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Channel: ESILV Ecole d'Ingénieurs
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De Vinci Career Fair 2020 : un forum virtuel pour trouver son stage à l’ESILV

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Si les événements physiques de recrutement sont supprimés en cette période de distanciation sociale, l'ESILV continue à accompagner ses élèves-ingénieurs dans leur recherche d'entreprise. Décliné en format virtuel, le De Vinci Career Fair 2020 a permis de mettre en relation plus de 1 000 étudiants avec des centaines de recruteurs de tous les secteurs de l'ingénierie.

Aider les étudiants du Pôle Léonard de Vinci à trouver un stage, c'est le but du De Vinci Career Fair organisé en octobre. Ce forum 100 % online a permis aux étudiants, malgré le contexte actuel, de découvrir, d’échanger et de postuler aux offres d’entreprises aux domaines d’activités variés en prenant rendez-vous directement dans l’agenda des recruteurs ou en passant des entretiens par téléphone ou en visio.
Les étudiants de l'ESILV effectuent trois périodes de stage. En 2e année, un premier stage (intitulé "de découverte) permet aux élèves-ingénieurs de découvrir le milieu professionnel. Ensuite en 4e année, un stage de 4 à 5 mois les aide à mettre en pratique les premières connaissances techniques et à mieux appréhender le fonctionnement de l’entreprise.
Pour valider le diplôme d'ingénieur ESILV, le stage de fin d’études de 5 à 6 mois permet de mettre en application les compétences professionnelles et constitue une véritable première expérience professionnelle.

Offres de stages pour toutes les majeures ESILV

Plus de 80 entreprises partenaires du Pôle Léonard de Vinci, dont  des grands comptes tels Pernod Ricard, Oracle, Capgemini, PWC ont répondu présent pour rencontrer les étudiants à la recherche d'un stage. Pendant 7 jours, près de 2 400 créneaux de rendez-vous ont permis aux étudiants de rencontrer des recruteurs de tous les domaines d'activité couverts par les 9 majeures du cycle ingénieur : aéronautique, automobile, finance, e-santé, informatique ... Parmi les offres proposées aux étudiants ESILV on compte plusieurs opportunités au sein des entreprises prisées par les élèves des écoles d'ingénieurs.

Altran

  • Assistant(e) Ingénieur(e) d’Affaires en génie climatique
  • Modélisation du comportement thermique d’un GMP hybride sous Matlab/Simulink
  • Ingénieur Modélisation et Simulation Thermique et Energie Pile à Combustible

Accenture

  • Consultant.e Technology Junior
  • Consultant.e Junior – Accenture Consulting

Engie Solutions

  • Business Development E-santé
  • Ingénieur lean management et transformation
  • Assistant(e) Ingénieur(e) d’Affaires en génie climatique

Orange

  • Ingénieur Développement Support Sécurité (Orange Cyberdefense)
  • Ingénieur Intégration Endpoint
  • Management des crises cyber (Orange Cyberdefense)
  • DevSecOps (Orange Cyberdefense)

Philips France Commercial

  • Chef de projet Informatique
  • Ingénieur d'application Radiologie
  • Ingénieur d'application Ultrasons
  • Business Development E-santé

PSA Groupe

  • Ingénieur généraliste-statisticien
  • Functional & safety designer
  • Etude ADAS de sensibilité des objets pour fusion Radar Camera véhicule Autonome
  • Assistant ingénieur modélisation des soussystèmes d'accès
Chaque année l’ESILV organise plusieurs moments d’échanges et de rencontres étudiants-entreprises, incontournables pour préparer l'insertion professionnelle des futurs ingénieurs. Le De Vinci Career Fair permet aux étudiants de mieux cerner les attentes des recruteurs et les profils de poste d’ingénieur recherchés et ainsi trouver un emploi, souvent avant leur sortie d'école.

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Big data & tourisme : Un article de recherche ESILV sélectionné pour la conférence WISE de rang A

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Depuis des années, les enseignants-chercheurs de l'ESILV s'attachent à comprendre et à améliorer le secteur du tourisme grâce au big data, à travers les travaux menés par le De Vinci Research Center. C'est dans ce contexte que l'article de recherche « Indicators for Measuring Tourist Mobility », co-écrit par deux enseignants et un étudiant de l'ESILV, s'est illustré dans le cadre de la conférence WISE 2020, un événement international de rang A, la classification la plus selective dans la recherche en informatique.

Analyser le comportement touristique à partir des données provenant des réseaux sociaux prescripteurs tels que Tripadvisor est l'une des grandes préoccupations du groupe Digital du De Vinci Research Center - DVRC, le centre de recherche transversale du Pôle Léonard de Vinci.

Des partenariats de longue durée autour du big data  dans le tourisme

Ces travaux de  longue haleine ont été engagés dans le cadre de partenariats développés par l'ESILV avec différentes métropoles françaises autour des liens entre réseaux sociaux, big data et tourisme.
Le plus récent en date est le projet « Big Data & Tourism », un partenariat R&D entre le De Vinci Research Center et la Métropole Européenne de Lille (MEL).
Les derniers travaux, produits par Sonia Djebali et Nicolas Travers, enseignants-chercheurs à l'ESILV, membres du groupe Digital du De Vinci Research Center, et Nicolas Loas, promo 2021, ont été présentés à l'occasion de l'événement WISE 2020, Web Information Systems Engineering. 

Une conférence internationale très bien cotée dans le monde de la recherche

Cette conférence internationale de rang A, très bien cotée dans la recherche en informatique, met en avant les efforts des chercheurs dans les sujets liés aux systèmes d'information sur le Web : analyse, machine learning, optimisation, traitement des données. Chaque année, elle s'impose comme un espace international privilégié, où les chercheurs, les professionnels et les industriels partagent leurs connaissances et points de vue dans les domaines en pleine croissance des technologies du Web.
Cet événement de quatre jours s'est déroulé en ligne, pour la première fois depuis 2000 et regroupe une sélection de travaux classés en 7 catégories : network embedding, graph neural network, social network, graph query, knowledge graph and entity linkage, spatial temporal data analysis, service computing and cloud computing.
Dans la catégorie "spatial temporal data analysis" on retrouve l'article co-signé par Sonia Djebali, Nicolas Loas et Nicolas Travers.

« Indicators for Measuring Tourist Mobility »

Les traces numériques laissées par les utilisateurs actifs sur les réseaux sociaux sont devenues un moyen populaire d'analyser le comportement des touristes. La grande quantité de données générées par les touristes fournit un indicateur clé pour comprendre leur comportement selon différents critères. Les analyses de la circulation des touristes ont un rôle crucial dans le marketing du tourisme pour renforcer les outils de prise de décision pour les professionnels du tourisme. L'article "Indicators for measuring tourist mobility" vise une approche bidirectionnelle. D'un côté, il propose une méthodologie de manipulation de graphes géodésiques (géographie + temps) à différentes échelles, et de l'autre, il fournit les analyses nécessaires pour comprendre la manière dont les touristes circulent sur le territoire basé sur les graphes.
Le premier aspect repose sur une base de données orientée graphe Neo4j qui permet de fournir la possibilité de manipuler les graphes, ici un réseau de zones géographiques (villes, cantons, départements, pays). Ainsi, ils sont à même de produire différents graphes, en faisant varier les années et les nationalités. Par exemple, ils ont été en mesure de produire le graphe de circulation des touristes sur la Gironde par les Anglais, et le comparer à celui des Français.
La seconde étape consiste à prendre deux graphes sur une même zone et les rendre comparables. Pour cela, ils reposent sur un algorithme sur les graphes mesurant la centralité des nœuds, en particulier le PageRank (créé par Google en 2007), en produisant un nouveau facteur de comparaison de graphes : le Circulation Factor. Ainsi, les deux enseignants et l'étudiant ESILV sont à même de comparer les circulations différentes nationalités ou l’évolution annuelle.
La contribution de ce travail est donc double : construction d’une base de données favorisant la manipulation de graphes géodésiques, et une mesure de comparaison de graphes géodésiques.
Ces travaux sur les graphes de circulation touristique ouvrent de nouvelles pistes de recherche, telles que des études de propagation sur ces graphes et l’implémentation de nouveaux algorithmes de centralité dans les bases de données graphes. Grâce à ces nouvelles méthodologies de calcul et à ces outils innovants d'analyse géographique et spatiale, ce projet de recherche fournit aux acteurs de tourisme plusieurs  pratiques de traitement des données grâce au Big Data.

La récompense d'un très bon parcours au sein du De Vinci Research Center

Nicolas Loas, promo 2021, a commencé ces travaux dans le cadre de son parcours Recherche au sein du De Vinci Research Center, lors de sa 4e année du cycle ingénieur.
"Mon rôle dans l'article fut en deux parties, la première centrée sur l'état de l'art. Cela consiste à trouver un maximum de travaux déjà réalisés dans le domaine qui concerne notre projet, dans notre cas c'était focalisé sur l'analyse de graphe mais également sur l'analyse de comportement touristiques.
La deuxième partie quant à elle était centrée sur les expérimentations. Cette partie consistait à effectuer les différents calculs sur nos données touristiques existantes. C'est une étape très rigoureuse, car en effet on n’est jamais à l'abri de faire des erreurs dans les calculs et nous sommes responsables de la validité de nos résultats."
L'écriture de cet article pour la conférence WISE a été pour moi la meilleure expérience dans le cadre de mon parcours recherche, aussi bien au niveau personnel que professionnel.
Il faut aussi préciser que la publication d'un article dans une conférence ou une revue scientifique est une validation de notre travail de recherche et est donc vraiment encourageante, c'est une vraie reconnaissance de notre contribution à la communauté scientifique", précise Nicolas, étudiant de la majeure Informatique, objets connectés et sécurité.

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DeVinci Study Abroad Fair : Trouver un stage ou un établissement à l’étranger en école d’ingénieurs

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Le Study Abroad Fair, le salon annuel des études à l'étranger, facilite la mobilité des élèves-ingénieurs, en ces temps particuliers de restrictions sanitaires liées à la COVID-19, en permettant aux étudiants d'échanger en direct avec les établissements partenaires de l'ESILV.

Cette année, le salon du Pôle Léonard de Vinci pour étudier à l'étranger s'est déroulé entièrement en digital. Le 6 novembre, plus de 60 universités de tous les continents se sont connectées en ligne pour échanger avec les étudiants des trois écoles, l'ESILV, l'EMLV et l'IIM et répondre à toutes leurs questions concernant les départs pour l'année 2020 - 2021.
À l'ESILV, plus qu'un moyen unique de se confronter à de nombreuses réalités, les départs à l'international font partie des conditions obligatoires pour valider le diplôme d'ingénieur.
Les étudiants sont amenés à effectuer au moins un semestre à l'étranger pendant les 5 années de la scolarité. Ils peuvent s'expatrier en 3e et/ou 5e année, en choisissant une université partenaire du Pôle Léonard de Vinci, un stage à l'étranger ou un  parcours dans le cadre d'un laboratoire international de recherche. Les élèves-ingénieurs qui poursuivent la 5e année dans un établissement partenaire peuvent obtenir un double diplôme à l'international.

Des partenariats aux quatre coins du monde

Grâce aux stands digitaux, les étudiants des promotions 2024 et 2022 ont pu obtenir en temps réel toutes les informations nécessaires à un départ en échange, auprès des conseillers des établissements partenaires. Que ce soit par le biais des conférences Zoom ou directement sur le chat en ligne, les partenaires du Pôle Léonard de Vinci ont présenté leur offre de formation et de programmes d'échanges académiques.
Parmi les universités partenaires de l'ESILV présentes cetté année au De Vinci study Abroad Fair, on note l'Université de Science et Technologie de Hanoi Vietnam, l'Institut d'Ingénierie de l'Université Hanze de Sciences Appliquées, la Haute Ecole d'Ingénierie et de Gestion du Canton de Vaud Suisse et le Département d'ingénierie pour l'innovation de l'Université de Salento Italie.
Que ce soit dans les domaines de l'informatique, des objets connectés et de la sécurité, de la modélisation et mécanique numérique, ou dans les secteurs de la santé biotech, des énergies et des villes durables, les filières présentées par ces universités internationales couvrent tous les niveaux de formation, du bachelor au doctorat.

