil à des postes opérationnels intermédiaires qui répond très bien aux besoins des entreprises.
En outre, les moyens pédagogiques axés par l’apprentissage par la pratique, l’autonomie et le travail d’équipe font de ces diplômés des professionnels ayant une valeur ajoutée dans le domaine du numérique."

Des fondamentaux solides dans tous les domaines du numérique

Le Bachelor Ingénierie Numérique offre un socle solide en informatique et systèmes numériques, à travers des modules d'enseignement tels que Réseaux et Sécurité,  Algorithmique et programmation, Architecture et Systèmes, Mécatronique et robotique, Smart cities and buildings ou encore Internet des Objets. Le programme comprend également des enseignements généraux parmi lesquels des mathématiques et statistiques et des sciences de l'ingénieur.
Grâce aux stages en première et deuxième années et à l'alternance en troisième année, le Bachelor Ingénierie Numérique constitue un tremplin vers l'emploi, dans des domaines d'application aussi variés que les objets connectés, la cybersécurité, les applications mobiles ou l'informatique.
Le développement des soft skills, élément central du projet pédagogique du Bachelor, est favorisé par une démarche projet grâce à laquelle s'expriment la créativité, l'esprit d'entreprise et l'aptitude aux relations humaines des étudiants. Intéressé par un cursus professionnalisant en trois ans ? Plus d'informations sur le Bachelor Ingénierie Numérique de l'ESILV.

Pourquoi choisir une prépa intégrée ? Les avantages de ce cursus post-bac en école d’ingénieurs

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Les 5 bonnes raisons de choisir une école d'ingénieur avec prépa intégrée.

Avec une prépa intégrée de deux ans au sein d’un programme de formation d’ingénieur en 5 ans, les écoles post-bac offrent une alternative concrète aux classes préparatoires scientifiques classiques (math sup - math spé) qui se déroulent au lycée, en mettant davantage l’accent sur l’enseignement pratique, la dynamique collective et la découverte de l’entreprise.

Aujourd’hui, plus de la moitié des écoles d’ingénieurs – soit une centaine d’établissements- recrutent des bacheliers en prépa intégrée. Découvrez les 5 bonnes raisons de choisir une école avec prépa intégrée.

1. Une école sans délai avec un programme lissé sur 5 ans

En classe préparatoire dite « intégrée », la sélection s’opère à partir de l’analyse du dossier scolaire de 1ère et Terminale, complétée le plus souvent par des épreuves écrites basées sur le programme de terminale, comme dans le cas du Concours Avenir, et parfois par des entretiens, afin de poursuivre ses études durant 5 ans dans la même école. La plupart des écoles d'ingénieurs assurent l'enseignement du cycle préparatoire directement au sein de l’établissement, en apportant une pédagogie différenciée et les compétences transversales nécessaires pour devenir ingénieur-e, et offrent ainsi une véritable continuité tout au long des cinq années d'études et un cursus équilibré.

La rentrée en école d'ingénieurs, bienvenue à la promo 2022 !

https://www.youtube.com/watch?v=tLnE7aZwy2I

2. Des enseignement plus concrets et variés

L'objectif des deux années de prépa intégrée est d'acquérir un socle de connaissances solides, sur lequel s'appuiera ensuite le cycle ingénieur. Pas question donc d'abandonner les enseignements scientifiques poussés en mathématiques, en physique, ou en chimie selon les écoles.
Le programme de ces deux années ou "cycle préparatoire" correspond en partie à celui de maths sup et maths spé. Mais il s’en distingue aussi grâce à des enseignements plus concrets et appliqués tels que l'électronique, l'informatique, la mécanique ou l'aéronautique, en fonction de la spécialité des écoles.
La pratique occupe une place centrale : les notions théoriques sont expliquées en cours magistraux (CM), leurs applications détaillées en travaux dirigés (TD), puis expérimentées en travaux pratiques (TP) et lors de projets et stages. Les élèves rentrent donc rapidement dans le vif du sujet.

3. Moins de stress grâce au contrôle continu

Contrairement aux idées reçues, le rythme en prépa intégrée est aussi soutenu qu’en prépa classique, avec un volume d’heure de cours assez important, accompagné de travail régulier, individuel et collectif.
La pression diffère grâce au contrôle continu et la poursuite de la scolarité pendant cinq ans au sein de la même école afin d’obtenir son diplôme (et « titre ») d’ingénieur. Pour passer en année supérieure, il suffit de bien travailler et non pas d’être parmi les premiers…
De plus, contrairement aux élèves des classes préparatoires classiques, ils ne courent pas le risque d'être obligés de se rabattre sur une école qui ne correspondrait pas à leur choix initial en cas de résultats insuffisants aux concours. L’ambiance y est donc plus détendue, sans être relâchée pour autant.

4. Dynamique collective et projets en équipe

Peu valorisée au lycée, la dynamique collective est privilégiée dans les écoles d’ingénieurs postbac autour de nombreux projets ou de mises en situation développant des « soft skills » comme le travail en équipe, la communication, le management. La vie associative donne l’occasion de rencontrer les autres élèves, de réaliser des activités et projets ensemble, tout en permettant de s’épanouir et d’obtenir dans certaines écoles des crédits ECTS qui rentrent en compte dans la validation du diplôme. La pratique sportive est encouragée, voire obligatoire et donc évaluée dans certaines écoles comme l’ESILV.

Le PIX1, projet d’imagination et d'exploration en prépa intégrée

https://www.youtube.com/watch?v=UbluthArmp8

5. Une ouverture au monde professionnel

A l'aspect purement théorique des classes prépa, les écoles post-bac répondent par des enseignements qui abordent déjà les problématiques de l'entreprise et de l’industrie. Ainsi, elles permettent, dès la première année, à des intervenants issus du monde professionnel d'intervenir dans leurs cours. Elles organisent aussi des conférences ou rencontres avec des ingénieurs, font travailler les étudiants sur des projets ingénieurs ou des études de cas issus du monde professionnel. Enfin, les élèves ont l'occasion d'effectuer des stages parfois dits « ouvrier » ou « d’exécution » d’une durée de 1 à 3 mois selon les écoles, dès la fin de la 1ère ou 2ème année pour se familiariser à l’univers professionnel et mûrir leur choix de filière en cycle ingénieur.
Enseignements, projets, développement des soft skills et des méthodologies de travail, contrôle continu des connaissance, stage… La variété des matières proposées en prépa intégrée construit un socle diversifié et cohérent avant le cycle d’ingénieur, qui convient particulièrement bien aux esprits ouverts et pratiques.
Elle offre également un environnement plus rassurant, épanouissant et adapté pour ceux et celles à qui le stress et l’esprit de compétition coupent les moyens plus qu'ils ne les stimulent. Cette voie est désormais pleinement reconnue par les employeurs. Les écoles disposant de cycles intégrés s'affichent dans les tranches supérieures des classements et forment des étudiants appréciés dans le monde professionnel pour leurs connaissances, leur motivation et leur autonomie. Plus d'information sur la prépa intégrée en deux ans de l'ESILV, école d'ingénieurs post-bac.

VivaTech 2018 : l’ESILV partenaire académique du salon de l’innovation technologique

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L'ESILV est partenaire académique de Viva Technology 2018, rendez-vous de l'innovation et de la technologie.

La troisième édition de Viva Technology se tiendra du 24 au 26 mai 2018. L'ESILV, école d'ingénieurs généraliste, est partenaire académique du rendez-vous parisien de l'innovation et des startups à l'échelle mondiale.

