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Jérémie, diplômé 2008 en Ingénierie financière, est gérant de fonds structurés chez Lyxor Asset Management (Groupe Société Générale)

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Jérémie Lagarde, promotion 2008, revient sur son parcours en ingénierie financière et à son embauche immédiate juste après l’obtention de son diplôme.

Après une maîtrise de physique fondamentale à l’Université Denis Diderot Paris 7, mon souhait était d’obtenir un diplôme d’ingénieur pour compléter ma formation universitaire. J’ai intégré en admission parallèle le cycle ingénieur de l’ESILV dans la filière Ingénierie financière en septembre 2005.

Le choix de l’ESILV, Ecole d’Ingénieurs Paris-La Défense

J’ai choisi l’ESILV dans le but de décrocher un diplôme d’ingénieur reconnu. La formation solide, très appréciée par le secteur bancaire, permet une intégration opérationnelle rapide au sein d’un environnement professionnel exigeant, comme le témoigne mon parcours.

L’une des principales forces de cette école est sa volonté de développer un rapprochement professionnel fort avec les entreprises au cours de la formation des futurs ingénieurs.

A ce titre l’école n’a pas hésité à me fournir une convention de stage pour des courtes durées chaque fois que cela était rendu possible (pendant les vacances scolaires d’été par exemple).

Le choix de ses stages dans le secteur bancaire

Un premier stage, effectué dans le cadre de mon cursus, comme Contrôleur de structuration au sein de la Direction des risques chez Crédit Agricole CIB me permet de découvrir les différents métiers de la banque d’investissement et la gestion des risques de marché du groupe.

J’effectue de nouveau mon stage de fin d’étude chez Crédit Agricole CIB, cette fois-ci comme Assistant trader pour l’équipe du Desk d’Arbitrage statistique sur dérivés actions en salle des marchés. Je suis diplômée en juin 2008.

Un CDI signé juste après l’obtention de son diplôme d’ingénieur

A l’issue de ce second stage et dans un contexte peu favorable pour l’industrie bancaire en 2008 (crise des subprimes américains, affaire de fraude, faillite bancaire), je suis immédiatement embauché en CDI par la Direction des risques de la Société Générale en août 2008 pour exercer le métier de Contrôleur des risques de marché. Après 2 années d’expérience sur les produits dérivés de taux d’intérêt, je deviens Analyste des risques de marché puis Risk manager au sein de la Direction des risques de marché. Depuis août 2015, je suis Gérant de fonds structurés au sein de Lyxor Asset Management, la société de gestion d’actifs du groupe.

Ses conseils aux futurs ingénieurs

Le principal message que je souhaite faire passer aux étudiants est qu’il est nécessaire de se projeter le plus tôt possible sur l’ « après-école », en multipliant les contacts professionnels, en s’intéressant notamment à ce qu’il se passe dans les équipes voisines de la sienne pendant les stages. Il faut savoir se montrer curieux !

Enfin, même si la réputation de l’école est importante dans le cas d’une première embauche, celle-ci est nettement moins privilégiée par la suite. Apprendre à valoriser son parcours et savoir se vendre est une compétence fortement appréciée pour faire la différence en entreprise.

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Etudier aux Etats-Unis : Charles, promo 2015, sur le campus de la University of California Riverside

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Charles Nassif, promo 2015, a pu grâce à l’ESILV partir étudier aux Etats-Unis en Californie, pour suivre le programme du Master en Ingénierie et Management.

Charles a suivi la majeure Informatique et Sciences du Numérique. Pour son stage à l’international, il est séduit par ce que propose l’Université de Californie, Riverside. En effet le programme du Master en Ingénierie et Management explore les questions de management et les stratégies pour les ingénieurs de haut niveau travaillant dans un monde global.

Ce master combine les études universitaires, notamment les dernières pratiques et stratégies de management, l’acquisition intensive de connaissances et l’expérience professionnelle sur le terrain.

Son parcours en école d’ingénieur à l’ESILV

J’ai choisi l’ESILV en premier lieu pour son cursus de finance, une des rares écoles post-bac à le proposer, mais il s’est avéré qu’en cours de chemin mes goûts et exigences ont changé. Je me suis donc spécialisé en informatique et j’ai choisi la majeure Informatique et Sciences du numérique.