Trouver un stage ingénieur à l'étranger

Le Département Partenariats Entreprises a été présent pour une conférence Zoom autour de la recherche de stage à l'international. Au menu de ces échanges, l'optimisation du CV et de la lettre de motivation, grâce aux projets, aux compétences transversales, aux concours et ecxpériences associatives en école d'ingénieurs.
"Chaque candidature doit être travaillée par rapport au pays visé. Il faut également un CV et une lettre de motivation à jour, personnalisés pour chaque entreprise. Et surtout ne pas oublier d'être présent sur tout ce qui est réseau social professionnel." (Sébastien Louet, responsable de la Direction Relations Entreprises)
Plus qu'un enseignement clé du cycle ingénieur, la formation aux soft skills est également un élément de valorisation que les étudiants peuvent apposer sur leur CV.
"La préparation, par les équipes soft skills, c'est un point différenciant par rapport aux autres écoles. Les soft skills, ce sont vraiment des compétences demandées par les entreprises partenaires. Cela passe aussi par un bon CV, une bonne lettre de motivation, mise en avant de ses projets scolaires et personnels, et une préparation pour l'entretien face-à-face." (Sébastien Louet, responsable de la Direction Relations Entreprises)
La préparation et le suivi des candidatures sont des éléments-clés de la recherche de stage à l'international.
"Il ne faut pas hésiter à préparer un tableau excel avec vos candidatures : le nom de l'entreprise, le recruteur, le jour de votre candidature, le titre de l'offre et un lien de l'offre. Cela vous permet d'avoir un côté sérieux, rigoureux et de donner une bonne image de vous". (Sébastien Louet, responsable de la Direction Relations Entreprises)
Maîtriser l'art du networking en ces temps de crise passe par l'activation du réseau LinkedIn. "Il faut savoir qu'il y a environ 67% d'offres d'emploi qui ne sont pas diffusées sur les réseaux classiques. C'est ce qu'on appelle le marché caché. C'est par ces biais que Linkedin peut vous offrir des possibilités de réseautage importantes pour votre futur". Un stage à l'international est un réel plus pour les employeurs. C'est à partir de ce constat que l'ESILV met à disposition des étudiants plusieurs outils pour les aider dans leur recherche d'entreprises : des plateformes spécialisées proposant des offres exclusives de stages, et d'emplois de haut niveau et des conférences avec des grands comptes nationaux et internationaux.

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E-Fashion Awards 2020 : Une doudoune conçue au De Vinci Innovation Center, coup de cœur du jury

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Encapsuler la nature dans nos vêtements n'est plus un rêve pour certains créateurs de mode, mais bel et bien une réalité. C'est l'idée d'une doudoune en élastomère qui a été confectionnée avec l'aide de deux étudiants ESILV du programme Innovation, Research and Manufacturing. Présentée au concours E-Fashion Awards 2020, cette veste innovante a remporté le prix "Coup de coeur" du jury.

Le projet "Doudoune pneumatique Symbiose" a été réalisé au De Vinci Innovation Center en collaboration avec Auréliane Catteeu, étudiante en école de mode. Pour réaliser sa ligne de vêtements « ECHO TECH FUSION » ayant pour thème l’interaction entre le végétal et la technologie, cette créatrice de mode a fait appel à deux étudiants de l'ESILV, membres du programme Innovation, Research and Manufacturing : Thibault Charlet , promo 2022 et Madalina Nicolae, promo 2021. La doudoune qui encapsule des éléments de végétation a été remarquée par le jury du concours E-Fashions Awards 2020, qui a décerné à la jeune créatrice soutenue par les étudiants ESILV le prix "Coup de coeur".

Élastomère et végétation, la représentation de la relation de l'homme avec la nature

Inspirée par l'interaction de l'homme avec la nature, la doudoune pneumatique Symbiose mêle deux éléments apparemment inconciliables : l'élastomère et les éléments de végétation.
« Je veux qu’elle démontre visuellement la réconciliation entre ces deux univers en introduisant de l’émotion, de la remise en question, et notre rapport à la matière avec cette avancée technologique. » (Auréliane Catteau)
Manipuler une technologie comme l'élastomère, régulièrement employée dans le cadre du lab « Soft & Active Matter » du De Vinci Innovation Center, pour créer un vêtement esthétique qui s'unirait avec la nature, a posé un défi d'ampleur aux deux étudiants du De Vinci Innovation Center.
"En effet, l’élastomère a la particularité de ne pouvoir être manipulé que pendant une période très courte de temps dans son état liquide, avant qu'il entre dans sa phase de durcissement.
De plus, ce matériau n’adhère quasi-exclusivement qu’à lui-même et ne peut être cousu, étant donné sa grande vulnérabilité au déchirement. Nous étions donc face à une matière complexe à manipuler, impossible à coudre, avec pour objectif la réalisation d’un vêtement représentant environ 3m² de surface.", nous explique Thibault Charlet.

Le programme Innovation, Research and Manufacturing, un dispositif générateur de valeurs

Malgré la difficulté du travail pour assurer une hérmetisation parfaite et l'insertion d'un réseau de nervures phosphorescentes d'un circuit électronique, l'idée de la jeune créatrice a pu être concrétisée.
"La collaboration avec des ingénieurs étudiants de l'école ESILV m'a permis d'intégrer des composants électroniques aux vêtements qui diffusent eux-mêmes des effets de lumière mettant l'environnement en valeur de nuit." (Auréliane Catteau)
"Au terme d’un travail incroyablement chronophage (chaque pièce d’élastomère ayant besoin de 2 heures pour sécher) le projet a finalement tenu sa promesse", ajoute Thibault Charlet.
Devenu une référence pour les jeunes talents, le concours E-Fashion Awards est basé sur trois piliers qui se complètent et se renforcent mutuellement : mode, digital et nouvelles technologies. Le thème de cette année était dédié à « l’ambition responsable » et à l’innovation de rupture. Les 16 finalistes ont été choisis parmi 87 participants.
Au sein du De Vinci Innovation Center, le programme IRM de niveau Mastère offre une opportunité unique aux étudiants de développer simultanément des compétences scientifiques, de design et de business. À travers une série de cours fondamentaux, les étudiants explorent de nouvelles technologies de pointe comme les matériaux intelligents, les réalités mixtes, l’intelligence artificielles, le bio-hacking et bien d’autres afin de développer de nouveaux produits innovants.

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European Cyber Week 2020 : 4e place pour l’ESILV à la finale du Capture The Flag

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L'ESILV a obtenu la 4e place sur 12 équipes écoles qui étaient engagées sur le challenge final "Capture The Flag" de l'European Cyber Week 2020. Une vraie performance pour les 4 étudiants qui ont défendu en équipe les couleurs de l'ESILV pour sa 3e participation à ce concours phare de la cybersécurité ouvert aux étudiants européens.

Arrivé à sa cinquième édition, ce concours co-organisé par la Région Bretagne, Diateam, Thales et Airbus Cybersecurity donne l'occasion aux étudiants de l'enseignements supérieur de mettre à l'épreuve leurs compétences dans la cyberdéfense ou la cybersécurité. Chaque année, les épreuves techniques de qualification visent à déceler les meilleurs talents qui se réunissent à Rennes pour la finale de l'ECW. En 2020, 5 étudiants ESILV se sont particulièrement illustrés lors du CTF de pré-sélection de l'European Cyber Week : Louis Wolfers (promo 2022), Lucas Bichet (promo 2021), les deux étudiants de la majeure Informatique, objets connectés et sécurité et Alexis Godin, Ciaran Gruffeille  et Clovis Carlier, tous les 3, étudiants de la promo 2023.

Le challenge final Capture the Flag 2020 : déjouer une cyber-attaque des élections présidentielles

La finale challenge CTF a vu s'affronter 48 participants, répartis en 12 équipes de 4, avec maximum 2 équipes par école. L'un des membres de l'équipe ESILV a été séléctionné pour compléter la team d'une autre école qualifiée pour la finale. Le 18 novembre, à 9 h 00, les finalistes recevaient les instructions de ce challenge entièrement en ligne. Le scénario de cette édition 2020 était le suivant :
«Suite à la crise COVID19, afin que la vie démocratique reprenne tous ses droits, les états ont massivement adopté le vote électronique réduisant le risque sanitaire.
Cependant, alors que des élections présidentielles s’organisent simultanément dans plusieurs pays du globe, des informations convergentes circulant sur le Dark web laissent penser que des groupes de hackers s’organisent pour perturber celles-ci.
Simple acte de piraterie ou opération d’ingérence? Devant ce risque, les services de renseignement d’Europol ont alerté les différents états concernés."
L'objectif de ce challenge final ? " Mobiliser des équipes d’experts en cyber sécurité pour renforcer la sécurité des infrastructures de vote électronique des 12 états et garantir le bon déroulement de leurs élections."

​Des épreuves variées dans un temps limité, avec une bonne cohésion d'équipe 

L'équipe ESILV a commencé sa mission directement connectée à l’intérieur du centre d’opérations de supervision d'une infrastructure de vote qui représentait la Grande-Bretagne. Au fil des épreuves, elle a dû :
  • Cartographier le réseau du site afin d’en identifier les différents services et éventuelles vulnérabilités
  • Reprendre le contrôle des systèmes compromis par les attaquants et d’en rendre compte
  • Renforcer la sécurité des infrastructures connectées
  • Enquêter sur le groupe d’attaquants à l’origine des cyber-attaques
Une aventure qui ne manque pas de sel pour les finalistes ESILV. "Chaque challenge était sur une machine différente, et le plus intéressant, c’est que nous avions accès à toutes les machines, même celles qui étaient dédiées aux autres équipes, il nous était donc possible d’aller leur « voler » des challenges avant qu’ils ne les résolvent.
Nous n’avions pas vraiment réparti les rôles dans notre équipe, mais cela s’est fait très naturellement, chacun allait au fur et a mesure que l’on découvrait des machines dans le réseau, faire les challenges sur lesquels il était le plus à l’aise", nous raconte Clovis Carlier.
Malgré un début difficile, la team ESILV a su se redresser rapidement, grâce à une bonne cohésion d'équipe et à une agilité à toute épreuve. "Nous avons eu un départ difficile car nous sommes restés derniers une majeure partie de la matinée : nous avions du mal avec cette première phase de « reconnaissance » réseau, mais une fois débloqués nous avons enchainé les challenges pour même atteindre la 3ème place pendant l’après-midi. Nous nous connaissons bien et savons de quoi chacun est capable, et notre bonne communication et prise de note commune à été cruciale jusqu’aux dernières minutes, nous avons même réussi à deux minutes de la fin du CTF, en nous mettant à 4 sur le dernier challenge, à le valider pour nous et à « voler » celui de toutes les autres équipes !", explique Clovis. Ce résultat démontre l’intérêt porté par les étudiants ESILV à des compétitions techniques, allant au-delà de la formation académique.
"C’était pour moi la première finale de CTF à laquelle je participais et l’ambiance était exaltante et j’en garderai un super souvenir. J’espère vraiment pouvoir continuer sur cette lancée et montrer qu’il y a un véritable engouement pour la cybersécurité au sein de l’ESILV", note Clovis Carlier.
La majeure Informatique, objets connectés et sécurité couvre les deux dernières années du cycle ingénieur à l'ESILV. Elle vise à former des ingénieurs en informatique à même d’appréhender la conception et le développement d’objets ou de services connectés, de systèmes sécurisés et de les intégrer dans les écosystèmes d’entreprise.