Créé en 2016 par les groupes Les Échos et Publicis, Viva Technology a attiré plus de 68 000 visiteurs en 2017. Durant trois jours, l'édition 2018 réunira startups, décideurs et investisseurs. L'objectif : échanger, créer des connexions et présenter les dernières innovations dans tous les secteurs du digital. Au programme, conférences, keynotes, hall des technologies, hackathons, challenges et forums de recrutement. Viva Technology 2018 réunit des speakers tels que Satya Nadella, CEO de Microsoft, Ginni Rommety, CEO d’IBM ou encore Dara Khosrowshahi, CEO d’Uber.
L'ESILV, école d'ingénieurs généraliste, est partenaire académique de Viva Technology 2018. Ce statut permet aux élèves-ingénieurs dont le programme comprend une forte dimension numérique de bénéficier d'un accès gratuit à l'ensemble des espaces du salon.
Pour les élèves-ingénieurs de prépa intégrée et de troisième année, tout comme pour les élèves-ingénieurs des quatre majeures, Nouvelles ÉnergiesInformatique, Big data et Objets Connectés, Mécanique Numérique et Modélisation et Ingénierie Financière, Viva Technology est l'occasion de découvrir les dernières innovations technologiques mondiales.
Présentées aussi bien par des startups que par des acteurs phare de l'écosystème tech, elles couvriront les thèmes suivants : intelligence artificielle et machine learning, IoT et big data, blockchain, connectivité et services IT, fintech, réalités augmentée et virtuelle, cleantech et énergies, smart cities... autant de sujets enseignés dans les programmes de l'ESILV.
Tout comme le CES, le salon Viva Technology se distingue par la possibilité de tester les innovations au sein du Hall of Tech. Cet espace permet d'interagir avec des robots, drones et des applications de réalité virtuelle et augmentée, dans les domaines des loisirs, de la santé, de l'environnement ou encore du transport. En outre, Viva Technology encourage les étudiants à profiter du salon afin de créer des connexions professionnelles auprès des institutionnels et des 8000 startups internationales qui répondront présentes. Un évènement à suivre autour des hashtags #poledevinci et #vivatech sur Twitter. https://youtu.be/3mBSCwOTe8Q  

Les assos techniques en école d’ingénieurs : projets et compétitions grandeur nature

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Mettre en pratique ses connaissances au sein d'associations étudiantes techniques, participer à des projets et des compétitions nationales, approfondir une passion : zoom sur les assos techniques de l'ESILV.

Pas d'école d'ingénieurs sans vie associative. Avec ses quarante associations, le Pôle Léonard de Vinci ne déroge pas à la règle. Au sein de l'ESILV, les initiatives associatives sont encouragées, encadrées et valorisées. Les associations du Pôle Léonard de Vinci sont transversales et accueillent des élèves-ingénieurs de l'ESILV, mais aussi de l'école de management EMLV et de l'Institut de l'Internet et du Multimédia. Toutes participent à des projets et des manifestations à l'échelle nationale, et certaines d'entre elles se prêtent particulièrement au développement des compétences de l'élève-ingénieur : petit point rapide sur les assos étudiantes de l'ESILV à vocation technique.

Vinci Eco Drive : concevoir un véhicule le moins énergivore

L'objectif de l'association Vinci Eco Drive est de penser, innover, concevoir et fabriquer un véhicule à très faible consommation d’énergie. Au-delà de la construction d'un véhicule capable de rouler au moindre coût énergétique, les membres de Vinci Eco Drive cherchent rendre la voiture la plus éco-responsable possible. Le grand rendez-vous annuel de Vinci Eco Drive, l’édition européenne du Shell Eco Marathon, une compétition automobile inter-universitaire à l’échelle mondiale et qui réunit sur les 5 continents la crème des étudiants en mécanique. L’objectif premier est d’innover sur la conception du véhicule afin de consommer le moins d’énergie pour parcourir une distance donnée : il est demandé aux participants de faire 7 tours de piste, une extrapolation est ensuite réalisée pour estimer la distance que le véhicule aurait pu réaliser avec 1kWh. https://www.youtube.com/watch?v=sslxX3_DVrM Plus d'informations sur Vinci Eco Drive.

LeoFly : passionnés d'aéronautique et de spatial

LeoFly regroupe les étudiants autour d'une passion commune et  fait découvrir le secteur de l’aérospatial aux étudiants du Pôle Léonard de Vinci. L'association est impliquée dans plusieurs projets d'envergure à l'échelle nationale. Par exemple, Minerva et Mini-Apterros, au sein du projet PERSEUS initié par le CNES, Ce projet, réalisé en collaboration avec d’autres écoles d’ingénieurs, propose aux élèves de l’ESILV de concevoir et fabriquer un réservoir pour le moteur de la fusée ASTREOS. Egalement, un équipe travaille sur la conception et réalisation d'une fusée pour C'Space, une compétition organisée par le CNES, ou encore la création d'un simulateur de vol. Suivre les activités de LeoFly.

DaVinciBot : robotique autonome

DavinciBot est l’association de robotique du Pôle Universitaire Léonard de Vinci, créée par des passionnés de robotique afin de participer à la coupe de France de robotique. Les membres de l'association se consacrent à deux projets principaux que sont la coupe de France de robotique et InMoov. Tous les ans, DavinciBot participe à la Coupe de France de robotique cette compétition qui réunit plus de 2000 participants. Pour cette compétition, chaque équipe conçoit des robots qui doivent remplir sans aucune intervention humaine, une série de tâches diverses en lien avec le thème choisi par les organisateurs. Chaque match, ou battle, confronte deux équipes qui poursuivent le même objectif, mais dans un esprit de saine compétition : il est interdit de cogner sur le robot adverse! Cette année, DavinciBot s’est également lancée dans la construction de InMoov, un robot humanoïde, à taille humaine, entièrement imprimable en 3D, dont les plans de conception sont disponibles en open source. https://www.youtube.com/watch?v=Rgv3GY1pO9w Retrouvez l'actualité de DaVinciBot.

De Vinci FabLab : l'univers des makers

Lieu de création, d’apprentissage et de partage, le De Vinci FabLab est destiné à tous les étudiants du pôle. L’association du même nom propose des formations aux imprimantes 3D du FabLab et propose des ateliers ainsi que des visites et rencontres avec des partenaires ou d’autres fablabs.
Le FabLab est un laboratoire de fabrication qui a pour but de mettre à disposition du plus grand nombre un certain nombre de machines et de logiciels destinés à la réalisation de prototypes, pour concrétiser un projet industriel. Ces machines associées doivent permettre aux utilisateurs de "tout fabriquer".
Parmi les projets déjà sortis concrètement du Fablab, on retrouve un prototype de robe connectée, un bras robotisé, une turbine d’avion entièrement imprimée en 3D, ou encore un drone. https://www.youtube.com/watch?v=PuOt6U2TdNU

HydroVinci : l'énergie, sur l'eau

Fondée par des élèves de l’école d’ingénieurs ESILV, l'association HydroVinci rassemble des étudiants du pôle voulant faire partie d’un projet de création et d’élaboration dans le domaine de l’efficience énergétique, à vocation maritime. La mission première de l'association : construire de toutes pièces deux bateaux électriques télécommandés pour participer à la compétition internationale «Hydrocontest ». Lors de cette compétition se déroulant généralement à Lausanne en Suisse, des écoles d’ingénieurs de tous les continents concourent durant une semaine d’épreuves au mois de septembre. Trois courses différentes sont planifiées : une course où les bateaux doivent supporter une charge supplémentaire de 20kg, une seconde avec une charge de 200kg. Pour ces deux courses les bateaux doivent parcourir une distance fixe en un minimum de temps. La dernière course est basée sur l’endurance et la création, le but est de parcourir le plus de distance dans un certain laps de temps. https://www.youtube.com/watch?v=eVirBFnlkgE En savoir plus sur HydroVinci.

Les projets techniques et scientifiques, au cœur du cursus ingénieur

Les élèves-ingénieurs de l'ESILV sont acteurs de leur apprentissage pendant les cours, aussi bien qu'au cours des projets ingénieurs et de leurs activités associatives. Afin de faciliter l'assimilation des concepts, la démarche projets est menée en continu, tout au long de la formation, de la prépa intégrée jusqu'en dernière année de cycle ingénieur.
En particulier, les associations étudiantes à vocation technique proposent des projets aux élèves-ingénieurs sur les deux dernières années du cursus, au même titre que des entreprises ou des laboratoires de recherche.
Les projets ingénieurs et les éventuelles responsabilités au sein d'associations structurent les acquisitions théoriques et développent les compétences et savoir-être attendus chez les ingénieurs. Sens du collectif, réflexivité, créativité, flexibilité sont autant de soft skills à posséder dans un environnement professionnel. Plus d'informations sur les associations étudiantes de l'ESILV, école d'ingénieurs généraliste à Paris.

Louis, élève-ingénieur et rugbyman, sélectionné en Équipe de France Moins de 20 ans Développement

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Equipe de France rugby

Louis Vincent, ESILV promo 2022, concilie ses études en école d'ingénieurs et sa passion pour le rugby à XV. Joueur de l'équipe Espoir du Rugby Club Massy Essonne, il a été sélectionné pour jouer au sein de l'équipe de France moins de 20 ans Développement lors de la dernière tournée en Irlande et Écosse.

En première année à l'ESILV, Louis mène de front études et pratique du rugby à haut niveau.