J’ai d’ailleurs effectué mon stage de fin d’année chez Sopra Steria, en tant que développeur java J2EE, avec comme client le Ministère de l’Intérieur.

J’ai également été moniteur de promotion post-prépa pour les étudiants de l’ESILV, en organisant l’accueil des élèves de classe préparatoire lors des oraux des concours e3a et banque PT.

Le choix des Etats-Unis pour étudier à l’étranger

J’avais envie de partir aux États-Unis pour plusieurs raisons. Tout d’abord, d’un point de vue opportunités de carrières. En effet les offres sont bien plus nombreuses, plus enrichissantes et mieux payés aux USA. La deuxième raison est la suivante : je n’avais jamais visité la Californie, rien de mieux qu’échapper au froid parisien et d’avoir une véritable expérience à l’international, aux Etats-Unis.

Nous avons été très bien accueillis par l’unievrsité et par l’organisme chargé de notre logement. Je me suis retrouvé en colocation avec des étudiants américains, membres de l’équipe de football de l’université, qui m’ont tout de suite mis dans le bain de la langue ! J’avoue que j’avais un peu de mal à les comprendre au début …

L’installation a été vraiment simple à organiser, je pouvais me déplacer à pieds de mon logement et sur le campus sans souci. Toutes les nationalités se mélangeaient dans le bâtiment où je logeais (espagnole, allemande etc…). Le seul conseil que je peux donner à ce sujet c’est de faire attention à vos dates d’arrivée. Nous avons payé le premier mois en entier alors que nous étions en fin de mois. Je vous conseille plutôt de prendre un hôtel ou une chambre pour quelques jours et de commencer le bail le 1er du mois suivant.

En ce qui concerne les cours, tout dépendait de ce à quoi on était inscrit. Les cours principaux étaient sur le campus principal, avec des Américains. Les cours plus accessibles avaient lieu à l’extension de l’University of California, Riverside. J’avais cours du mardi au jeudi de 15h à 22h. (de longues journées parfois !)

Les weekends étaient réservés pour les visites – Las Vegas, Yosemite, Grand Canyon, Lac Powel…-, j’ai vraiment profité de cette chance d’être aux Etats-Unis pour faire du tourisme et visiter la Californie.

Son retour en France

J’ai eu quelques opportunités de stage en Californie mais malheureusement je n’avais pas le budget pour rester, le logement étant très cher en Californie. Je suis donc rentré en France : je reste enchanté de cette expérience internationale, elle m’a beaucoup apporté sur le plan des études et sur le plan personnel.

Depuis l’obtention de mon diplôme d’ingénieur début 2015, j’ai commencé à travailler chez EDF Trading en tant qu’analyste développeur trading et optimisation.

Retrouvez le profil LinkedIn de Charles Nassif ici

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Pourquoi l’actuariat est élu « Best Job 2015 » : Xavier, promo 2015, en double diplôme d’actuaire avec l’ISUP

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Xavier Miglietti a intégré la double formation ESILV/ISUP, Institut de Statistiques de l’UPMC, afin d’exercer, à l’obtention de son diplôme en 2017, le métier d’actuaire, classé « Best Job 2015 » selon Careercast.

En choisissant ce double cursus entre l’ESILV et l’ISUP, les étudiants ont la possibilité de faire partie des rares actuaires certifiés par l’Institut. Les élèves peuvent ainsi acquérir le diplôme de statisticien mention « actuariat » de l’ISUP en suivant les cours des deux dernières années du programme à partir de la fin de la quatrième année du cursus d’ingénieur ESILV.

Le parcours académique et professionnel de Xavier à l’ESILV

J’ai intégré l’ESILV en 2010 en admission post-bac après un Bac S option SVT. J’avais choisi l’ESILV dans le but de décrocher un diplôme d’ingénieur généraliste reconnu. Le cursus généraliste de l’ESILV pendant les trois premières années m’a permis de murir mon projet professionnel. En S6, j’ai choisi la majeure ingénierie financière.