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L’ESILV labellisée « Bienvenue en France » par Campus France

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L'ESILV a obtenu le label "Bienvenue en France" qui atteste de la qualité de l’accueil réservé aux étudiants internationaux. Actuellement, seulement 29 écoles d'ingénieurs sur un nombre total de plus de 200 établissements existants en France ont été labellisés par Campus France dans le cadre de cette campagne.

Ce label accordé par Campus France a été instauré dans le cadre du programme "Bienvenue en France" visant à attirer davantage d'étudiants étrangers en France. Il met en avant les établissements d’enseignement supérieur qui ont développé des dispositifs d’accueil des étudiants internationaux.
L'ESILV fait partie des 102 établissements labellisés "Bienvenue en France" suite à la dernière comission de labellisation réunissant les conférences d'établissement (CPU, Cdefi, CGE), le Hcéres, la CTI et Campus France. 
Seulement 29 écoles d'ingénieurs françaises sur plus de 200 détiennent cette certification donnant une garantie de qualité reconnue et certifiée par l’État.

Les indicateurs de qualité pour l'accueil des étudiants internationaux

Le label "Bienvenue en France" décrit des mesures et des actions concrètes qui concernent directement la vie quotidienne des étudiants internationaux en France et aidera ces derniers à gérer leur arrivée et les procédures administratives. L’évaluation porte sur vingt indicateurs divisés en cinq thèmes principaux : la qualité et l’accessibilité de l’information, la qualité et l’accessibilité des dispositifs d’accueil, l’accessibilité et l’accompagnement des enseignements, le logement et la qualité de vie de campus et la qualité de suivi post-diplômant. Parmi ces critères de qualité reconnus par Campus France on note plusieurs initiatives portées par l'ESILV : l'existence d'un site institutionnel traduit en anglais, la dématérialisation des procédures de candidature pour les étudiants internationaux via la plateforme d'admissions internationales Léonard de Vinci, des événements d'entrée et d'intégration proposés grâce au service de relations internationales, offre de cours en anglais, accompagnement vers l'entrepreneuriat grâce à l'incubateur Devinci start-up, un réseau d'anciens qui intègre également les étudiants internationaux...
Enseignée entièrement en anglais, la 4e année du cycle ingénieur permet d'acquérir les fondamentaux de la majeure choisie, tout en éveillant les participants à l’interculturalité.
Le label "Bienvenue en France" confirme la validité du projet pédagogique de l'ESILV, qui parie sur l'ouverture internationale pour nourrir le projet personnel et professionnel de ses élèves et former des ingénieurs disposant d'une sensibilité multiculturelle et d'expériences multiples à l'étranger

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Coup2Boost : un projet ESILV, deuxième prix décerné par Sogeprom

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Le 24 novembre dernier, l’équipe ESILV porteuse du projet EcoLight a remporté le 2e prix de l’entreprise Sogeprom dans le cadre de la finale "Coup2boost", le concours challengeant les meilleurs  projets entrepreneuriaux étudiants de France.  Le projet "Ecolight" de l'équipe ESILV a conquis les représentants de Sogeprom, la filiale de promotion immobilière de Société Générale, lors de la dernière finale du concours Coup2Boost.
Manon Foulon, majeure Actuariat, Océane Görke, Damien Rheny, majeure Data & Intelligence artificielle et Antoine Riouallon, tous 4 étudiants de la promotion 2022, ont proposé dans le cadre du Projet de l’Ingénieur Numérique Généraliste, ou PING, une solution qui permet de réduire la consommation d'électricité par les villes.
Grâce à un système d'éclairage intelligent qui s’adapte à la circulation de nuit, les étudiants ESILV se joignent aux efforts de limiter le gaspillage électrique.

EcoLight : des capteurs de pression pour réduire l'éclairage de nuit des voies publiques

Actuellement, plus de 40 millions de voitures circulent en France, ce qui représente 27.9 mégatonnes de CO2 dans la production d’énergie par an. Et la majorité du trafic routier se fait le jour. Sur certaines routes ou le passage nocturne n’est pas fréquent, laisser les lampes allumées toute la nuit représente un réel coût économique et écologique inutile. 
 C'est à partir de ce constat que les étudiants ESILV se sont lancé comme défi de trouver une manière de permettre aux villes de consommer moins d’énergie en éteignant les lampadaires la nuit, et en les allumant seulement au passage d’un véhicule. 
ÉcoLight, la solution qu'ils proposent, consiste à placer des capteurs de pression directement sur les routes. "Ainsi, à chaque passage d’un véhicule sur le capteur, cela fera comme office d’interrupteurs pour les lampadaires qui alors s’éclaireront. Notre produit innovant nécessite un minimum de travaux sur la route et est composé principalement de matériaux recyclés", nous explique Damien Rheny. Ainsi, ce système connecté aux lampadaires permettrait d'éclairer les routes en fonctions des besoins et non en continu comme c'est actuellement le cas dans la majeure partie des villes.
Tout comme des entrepreneurs voulant ouvrir leur startup, avant de se lancer dans l'aventure, les étudiants ESILV sont passés par la méthode dite "lean canvas". Dans l'entrepreneuriat, le lean canvas est décrit comme un outil permettant de se documenter et de valider son business model. En ingénierie, cette méthode sert à étudier les différents problèmes et à poser les bonnes questions.
Comment concevoir des capteur résistants aux intempéries ? Comment adapter ce système aux différents communes ? Quels clients cibler ? Quelle concurrence sur le marché des solutions d'éclairage urbain ?
En deuxième phase, l'équipe ESILV a lancé une vaste campagne d'appels téléphoniques auprès des mairies pour cibler les villes qui auraient le plus besoin de ce système. Après une étape d'analyse fonctionnelle et structurelle pour matcher les fonctionnalités du produit avec les besoins des utilisateurs, les 4 élèves-ingénieurs ont élaboré un prototype numérique du produit final.
Classée 2e, à l'issue de la finale digitale, la solution EcoLight va bénéficier de l'accompagnement de Sogeprom pour le développement concret de ce projet entrepreneurial.

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Mathilde, promo 2024, une rentrée décalée et une réorientation en école d’ingénieurs

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Mathilde Barbier, promo 2024, fait partie des étudiants intégrés à l'ESILV qui ont choisi de se réorienter grâce à la rentrée décalée en école d'ingénieurs. Après un semestre acceleré, avec plusieurs mois de confinement en prime, Mathilde a rejoint les autres élèves-ingénieurs en deuxième année de prépa intégrée.

Le parcours Restart Postbac au sein de l'ESILV permet d’intégrer une école d’ingénieur en février sans perdre la première année du cursus ingénieur en 5 ans. Un choix qui s'impose lorsque l’on se rend compte que le cursus démarré en septembre ne correspond pas à ses attentes. Mathilde, promo 2024, n'a pas hésité à faire le passage des études de santé à l'école d'ingénieurs et aujourd'hui, elle se réjouit. Témoignage.

Réorientation après un trimestre de PACES

Avant d’intégrer l’ESILV j’étais en PACES (Première Année Commune aux Etudes de Santé) à La Sorbonne. J’ai décidé de me réorienter dans une école d’ingénieurs car je me suis rendu compte que ces études ne correspondaient pas à mes aspirations. La réflexion et les mathématiques me manquaient particulièrement.
J’ai décidé d’intégrer l’ESILV car c’est une excellente école, j’avais eu de très bons retours des étudiants de l’école et la vie associative du Pôle me faisait envie !
En effet rattraper un programme d’une année est un véritable challenge ! Le rythme en Restart est intense et il faut s’accrocher mais c’est vraiment faisable.
Pour ma part, le semestre que j’avais fait en PACES m’a permis de trouver ma méthode de travail et de me surpasser ce qui m’a été très utile pour répondre aux exigences de ce programme.
En effet, j’ai appris à travailler de manière efficace sur une longue durée, à m’organiser, à connaître mes points forts, mes limites. Mais aussi à mettre tout en place autour de moi pour atteindre mes objectifs.
J’ai également appris à gérer le stress lors des concours, des examens, partiels… ainsi que la « concurrence ». Savoir comment on fonctionne est primordial pour réussir !
En Restart nous n’avons pas de cours magistraux, le déroulé des cours est similaire à celui du lycée. Nous étions une classe de 40 étudiants. La cohésion, l’entraide ainsi que la proximité avec les professeurs nous ont permis de mieux vivre le confinement et de valider notre année.

Une transition vers la 2e année de prépa intégrée en douceur

La particularité de la classe Restart est que nous avons tous eu auparavant des expériences différentes. Certains étaient en prépa, en première année de licence, d’autres en école d’ingénieur … Nous n’avions donc pas tous le même niveau en arrivant en Restart.
Les étudiants venant comme moi de PACES avaient par exemple de l’avance en électronique ou en thermodynamique, tandis que d’autres étudiants venant de prépa avaient de l’avance en mathématiques. Mais globalement cette différence n’était plus ressentie comme un réel problème au bout de quelques semaines.
En arrivant en deuxième année, je dirais que la principale différence avec les autres étudiants est certainement dans les automatismes et les réflexes face à des notions vues en première année. La différence entre 4 mois et 9 mois pour ancrer les mêmes connaissances est non négligeable. Il faut donc sans doute maintenir un surcroît d’efforts en deuxième année pour consolider tout ce que nous avons pu apprendre auparavant.
Les autres étudiants de deuxième année sont très bienveillants vis-à-vis des Restart et répondent à nos questions si certains points sont incompris ou autre. 
En ce qui concerne le métier que je souhaiterais faire, mon choix reste encore flou. J’hésite entre deux majeurs très différentes : Santé Biotech et Actuariat. Santé Biotech car le domaine médical m’a toujours intéressée et que les projets au service de l’humain me tiennent à cœur. Cependant, les Big Data et la finance sont des sujets qui m’intéressent de plus en plus. 

Se réorienter pour se sentir à sa place dans ses études supérieures

Si je devais donner un conseil aux étudiants qui souhaitent se réorienter : le plus important c’est de se sentir dans une dynamique positive et de faire des études dont les matières et les façons d’apprendre nous correspondent.
Pour ma part je n’étais pas heureuse en PACES. J’ai beaucoup hésité à me réorienter car être médecin était un projet qui m’avait beaucoup stimulée pendant 3 ans.
Ce n’est pas une décision facile à prendre. Mais depuis que je suis arrivée à l’ESILV je suis réellement épanouie et je pense que c’est le plus important. De plus, la diversité des associations du Pôle permet à chaque étudiant de s'impliquer plus personnellement durant sa scolarité et de partager davantage de choses avec les autres étudiants. Si jamais le programme Restart vous tente, n’hésitez pas vous n’avez rien à perdre !

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Matière souple et active : un espace pour créer des matériaux intelligents au sein du De Vinci Innovation Center

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Les matériaux intelligents ou "smart materials" trouvent de plus en plus d'applications dans tous les domaines, à commencer par celui de la santé. Au sein du De Vinci Innovation Center, les étudiants de l'ESILV se sont engagés dans des projets qui pourront transformer, à terme, des marchés comme le sport et le bien-être, l'éducation et la rééducation. C'est dans ce sens que l'espace de matière souple et active s'impose comme un dispositif d'expérimentation et d'innovation au service de l'humain.

De Vinci Innovation Center, engagé dès 2019 dans une démarche d'acquisition d'équipements de pointe, se prépare à relever le défi des matériaux intelligents. En jouant  sur les propriétés physicochimiques et en manipulant les technologies encapsulées dans les diverses matières, les étudiants du Pôle Léonard de Vinci sont formés au développement de nouveaux matériaux souples et actifs.
Qu'il s'agisse de robotique souple, d'organes artificiels ou de textiles connectés, ces technologies ouvrent de nouvelles nouvelles opportunités et possibilités dans les domaines de la m-santé, des wearables ou du sport.
Zoom sur trois projets développés par des étudiants du parcours Innovation, Research et Manufacturing au sein de l'espace "Matière souple et active".