Être élève-ingénieur et sportif de haut niveau

Lorsque j'étais en terminale, j'ai participé aux portes ouvertes de l'ESILV. J'y ai rencontré Paul Louis Van Vynckt, un ancien espoir du Stade Français, aujourd'hui en 5e année. Il m'a montré que c'était possible de suivre un double cursus, c'est-à-dire être à la fois élève ingénieur et sportif de haut niveau. Son témoignage m'a prouvé qu’il m’était possible de ne pas abandonner ma passion, ce qui est quelque chose d'important dans la tête d'un rugbyman ! Son avis m'a vraiment convaincu, même si je voulais déjà intégrer cette école qui offre de belles perspectives. Elle est généraliste et les majeures offrent un grand choix de carrières.
Je joue avec le RC Massy Essonne depuis 2016. En étudiant à l'ESILV, j'ai la chance de pouvoir quitter le campus à 16h les jours où j'ai entrainement, soit les lundis, mardis, mercredis et vendredis, de 18 à 20h.
J'ai également match presque tous les week-ends, à Massy ou en province. Avec cet aménagement permis par l'école, je rattrape les cours que je peux manquer sur mon temps libre, le midi, lors de mes trajets pour rejoindre le club, le soir et le jeudi après-midi, étant dispensé de sport scolaire. J'ai un bon groupe d'amis qui m'envoient les TD et m'aident à rattraper au mieux les cours. Depuis le deuxième semestre, j'arrive à mieux m'organiser dans mon travail, à optimiser mes sessions de révision. Un autre avantage du campus, c'est la salle de musculation. Je fais quelques séances au pôle en semaine, je n'ai pas besoin de me déplacer systématiquement jusqu'à Massy pour gagner un peu en musculature. Je fais aussi partie de l'association Léo Rugby. J'ai participé au Tournoi Avenir avec eux, c'était l'occasion de jouer avec mes amis du pôle, dans une ambiance très festive, et dans une atmosphère différente des matchs de championnat.

Deuxième ligne en Équipe de France Moins de 20 ans Développement

Récemment, j'ai été sélectionné en équipe de France moins de 20 ans Développement. C'est une équipe qui regroupe les joueurs qui pourraient évoluer en équipe de France moins de 20 ans. Cela a été une sélection assez surprenante pour moi mais aussi une opportunité de me montrer au niveau international !
J'ai su que j'étais sélectionné pour jouer lors de la tournée en Irlande et en Écosse la semaine précédant le premier match en Irlande le 3 avril. J'ai eu la chance de jouer les trois matchs, en tant que remplaçant lors des deux matchs contre l'Irlande et en tant que titulaire contre l’Écosse.
Le premier match était contre l'Irlande, deux jours après avoir atterri. Nous l'avons perdu 46-17 mais nous avons gagné le deuxième, toujours contre l'Irlande, 45-18. Puis nous avons décollé pour l’Écosse où nous avons gagné le match 48-12. C'était une belle tournée ! Je peux jouer à deux postes, deuxième ligne et troisième ligne aile. Pendant la tournée avec l’Équipe de France Moins de 20 ans Développement, j'ai joué deuxième ligne. Les deux postes sont différents. En troisième ligne, j'apprécie le fait de participer plus au jeu, on est bien plus actifs dans le jeu offensif, on touche plus de ballons. J'aime également jouer deuxième ligne. C'est un poste où on est certes moins mis en avant sur le terrain, moins dans la lumière, mais très important pour le déploiement du jeu de l’équipe.

Faire de sa passion un métier, pourquoi pas ?

Je suis vraiment dans l'optique d'intégrer la majeure Ingénierie Financière dès la quatrième année. Je suis centré sur la finance, je m'intéresse beaucoup aux mathématiques et à l'informatique. En ce qui concerne mon évolution en tant que rugbyman, j'essaie de ne pas me projeter trop loin bien que l’envie soit très forte, car dans le monde du sport, si on se blesse, la chute est rapide. Je me concentre donc également sur mes études, elles sont une assurance.
Pendant mon cursus à l'ESILV, je continuerai de jouer au rugby à haut niveau. Lorsque j'aurai 22 ans, je verrai ce qui s'offre à moi. J'aurai mon diplôme en poche et je pourrai aussi très bien faire une carrière de rugbyman professionnel si cela se présente à moi.
Depuis quelques années, j'envisage et espère de plus en plus faire du rugby mon métier parce que c'est un sport qui me passionne, qui a de belles valeurs et qui offre de belles perspectives. En revanche, je sais que j'aurai toujours besoin des études, ne serait-ce que pour préparer mon après-carrière. Le rugby ne dure qu'un temps, après 35 ans, il est rare de continuer ce sport à haut niveau. Le rugby professionnel m'intéresse fortement, mais je n'oublie jamais ce pourquoi je suis à l’ESILV, et la chance que j’ai de pouvoir continuer ces deux parcours.
Mon père était rugbyman, c'est lui qui m'a transmis cette passion. Il a joué au Racing puis au CASG. Il m'a toujours amené aux matchs. Le nombre de mes matchs que mes parents ont manqué doit se compter sur les doigts d'une main depuis que j'ai commencé le rugby à sept ans.
Mon père est vraiment fier de ce que je fais actuellement parce qu'être en équipe de France c'est magique : représenter son pays, chanter la Marseillaise, porter le coq sur soi... Il aurait sûrement bien aimé le vivre avant, il le vit à travers moi maintenant.

Cyril Grunspan : « le Bitcoin n’a pas été conçu pour être un investissement »

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Cyril Grunspan était l'invité d'une émission consacrée au Bitcoin, aux cryptomonnaies et à la blockchain.

Cyril Grunspan, directeur de la majeure Ingénierie Financière de l'ESILV était l'invité du podcast C l'Info. Lors d'une émission spéciale consacrée à la blockchain, aux cryptomonnaies et plus particulièrement au Bitcoin, il a répondu aux questions de Martin Arnal .

L'ESILV est la première école d'ingénieurs à avoir proposé des cours sur la technologie blockchain, dès 2014, sous l'impulsion de Cyril Grunspan.

Le Bitcoin à travers le prisme des mathématiques

Cyril Grunspan explique avoir découvert le Bitcoin relativement tôt, alors qu'il travaillait dans une banque d'investissement à Londres. Surpris de la méfiance de certains professionnels de la finance envers le Bitcoin, il a pris connaissance du document fondateur de la cryptomonnaie et y a vu des "mathématiques appliquées au transfert d'argent". Celles-ci ont un rôle essentiel dans l'aspect de décentralisation de la monnaie. Selon Cyril Grunspan, la décentralisation de la monnaie et les smart contracts constituent la vraie révolution amenée par le Bitcoin depuis sa création en 2009.
"La blockchain est un réseau informatique pair à pair dans lequel personne ne fait confiance à personne mais à travers lequel tout le monde a la possibilité de prouver sa bonne foi".
Telle était la façon dont Cyril Grunspan présentait la blockchain lorsque cette technologie est apparue. Il s'accorde désormais à dire que la définition est en réalité plus complexe.

L'avenir du Bitcoin et des cryptomonnaies

Le nombre de cryptomonnaies en circulation serait de l'ordre de 1200. Cyril Grunspan estime que ces dernières n'apportent pas de nouveauté théorique. Ethereum, une des cryptomonnaies les plus populaires, n'a fait que changer le langage de script du Bitcoin en optant pour Solidity. De même, Litecoin ne serait qu'une variation du Bitcoin, avec des paramètres différents. Martin Arnal a interrogé Cyril Grunspan sur l'avenir du Bitcoin. Ce dernier considère qu'affirmer que les jours du Bitcoin sont comptés n'a pas de sens. En revanche, il estime que les plateformes d'échanges de Bitcoin peu scrupuleuses doivent être régulées. Cyril Grunspan rappelle que le Bitcoin a été conçu pour être une monnaie d'échange et non pas un investissement.

Étudier la blockchain en école d'ingénieurs

La blockchain représente un changement de société majeur. A l'ESILV, les élèves ingénieurs étudient la blockchain comme un sujet scientifique. "Les premiers cours sur cette technologie ont été donnés avant le buzz", précise Cyril Grunspan. Les élèves-ingénieurs de la majeure ingénierie financière suivent des cours de développement de blockchain et de rédaction de smart contracts. Ils réalisent des projets ingénieurs sur ce sujet ou encore participent à des hackathons blockchain. Les élèves-ingénieurs de l'ESILV sont sollicités pour des stages dans ce domaine en forte progression. Écoutez le podcast dans son intégralité Intéressé par la blockchain et les cryptomonnaies ? Plus d'information sur la majeure ingénierie financière de l'ESILV, école d'ingénieurs généraliste à Paris.

Les 10 entreprises préférées des élèves-ingénieurs en 2018

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Classement Universum des entreprises preferees des eleves ingenieurs

Chaque année, l'institut de sondage Universum publie un palmarès des entreprises préférées des élèves en écoles d'ingénieurs. Réalisée auprès d'un échantillon de près de 15 000 étudiants, ce classement permet de déterminer l'attractivité de cent entreprises.