Au cours de mon cursus à l’ESILV j’ai effectué deux stages de six mois. Le premier (en semestre 5) à la Banque de France. Mon sujet de stage était l’accompagnement méthodologique et opérationnel d’équipes de maîtrise d’œuvre informatique sur des projets d’applications statistiques. Ce premier stage m’a permis de découvrir les différents métiers de gestion de projet informatique en milieu bancaire, que ce soit du côté de la maîtrise d’ouvrage (MOA) ou la maîtrise d’œuvre (MOE).

Mon second stage  (en semestre 10) s’est déroulé à la Caisse Centrale de Réassurance (CCR).  Ma principale mission était le calcul du SCR marché du portefeuille d’actifs de la CCR dans le cadre de la norme européenne Solvabilité II.

Pendant ces six mois de stage, j’ai pu développer ce que j’avais appris en cours à l’ESILV dans le domaine de l’ingénierie financière, que ce soit en programmation (VBA), finance de marché (pricing d’obligations et de produits dérivés) ainsi qu’en réglementation (Solvabilité II).

L’intégration à l’ISUP et les avantages du double diplôme

J’ai choisi le double diplôme d’actuaire pour compléter ma formation d’ingénieur ESILV et acquérir des compétences de haut niveau. L’UPMC Paris 6 est classée quatrième faculté de mathématiques au monde d’après le classement de Shanghai 2014 : dans le domaine des mathématiques appliquées à la modélisation et à l’évaluation des risques financiers et/ou actuariels.

Ce double cursus me permet d’approfondir mes connaissances théoriques en mathématiques appliqués et d’apprendre des nouvelles notions notamment dans les cours d’assurance à proprement parler. Dans le cursus de l’ISUP, il y a un stage obligatoire (de trois à quatre mois) à la fin du master 1. De plus, nous avons la possibilité de faire le master 2 en alternance.

L’ISUP est également l’une des huit formations initiales en France reconnue par l’Institut des actuaires et donne accès au statut d’Actuaire Associé de l’Institut des actuaires. C’est aussi pour cette raison que j’ai fait le choix de prolonger mes études à l’ISUP en actuariat.

Après ma soutenance de stage de fin d’études, j’ai intégré l’ISUP en master 1. Les cours au premier semestre du master 1 sont de haut niveau (mathématiques appliqués essentiellement) et servent de base aux cours des autres semestres qui eux sont plus appliqués à l’assurance et à la finance.

Les avantages de la formation à l’ESILV

Les avantages et les atouts de l’ESILV sont nombreux. En ingénierie financière nous avons de solides bases en mathématiques financières mais aussi des compétences très recherchées en informatique. Ces deux atouts m’ont permis d’être opérationnel très rapidement lors de mon stage de fin d’études.

Les nombreux stages que proposent l’ESILV durant le cursus permettent d’être confrontés au monde du travail et de nous préparer à ce qui nous attend à la sortie de l’ESILV. De plus, ces stages nous permettent de mettre en pratique et d’approfondir ce que nous avons appris en cours.

Les échanges universitaires sont également bénéfiques. En semestre 8 je suis parti en échange à l’école d’actuariat de l’Université de Laval au Québec. J’ai été confronté à une autre culture, une autre façon d’étudier. Cela a été très bénéfique pour moi autant sur le plan académique et que sur un plan personnel !

C’est pourquoi je conseille à tous les futurs ingénieurs d’être curieux ! Ne travaillez pas uniquement pour les cours TD/cours/examens il faut penser et se projeter à « l’après-école », commencer à y réfléchir après la prépa-intégré au début du cycle ingénieur, en ouvrant des livres avant les cours, approfondir les notions vues en cours, suivre des MOOCs en ligne etc.

Cultivez votre réseau pendant vos stages et surtout après vos stages. Soyez fiers de vous et de votre école !

Le métier d’actuaire, best job 2015 Career Cast

L’actuaire utilise les calculs de probabilités et de statistiques pour les appliquer aux questions d’assurances, de finance et de prévoyance sociale. Il est en charge d’analyser ainsi l’impact financier du risque et d’estime les flux futurs qui y sont associés.