Un corset intelligent pour faciliter le traitement de la scoliose

Passionnée par la couture et la santé, Marie Julou, promo 2023,  s'est lancé comme défi d'utiliser les textiles afin d’améliorer la santé de tous.
"Je me suis alors vite intéressée à l’e-textile. L’idée du corset intelligent a émergée lorsque je discutais de la façon dont les industriels taillaient les vêtements en série par rapport à la diversité des morphologies. Malheureusement, c’est aussi le cas pour le matériel médical qui n’est pas forcément adapté à tous les corps.
Et quand bien même on pourrait l'adapter, le procédé est très coûteux en temps. C’est pourquoi j’ai voulu essayer de créer un vêtement qui prend directement les mesures de la personne qui la porte.
Je travaille actuellement sur les capteurs de déformation mécanique et de pression qui constitueront le vêtement. Ils serviront à récolter le plus de données sur la morphologie de la personne (mesurer le tour de taille, tour de hanche, pression exercée sur la peau etc).
Je pensais justement jouer sur la déformation du tissu pour ses capteurs, en intégrant au tissu des petits capteurs d’étirement.Ce projet servira d’outil pour les orthoprothésistes qui doivent prendre beaucoup de mesures pour concevoir des corset orthopédique (pour le traitement de la scoliose) notamment pour l’enfance et l’adolescence où les mesures doivent être faites régulièrement."

Sensitive Pen : un stylo connecté pour remédier aux problèmes d'écriture

Cédrine Socquet, étudiante à l'IIM, promo 2023, s'intéresse aux technologies pouvant aider au diagnostic et à l'identification des pathologies associées à l'écriture.
"Le « Sensitive Pen » est un projet né de la collaboration entre le DVIC et le Motion Lab du CRI (Centre de Recherche Interdisciplinaire, Université de Paris). C’est dans le cadre d’une thèse réalisée au CRI par Ana Phelippeau (psychomotricienne et doctorante), encadrée par Joël Chevrier (professeur et chercheur en physique), que j’ai été chargée de créer un outil de mesure afin de quantifier le geste d’écriture chez l’enfant.
A ce jour, il n’existe pas encore d’outils pour observer finement et mesurer l’apprentissage de l’écriture chez l’enfant. L’écriture fait pourtant partie de notre quotidien et est un apprentissage fondamental. De nouveaux outils technologiques adaptés pourraient non seulement aider à l’automatisation de récupération de données, ce qui représente un gain de temps considérable, mais aussi à avoir des mesures plus objectives. Car à ce jour les mesures se font “à l'œil" via des enregistrements vidéo.
C’est pourquoi, je me suis lancée avec Ana dans la conception d’un stylo “hyper connecté” c'est-à-dire ayant la capacité de déterminer comment l’enfant tient son stylo, à l’aide de différents capteurs présents directement sur le stylo.
Pour pouvoir quantifier, mesurer et suivre la maturation du geste d’écriture chez l’enfant en fonction de son développement neuro-psychomoteur au cours d’un test réalisé avec un·e psychomotricien·ne, ce stylo doit avoir la capacité d’enregistrer en temps réel :
  • la trace écrite laissée sur le papier/ la graphie de l’encre (du stylo) sur le papier
  • l’orientation du stylo dans l’espace
  • la position et le nombres de doigts tenant le stylo
  • la pression des doigts sur le stylo
  • la pression de la mine du stylo sur le papier

Doctorat Computer-Human Interaction : concevoir une peau synthétique souple et sensible pour des prothèses

Après sa diplomation, Brice Parilusyan, promo 2020, majeure Informatique, objets connectés et sécurité, s'est lancé dans une thèse de doctorat dans le domaine de l'interaction Humain-Machines (Computer Human Interaction -CHI).
"Ma thèse consiste en la création de capteurs et actuateurs (qui créent un mouvement, comme un muscle) à partir de matière souple (silicone, textile, latex), en anglais on appelle ça de la "soft robotic". Ces éléments ,je les développe afin de pouvoir améliorer les prothèses humaines, que ce soit au niveau de la force qu'elles peuvent déployer, son poids, mais aussi son apparence. Ces matériaux ont en effet d'excellentes propriétés mécaniques et élastiques sous-exploitées, et ont surtout l'avantage de pouvoir adapter leur forme en fonction des besoins.
Le fait de vouloir modifier l'apparence des prothèses vient du constat qu'elles ont tendance à avoir un côté trop "robotique". Ce qui fait un contraste très fort avec le corps du porteur, et entraine de sa part un rejet de la prothèse.
En voulant leur donner une apparence et un comportement plus humains, j'essaye de faire en sorte que le porteur identifier la prothèse comme une partie de son corps, et ainsi persévère dans son utilisation tout en lui apportant un meilleur confort.
Pour faire tout ça, je travaille avec l'entreprise Lynxter (https://lynxter.fr/). C'est une entreprise de création d'imprimantes 3D modulaire capable d'imprimer une grande variété de matériaux. J'ai la volonté de modifier l'imprimante afin qu'elle puisse me permettre d'imprimer les différents éléments électroniques et mécaniques de la prothèse."

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Deux ESILV à la tête d’une start-up pour investir en Bourse autrement

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Deux anciens diplômés de l'ESILV, des débats vidéo autour de plusieurs géants cotés en bourse et une start-up qui pense le conseil en investissement boursier autrement. C'est l'histoire de F² Square, une plateforme web co-créée par David Dupuis, promo 2016 et Paul Tesinieres, promo 2020, deux alumni ESILV qui tentent l'aventure entrepreneuriale au sein du Pôle Léonard de Vinci.

"F² Square", comme "financial freedom" ("liberté financière"), c'est une start-up qui veut rendre l'investissement en Bourse plus intelligent. C'est en avril 2020, en plein confinement, qu'a vu le jour ce projet porté par David et Paul, deux anciens élèves de l'École d'Ingénieurs Léonard de Vinci. Inspirés par des investisseurs avisés et célébres comme Warren Buffet et Peter Lynch, ces deux ingénieurs ESILV ont compilé de nombreuses références de culture financière pour proposer un condensé de conseils boursiers. Une idée qui a déjà ses fans sur la chaîne YouTube de l'entreprise. Témoignage. 

"Financial Freedom", un projet né sur les bancs de l'ESILV

Avec Paul, nous nous sommes rencontrés pendant que j’enseignais des cours d’algorithmes pendant sa 4e année à l’ESILV. Je l’ai encadré sur l’un de ses projets étudiants.  En février 2020, Paul m’a recontacté pour des conseils professionnels et nous avons continué à discuter à partir de là. Au moment du confinement dû à la crise du COVID-19, lors d’une de nos discussions, nous avons échangé des idées sur une plateforme pour nous aider à prendre des meilleures décisions d’investissement possible sur le marché de la bourse.
Nous avons commencé par travailler sur un projet à titre entièrement personnel. C’était bien notre première motivation que de monter un projet qui répondrait à nos propres besoins. C’est ainsi qu’est né F-Square, ou F², qui est simplement l’acronyme de Financial Freedom, le nom initial du projet de Paul.
Nous avons longuement discuté et réfléchi sur notre business modèle et encore aujourd’hui rien n’est gravé dans la pierre. Nous restons sur l’idée de développer une plateforme web qui met à disposition du grand public les données financières quantitatives et qualitatives pour aider les investisseurs du grand public à prendre de meilleures décisions d’investissement.  Pour le moment, en stratégie de monétisation, nous pensons mettre en place des fonctionnalités premiums pour des utilisateurs abonnés. 

Un service de conseil bourse pas comme les autres

Notre seul et unique service est la mise à disposition des informations nécessaires pour prendre des décisions plus intelligentes en investissement boursier. Ces données sont choisies en fonction des critères des plus grands experts financiers qui ont existé et qui sont, pour certains, toujours vivants aujourd’hui, par exemple Warren Buffett et Peter Lynch.
En services premiums, nous proposerons des filtres, des analyses et des alertes pour faciliter encore plus la recherche, l’analyse et ainsi réduire le temps que nos utilisateurs peuvent passer à trouver les ressources nécessaires pour les aider dans leurs choix d’investissements.
Tout d’abord, trop souvent, les sites boursiers omettent le fait que les actions sont le reflet d’une entreprise. Il y présentent des chiffres qui montent ou descendent, varient comme-ci ou comme-ça, et ainsi l’entreprise dans lequel vous investissez n’est plus qu’un amas de chiffres sans visage ni âme. Or, une entreprise, ce sont des dirigeants; c’est une vision, une stratégie; ce sont des produits et des clients. C’est un ensemble d’éléments qui font que le commerce de l’entreprise est en train de croître, de réussir ou de se détériorer et mourir.   
Si vous visitez un site boursier, vous pouvez ouvrir une page sur 10 entreprises différentes, appartenant à différents secteurs. Vous y verrez les mêmes ratios et les mêmes valeurs. Le profil des 10 entreprises sera grosso-modo le même, alors qu’elles sont toutes différentes et qu’elles ont chacune leur particularité. 
La question est drôle, car c’est bien une question que l’on pose à une start-up pour savoir si elle va pouvoir se démarquer et c’est quelque chose que l’on peut attendre de n’importe quelle entreprise. Or si on s’attend à ce que chaque entreprise cherche à se différencier alors pourquoi les présenter de la même façon lorsqu’on investit dedans en bourse? 
C’est ce que nous cherchons à faire chez F-Square. Nous voulons rappeler aux investisseurs que les entreprises ont chacune leurs particularités et que ces particularités qui ne sont pas toujours comparables peuvent en faire des très bons ou très mauvais investissements.
Deuxièmement, que ce soit forums ou sites boursiers, il existe aujourd’hui une fracture entre la discussion et les critères de réussite de l’entreprise. Avec notre plateforme, nous souhaitons réunir la communauté autour de la donnée et la faire discuter à même le rapport de l’entreprise.
De ce fait, notre objectif n’est pas seulement d’avoir l’avis de quelques experts mais celui de millions d’utilisateurs. Statistiquement, l’avis d’achat ou de vente d’une action sera plus précis que sur les sites boursiers existants.
Enfin, sachant que l’analyse financière est souvent compliquée, nous voulons être le plus clair et transparent possible pour nos utilisateurs. C’est ainsi qu’après avoir lu les plus grands titres de l’investissement en bourse, nous avons rédigé un ebook: “The Book of Investology”, que nous mettons gratuitement à disposition de l’utilisateur, une fois celui-ci inscrit sur notre plateforme. Ce livre de seulement 38 pages, rassemble l’essentiel de ce qui doit se savoir pour se lancer dans l’investissement.

“Epic Investing Battle” : un débat "Sell" ou "Buy" sur YouTube

Le “Epic Investing Battle” est un débat divertissant sur une entreprise en bourse. Ce sont deux personnes qui s’affrontent. L’une donne des arguments en faveur de l’achat (“BUY”) des actions et l’autre donne des arguments en faveur de la vente (“SELL”) des actions.  https://www.youtube.com/watch?v=Kmm0ZKD29A8&feature=youtu.be Ce débat d’environ 10 minutes, sous forme de vidéo sur Internet ou sous forme audio en podcast, a pour but de générer du trafic sur notre plateforme. L’opposition radicale des adversaires ainsi que le script du débat sont fait exprès pour inciter au débat des internautes. Nous voulons les pousser à la réflexion, à débattre du sujet et à pousser la réflexion encore plus loin. Les arguments du débat ne sont pas très développés car sur internet les médias longs ne sont pas valorisés. Nous envisageons cependant d’enregistrer un débat plus long et plus détaillé si nous avons du succès.  Cette première vidéo que nous avons publié a été vraiment très sympa à préparer. Avec notre collaborateur Navid, qui est notre caméraman et cinématographe, nous nous sommes acharnés pour la réaliser. 