Quels sont les "employeurs qui font rêver" les élèves-ingénieurs en 2018 ? Une fois encore, les secteurs les plus plébiscités par les élèves-ingénieurs sont l'aéronautique et le numérique. Sur le podium du classement 2018, Airbus Group, Google et Thales. Le trio de tête est suivi par Safran et Dassault Aviation.
L'institut Universum, spécialisé dans la marque employeur, a interrogé les élèves-ingénieurs en leur soumettant 130 noms d'entreprises parmi lesquels sélectionner un "top 5 employeurs". Les répondants pouvaient également citer spontanément d'autres noms, ce qui explique que de nouvelles entreprises fassent leur entrée dans le palmarès chaque année.
Lors de l'enquête menée entre octobre 2017 et février 2018, les élèves-ingénieurs se sont également prononcés sur leurs trois secteurs d'activité prioritaires. Ils ont également répondu à des questions abordant leurs exigences de rémunération, l'environnement de travail ou encore l'objectif de carrière. Le dernier palmarès Universum voit une forte hausse de l'attractivité des banques et établissements financiers. Bien qu'absent du top 10, c'est le secteur bancaire qui se distingue par sa plus forte progression au sein du classement. Ainsi, JP Morgan gagne 15 places, Goldman Sachs en gagne 13, contre 12 pour BNP Paribas, 6 pour la Société Générale et 4 pour HSBC. Au terme de leur cursus, les élèves-ingénieurs de l'ESILV sont nombreux à intégrer notamment les secteurs de l'aéronautique, du numérique et de la finance.

Le classement Universum 2018 des entreprises préférées des étudiants

Parcoursup : comment répondre aux propositions d’admission ?

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Parcoursup repondre aux propositions d admission

Première édition de la phase d'admission de la nouvelle procédure Parcoursup, au sein de laquelle le Concours Avenir qui permet l’intégration en prépa intégrée à l'ESILV s'inscrit : comment répondre aux propositions d'admission des formations sélectives ?

Le 22 mai 2018, les premières propositions d’admission seront émises par Parcoursup. Vous y avez accès par le biais d’une alerte de l’application smartphone Parcoursup que vous avez téléchargée, sur votre adresse de messagerie personnelle et sur votre dossier Parcoursup. Nous vous recommandons vivement d’avoir établi au préalable votre propre liste hiérarchisée de vos souhaits, afin de garder le cap pendant toute la phase d’admission. Les formations sélectives peuvent émettre trois types de réponses : une proposition d’admission, un refus ou un vœu en liste d’attente.

Vous avez une ou plusieurs propositions d’admission et des vœux en attente

Deux cas de figures se présentent à vous. Si une des propositions d’admission est votre vœu prioritaire, l’histoire peut s’arrêter là : vous pouvez accepter la proposition de Parcoursup et entamer le processus d’inscription administrative selon les modalités de l’établissement concerné. Si en revanche le vœu que vous considérez comme prioritaire est en attente, vous pouvez toujours accepter une proposition d’admission parmi celles qui vous sont faites et conserver explicitement des vœux en attente. Une proposition d’admission que vous acceptez vous garantit une place dans l’établissement concerné, tant que vous n’acceptez pas une autre proposition favorable, et même si vous avez encore des vœux en attente.

Dans tous les cas, retenez que :

  • Vous ne pouvez accepter qu’une seule proposition d’admission
  • Accepter une proposition d’admission entraine de fait le renoncement à toutes les autres
  • Vous devez recocher les vœux en attente que vous souhaitez conserver à chaque fois qu’une nouvelle proposition d’admission vous est faite.
  • Si vous n’acceptez pas une proposition d’admission ou ne maintenez pas de vœux en liste d’attente dans le délai imparti – cf. le calendrier ci-dessous - vous y renoncez.

Vous n’avez que des vœux en attente

Si tous vos vœux sont en attente le 22 mai et que vous n’avez aucune proposition d’admission, pas de panique. Chaque jour, de nouvelles propositions d’admission sont susceptibles d’être émises par les établissements au fur et à mesure que les autres candidats libèrent des places en renonçant à des propositions d’admission ou en supprimant des vœux en attente. Vous avez accès à votre rang sur les listes d’attente, ainsi qu’au nombre total de candidats : même si vous estimez être très loin, ne tirez pas trop vite de conclusions quant à vos chances d’intégrer ou pas les établissements en question. Le processus Parcoursup est nouveau, et il est fort probable que des situations se décantent au fil des semaines : si un vœu prioritaire pour vous est en attente, veillez à le conserver. De la même manière, pensez à libérer des vœux en attente qui ne vous intéressent pas, dans l’intérêt de tous et de la fluidité de la procédure.

A retenir :

  • Conservez les vœux en attente que vous jugez prioritaires
  • À chaque nouvelle proposition d’admission vous devez signifier quels vœux en attente vous souhaitez conserver
  • Une position lointaine sur une liste d’attente n’est pas rédhibitoire : attendez quelques jours, puis contactez les établissements si besoin pour évaluer vos chances d’être admis.

Vous n’avez que des refus

Si vous n’avez formulé de vœux que pour des formations sélectives et que vous n’obtenez que des refus le 22 mai, une commission d’accès à l’enseignement supérieur pourra étudier votre dossier et vous faire des propositions.

Le calendrier de la phase d’admission Parcoursup 2018

Entre le 22 mai et le 17 juin, vous avez 7 jours pour répondre à une proposition d’admission Pendant les épreuves du baccalauréat du 18 juin au 25 juin inclus, la procédure est suspendue : aucune nouvelle proposition d’admission ne sera émise. Entre le 26 juin et 28 juin inclus, vous pouvez répondre jusqu’au 1er juillet inclus Entre le 29 juin et le 1er septembre inclus, vous avez 3 jours pour répondre. Le 2 septembre, vous pouvez répondre jusqu’au 3 septembre inclus. Entre le 3 et le 5 septembre, vous avez 1 jour pour répondre à une proposition d’admission (le jour même avant minuit).

En bref :

  • De nouvelles propositions d’admission pourront vous être faites jusqu’au 5 septembre.
  • Le délai pour répondre se réduit au fil du temps
  • Vous êtes tranquilles pendant le bac
  • A chaque fois que vous acceptez une nouvelle proposition d’admission, vous renoncez aux autres.

Coupe de France de Robotique 2018 : le bilan de DaVinciBot

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Coupe de France de Robotique

Ils ont conçu et réalisé deux robots autonomes pendant une année, affronté des dizaines d'équipes lors de matchs de 100 secondes et vécu quatre jours intenses aux côtés de passionnés de robotique...

Retour sur l'édition 2018 de la Coupe de France de Robotique avec trois membres de l'association DaVinciBot : Nicolas Fontaine, président, Brice Parilusyan, vice-président et Adrien Picard, trésorier. Il s'agissait de la sixième participation de DaVinciBot à la Coupe de France de Robotique ou CDR, évènement à l'origine de la création de l'association au sein du Pôle Léonard de Vinci.

Coupe de France de Robotique 2018 : votre mission, si vous l'acceptez...

Créée en 1994, la Coupe de France de Robotique s'est imposée comme l'évènement incontournable de la communauté robotique. Chaque année, la compétition se déroulant à la Roche-sur-Yon réunit des équipes d'amateurs issus d'écoles d'ingénieurs, de formations courtes ou d'associations autour d'un projet ludique, scientifique et technique. Pour les quelques 2500 participants présents lors de l'édition 2018, le but était de créer un ou deux robots autonomes devant s'acquitter d'un certain nombre de tâches dans un temps imparti de 100 secondes. "Robot Cities" était le thème retenu pour la dernière édition.
"Les actions que nous devions réaliser étaient les suivantes : récupérer de l'eau symbolisée par des balles et construire des bâtiments HQE (Haute Qualité Environnement) symbolisés par des cubes. Il fallait aussi activer une abeille symbolisée par un automate mécanique et activer un panneau domotique". Nicolas Fontaine
Pour la CDR, DaVinciBot a travaillé toute l'année à la fabrication de deux robots autonomes, d'un panneau domotique et d'un automate 100% mécanique, actionné par un des robots autonomes. La dernière édition a vu une innovation dans le comptage des points.
"Quand nous commencions le match, nous devions estimer combien de points nous allions faire. Plus le nombre de points réalisés et l'estimation étaient proches, plus nous gagnions de points supplémentaires". Brice Parilusyan
Chaque équipe prend part à cinq matchs de 100 secondes, pendant lesquels le but premier n'est pas de vaincre l'équipe adverse mais de cumuler le maximum de points. Au terme du championnat, les deux dernières équipes en lice concourent dans le cadre d'Eurobot, la compétition européenne qui se tient juste après la CDR. Les matchs opposent alors des équipes venues de Russie, Serbie, Belgique, Algérie, Espagne...