Tonya B.Manning, ancienne présidente de la Société des Actuaire, précise : « Je n’ai jamais rencontré d’actuaire qui n’adorait pas son métier. Je travaille au quotidien avec des directeurs financiers, des avocats, des clients internationaux. Chaque jour m’apporte quelque chose de nouveau. Et comme j’adore résoudre des problèmes en apportant des solutions concrètes aux entreprises, c’est un choix de carrière édifiant »

 

Le métier d'actuaire est classé n°1 en 2015 aux Etats Unis parmi les métiers qui ont notamment le plus de potentiel de progression

Le métier d’actuaire est classé n°1 en 2015 aux Etats Unis parmi les métiers qui ont notamment le plus de potentiel de progression

 

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MSc Investment Banking and Risk Management : New full-time 18 month-programme in english

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Professor Sergio Focardi, the director of the programme and researcher in the Finance Laboratory at the Pôle Léonard de Vinci, presents the fundamentals of the MSc Investment Banking and Risk Management programme.

The financial crisis of 2007-2009 has raised new issues in the management of financial risk and has created new challenges for all players in the financial services sector. Banks, investment managers and other financial services firms need to gain better control of their financial risks. Market participants and researchers from academia need to apply a multidisciplinary approach to finance and economics.

The purpose of the MSc IBRM programme

The financial crisis that started in 2007 has considerably changed the methodologies of finance, especially as related to risk management. Financial firms have to cope with new regulations aimed at protecting investors and reducing systemic risk, as well as with new internal demands for risk management. Both require increased mathematical competence as well as a clear understanding of economic phenomena. Our Master programme addresses these needs.

The requirements of the MSc IBRM programme

The MSc programme was conceived for persons with a degree in engineering, economics,mathematics or physics wanting to work in financial institutions and, in particular, in the growing area of risk management.

The programme focuses on risk management techniques, including market and credit risk as well as the developing area of systemic risk/developing areas such as systemic risk.

Of course students applying for the programme should have acquired, in their undergraduate work, the knowledge-base necessary to successfully complete the program.

We also expect students to be highly motivated and focused on acquiring the risk management techniques and more in general the modeling/quantitative metholodogies that allow them to successfully vie for jobs in a sector/an environment that is very competitive but also very rewarding, intellectually and financially speaking.

The added-value of the MSc IBRM programme

As mentioned above, there is a growing demand for risk management, not only inside banks and at investment management firms but also among insurance firms and, more in general, inside the finance arm of corporations.

Students of the programme will learn state-of-the-art risk management methodologies that will allow them to compete for jobs in this dynamic area.

In addition, students of the programme will benefit from being exposed to advanced research, thanks to a faculty that includes professors with an established international reputation in the field.

The programme is designed to ensure that students have access to both academic excellence and real-world experience. For this reason, teachers will include De Vinci faculty augmented by leading academics from other institutions as well as persons from industry.

The De Vinci faculty includes professors that teach at or have research collaborations with prestigious universities worldwide, such as Princeton University (USA), the University of New York at Stony Brook (USA), the University of Technology Sydney (Australia) and the University of Padova (Italy).

The expertise acquired by students

Students having completed the programme should have mastered the modeling techniques required in the exercise of quantitative finance, useful not only in financial risk management but also in portfolio management. In addition, they will have learned how these techniques respond not only to regulation but also to the needs of industry.

For more information about the programme, please contact Alexia Essey

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Enquête Pasc@line : développer ses compétences en e-leadership en école d’ingénieurs

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L’Association Pasc@line – Syntec Numérique et du CINOV-IT – a réalisé en septembre 2015 une enquête dont l’objectif était de mettre en lumière les enjeux du développement des compétences au e-leadership dans les établissements d’enseignement supérieur, et dans les écoles d’ingénieurs en particulier.

Le e-leadership est l’ensemble des compétences techniques, méthodologiques et humaines indispensables afin de mieux saisir dans leur globalité les opportunités liées au numérique et aux technologies de l’information.

Pascal Brouaye, Président du Pôle Léonard de Vinci et Directeur de l’ESILV, a pris part au groupe de travail de l’Observatoire Pasc@line qui a produit l’étude sur le e-leadership.