Un projet né au sein du Pôle Léonard de Vinci

Aujourd’hui nous travaillons au pré-incubateur du Pôle Léonard de Vinci, le DeVinci Startup, géré par Maylis Gross et Julien Dudognon, des anciens camarades de promo. Nous avons également reçu beaucoup d’aide de différentes personnes de l’ALDV. Jean-Marc et Kevin, de la salle d’usinage, nous ont aidés à fabriquer les poutres de notre ring ainsi que notre magnifique table verte et rouge, “BUY”/“SELL”. Nous avons reçu de l’aide d’une jeune étudiante du DeVinci Innovation Center qui nous a aidés à découper des pochoirs pour inscrire le logo F² sur nos gants de boxe, ainsi que les lettres pour “BUY” et “SELL” collé sur la table. Nous avons également reçu de l’aide des Services Généraux, Communications et Logistiques. Difficile peut-être pour nos spectateurs de croire que nous avons eu le privilège de pouvoir tourner cette première vidéo époustouflante dans une salle de classe aménagée de notre école. Toute cette aide prouve encore une fois, que nous avons une école absolument incroyable et je suis toujours fier de pouvoir dire que je suis diplômé de l’ESILV.

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Covid-19 et aérosols : le projet de recherche d’un enseignant ESILV sélectionné pour un partenariat franco-suisse

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Francesco Salvarani, enseignant à l’ESILV et membre du De Vinci Research Center, a proposé un projet de recherche sur la transmission de la Covid-19 par aérosols. Celui-ci a été sélectionné dans le cadre d’un partenariat scientifique franco-suisse avec l’École Polytechnique Fédérale de Zurich.

Francesco Salvarani est enseignant en mécanique à l'ESILV et membre du Modeling Group au sein du centre De Vinci Research Center (DVRC).
Il fait partie de l'équipe de chercheurs français séléctionnés par les Ministères de l’Europe et des Affaires étrangères (MEAE) et de l’Education nationale, de l'Enseignement supérieur et de la Recherche (MESRI) pour s'engager dans un projet de recherche bilatéral entre la France et la Suisse.
Ce projet s'intéresse à l'étude mathématique et à la simulation numérique de modèles de suspension d'aérosols dans l’air, afin de mieux comprendre la transmission du virus SARS-CoV-2.

Le DVRC acteur de la coopération scientifique franco-suisse

Les Partenariats Hubert Curien (PHC) ont pour objectif développer les échanges scientifiques et technologiques d'excellence entre les laboratoires de recherche des deux communautés scientifiques, en favorisant les nouvelles coopérations scientifiques et universitaires.
Dans le cadre du parteneriat franco-suisse, l'un des projets stratégiques séléctionnés par les Ministères des affaires étrangères respectifs est le projet "Mathematical study of COVID-19 transmission through droplet ejection" porté par Francesco Salvarani (DVRC) et Mikaela Iacobelli (Ecole polytechnique fédérale de Zurich).
Le DVRC est le porteur du projet en France. Au sein de l’équipe française, des enseignants de l’Université d’Orléans et de l’Ecole Nationale des Ponts et Chaussées participent aussi aux recherches.
L'établissement partenaire du DVRC en Suisse est l’École polytechnique fédérale de Zurich (ETHZ), qui est le plus prestigieux institut universitaire polytechnique de Suisse et l'un des plus importants centres de recherche au monde (n. 6 mondial au global ranking Q&S 2021 et n. 2 en Europe).
Plus d'une vingtaine de prix Nobel sont liés à cette école ; parmi ses étudiants, on compte Albert Einstein, le père de la théorie de la relativité. Ce projet de recherche porté par le DVRC et l’ETHZ conforte la position du DVRC comme acteur de la coopération internationale scientifique et universitaire.

La modélisation mathématique de la transmission de la Covid-19

Les retombées pratiques de ces recherches permettent une meilleure compréhension de la transmission du virus SARS-CoV-2. Elles peuvent être également utiles dans d'autres domaines où l'interaction fluide-aérosol origine des phénomènes non triviaux comme, par exemple, l’évolution des poussières dans le cas d’une perte de vide dans un réacteur nucléaire à fusion.
La description mathématique de ce phénomène nécessite l’utilisation de plusieurs équations aux dérivées partielles couplées, dont au moins une possède, pour des raisons de modélisation, un certain nombre de variables supérieures à la quantité de variables observables à l’échelle macroscopique.
L’un des avantages de la modélisation mathématique est la possibilité de traiter dans un cadre unifié de nombreux phénomènes différents partageant la même dynamique physique sous-jacente. L'expertise du De Vinci Research Center, tant au niveau des mathématiques appliquées, que de la physique, de la modélisation, de l'informatique, lui permet d'étudier la façon dont les épidémies se propagent. Sur le long terme, ces recherches pourront potentiellement aider à orienter la planification de la santé publique et la lutte contre les maladies infectieuses.

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DeVinci Study Abroad Fair : Trouver un stage ou un établissement à l’étranger en école d’ingénieurs

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Le Study Abroad Fair, le salon annuel des études à l'étranger, facilite la mobilité des élèves-ingénieurs, en ces temps particuliers de restrictions sanitaires liées à la COVID-19, en permettant aux étudiants d'échanger en direct avec les établissements partenaires de l'ESILV.

Cette année, le salon du Pôle Léonard de Vinci pour étudier à l'étranger s'est déroulé entièrement en digital. Le 6 novembre, plus de 60 universités de tous les continents se sont connectées en ligne pour échanger avec les étudiants des trois écoles, l'ESILV, l'EMLV et l'IIM et répondre à toutes leurs questions concernant les départs pour l'année 2020 - 2021.
À l'ESILV, plus qu'un moyen unique de se confronter à de nombreuses réalités, les départs à l'international font partie des conditions obligatoires pour valider le diplôme d'ingénieur.
Les étudiants sont amenés à effectuer au moins un semestre à l'étranger pendant les 5 années de la scolarité. Ils peuvent s'expatrier en 3e et/ou 5e année, en choisissant une université partenaire du Pôle Léonard de Vinci, un stage à l'étranger ou un  parcours dans le cadre d'un laboratoire international de recherche. Les élèves-ingénieurs qui poursuivent la 5e année dans un établissement partenaire peuvent obtenir un double diplôme à l'international.

Des partenariats aux quatre coins du monde

Grâce aux stands digitaux, les étudiants des promotions 2024 et 2022 ont pu obtenir en temps réel toutes les informations nécessaires à un départ en échange, auprès des conseillers des établissements partenaires. Que ce soit par le biais des conférences Zoom ou directement sur le chat en ligne, les partenaires du Pôle Léonard de Vinci ont présenté leur offre de formation et de programmes d'échanges académiques.
Parmi les universités partenaires de l'ESILV présentes cetté année au De Vinci study Abroad Fair, on note l'Université de Science et Technologie de Hanoi Vietnam, l'Institut d'Ingénierie de l'Université Hanze de Sciences Appliquées, la Haute Ecole d'Ingénierie et de Gestion du Canton de Vaud Suisse et le Département d'ingénierie pour l'innovation de l'Université de Salento Italie.
Que ce soit dans les domaines de l'informatique, des objets connectés et de la sécurité, de la modélisation et mécanique numérique, ou dans les secteurs de la santé biotech, des énergies et des villes durables, les filières présentées par ces universités internationales couvrent tous les niveaux de formation, du bachelor au doctorat.

Trouver un stage ingénieur à l'étranger

Le Département Partenariats Entreprises a été présent pour une conférence Zoom autour de la recherche de stage à l'international. Au menu de ces échanges, l'optimisation du CV et de la lettre de motivation, grâce aux projets, aux compétences transversales, aux concours et ecxpériences associatives en école d'ingénieurs.
"Chaque candidature doit être travaillée par rapport au pays visé. Il faut également un CV et une lettre de motivation à jour, personnalisés pour chaque entreprise. Et surtout ne pas oublier d'être présent sur tout ce qui est réseau social professionnel." (Sébastien Louet, responsable de la Direction Relations Entreprises)
Plus qu'un enseignement clé du cycle ingénieur, la formation aux soft skills est également un élément de valorisation que les étudiants peuvent apposer sur leur CV.
"La préparation, par les équipes soft skills, c'est un point différenciant par rapport aux autres écoles. Les soft skills, ce sont vraiment des compétences demandées par les entreprises partenaires. Cela passe aussi par un bon CV, une bonne lettre de motivation, mise en avant de ses projets scolaires et personnels, et une préparation pour l'entretien face-à-face." (Sébastien Louet, responsable de la Direction Relations Entreprises)
La préparation et le suivi des candidatures sont des éléments-clés de la recherche de stage à l'international.
"Il ne faut pas hésiter à préparer un tableau excel avec vos candidatures : le nom de l'entreprise, le recruteur, le jour de votre candidature, le titre de l'offre et un lien de l'offre. Cela vous permet d'avoir un côté sérieux, rigoureux et de donner une bonne image de vous". (Sébastien Louet, responsable de la Direction Relations Entreprises)
Maîtriser l'art du networking en ces temps de crise passe par l'activation du réseau LinkedIn. "Il faut savoir qu'il y a environ 67% d'offres d'emploi qui ne sont pas diffusées sur les réseaux classiques. C'est ce qu'on appelle le marché caché. C'est par ces biais que Linkedin peut vous offrir des possibilités de réseautage importantes pour votre futur". Un stage à l'international est un réel plus pour les employeurs. C'est à partir de ce constat que l'ESILV met à disposition des étudiants plusieurs outils pour les aider dans leur recherche d'entreprises : des plateformes spécialisées proposant des offres exclusives de stages, et d'emplois de haut niveau et des conférences avec des grands comptes nationaux et internationaux.

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Juliette Macret, présidente d’IBM France Financement, marraine de la promotion ESILV 2022

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Juliette Macret parraine la promotion 2022 de l'ESILV. L'objectif de ce marrainage est de tisser des liens privilégiés entre les élèves-ingénieurs et le groupe IBM France, leader sur le marché technologique, afin de les préparer à développer leur employabilité, et à réussir leur intégration dans le monde du travail.

Jeudi, 3 décembre, les étudiants ESILV actuellement en 4e année accueillaient sur Zoom leur marraine en la personne de Juliette Macret, directrice d'IBM Global Financing et présidente d'IBM France Financement. Un événement riche de sens et de partage, car cette experte de la transformation digitale s'engage à accompagner ses filleuls des 9 majeures de l'ESILV jusqu’à leur remise de diplômes en 2023.
Au Pôle Léonard de Vinci, le parrainage ou le marrainage d’une promotion est l’occasion de renforcer des liens avec les milieux professionnels. Pour l’entreprise marraine, c’est une opportunité d'être en contact direct avec de nouvelles générations d'ingénieurs, de valoriser son image et sa culture.
Les élèves-ingénieurs reçoivent les bons outils pour être en phase avec la réalité du monde du travail. L’entreprise qui accompagne les promotions ESILV partage les valeurs portées par l’école et apporte sa vision au projet pédagogique de l'établissement.

La marraine Juliette Macret, une personnalité inspirante

Juliette Macret a présenté son entreprise et ses enjeux, décrit son parcours et ses missions au sein du groupe IBM France, répondant à de nombreuses questions des élèves-ingénieurs.
"IBM m'a permis de changer plusieurs fois de métier, du fait de la diversité de ses divisions et des postes qu'elle offre. J'ai commencé en tant que cheffe de projet informatique, pendant 8 ans, à peu près, et ensuite, j'ai dirigé des chefs et des managers de projet dans les services technologiques.
"Désormais, vous voyez que je suis bien loin de la chimie (ma formation de départ), que j'ai acquis la connaissance aujourd'hui du fonctionnement d'une banque, de sa réglementation, mais aussi, du fonctionnement statutaire et social de l'entreprise, puisque je préside une société à part entière." Représentant une grande entreprise de technologie parmi les plus innovantes, Juliette Macret a apporté son éclairage aux étudiants sur les qualités attendues chez un ingénieur.
"Il s'agit, donc, pour vous, de cultiver votre curiosité et d'enrichir votre perception du monde pour mettre en perspective les technologies dont vous apprenez la maîtrise et la mise en œuvre. Comment vivre demain ? Mieux, sainement, ensemble, en harmonie avec l'environnement, avec les autres, sur quelle planète ?
Les ingénieurs que vous serez bientôt devront répondre à ces nécessités vitales et urgentes pour l'humanité. Dans 2 ans, la société attendra de vous beaucoup.
En attendant, soyez curieux, alimentez votre réflexion, approfondissez vos sujets au maximum, prenez position, devenez la ou le meilleur de ce que vous voulez être : avec courage, humilité, persévérance, tolérance, respect des autres et, si possible, beaucoup d'humour. Sachez que votre capacité à gérer, surmonter cette période sera appréciée, lorsque vous arriverez sur le marché de travail."
Malgré la crise générée par la pandémie, de nombreuses entreprises s'intéressent aux profils d'ingénieurs issus de l'École d'Ingénieurs Léonard de Vinci. "Certaines écoles y parviendront mieux que d'autres, et l'ESILV sera des celles-là, grâce à vos enseignants, vos directeurs, vos équipes administratives, et surtout, grâce à vous. Vous êtes les acteurs de vos vies, ne l'oubliez pas", a conclu Juliette Macret.