Les défis de l'édition 2018

Les membres de DaVinciBot s'accordent à dire que la compétition implique une certaine pression car les conditions précisées dans le cahier des charges diffusé en amont de la CDR présentent parfois des défaillances.
"Nous nous sommes rendu compte que l'interrupteur pour le panneau domotique était un peu plus loin que ce qui était prévu dans le cahier des charges. Cela parait anecdotique, mais pour un robot autonome, c'est vraiment énorme ! Il faut parfois changer totalement son fonctionnement pour réussir à atteindre l'objectif". Brice Parilusyan.
Parfois, les décalages dans les dimensions des tables de compétition n'ont pas permis de reproduire les actions du robot telles qu'elles avaient testées sur les tables d'essai. La Coupe de France de Robotique a permis à DaVinciBot de déterminer les points à améliorer et de profiter de la saine émulation entre les équipes.

Une ambiance exceptionnelle

L'ambiance lors de la CDR est unique en son genre, expliquent les membres de DaVinciBot. Pendant ces quelques jours, l'association a échangé avec les autres équipes, concurrentes mais néanmoins solidaires, autour du matériel, de la stratégie.
"Il y a de la rivalité certes, mais aussi de l'entraide : une nuit, il nous manquait un fer à souder, une autre équipe nous en a prêté un. Tout le monde est réuni autour d'une même passion et d'une seule envie : celle de voir les robots marcher. Quand les robots d'une équipe ne fonctionnent pas, tout le monde est dépité pour eux car on sait que derrière c'est une année de travail, voire plus, pour rien !" Adrien Picard.
Cette année, la participation de DaVinciBot était sponsorisée par la SMEREP et Altran, qui a organisé un concours au sein de la CDR. Les participants pouvaient concourir dans le cadre un jeu en réalité virtuelle, au cours duquel il fallait manipuler une araignée devant tirer sur un maximum d'astéroïdes. Julian, membre de DaVinciBot a remporté le jeu et un des deux robots. De nombreuses entreprises se rendent à la CDR afin d'identifier des profils à recruter, dans le cadre de stages ou de contrats. La compétition constitue une bonne occasion de développer son réseau professionnel.

Bilan et perspectives pour la prochaine CDR

L'association a profité de l'édition 2018 de la CDR pour identifier les défauts de ses robots et se nourrir des techniques partagées par leurs concurrents. Ils citent notamment une équipe ayant remporté plusieurs fois la Coupe de France de Robotique, prompte à dévoiler ses méthodes afin de se mesurer à des adversaires de taille.
"Grâce à la CDR, nous savons quels sont nos défauts et comment les pallier. Dans les trois prochains mois, certains membres de l'association sont motivés pour compenser ces problèmes afin d'être prêts pour l'année prochaine". Brice Parilusyan
DaVinciBot pense d'ores et déjà à l'édition 2019 de la CDR : ils souhaitent conserver certains membres de l'équipe pendant plusieurs années consécutives, afin de capitaliser les connaissances et d'éviter de multiplier les passations. L'association compte d'autres projets, parmi lesquels la construction et la programmation d'InMoov, premier robot open source imprimé en 3D. Association robotique DaVinciBot Suivez l'actualité de DaVinciBot, association de robotique du Pôle Léonard de Vinci.  

Un semestre en Lettonie : Mathilde, en échange à Riga Technical University

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Un semestre a riga technical university en lettonie

Mathilde Durand, ESILV promo 2018, a passé un semestre à Riga Technical University. Déjà partie en échange à Helsinki en deuxième année, elle a découvert en Lettonie une autre manière de vivre une expérience académique internationale. Bilan d'une expérience dépaysante.

Riga Technical University ou RTU, fondée en 1862, est la plus ancienne des universités techniques de pays baltes. Elle compte environ 15 000 étudiants, parmi lesquels environ 15% d'étudiants internationaux.

Le choix de l'ESILV

Je suis désormais en dernière et cinquième année à l’ESILV, promotion 2018. J'ai intégré l'école en première année, en prépa intégrée. Je l’ai choisie parmi d’autres écoles d'ingénieurs pour cinq critères : la majeure Nouvelles Énergies accessible en 4ème année, la transversalité avec les deux autres écoles, les associations étudiantes, la possibilité d'étudier à l’étranger au cours du cursus et enfin la proximité. Ces cinq critères se sont avérés décisifs puisque dès la première année j’ai intégré l’association de danse Léo King’s Walker pour laquelle j’ai fait partie du bureau pendant trois ans, je me suis spécialisée dans le domaine des nouvelles énergies et je suis partie deux fois dans le cours de mes études à l’étranger, en troisième et en cinquième années.

Partir. Et repartir.

Je suis une passionnée de voyage et de nouvelles expériences. Après mon Erasmus en Finlande à Helsinki en troisième année, j’ai eu presque deux ans au Pôle pour me laisser tenter à nouveau par un échange universitaire. A l’approche de ma dernière année en tant qu’étudiante, je me suis dit que c’était l’occasion d’aller vivre à l’étranger le temps d’un échange avant de commencer la vie active d’ingénieure.
J’ai choisi de repartir en Europe, en Lettonie, une ville universitaire. J’avais vraiment été séduite par les cultures nordiques lorsque j'étais à Helsinki, notamment grâce à de nombreux voyages entrepris (Suède, Laponie, Russie, Estonie), j’ai eu envie de découvrir une nouvelle ambiance dans un pays balte.
Le campus est principalement concentré sur une « île » au pied de la vieille ville, mais les bâtiments se répartissent quand même partout dans la capitale. Cette université se spécialise dans plein de domaines différents, allant de l’architecture au commerce en passant par l’ingénierie. Informatique, mécanique, électronique, énergie, presque tout est enseigné là-bas, et dans de bonnes conditions : les salles sont équipées de matériels pour des travaux pratiques de toutes sortes, de PC, de tableaux, de projecteurs… Il y a des salles de sports, une piscine, une bibliothèque ouverte 24/24 7/7 pour les étudiants du campus, et des avantages avec le statut d’étudiant. Il y a une forte communauté Erasmus, on rencontre alors très rapidement plein de gens venant du monde entier mais aussi des locaux, qui sont assez ouverts.

Étudier l'ingénierie en Lettonie

Étant en deuxième année de la majeure Nouvelles Énergies, j’ai essayé de suivre au maximum des cours me permettant de compléter mon M1. Néanmoins, j’ai choisi des matières un peu différentes de ce qu’on étudie au Pôle, car l’échange universitaire sert également à ça : développer des connaissances dans de nouveaux domaines.
Voici la liste des cours que j’ai suivi : Sources d’énergies nouvelles, Transports écologiques, Thermodynamique (hydro et gaz), Design technique, Management dans le domaine de la construction, Technologies de renforcement dans le bâtiment et cours de Letton.
J’avais cours trois jours par semaine (lundi, mardi, jeudi), pour un total d'environ 24h de cours. Tous les cours sont enseignés en anglais. S’il y a des étudiants locaux dans la classe, il se peut que le professeur échange deux minutes avec les étudiants en letton ou russe. Il y a un certain nombre de travaux en binôme ou en groupe. Les semaines ne sont pas trop chargées, ce qui laisse la possibilité de faire son travail personnel en dehors des heures de cours. Les examens ont lieu à la fin du semestre, sous forme d’écrit ou/et d’oral suivi d'un rendu. Les dates sont flexibles, les épreuves sont basées sur les cours, sans grandes surprises dans les sujets.

S'intégrer en tant qu'étudiante internationale

Un mois avant d’arriver à Riga, l’administration de RTU nous a proposé d’avoir un « buddy », un parrain/marraine dans l’université. Son rôle est d'accueillir l'étudiant à l’aéroport, de lui présenter les personnes importantes de l’université et ses amis pour avoir quelques premiers visages familiers les premières semaines. Il est également censé donner les bons plans, aider pour la carte de transport,etc … Je n’ai pas fait appel à un buddy car j’avais déjà beaucoup d’informations sur Riga et suite à ma première expérience en Erasmus, j’avais envie de me débrouiller seule. En sortant de l’avion je suis allée directement à mon appartement rejoindre mon colocataire, de l'ESILV lui aussi. Et bien sûr, comme à chaque début de semestre, les soirées d’intégration permettent de rencontrer du monde très rapidement.
Pour se sentir intégré rapidement, il faut y mettre du sien, c’est-à-dire, suivre les mails et informations qui sont données, contacter les personnes indiquées en temps et en heure, aller en cours … Avec ça, on se sent suffisamment encadré.
Ensuite, pour tout ce qui est voyages, soirées, excursion ce n’est pas l’université qui les organise mais de nombreux groupes s’en chargent. Il faut activer son Facebook, s’intéresser à quelques évènements et le tour est joué. Pendant quatre mois, vous aurez de quoi faire sans trop vous compliquer la vie tout en suivant les cours sans difficulté. Pas mal non ?