Dans un univers professionnel qui se digitalise de plus en plus, il est indispensable pour les futurs ingénieurs d’acquérir les qualifications nécessaires pour utiliser à bon escient les outils numériques dans les entreprises.

Le e-leadership dans le management des organisations

Sur les 25 établissement d’enseignement supérieur auprès desquels cette enquête a été menée (dont l’ESILV), 74% d’entre eux proposent des formations sur le management des organisations en tronc commun, 58% en option.

Les enseignements restent trop traditionnels et ne prennent pas assez en compte les « technologies impactantes ». Ces formations doivent donc être ré-examinées la plupart du temps sous l’angle de la transformation digitale.

A l’ESILV notamment, les étudiants qui intègrent le cycle préparatoire en admission post-bac via le Concours Avenir se voient proposer des cours, dans le cadre de la transversalité et en commun avec les étudiants des écoles EMLV et IIM Léonard de Vinci du Pôle, abordant les fonctionnements des organisations et la communication à l’ère du numérique.

Le e-leadership dans les technologies impactantes

Autre résultat qui apparait à la suite de l’enquête menée par Pasc@aline, la plupart des établissements offrent des formations dans les technologies impactantes (big date, cloud, sécurité) mais ces formations sont trop souvent en option et non en tronc commun.

Les futurs ingénieurs de l’ESILV sont sensibilisés très tôt dans leurs cursus à l’ensemble de ces technologies qui composent le présent et le futur du numérique, dès la prépa intégrée.

La première année du cycle ingénieur offre par ailleurs un tronc commun d’enseignements aux étudiants ce qui leur permet de choisir ensuite en 4e année leur spécialisation parmi les 5 majeures qu’offre l’ESILV

Le e-leadership dans le développement personnel

D’après l’étude, les compétences dans le domaine du développement personnel ne sont développées que dans 59% des cas en tronc commun. Le rapport préconise que 100% des écoles et établissements pratiquent ces « soft skills ». Un département dédié et commun aux écoles du Pôle Léonard de Vinci vise à proposer aux étudiants ces compétences transversales en tronc commun : communication, langues, gestion de projet… et également le sport, obligatoire dans le cursus.

En parallèle, les élèves-ingénieurs travaillent en groupes sur des projets répondant à des problématiques précises d’entreprises partenaires de l’école, tout au long de leurs études.

Ainsi, les étudiants sont très tôt sensibilisés à ces thématiques des « soft skills », apprennent à travailler en équipe et sur des outils collaboratifs.

Le e-leadership dans l’impact du numérique sur les métiers et fonctions de l’entreprise

Seules 57% de formations en tronc commun sont proposées sur l’impact du numérique sur les métiers de l’entreprise. Cette réalité complexe est encore méconnue des étudiants et devraient être abordées de manière systématique dans les enseignements.

Toujours dans le cadre de la transversalité qui caractérise les programmes d’enseignement des écoles du Pôle Léonard de Vinci, les élèves-ingénieurs apprennent à travailler ensemble sur des problématiques de communication numérique et réfléchissent sur la digitalisation des entreprises.

Groupe de travail de l’Association Pasc@line sur le e-leadership

Yves Poilane, Président de l’Observatoire Pasc@line avec : Pierre Baylet, consultant; Noël Bouffard, Sopra; Pascal Brouaye, PULV ; Alain Bravo, Académie des Technologie ; Gilbert Deunf, Istecia ; Claude Guedat, INSA Lyon ; Frédéric Meunier, EFREI ; Tristan Monroe, METANEXT ; Christine Sanchi, ORACLE ; Christian Colmant (Délégué Général Pasc@line)

A propos de l’Association Pasc@line

Créée en 2006, elle réunit 75 établissements d’enseignement supérieur dispensant des formations du numérique et 12000 entreprises du secteur du numérique regroupées autour de Syntec Numérique et du CINOV-IT. Elle a pour mission de développer l’attractivité des formations qui ouvrent sur les métiers du numérique auprès des jeunes générations, garçons et filles. L’Association est un lieu unique d’échanges entre formateurs et professionnels du numérique.