Un programme riche pour la promotion 2022

Au menu de ce marrainage, des conférences, des visites en entreprise, des stages...  Un programme riche pour les étudiants de la promotion 2022 afin de leur faire découvrir le milieu professionnel.
  • Visites d'IBM avec le Centre de solutions et d'innovation, avec ses espaces par industries à Bois-Colombes
  • Des rencontres avec les alumni ESILV en poste au sein du groupe IBM en France
  • Invitations à des événements organisés par IBM France
  • Possibilités de stages en dernière année du cycle ingénieur
  • Participation d'IBM au Jury Showroom pour les projets d'innovation industrielle
Ce dispositif d'accompagnement propose également un programme de conférences sur une série de sujets qui couvrent toutes les majeures de spécialisation du cycle ingénieur.
  • Les 5 in 5 : les 5 technologies essentielles dans les 5 prochaines années
  • Le numérique responsable, est-ce possible ?
  • Blockchain, quelques exemples concrets
  • Les enjeux de la cybersécurité
  • Éthique et finance
  • L'informatique quantique dans tous ses états
  • Le numérique au service de la santé
Parmi les technologies abordées, on retrouve aussi le projet IBM Project Debater. Cette intelligence artificielle est capable de réunir des informations sur un thème de débat, de les organiser dans un discours construit et d'ajuster ses réponses en temps réel en fonction des arguments de son opposant. https://www.youtube.com/watch?v=3_yy0dnIc58 Un autre sujet qui sera abordé, c'est le navire Mayflower, le bateau autonome d'IBM, truffé d'IA et d'IOT fourni IBM, qui traversera l'Atlantique en 2021. https://youtu.be/m6iHZlkg6TQ

Des opportunités de carrière au sein d'IBM France

L'un des objectifs de ce marrainage, c'est de proposer aux plus de 600 étudiants de la promotion 2022 des offres de stages et d'emplois au sein du groupe IBM en France.
"Nous embauchons, à la fois, des profils techniques, qui travaillent sur des projets avec nos clients, sur l'IA, l'intelligence artificielle, des projets concrets en entreprise et, puis, on a également des consultants : des jeunes qui vont accompagner les clients dans leur réflexion au travers, notamment, de la mise en œuvre des méthodes agiles, de design thinking, de réflexion, de spécification.
Nous recherchons également des jeunes diplômés pour les fonctions commerciales, pour épauler les ingénieurs commerciaux", a expliqué Juliette Macret.
"Pour les stages ingénieurs, les profils prioritaires seront les étudiants de 5e année. Notre velléité, c'est de les embaucher !", ajoute la marraine de la promotion 2022.
Pour mettre toutes les chances de leurs côtés, les élèves-ingénieurs de l'ESILV sont invités à se pencher aussi sur leurs soft skills. Claire Herrenschmidt, responsable des relations Grandes écoles et Universités au sein d'IBM France, explique que ces "compétences douces" sont un atout majeur sur le marché de l'emploi.
"Le savoir-être est aussi important que le savoir-faire et je sais à quel point, avec les semaines transverses dont vous béneficiez, la formation soft skills est une vraie chance. Ce sont probablement les qualités qui vous seront les plus utiles au cours de votre carrière professionnelle, parce que les compétences technologiques, malheureusement, se périment un peu rapidement.
Le savoir-être et ces qualités d'adaptation et d'esprit d'équipe, de collaboration, de créativité, toutes les qualités que vous avez l'occasion de développer au Pôle, vous seront largement aussi utiles que les compétences techniques que vous acquérez dans vos études." Dans le cadre de ce programme et en dehors du cycle ingénieur, les étudiants ESILV ont également l'occasion de se former gratuitement à la plateforme IBM Academic avec un accès gratuit au cloud d'IBM et à de nombreux logiciels mis à leur disposition par IBM.

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Trois projets ESILV autour de l’internet des objets et ses applications dans la blockchain, l’agriculture, l’environnement

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Présents dans tous les domaines de nos vies, les objets connectés trouvent aujourd'hui un nombre croissant d'applications qui répondent à des besoins spécifiques. Les projets d’Innovation Industrielle de 5e année à l'ESILV représentent une occasion d'explorer les possibilités offertes par l'IoT en école d'ingénieurs et les nouveaux usages que ces technologies génèrent.

Et si communiquer pouvait passer aussi par des moyens lumineux utilisant le code Morse ? Et si on pouvait végétaliser les toits des entreprises grâce aux systèmes hydroponiques utilisés dans l'agriculture en milieu urbain ? Et si les objets connectés pouvaient être mis au service de l'environnement ? Autant de questions qui trouvent desormais des réponses dans le cadre des projets d'innovation industrielle de 5e année. Zoom sur trois projets ESILV  qui mobilisent plusieurs technologies comme l'IoT, l'IA, la blockchain, le cloud...

Phare Lumineux activable en cryptomonnaie

Un projet de Ismail-Hour MAHAMAT, Pierre ROUBIOL https://youtu.be/9objRj4BfMA Le projet est de réaliser un phare lumineux qui traduit en Morse un message donné par l’utilisateur. La monnaie de paiement pour utiliser ce phare est le Bitcoin.
Tout d’abord, nous avons créé un site internet permettant à un utilisateur d’entrer un message puis de payer en Bitcoin. Son message est envoyé à une extension de WordPress appelé BTCPay. Ensuite, un programme Python fonctionnant en continu sur un Raspberry Pi nous permet d’aller récupérer les informations souhaitées. Dès que le message est payé, alors le Raspberry Pi envoie ce message à un Arduino Nano qui va alors allumer une guirlande de LED.
Le projet a été très transverse car il nous a permis de créer un site internet, de mieux comprendre la technologie Blockchain, d’approfondir nos connaissances en Python et d’apprendre à utiliser des Raspberry Pi et Arduino Nano.

Système hydroponique pour l’agriculture

Un projet de Noémie DETAIS, Mark EL MARI, Séverin FRANCHITTI, Violaine MAINARD, Muralidharan MURUGAN, Axel NGALEU, Lucie PONTACQ https://youtu.be/6N3OokS_TEs Notre objectif durant ce projet était de développer un système hydroponique, capable de répondre à de nombreuses contraintes liées à l’environnement urbain : volume, poids, intempéries, qualité des produits… Il s’agit d’un système permettant la culture de plantes, réalisée sur un substrat neutre et inerte et irrigué d’un courant de solution qui apporte des sels minéraux et des nutriments essentiels à la plante.
Tout d’abord, il a été question d’une étude approfondie d’état de l’art, à savoir les associations déjà existantes ainsi que ce système en commerce. Puis nous avons rédigé en détail le cahier des charges avec les fonctions principales, techniques et leurs critères d’acceptation. A la suite de ce cahier des charges, nous avons proposé 3 solutions de modules hydroponique dans un cahier d’idées et avons sélectionné un système hydroponique en rampe.
Afin d’aboutir notre projet, nous avons réalisé une conception assistée par ordinateur de notre système, ainsi qu’une maquette. Les matériaux ont été, dans la mesure du possible, récupérés ou recyclés dans un but environnemental.
Nous avons en effet décelé de nombreuses perspectives pour ce projet. La suite porterait sur la construction du prototype réel mais également sur un développement d’automatisation. En effet, il serait très intéressant de placer sur ce système des capteurs (pH par exemple) afin de suivre l’évolution des plantes et rendre ce système, à la demande de Cultiv’Toit, complètement autonome.
Ce travail a été essentiel pour notre partenaire et espère le poursuivre avec d’autres groupes d’ingénieur étudiant grâce aux multiples documents et recherches que nous avons laissées.

Surveillance de la qualité de l’air et du niveau sonore

Un projet de Yosra IBRAHEM, Santiago OTERO, Pierre-Obrian DELGADO, Cyril MARCHAND, Tidjane RADJI, Dorys DE LA REBERDIERE https://youtu.be/5dSrz2XE9vM Notre projet est en partenariat avec la société Hear&Know, une société qui produit différents capteurs dans le domaine de la domotique. La mission qui nous a été confiée était de réaliser deux capteurs de qualité de l’air et du son, un fixe et un mobile, se décline en deux axes.
Premièrement, nous devions réaliser une étude globale du marché pour savoir si ce type de produit pouvait intéresser des particuliers, entreprises, associations ou autre. Nous devions également réaliser une étude des produits existants et une cartographie des acteurs de la pollution sonore et de la qualité de l’air. Tout ceci dans le but de déterminer la faisabilité du produit et l’importance du marché possible et des concurrents.
Dans un deuxième temps, nous avons construit le capteur et développé toutes les applications et interfaces pour permettre l’utilisation de ces capteurs. Ce produit permet de mesurer la concentration de particules fines dans l’air et le niveau sonore. Il permet également de visualiser ces niveaux sur une interface graphique et de créer des alertes, notamment lorsque des niveaux de concentrations de particules fines sont atteints, en corrélation avec les recommandations de l’état.

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L’ESILV 4ème école d’ingénieur post-bac en 2021, classement de l’Etudiant

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L’ESILV avance d'une place et devient 4ème meilleure école post-bac dans le classement 2021 de l'Étudiant, qui regroupe 78 écoles d'ingénieurs proposant un cursus en 5 ans.

Le classement L'Étudiant 2021 des écoles d’ingénieurs a rendu son verdict. Cette année, l'ESILV se hisse à la 4ème position du palmarès général et monte d'une place dans le top 5 des meilleures écoles post-bac.
L'ESILV se positionne également 2e du classement des écoles post-bac du groupe A, qui rassemble au total 21 établissements post-bac et post-prépa ayant obtenu entre 37 et 46 points.
Cette année, l'Étudiant a classé 168 écoles d’ingénieurs, toutes accréditées par la Commission des titres d’ingénieurs (CTI), soit une de plus qu'en 2019.
Les critères retenus sont inchangés par rapport à l'année dernière : excellence académique, ouverture internationale, proximité avec les entreprises et ouverture à de nouveaux publics.

Le classement 2021 des écoles d’ingénieurs post-bac de l'Étudiant

Pour cette édition 2021, 78 écoles d'ingénieurs en 5 ans (avec prépa intégrée) composent le classement. L'ESILV se positionne dans ce palmarès :
  • 4ème école post-bac
  • 1ère école post-bac en Ile-de-France
  • 2ème école post-bac dans le groupe A
Voici un extrait du classement disponible sur le site de l'Étudiant. 