Voyager depuis Riga

Bien sûr ! Sinon, pourquoi partir… A RTU on a la chance de pouvoir choisir ses cours dans un large panel de sorte à concevoir son propre emploi du temps. Pratique pour organiser des voyages. La Lettonie est un pays peu couteux. Pour aller à l’autre bout du pays et visiter une ville ou aller se balader près de la mer, les trains sont très pratiques. Par exemple, je suis allée à Jurmala en 1h30 de train et j’ai payé 3€ aller-retour. Je suis allée visiter un mémorial à 30 minutes en train de Riga j’ai payé 2€ l’aller-retour. Pour aller à Vilnius en car, le voyage dure 6h00 et coûte aux alentours de 50€. C'est également possible d’aller facilement à Tallinn, Helsinki, Stockholm, Saint-Pétersbourg, en Laponie etc, grâce à des organismes d’étudiants qui prévoient ces voyages à prix accessibles. Étant donné que je connaissais déjà ces destinations suite à mon séjour à Helsinki, j’ai surtout voyagé au sein même du pays. Chargée en histoire avec les différentes périodes d’occupation notamment, la Lettonie a beaucoup à offrir.

Des conseils ?

Je comprends que ça puisse faire peur de vivre dans un nouveau pays, de se faire un nouveau réseau loin du sien, de comprendre et de se faire à de nouvelles coutumes culturelles mais il faut jouer le jeu. Assistez à un grand nombre d’évènements dès le début. Tout le monde est dans la même situation que vous, alors tout le monde cherche la même chose : des amis, réussir son semestre de cours tout en explorant le plus possible le pays ou le continent.
Mettre de l’argent de côté avant d’arriver sur place est primordial pour faire le plus de choses possibles. Voyagez, voyagez, voyagez !
Si l’anglais est une barrière, ça ne sera plus le cas à la fin de cette expérience. Les gens viennent des quatre coins du monde, l’important c’est de se comprendre, peu importe l’accent, le niveau de grammaire ou le nombre de mots de vocabulaire. Les gens ne jugent pas. Ne restez pas qu’avec des Français, vous vous améliorerez plus vite. Et surtout une fois sur place, intéressez-vous à la culture du pays. C’est important de s’imprégner pour ne pas s’isoler et pour que votre nouveau style de vie s’accorde avec le leur.

Un double diplôme en Irlande : Griffith College, partenaire de l’ESILV

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Un MSc in Computing Science en Irlande ESILV ecole d ingenieurs

Dr. Waseem Akthar, responsable de la Faculté d'Informatique de Griffith College, a présenté l'université dublinoise aux élèves-ingénieurs de l'ESILV lors de la dernière semaine internationale. Il a plus particulièrement évoqué le MSc in Computing Science, un des doubles-diplômes proposés à l'ESILV.

Créé en 1974, Griffith College accueille 7000 étudiants sur ses campus de Dublin, Cork et Limerick.

Étudier l'informatique à Dublin avec le MSc in Computing Science

L'expérience internationale est obligatoire pour obtenir le diplôme d'ingénieur ESILV. Les élèves-ingénieurs ont le choix de partir dès la troisième année pour un semestre d'échange académique dans l'une des universités partenaires du Pôle Léonard de Vinci.
Ils ont également la possibilité de partir en dernière année dans le cadre d'un programme en double diplôme. Le MSc in Computing Science de Griffith College en fait partie. Il s'adresse aux élèves-ingénieurs de la majeure Informatique, Big Data et Objets Connectés.
Le MSc in Computing de Griffith College a été conçu pour répondre aux besoins spécifiques des industries de l'informatique et de l'IT. Une année durant, les étudiants acquièrent les connaissances et savoir-faire nécessaires pour occuper des postes à responsabilités dans le domaine de l'informatique. Projets de recherche et formation aux technologies de pointe rythment le programme.

Griffith College vu par Waseem Akthar

Sous-titres français disponibles. https://youtu.be/AnAYBqDWSes

Dublin, haut-lieu de l'IT

Microsoft, Dell, Amazon, Google, Facebook, Twitter... nombreuses sont les multinationales qui ont choisi Dublin comme siège social pour leurs activités européennes. Cette concentration de grands groupes attire un grand nombre de spécialistes des technologies de l'information dans la capitale irlandaise. Waseem Akthar explique qu'un grand nombre d'intervenants au sein de la faculté d'informatique de Griffith College sont des professionnels. Il précise que ce lien fort avec le domaine de l'informatique assure une adéquation des programmes d'enseignements avec les besoins spécifiques du secteur. Plus d'informations sur les programmes internationaux de l'ESILV, école d'ingénieurs à Paris.

Double diplôme : l’ESILV et GEM signent un accord de partenariat

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ESILV et GEM accord de partenariat double diplome

L'ESILV, école d'ingénieurs généraliste et Grenoble École de Management (GEM) ont signé un accord de parcours bi diplômant. A compter de la rentrée 2018, GEM accueillera chaque année deux élèves-ingénieurs de l'ESILV dans le parcours "Digital Marketing Factory", en troisième année du Programme Grande École.

L'objectif : répondre aux besoins de recrutement croissants des entreprises du numérique, à la recherche de profils hybrides bénéficiant de compétences managériales. "Digital Marketing Factory" est un parcours de spécialisation centré sur le digital et les modèles de business innovants, sanctionné par l'obtention du DESMA, Diplôme d’Études Supérieures en Management. Le programme pédagogique se base sur une entreprise virtuelle permettant le développement, en équipes pluridisciplinaires composées d'ingénieurs et de designers, de compétences en marketing créatif et business digital. Les élèves-ingénieurs suivent une quatrième année à l’ESILV, une cinquième année à GEM et terminent par une cinquième année à l’ESILV. À l’issue du parcours, ils sont diplômés de l’ESILV et de GEM.
« Le Pôle Léonard de Vinci et GEM souhaitaient mettre en place un partenariat qui leur permette d’unir leurs efforts et d’associer leurs expertises, afin de mieux remplir leurs missions réciproques. Nous sommes très heureux d’avoir trouvé cet accord qui va au-delà de la délivrance de double diplômes très appréciés des recruteurs, nous permet de travailler de concert sur des sujets qui nous sont chers » Pascal Brouaye, Directeur Général du Pôle Léonard de Vinci.
Les doubles diplômes proposés par l’ESILV en partenariat avec d’autres écoles ou universités, en France ou à l'étranger, permettent aux étudiants de compléter ou d’élargir leur champ d’expertise initial. Les établissements partenaires français comptent le CNAM, CentraleSupelec et l'ISUP. En outre, les élèves-ingénieurs ont la possibilité de suivre un double diplôme au sein des deux autres écoles du Pôle Léonard de Vinci, notamment à l'EMLV, école de management, dans le cadre du double diplôme ingénieur manager. En savoir plus les doubles diplômes de l'ESILV.

Concours e3a : comment se préparer aux oraux d’admission en école d’ingénieurs ?

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Le deroule de l epreuve orale dans le cadre du concours e3a

Le Concours e3a s'adresse aux étudiants de CPGE en maths spé, spécialisations MP, PC, PSI, pour une admission en première année du cycle ingénieur de l'ESILV. Les épreuves écrites passées, les candidats admissibles sont conviés à un oral d'admission. Focus sur cette session d'une demi-journée, sur le campus de l'ESILV.

Après deux années intenses en classe préparatoire vient enfin le temps des concours e3a et Banque PT, suivi par le choix d'écoles d'ingénieurs.

Épreuve orale d'admission : comment s'y préparer ?