Pasc@line a quatre objectifs :

  • Assurer la promotion des formations et des métiers du numérique auprès des jeunes générations susceptibles de rejoindre les filières de formations supérieures qui y préparent.
  • Réunir les conditions d’un échange et d’’une coopération entre les milieux des  établissements de formation et ceux des grands secteurs employeurs du numérique.
  • Établir, avec les acteurs institutionnels, les contacts et relations susceptibles de favoriser et de faire progresser les idées et les actions de Pasc@line.
  • Mener des réflexions prospectives tant qualitatives que quantitatives et en tirer des actions possibles allant dans le sens de l’intérêt des étudiants et des professionnels.

www.assopascaline.fr

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De Vinci Fablab Do It Yourself Session : objets connectés et impression 3D

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Le Fablab-w de l’ESILV ouvre ses portes les mercredis après-midi des mois de novembre et décembre 2015 pour permettre aux élèves de terminale S de s’initier à l’impression 3d et aux objets connectés.

« Do it yourself, do it with others ». Vous êtes en Terminale S ? Curieux du mouvement de makers et du potentiel de l’impression 3D et des objets connectés ?

Les élèves-ingénieurs de l’ESILV vous accueillent pour un atelier spécialement dédié à l’initiation à l’impression 3D. Au programme, la conception et l’impression d’un objet, et l’initiation aux objets connectés, avec notamment la manipulation des LittleBits.

Le De Vinci FabLab est implanté au sein du Learning Center du campus du Pôle Léonard de Vinci : c’est un espace ouvert, cogéré par une association d’étudiant, et qui accueille des projets des trois écoles : IIM, ESILV, EMLV.

Demo and Live, c’est la devise De Vinci FabLab !

10 places seulement sont disponibles par session … Pour s’inscrire (vite) c’est ici :

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Complexité des systèmes de systèmes : complexité aléatoire et complexité organisée

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Jean Rohmer, responsable du De Vinci Technology Lab à l’ESILV, a co-organisé avec l’Institut Bull, une conférence de Jean-Paul Delahaye, professeur émérite à l’université de Lille I, sur le thème « Complexité aléatoire et complexité organisée ».

Cette séance a eu lieu le 21 octobre 2015 en présence de plus d’une vingtaine de personnes, professeur en finance, chercheur en modélisation, directeur des systèmes d’information, directeur recherche et développement…

La complexité des systèmes de systèmes

Aujourd’hui, nous sommes confrontés à un choc de complexités dans notre vie professionnel et personnelle par la présence de nombreux objets constitués d’éléments en grand nombre et connectés entre eux. Les utilisateurs ont du mal à comprendre les interactions multiples en jeu et possèdent au mieux un modèle élémentaire d’usage des systèmes complexes dans lesquels ils sont immergés.

Nos actions sont de plus en plus dépendantes des réseaux dans lesquels nous sommes immergés : réseaux de télécommunications, réseaux d’approvisionnement électrique, réseaux de transport…

La logique des réseaux nous fragilise et nous submerge de données structurées et non structurées (data deluge) dont le stockage, le traitement, l’analyse et la confidentialité soulèvent des problèmes sociétaux? Les technologies évoluant rapidement, une impression de chaos, d’imprévisibilité et de perte de maîtrise de son destin finit par prévaloir.

La complexité prend une dimension nouvelle avec l’apparition de ce que l’on appelle des systèmes de systèmes (Systems of systems SOS). L’approche de la complexité a subi un changement de paradigme. Elle est vue aujourd’hui comme une combinaison d’ordre et de désordre. Tous les domaines de la connaissance sont concernés par le paradigme des systèmes de systèmes : sociologie, psychologie, sciences politiques, sciences médicales, sciences de gestion, sciences physiques et chimiques, sciences du traitement de l’information.

Conférence « complexité aléatoire et complexité organisée »

Jean-Paul Delahaye est professeur émérite à l’université de Lille I, ancien directeur de l’équipe “Méthodes et outils théoriques pour la programmation en logique”, puis de l’équipe “Bioinfo”. Il a rejoint l’équipe d’intelligence artificielle “Simulation Multi-Agents et Comportements” du LIFL de Lille. ll a été distingué par  le Prix d’Alembert 1998 de la Société mathématique de France pour l’ensemble de ses travaux de vulgarisation mathématique.