Un outil complet d'orientation pour choisir son école d'ingénieurs

Construit comme un outil d’orientation, le classement L'Étudiant permet aux élèves en quête d'informations, de personnaliser les critères et déterminer quelle école est la meilleure pour eux, en piochant parmi une quarantaine d’indicateurs.
Par exemple, chaque profil de référence (excellence académique, ouverture internationale et proximité des entreprises) est mesuré en fonction des indicateurs classants ou non. Parmi les critères de l'excellence académique, on retrouve : la moyenne au bac des intégrés, le nombre d'élèves par enseignant, la part d'enseignants-chercheurs... Pour juger de la proximité des écoles avec les entreprises, les journalistes de L'Étudiant s'appuyent sur : la part des élèves en alternance, la durée des stages en entreprises, les forums entreprises...
Pour ce qui est ouverture internationale, le pourcentage d'étudiants étrangers, le niveau d'anglais exigé, la durée minimale à l'étranger sont aussi importants que la part des diplômés ayant passé plus d'un semestre à l'étranger en échange académique, celle des diplômés ayant passé plus d'un semestre à l'étranger en stage et le nombre d'élèves par accord de double diplôme international. Autant de critères qui peuvent orienter votre choix d'une école d'ingénieurs et qui ne se résument pas à la simple réputation ou aux classements spécialisés. Les journées portes ouvertes sont une occasion de rencontrer les étudiants de prépa intégrée, de cycle ingénieur et de bachelor, mais également les professeurs et départements transversaux à l'ESILV.

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Quelles perspectives pour Bitcoin ? L’intervention de Cyril Grunspan dans un workshop autour de la Blockchain

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Cyril Grunspan, responsable du département Finance à l'ESILV et de la majeure Fintech, a été invité à intervenir lors du workshop « Blockchain : evolution of protocoles » organisé par l’Université Paris1 Panthéon-Sorbonne le 15 décembre dernier.

Au delà des crypto-monnaies, les applications potentielles des protocoles de blockchain comme celui élaboré par Nakamoto sont nombreux : gestion et transfert d’actifs numériques et de droits de propriété ; contrôle d’accès et d’identité ; stockage distribué et sécurisé ; déclenchement automatique de transactions par des "smarts contracts" ; financement participatif ; gouvernance décentralisée des organisations et des données ...  L'actualité concernant les cryptomonnaies et les protocoles blockchain ne cesse de depuis dix ans de nous interpeller : sur le rôle des monnaies, la notion de confiance, ou encore la confidentialité en ligne. 
Pour faire le point sur l'ensemble de ces sujets, l’Université Paris1 Panthéon-Sorbonne et l'Autorité de contrôle prudentiel et de résolution (ACPR) ont organisé une série de workshops dans le cadre d'Horizon 2020, le nouveau programme de financement de la recherche et de l'innovation de l'Union européenne pour la période 2014-2020.
Le webinaire intitulé "Blockchain : Évolution des protocoles" s'est déroulé le 15 décembre en visioconférence. Cyril Grunspan, responsable du département d'Ingénierie financière de l'ESILV et de la nouvelle majeure Fintech, a fait partie des experts invités à se pencher sur les grandes questions qui entourent cette révolution technologique.

Un voyage dans l'univers Bitcoin avec Cyril Grunspan

Loin de proposer une présentation de son activité de recherche ou une version de cours sur Bitcoin au sein de l'ESILV, Cyril Grunspan fait une une incursion dans l'univers Bitcoin, avec un focus spécial sur les développements à court, moyen et long terme de la crypto-monnaie. La présentation de Cyril Grunspan fait apparaître quelques singularités convoitées par la communauté Bitcoin :
  • une monnaie alternative
  • résistante à la censure
  • un "nouveau territoire de liberté"
  • une forme de réaction aux dérives de la finance
  • ce n'est pas de la finance de marché pour tous
  • un mélange entre la politique et la technologie
  • "l'ordre sans pouvoir"
  • 12 ans d'existence, plus de 100 000 000 utilisateurs
  • une monnaie résiliente, malgré les annonces qui parlaient de sa mort des milliers de fois
Parmi les nouvelles évolutions de la crypto-monnaie évoquées par Cyril Grunspan, on note l'implémentation des signatures de Schnorr, le logiciel Coinjoin, le projet Utreexo, les transactions "Discreet Log Contract", la technologie Lightning Networket le développement des sidechains, ou chaînes laterales. Sous l’impulsion de Cyril Grunspan, l’ESILV a été la première école à proposer une formation complète sur la blockchain et le bitcoin. L'école propose une majeure Fintech en cycle ingénieur, qui intègre les nouvelles technologies et grandes tendances telles que le machine learning et l'intelligence artificielle, l'analyse des données et le big data, la finance de marché, l'économie des banques et de l'assurance, la cryptographie, la blockchain, les monnaies numériques, la sécurité informatique, les applications pour la finance, le développement mobile et web.

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Trois projets ESILV pour stimuler l’apprentissage grâce aux solutions technologiques

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Des solutions open source aux applications de la réalité virtuelle, les modalités techno-pédagogiques se multiplient. Dans le contexte effervescent de l'EdTech, comment l'ingénierie s'adapte-t-elle ? A l'ESILV, les projets d'innovation industrielle prennent en compte plusieurs besoins des parcours de formation individualisés. Zoom sur trois projets qui mettent en avant les solutions innovantes pour stimuler l'apprentissage.

Ponctuant chaque année d'études du cursus ingénieur en 5 ans, les projets développés autour des thématiques proposées par les entreprises partenaires de l’école constituent des points forts de la pédadogie du concret technique.
C'est à ce titre que le projet d’Innovation Industrielle de 5e année doit permettre à l’élève de valoriser son travail vers l’extérieur et augmenter sa visibilité auprès des entreprises. Groupés par équipes de 4, les étudiants en dernière année du cycle ingénieur proposent des solutions pertinentes pour répondre à des problématiques réelles.
Dans cette selection de projets de 5e année, il est possible de trouver des réponses à de multiples dilemmes liés à l'apprentissage et l'enseignement des sciences, grâce à des technologies comme la réalite virtuelle, qui transforment nos manière d'apprendre.

Hololens : activités pédagogiques à l’hôpital

Un projet de Younes Chiboub, Joakim Vo, Benjamin Charpentier et Germinal Correia https://youtu.be/2giPuvD40is La maladie chez l’enfant occasionne des ruptures de scolarité qui génèrent des lacunes, de l’anxiété et parfois des échecs scolaires répétés. Les élèves malades peuvent manquer de confiance en eux sur le plan scolaire. Ils se sentent défavorisés, et s’éloignent des apprentissages. Il paraît judicieux de valoriser le plus possible les ressources de ces élèves malades.
Certains, confrontés à l’isolement, développent de vraies compétences dans le maniement des outils informatiques et des nouvelles technologies qui sont aussi des outils de compensation indispensables pour la fatigue, la lenteur, ou les limitations motrices.
Notre but est de proposer des activités pédagogiques aux enfants hospitalisés afin qu’ils ne prennent pas de retard sur leur programme scolaire. Pour cela, nous utilisons les casques de réalité mixte Microsoft HoloLens qui permettront une meilleure immersion de l’enfant dans son activité.
Notre but étant de toucher tous les enfants hospitalisés, qui pourront directement utiliser le casque depuis leur chambre d’hôpital. En effet, selon le type de soin, certains patients ne peuvent pas quitter leur chambre.
Ainsi, ils n’auront pas besoin de se déplacer dans une salle différente pour tester nos applications. En tant qu’application pédagogique, nous proposons une activité ludique basée sur la croissance des plantes. L’utilisateur pourra ainsi faire pousser une plante virtuelle en modifiant différent paramètres, tels que l’humidité ou la température, et l’observer grandir à travers un casque HoloLens.

Dictée vocale d’équations mathématiques Microsoft

Un projet de Marina Li-Si, Muriel Lin-Si, David Maziere, Emmanuel Veyssiere https://youtu.be/MNWSRX5PKj8 Plus de 12 millions de personnes sont touchées par un handicap en France. Parmi eux 390 000 sont des enfants ou adolescent scolarisés. Certains de ces handicaps comme la dyspraxie, la non voyance ou la mobilité réduite perturbent le cursus scolaire de ces élèves. Pour certains d’entre eux, l’incapacité de prendre des notes écrites en cours est une épreuve au quotidien. Il existe heureusement des outils pour dicter un texte à l’ordinateur ce qui facilite la prise de note. Cependant pour les cours plus scientifique il reste impossible d’écrire des équations par la voix.
C’est avec le partenariat de Microsoft que nous avons décidé de monter un projet pour répondre à cette problématique. Notre objectif est de concevoir et de mettre en place un outil permettant de faciliter la prise de note dans les cours plus scientifiques.
Notre solution proposerait la dictée vocale d’équations mathématiques sur l’ordinateur. Grâce à l’implication de Microsoft dans le domaine de l’intelligence artificielle nous avons utilisé ces technologies pour faire de la reconnaissance vocale et piloter notre application. Notre application est une simple page HTML avec différents scripts en JavaScript qui permet de dicter une équation et de l’obtenir au format LaTeX ou bien graphiquement.
Nous faisons appel à une api de Microsoft “Speech to Text” qui nous permet de convertir de l’audio en texte et nous utilisons aussi une bibliothèque, MathJax, qui nous permet de convertir du LaTeX en équations graphique. Notre programme se charge du reste, c’est à dire capter la voix et traiter le texte pour obtenir une équation au format LaTeX.
Facilement portable et déployable sur tous les navigateurs, notre projet est en “open source” sur github. Ainsi, il répond à la problématique demandée de faire un “proof of concept” sur la possibilité de dicter des équations mathématique sans pour autant l’intégrer dans une solution comme Word.

Alto-Scholarship : plateforme communautaire et open source de data science pour les finances

Un projet de Abdou El Halim Amady, Osmane Belhadjouri, Clément Perot, Mathieu Vincent https://youtu.be/fWLa87F_4z4 Notre projet se nomme « Alto-Scholarship », c’est une plateforme open source visant à aider les étudiants de la majeure ingénierie financière à améliorer leurs aptitudes de programmation en leur fournissant un environnement favorisant la production de divers projets financiers. La plateforme a pour but de donner accès à un environnement de développement (IDE) offrant divers outils financiers ainsi qu’un accès facilité et gratuit aux données financières des marchés.
D’abord conçue pour les étudiants, la plateforme fournit aussi des exercices permettant aux utilisateurs d’entraîner leurs compétences algorithmiques. De plus, elle permet aux professeurs d’y accéder afin qu’ils puissent y partager leurs propres exercices avec les étudiants utilisateurs de la plateforme.
Elle intègre aussi une fonctionnalité de supervision en temps réel afin de permettre aux professeurs d’aider leurs étudiants en ayant un accès immédiat à leur écran. Dans le même état d’esprit, les étudiants seront capables de collaborer ensemble, en temps réel, sur des projets par le biais de la plateforme.
Le but de la plateforme n’est pas seulement d’être éducative, mais aussi d’offrir de réelles opportunités professionnelles. En effet, en donnant un accès aux entreprises, celles-ci auront la possibilité de mettre en place des challenges pouvant leur permettre à terme d’entrer en contact avec les étudiants ayant atteint les meilleurs résultats lors de ces challenges.
Enfin, à l’aide de la technologie propre à Git, les membres de la plateforme auront accès aux projets de la communauté et pourront partager leurs propres projets. Cette plateforme sera ainsi une bonne solution pour les étudiants souhaitant collaborer, s’exercer et mettre leurs capacités en avant, devant un ensemble d’entreprises.

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L’ESILV première école généraliste d’ingénieurs post-bac en Ile-de-France selon le classement Le Figaro 2021

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L'ESILV se positionne dans le top 5 et remporte la première place des écoles post-bac en île-de-France dans le classement des écoles d'ingénieurs généralistes et pluridisciplinaires publié par Le Figaro Étudiant.