Les premiers oraux admissibles se dérouleront à partir de la fin juin 2018 et ce pendant trois semaines. Après avoir sélectionné en ligne leur créneau pour l'oral, les admissibles sont attendus sur le campus de l'ESILV pour une demi-journée.
L'oral est un entretien de motivation, il ne porte en aucun cas des épreuves de mathématiques ou de physique. Le jury est constitué d'un professeur de l'ESILV, parfois accompagné d'un ancien élève-ingénieur.
Pendant une vingtaine de minutes, les candidats sont interrogés sur leurs motivations à rejoindre l'ESILV et sur leur projet professionnel. Il n'est pas nécessaire que ce dernier soit extrêmement précis : évoquer un intérêt plus particulier pour un secteur d'activité peut tout à fait suffire. La tenue à porter pour le jour de l'entretien ? Costumes et tailleurs ne sont pas requis, en revanche des vêtements sobres, dans lesquels les admissibles se sentent à l'aise, sont conseillés.
L'important est de rester soi-même en toutes circonstances. Cela signifie prendre le temps, en amont, de passer en revue ses forces et ses points d'amélioration, sa personnalité et l’ensemble des expériences qui peuvent faire la différence.
Afin de mettre toutes les chances de son côté, il est essentiel de se renseigner en amont sur les spécificités de l'ESILV : les quatre majeures accessibles en première année de cycle ingénieur, l'ouverture internationale, les projets ingénieurs ou encore la transversalité encouragée par la proximité des deux autres écoles du Pôle Léonard de Vinci : l'école de management EMLV et l'Institut de l'Internet et du Multimédia.

Les oraux admissibles e3a/PT, à quoi ça ressemble à l'ESILV ?

https://youtu.be/oMOdcJefqr4 Lors des quelques heures passées sur le campus de l'ESILV, les admissibles sont accueillis et encadrés par des élèves-ingénieurs de la "Team Admissibles". Ayant eux-mêmes intégré l'école d'ingénieurs via le concours e3a l'année précédente, ils sont les mieux placés pour renseigner les admissibles et les conseiller. Les admissibles peuvent également échanger avec des représentants de l'équipe pédagogique. La session débute par une présentation du cycle ingénieur et des quatre majeures proposées à l'ESILV : Mécanique Numérique et Modélisation, Informatique, Big Data et Objets Connectés, Nouvelles Énergies et Ingénierie Financière.
Avant et après l'entretien de motivation, les admissibles peuvent profiter de moments informels avec les élèves-ingénieurs : l'occasion d'échanger sereinement sur le quotidien à l'ESILV.
La visite du campus est un temps fort : 58 000 m² au sein desquels se trouvent des amphis, des salles de cours, des labos et un foyer, mais aussi trois restaurants et cinq salles de sports. Les élèves-ingénieurs accompagnateurs ne manquent pas de présenter les associations étudiantes techniques et leurs réalisations et de faire découvrir le fablab du Pôle Léonard de Vinci... autant de manières de se familiariser avec l'ESILV, école d'ingénieurs généraliste au cœur des technologies du numérique. Plus d'informations sur les modalités d'admission du concours e3a.

Étudier au Mexique : Thierno, un semestre au Tec de Monterrey

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Thierno eleve ingenieur un semestre au mexique

Thierno Diakité, ESILV promo 2018, a passé un semestre de sa cinquième année à l'Instituto Tecnológico y de Estudios Superiores de Monterrey, ou Tec de Monterrey. Récit de quelques mois dépaysants, entre cours d'espagnol, de thermodynamique et découverte de paysages époustouflants.

Le Tec de Monterrey accueille près de 90 000 étudiants répartis sur 31 campus à travers le Mexique. Particulièrement réputé pour ces programmes d'ingénierie, l'établissement compte plus de 500 partenariats académiques avec des établissements internationaux, dont l'ESILV.

Pourquoi l'ESILV ?

J'ai intégré l'école directement en post-bac, en prépa intégrée. J'ai décidé de postuler à l'ESILV car c'est une école très portée sur le numérique. De plus, j'étais très intéressé par les majeures notamment Informatique, Big Data et Objets Connectés et Nouvelles Énergies. Finalement mon cursus et mes stages m'ont amené a choisir la majeure Nouvelles Énergies en quatrième année. Cette majeure me permet d'évoluer dans un cadre que j'aime tout en ayant une vue d'ensemble sur mon orientation professionnelle dans ce domaine. Côté associatif, j'ai occupé un poste au sein du bureau de l'association AMMA (Association Mixed Martial Arts), une association où se ressentent particulièrement la transversalité et l'interaction inter-promo. J'ai décidé de partir à l'étranger non seulement pour une expérience notable internationale mais aussi pour m'éveiller à d'autres cultures et découvrir le monde ! Mon choix s'est porté sur le Mexique qui réunissait tous mes critères. La culture mexicaine est vraiment dépaysante, de plus j'ai toujours eu envie de découvrir l'Amérique Centrale.

Le Tec de Monterrey, au cœur du Mexique

J'étudie à l'Université du Tec de Monterrey sur le campus de la ville de Quérétaro. C'est une des meilleures universités du Mexique! Il y a plusieurs campus dans les principales villes du pays. Je suis des cours dans les domaines de l'informatique, de la thermodynamique, de l'électromagnétisme, du web...
Je suis parti au Mexique sans savoir parler un mot d'espagnol donc mes choix de cours s'en sont trouvés réduits, cependant il y a une large palette de cours anglophones. J'ai également suivi des cours d'espagnol quatre fois par semaine.
L’accueil au Tec a été vraiment unique ! Il a eu lieu sur deux journées entières. La première journée concernait seulement les élèves internationaux. Ce jour-là,  des élèves ainsi que les responsables du pôle international nous ont expliqué le déroulement du semestre, ainsi que les règles à suivre sur le campus... le tout autour d'une dégustation des plats locaux... La deuxième journée était l'intégration de tous les nouveaux étudiants du campus. Il nous ont divisés en plusieurs équipes et nous nous sommes livré bataille dans différents jeux sous forme d'olympiades. Avant cela nous avons eu droit à une énorme haie d'honneur constituée des associations, des professeurs, de musiciens, de danseurs.. C'était vraiment impressionnant et mémorable ! Par le biais de ces journées, j'ai pu rencontrer beaucoup de gens aussi bien Mexicains que de toutes les autres parties du monde !

1 964 375 km2 à découvrir

Presque tous mes weekends étaient occupés à découvrir de nouveaux endroits au Mexique ! Il faut dire que les étudiants internationaux sont très encouragés à voyager. Entre les voyages que le département international organise, les nombreuses associations qui vont font découvrir le Mexique et les voyages entre amis, j'ai pu voir différents paysages.
De massifs montagneux incroyables à la plage, en passant par l'escalade d'un des plus grand monolithes ainsi que d'énormes jungles et des cascades magnifiques.
D'ailleurs lors du premier voyage organisé par l’université dans les ruines de Teotihuacan, j'ai eu droit à une petite.. surprise. Mon anniversaire ayant eu lieu la veille, l'équipe organisatrice a eu la bonne idée de me préparer un beau gâteau.. avant de m'en mettre plein dans la tête et de m'arroser de mousse à raser. J'ai eu ensuite droit de taper dans la fameuse piñata ! C'est comme cela qu'on célèbre les anniversaires au Mexique! Mes études touchent à leur fin, mais si je pouvais repartir par le biais d'un VIE ou autre je n'hésiterai pas. C'est une expérience vraiment unique pendant laquelle on à l'occasion de s'extraire de ses habitudes pour s'ouvrir à d'autres modes de vie, de cultures... Si jamais vous hésiter à partir, n'hésitez plus! Une fois sur place on s'habitue vite et le temps passe vite... voire trop vite. Et en plus de ça, si vous optez pour le Mexique, vous aurez l'occasion d'entendre vos amis se plaindre du froid en novembre tout étant à la plage. Ça n'a pas de prix! Universités partenaires, doubles diplômes... Plus d'informations sur l'international à l'ESILV, école d'ingénieurs généraliste au cœur des technologies du numérique.

L’ESILV s’associe à l’Ecole polytechnique pour un parcours bi-diplômant en science des données

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L'ESILV, École Supérieure d’Ingénieurs Léonard de Vinci et l’École polytechnique viennent de conclure un accord visant à développer les formations en science des données. Dès la rentrée prochaine, cinq élèves-ingénieurs de l'ESILV pourront suivre le parcours « Data Sciences » du Master «Mathématiques et applications» à Paris Saclay et ainsi obtenir deux diplômes.

La science des données, ou "data sciences", est l'extraction de connaissances d'ensembles de données, dans une approche interdisciplinaire. La science des données s'appuie en effet sur les mathématiques, les statistiques ou encore l'informatique.