Il faut ici prendre le terme « complexité », dans un sens bien différent du sens commun. Ainsi, plus un algorithme est écrit simplement, plus sa complexité au sens des  mathématiciens sera grande, car il mettra longtemps à s’exécuter. La réciproque est que, pour qu’un système soit performant, son écriture devra être complexe…

En 1965, le grand mathématicien russe Andrei Kolmogorov en même temps que Gregory Chaitin a donné une autre mesure de la complexité. Celle-ci est une mesure du “contenu incompressible d’information”. Elle ne doit pas être conçue comme une mesure de la “richesse en structures ou en organisation” (complexité structurelle), qui, elle, serait mathématiquement définie par la profondeur logique de Bennett (introduite en 1977).

Les applications de la complexité de Kolmogorov (par le biais des algorithmes de compression de données) sont maintenant nombreuses : classification de textes et de musiques, évaluation de la ressemblance entre séquences génétiques, comparaison d’images, repérage du plagiat, identification des spam, détection des tentatives d’intrusion dans les systèmes informatiques, etc.

L’évaluation de la complexité structurelle est plus difficile en pratique, mais des progrès ont été faits récemment qui permettent d’envisager des applications comme pour la complexité de Kolmogorov.

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Le De Vinci FabLab-w : objets connectés et prototypes en 3D pour les ingénieurs

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Dans un article paru sur lemonde.fr le 3 novembre 2015, les FabLab (Laboratoire de Fabrication) sont mis à l’honneur tant ils constituent une véritable innovation pédagogique pour les étudiants que eux-ci soient ingénieurs, designers ou managers. Extraits.

Le De Vinci FabLab-w permet aux étudiants des 3 écoles de Pôle Léonard de Vinci d’utiliser un grand nombre de machines et de logiciels destinés à la réalisation de prototypes en 3D.

Les « FabLab » séduisent les écoles d’ingénieurs

De l’idée à l’objet, il n’y a qu’un pas, qu’il faut franchir le plus rapidement possible. Telle est la philosophie des « Fab Labs », de l’anglais « fabrication laboratory », (« laboratoire de fabrication »). Nés à la fin des années 1990 aux Etats-Unis au sein du prestigieux MIT (Massachusetts Institute of Technology), ces ateliers dotés d’outils de fabrication numérique essaiment dans les écoles d’ingénieurs françaises.
(…)

Objets connectés

Si [le FabLab de] l’Isen respecte à la lettre la charte du MIT, ce qui lui a valu de décrocher l’accréditation du MIT comme une cinquantaine d’autres Fab Labs en France, d’autres écoles d’ingénieurs ont créé des ateliers similaires, sans en avoir le label – les critères d’obtention sont contraignants notamment en ce qui concerne l’ouverture au public. C’est le cas de Polytechnique, de Centrale-Supelec, ou encore du pôle universitaire Léonard de Vinci, qui réunit à La Défense une école d’ingénieurs (ESILV), une école de management (EMLV), et l’Institut de l’Internet et du multimédia (IIM).

Imaginer et fabriquer des prototypes

Au De Vinci Fab Lab, les élèves des trois établissements cohabitent dans une ambiance de ruche. « Nous avons à disposition des outils qui nous permettent de créer des objets sophistiqués, un étudiant en fin de première année a même imprimé un drone ! », s’enthousiasme Angeline Besland, en 4e année à l’ESILV. Comme à l’Isen Toulon, des start-up proposent aux étudiants d’imaginer et de fabriquer des prototypes.

Au-delà des réalisations, c’est l’innovation pédagogique permise par les Fab Labs qui séduit. « Cette pédagogie par projet permet à l’étudiant d’aller très vite jusqu’à la réalisation, de faire des ajustements immédiats, de se confronter au marché via les collaborations avec les start-up », analyse Guillaume Pérocheau, tandis que Pascal Brouaye, directeur de l’ESILV, relève l’engouement des étudiants pour ces ateliers :

« Les élèves des trois écoles trouvent des solutions et progressent ensemble. »

Et, au final, s’investissent davantage que dans les cours classiques.