Le Figaro Étudiant vient de révéler son classement annuel des écoles d'ingénieurs pour l'année 2021. En 5e position tous niveaux d'entrée inclus et première école post-bac en Ile-de-France, l'École Supérieure d'Ingénieurs Léonard de Vinci intègre le top 5 des meilleures écoles d'ingénieurs généralistes et pluri-disciplinaires du palmarès.
C'est devenu une tradition : en décembre le magazine Le Figaro Étudiant publie le classement des meilleures écoles d'ingénieurs françaises. Comme chaque année, ce palmarès qui se décompose en plusieurs classements thématiques, passe au crible environ 200 établissements, qui sont évalués en fonction de leurs spécialités.
Le classement des écoles d'ingénieurs généralistes et multidisciplinaires se compose de 48 écoles post-bac et post-prépa qui proposent de multiples spécialités.
"Si certaines écoles d’ingénieurs sont spécialisées, d’autres se distinguent par leur programme généraliste permettant aux étudiants de se préparer à un large éventail de métiers. Une fois diplômé, il est possible de travailler dans le secteur de l’industrie, du nucléaire ou encore, de la finance", explique Le Figaro Étudiant.
Dans ce classement, pour la 2e année consécutive, l'ESILV se positionne dans le peloton de tête des écoles qui proposent un diplôme généraliste en 3 et en 5 ans.

Palmarès 2021 des meilleures écoles d'ingénieurs généralistes et pluridisciplinaires

Le palmarès 2021 des écoles d'ingénieurs généralistes et pluridisciplinaires s'adresse aux étudiants souhaitant trouver une école ouvrant à un très grand nombre de secteurs différents. A l'ESILV, a partir de la 2ème année du cycle ingénieur, les élèves peuvent choisir entre 9 majeures pour se spécialiser dont 7  possibles en alternance. Cette année, Le Figaro Étudiant a passé au crible 164 écoles d'ingénieurs, à la fois publiques et privées, recrutant post-bac et post-prépa, accréditées par la Commission des titres d’ingénieur à délivrer le titre d’ingénieur diplômé. Pour établir son classement, la rédaction s'est appuyée à la fois sur les données CTI et DEFI, en comparant les établissements en fonction de leur excellence académique (recherche, doubles-diplômes, niveau des intégrés), du rayonnement international ((classements internationaux, expatriation à l’étranger, part des diplômés travaillant à l’étranger…) et de leurs relations avec les entreprises (salaires, réseau d'anciens). Afin d'aider les étudiants à choisir leur école d'ingénieurs, Le Figaro Étudiant propose un classement en dix catégories distinctes : huit secteurs d'activité (physique-chimie, numérique, transport et logistique...), auxquels s'ajoutent les catégories "écoles d'excellence" et "écoles d'ingénieurs généralistes et pluridisciplinaires". Pour en savoir plus sur la méthodologie du Figaro Étudiant.

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Comment avoir un bon dossier scolaire pour entrer en école d’ingénieur ?

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Pour intégrer une école d’ingénieur directement après le bac, mettez toutes les chances de votre côté avec un bon dossier scolaire au lycée ! En effet, votre dossier de première et terminale sera pris en compte sur Parcoursup, quelle que soit l’école ciblée. Selon les concours et formations, il comptera entre 40 et 100% de la note finale pour établir le classement des candidats.

Un bon dossier scolaire peut également dispenser des épreuves écrites ou des oraux. Alors, comment faire pour obtenir ce précieux « sésame » ? Quels sont les points déterminants pour intégrer les écoles d’ingénieurs postbac ?

Un bon niveau scientifique requis au lycée

Comme l’indique le concours Avenir Bac, l’un des principaux concours d’ingénieurs postbac, « il est fortement recommandé de choisir des spécialités scientifiques dont le socle solide est absolument indispensable à la réussite en école d’ingénieurs, dès la première année postbac. L’enseignement des mathématiques, pour lesquels vous devrez avoir une préférence toute particulière, fait très largement partie de ces prérequis recommandés. »
Ce concours recommande également « une maîtrise particulière des notions de physique abordées au lycée »pour permettre aux candidats de s’approprier au mieux les nouvelles matières qui seront abordées en école d’ingénieurs (mécanique des fluides, thermodynamique, optique des matériaux, électromagnétisme etc.). Ce choix sera largement pris en compte dans l’étude du dossier scolaire de façon favorable.
Une bonne maîtrise et des compétences dans les autres domaines scientifiques (Sciences de l’ingénieur, Numérique et sciences informatiques ou Sciences de la vie et de la Terre) sont également attendus et valoriseront votre candidature car ces domaines de compétences vous assureront également des études scientifiques réussies et un projet de formation en adéquation avec vos ambitions. Vos connaissances et votre goût pour ces matières seront évalués par votre niveau en classe de première et de terminale. Des bonnes notes dans les matières scientifiques sont donc indispensables.
Un travail très régulier, une écoute attentive en classe et des exercices réalisés sérieusement à la maison vous aideront à obtenir les résultats escomptés.
Anticipez vos révisions pour les DS en commençant au moins 10 jours à l’avance afin d’avoir le temps de travailler les connaissances requises en profondeur, en comblant vos éventuelles lacunes.

Mais pas seulement… Travaillez bien également le français et l’anglais !

De bonnes notes en français et en anglais peuvent faire la différence sur un dossier. Les résultats en philosophie sont également pris en compte par certaines écoles. Il est donc essentiel de travailler ces matières avec le même sérieux que les matières scientifiques.
Si vous rencontrez des difficultés en anglais, saisissez toutes les occasions de pratiquer pour tenter de vous améliorer. Regarder ses séries préférées en VO sous-titrée en anglais ou écouter de la musique en anglais avec les paroles qui s’affichent sur votre smartphone permet d’améliorer rapidement sa compréhension orale.
Il existe aussi des applications d’apprentissage (Duolingo, Babel, Memrise…) très utiles pour progresser dans sa pratique grâce à des exercices adaptés à son niveau initial.

D’autres éléments pris en compte, comme votre progression et vos appréciations

Vos notes sont examinées en fonction de la moyenne générale de votre classe et du niveau de votre lycée (évalué via les résultats au bac). Les écoles analysent également l’évolution de vos résultats sur les trois trimestres de première et les deux premiers de terminale. Votre capacité de progression peut rassurer en démontrant votre sérieux et votre potentiel à venir pour réussir ensuite vos études d’ingénieurs. Les appréciations des professeurs sur vos bulletins scolaires et la fiche Avenir, ainsi que l’avis de votre proviseur sur vos résultats et vos choix d’orientation pourront jouer en votre faveur pour souligner vos bons résultats ou votre sérieux si vous travaillez régulièrement pour améliorer vos notes.
Il est donc essentiel de donner une bonne impression à vos enseignants, en étant bien sûr assidu et ponctuel en cours, en participant activement, en posant des questions quand vous ne comprenez pas, en montrant votre souci d’apprendre, comprendre et progresser.
Adopter une attitude positive, volontaire et sérieuse vous aidera à faire de vos profs de précieux alliés pour votre dossier scolaire. Si vous rencontrez des difficultés, n’hésitez-pas à leur en faire part, en leur demandant des conseils pour améliorer vos méthodes de travail par exemple. Plus l’école d’ingénieurs ciblée est sélective, meilleur devra être bien sûr votre dossier scolaire. A vous d’élargir vos choix d’écoles ou de formations supérieures sur Parcoursup si vos résultats restent trop justes, malgré les efforts déployés.
Sachez qu'avec une moyenne générale entre 12 et 14 et des résultats équilibrés, la réussite à un concours d'entrée en école d'ingénieurs est à votre portée, en préparant sérieusement les épreuves.
Chaque année, des bacheliers sans mention au bac arrivent même à décrocher des places en écoles d’ingénieurs. Restez confiant et persévérant ! Votre motivation sera déterminante pour votre réussite.

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Blockchain & Cryptomonnaies : À l’ESILV, une histoire qui dure depuis 2015

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À l'heure où le bitcoin atteint de nouveaux records de valorisation en dollars sur les plateformes d'échange, retour sur les initiatives prises à l'ESILV, école d'ingénieurs du Pôle Léonard de Vinci, sur les enseignements et applications concrètes autour de la blockchain et des cryptomonnaies.

L'ESILV fait figure de pionnière dans l'enseignement et le développement de ces technologies à l'intersection entre finance, mathématiques et informatique. C'est une quadruple première dans l'enseignement supérieur : premier établissement à proposer la certification blockchain des diplômes depuis 2016, l'ESILV est également la première école d'ingénieurs en Europe à faire un cours sur le bitcoin, la première institution à proposer une majeure Fintech et aussi la première école à enseigner le lightning network, une technologie capable d'augmenter la capacité du réseau Bitcoin. Zoom les particularités et les nouveautés du Master Fintech en école d’ingénieurs habilitée CTI, qui forme des ingénieurs à même de relever les challenges de la Finance de demain.

Une école qui a su miser sur la Blockchain et les technologies émergentes

Entre l'ESILV et les technologies blockchain, c'est une histoire qui dure depuis plusieurs années. C'est sous l’impulsion de Cyril Grunspan, responsable du département ingénierie financière, chercheur dans la discipline, que l'ESILV lançait, en 2015, une formation de référence sur la blockchain sous tous ses aspects : cryptomonnnaies, machine learning et intelligence artificielle, sécurité informatique, développement d'applications pour la finance, développement mobile et web …
Pour étoffer son programme, l'école propose, à partir de janvier 2020, un cours sur le Lightning Network (Réseau Éclair), une solution de scalabilité du réseau Bitcoin, dite de seconde couche. Cette technologie a le potentiel de révolutionner le marché du paiement et une partie du secteur financier, et d’accélérer massivement la diffusion de Bitcoin comme système monétaire alternatif.
Depuis sa création, le Master Fintech à l'ESILV donne toutes les clés pour comprendre et intégrer l'univers des entrepreneurs du monde la finance. Développement blockchain, rédaction de smart contacts au sein d'Ethereum, cryptofinance, font partie des sujets enseignés dans le cadre de cette formation qui fait la parte belle  à la blockchain et aux cryptomonnaies.
De nombreux projets étudiants autour de la blockchain, de la finance décentralisée (DEFI), de la création d'applications décentralisées (Dapp), de "stablecoins" et de programmes AMM (Automated Market Maker) permettent aux étudiants de travailler sur des défis réels en suivant les tendances qui bouleversent les secteurs bancaires et financiers.
On peut noter par exemple des projets comme "Blockchain et Smart contracts pour l’actuariat", "La technologie Blockchain comme nouveau vecteur de service client", ou "Sécurisation et traçabilité dans une chaîne d’approvisionnement". L'offre de formation est basée également sur les travaux de recherche des enseignants-chercheurs de l'ESILV autour de la sécurité du protocole, la scalabilité du Bitcoin (problème de routage sur le Lightning Network) et de l'économétrie des cryptomonnaies. Professeurs permanents et intervenants post-doctorants apportent leur expérience dans un esprit de proximité et d'efficacité et invitent les futurs ingénieurs fintech à explorer les frontières de ce  qui se fait de mieux en matière d'ingénierie financière.

Des stages dans tous les métiers du secteur blockchain

Les élèves ingénieurs de l'ESILV effectuent pendant leur cycle ingénieur au moins 36 semaines de stage. A l'ESILV, ces stages, effectués principalement dans des startups et des grands groupes, se répartissent en un stage technique en 4e année et un stage ingénieur en 5e année, chacun occupant un semestre complet de formation. Parmi les postes proposés dans le cadre des stages de la majeure Fintech on peut trouver les missions suivantes :
  • Blockchain Intégration Expert (développement blockchain)
  • Ingénieur composant logiciels (blockchain)
  • Responsable de projets informatique & technologie (ingénieur développement blockchain)
  • Project manager junior en fintech
  • Chargé de missions fintech (étude expérimentation blockchain)
Le master Fintech est également accessible en alternance, par le biais du contrat d'apprentissage, qui permet aux étudiants de suivre des études financées par des entreprises afin de valider un diplôme certifié par l’État, en mettant leurs savoirs au bénéfice de celles-ci. L’apprenti est salarié de son entreprise et garde son statut d’étudiant, tout en bénéficiant d'un apprentissage opérationnel et concret, adapté aux évolutions du secteur de la Blockchain.

Les applications de la blockchain

https://youtu.be/rPO4BLw5OXc

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