Un partenariat de formation double diplômant

Chaque année, cinq élèves-ingénieurs en troisième année de cycle ingénieur à l'ESILV seront sélectionnés afin de suivre les cours du Master Mathématiques et applications de l'Université Paris Saclay, opéré par l'École polytechnique. Celui-ci réunit chaque année environ 90 étudiants. Le cursus des élèves-ingénieurs de l'ESILV sera sanctionné par un double diplôme. Le parcours "Data Sciences" de ce Master forme les étudiants à tous les aspects des sciences des données, depuis l’acquisition jusqu’à l’exploitation et l’analyse. Il s’appuie sur des laboratoires de recherche d’excellence et compte Orange, Thales, Keyrus, Deloitte, Criteo, PSA Peugeot Citroën ou encore Safran parmi ses partenaires. Les élèves de ce parcours de Master auront eux l'opportunité de suivre des cours dispensés par des enseignants de l'ESILV sur le sujet de l’analyse des données appliquée au secteur de l’assurance. Des intervenants professionnels apporteront également leur expertise en matière de projets en sciences des données développés dans leur entreprise.

Une réponse à la forte demande en recrutement d'ingénieurs en data sciences

Si la finance de marché et le secteur pharmaceutique ont été les premiers à faire appel aux data scientists, le recours à la science des données concerne désormais un nombre croissant de secteurs industriels. Dans un contexte de transformation digitale, les besoins en recrutement d'ingénieurs de haut niveau en data science sont par conséquent en forte augmentation. De même, les doctorants dans le domaine des sciences de données bénéficient de nombreuses propositions de sujets dans des domaines d'application variés. Intéressé par le domaine des data sciences ? Plus d'informations sur la majeure Informatique, Big Data et Objets Connectés de l'ESILV, école d'ingénieurs généraliste au coeur du numérique. 

Avec De Vinci Junior Factory, l’impression 3D haute performance pour des maquettes volumétriques

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La Junior factory by de vinci junior impression 3D

Innovation et futur de l'impression 3d : De Vinci Junior Factory, au sein de l'association étudiante De Vinci Junior, produit des maquettes volumétriques grâce à l'impression 3D, pour les architectes.

Le projet est mené par six élèves ingénieurs de l'ESILV, Quentin Troubat, David Maziere, Arnaud Toma, Saad Ghazzali et Adrien Lafargouette promo 2020 et Cagtay Canak, élève-ingénieur promo 2019, majeure Mécanique Numérique et Modélisation.

Plus rapides et plus compétitifs : des procédés d'impression 3D de qualité professionnelle

Depuis l'atelier situé au -1 du campus du Pôle Léonard de Vinci, De Vinci Junior Factory produit des impressions 3D à la demande de différents professionnels, parmi lesquels des architectes. Les commandes sont réalisées sur trois imprimantes. Leur modèle, Prusa Mk2S, permet des modifications fines et une grande possibilité d’optimisation. L'équipe reçoit des commandes de maquettes de concours, autrement appelées maquettes volumétriques, de la part d'architectes. L'impression 3D permet un prix plus compétitif que celui pratiqué par les maquettistes, ainsi qu'un temps de production fortement réduit.
"Ces procédés de fabrication comprennent à la fois des ajustements pré-impression et surtout post-impression. En effet, nous traitons nos différentes pièces avec des produits et des retouches manuelles qui nous permettent d’avoir un rendu à la hauteur de notre exigence". Adrien Lafargouette
Les méthodes de la Junior Factory by De Vinci Junior produisent un résultat tout à fait lisse, affranchi des défauts courants en impression 3D.

Construction d'une imprimante 3D innovante

Les six élèves-ingénieurs de l'ESILV à l'origine du projet développent actuellement une imprimante 3D qui puisse répondre à leurs exigences en termes de dimensions et de stabilité d'une part, et qui puisse imprimer une production d'une traite, d'autre part.
"Dans l'optique d'avoir un rendu toujours plus précis, nous avons mis au point des caissons d'isolation connectés, afin de protéger nos imprimantes des UV, de la poussière, et des variations de températures, fatales lors d'impressions". Adrien Lafargouette
Les caissons et les plans sont finalisés. Cette imprimante 3D devrait être construite à partir de la rentrée 2018. L'équipe se consacre à la conception de la partie gestion électronique. L'objectif de De Vinci Junior Factory, soutenue par l'ESILV, est de pouvoir développer et pérenniser cette activité commerciale en tant que start-up, dans les mois à venir. Plus d'informations sur les associations techniques de l'ESILV, écoles d'ingénieurs généraliste à Paris.

Théo, promo 2020, élève-ingénieur, auteur-compositeur-interprète

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Theo eleve ingenieur a l esilv et auteur compositeur

Castings et cours de systèmes et réseaux, première partie à l'Olympia et projets ingénieurs... Pour Théo Isambourg, élève-ingénieur à l'ESILV et artiste, la question du choix entre études et musique ne s'est jamais posée.

Interview d'un passionné qui mène tout de front.

Une école d'ingénieurs différente

J'ai intégré l'ESILV en première année de prépa intégrée. Je suis originaire du Nord-Pas-de-Calais mais j'ai passé mes années lycée à l'Ile Maurice. Quand je suis arrivé l'ESILV, j'étais surtout attiré par la majeure Nouvelles Énergies, puis je me suis découvert une passion pour l'informatique. L'année prochaine je suivrai donc la majeure Informatique, Big Data et Objets Connectés. Je me vois bien être ingénieur informatique, mais dans une entreprise du secteur du développement durable.
J'avais visité le campus avant d'intégrer l'ESILV, j'avais bien sûr flashé sur le studio de musique, mais surtout sur l'ouverture d'esprit de l'école, c'est ce qui a fait la différence. C'est quelque chose que j'ai ressenti lors de cette visite et que je vis aujourd'hui.
Je suis reconnaissant envers mon école et particulièrement Mme Warmberg, responsable de la scolarité. Grâce au “ Projet Engagement Étudiant ” j’arrive à trouver mon équilibre entre les études d'ingénieur et la musique. Cela me permet de me consacrer à mon activité de musicien avec une plus grande souplesse des horaires, par exemple lorsque j'ai des évènements musicaux.

Les projets artistiques dans lesquels je m'investis

Je forme un duo avec Philippine, qui a, comme moi, participé à The Voice. Nous avons signé chez Smart, un label de Sony, il y a environ un an. Nous reprenons des titres des années 70 en français. Le premier single est sorti il y a quelques jours et le clip sortira bientôt. Theo eleve ingenieur a l esilv et auteur compositeur S'en suivra un album dont la date de sortie est encore à déterminer. Nous avons fait la première partie de Patrick Fiori à l'Olympia, Lille et Marseille et il y aura d'autres dates.
Je chante aussi en solo : je suis musicien du métro depuis deux ans et demi, j'y chante mes compositions et mes reprises en m'accompagnant de la guitare. C'est un bon entrainement, car je vois quelles chansons font réagir. J'essaie d'y aller deux fois par mois environ, à Bastille, Châtelet ou Palais Royal.
J'ai participé à la Palme des Talents Étudiants, un concours inter-écoles, en représentant l'ESILV. C'est un casting en deux étapes suivi d'une scène au Palais des Glaces. J'ai été nommé coup de cœur. Le prix était une participation au WCOPA, un concours artistique aux États-Unis, mais malheureusement je ne pourrai pas m'y rendre. Au Pôle, je fais partie d'un groupe qui s'appelle Soûls. Nous répétons sur le campus, nous avons la chance d'avoir une super salle, avec de très bons équipements. Nous avons fini deuxièmes d'un concours inter-écoles d'ingénieurs, Battle of the Bands. Je fais aussi de la musique avec Jean-Baptiste Mouzet,  président de l'association Musique Mix mais aussi professeur de mathématiques à l'ESILV. Nous enregistrons des compositions originales.

Ne jamais avoir à choisir

J'ai besoin d'avoir un pied dans la musique et l’autre dans les sciences. Cela me permet d’une part de nourrir mes compositions, et d’autre part et de m'ouvrir l'esprit quand j'ai la casquette d'ingénieur. Dans les castings ou à la maison de disques, être élève-ingénieur à l'ESILV me permet d'instaurer une certaine confiance, cela m'a même ouvert des portes. A l'ESILV, le fait d'être chanteur me donne une certaine aisance. Une fois qu'on a chanté à l'Olympia devant 2000 personnes, on se sent plus à l'aise lors d'une soutenance !
J'aime particulièrement cette citation que j’ai d’ailleurs inscrite au dos de ma guitare : "La musique est une mathématique sonore et la mathématique une musique silencieuse".
Le soutien de mon école et de mon entourage m’a permis de continuer dans les deux voies, sans avoir à choisir. J'ai besoin des études et de la musique, cet équilibre est devenu une habitude. En ce sens, Estelle Mossely est un de mes modèles, car elle a réussi à mener de front sa carrière de boxeuse et ses études à l'ESILV. Suivre l'actualité de Théo Isambourg.
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