Par Françoise Marmouyet, article paru sur www.lemonde.fr le 3.11.2015

Retrouvez la vidéo de présentation du De Vinci FabLab-w

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Automobile, modélisation, simulation et conception : 3 projets d’innovation industrielle d’ingénieurs

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Le projet d’innovation industrielle (PI²5) permet aux étudiants-ingénieurs de 5e année de travailler sur un projet d’entreprise. Cela valorise ainsi le travail des futurs ingénieurs auprès de potentiels recruteurs.

Les étudiants ont ainsi la possibilité à travers les PI²5 de mettre en œuvre d’une part leurs compétences d’ingénieurs et d’autres part de management de projet. Par groupe de 2 ou 3, ils travaillent sur un projet de leur choix et selon leur majeure. Des étudiants de la majeure Mécanique numérique et modélisation ont ainsi travaillé sur des projets visant à améliorer la conception de voitures.

Automobile et absorbeur de choc

Les étudiants ont ainsi modéliser et optimiser la conception d’un absorbeur de choc (situé sur les pare-choc d’un véhicule).

Retrouvez l’intégralité du projet « automobile, modélisation et optimisation d’un absorbeur de choc »

Automobile et bloc moteur

A l’occasion de la 30e édition du Shell Eco Marathon de Rotterdam, l’association Vonco Eco Drive a imaginé la conception du système mécanique bloc moteur.

Retrouvez l’intégralité du projet de Vinci Eco Drive sur « conception et pilotage du bloc moteur »

Automobile et toits ouvrants

2 étudiants ont apporté leur contribution sur la conception du sertissage des toits ouvrants sur les voitures.

Retrouvez l’intégralité du projet « Simulation du procédé de sertissage molette sur les toits ouvrants automobiles »

Cette année, les étudiants en 5ème année des 3 écoles ESILV, EMLV et IIM Léonard de Vinci ont eu l’opportunité de participer à l’occasion des semaines transverses du Pôle Léonard de Vinci, au challenge Smart Services avec PSA Peugeot Citroën. Le but du challenge était la création de « Smart services » destinés à simplifier et rendre plus agréable la vie et les trajets des clients automobiles.

Retrouvez la vidéo de la semaine PSA

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Arnaud, promo 2013, rejoint les rangs de JP Morgan à Londres, après plusieurs expériences à l’international

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Après New York, Sydney et Paris, Arnaud Decouzon, diplômé en 2013 de l’ESILV, a intégré la banque JP Morgan à Londres.

Les élèves-ingénieurs qui obtiennent leur diplôme, option Ingénierie Financière, sont souvent amenés à exercer des fonctions d’analystes dans le secteur bancaire.

Une solide formation en Finance

J’ai intégré l’ESILV après un BAC S car c’était une des seules écoles à proposer un cursus spécialisé en Finance et des partenariats pour partir à l’étranger avec des universités de renom.

L’équilibre entre théorie et pratique m’a permis d’acquérir des bases solides en mathématiques et programmation qui sont nécessaires à la bonne compréhension des problématiques financières. Le corps professoral, composé d’enseignants chercheurs et de professionnels exerçant en entreprise, permet d’avoir des cours en accord avec le marché du travail et les dernières innovations en matière de recherche.

Lors de ma scolarité à l’ESILV j’ai eu l’occasion de passer un semestre dans le Master de Finance Quantitative à l’Université technologique de Sydney (UTS) en Australie. Cette expérience aussi bien enrichissante d’un point de vue culturel qu’académique, a confirmé mon envie de travailler à l’étranger.

La maitrise de l’anglais est aussi un atout indéniable dans un contexte de mobilité omniprésent. Le sport n’est pas en reste, c’est grâce notamment aux conseils de Yuriy Sedykh, recordman olympique de lancer de marteau, que j’ai pu pratiquer régulièrement la préparation physique. Dans les salles de marchés où la pression et le stress peuvent en affecter beaucoup, continuer une activité physique régulière permet d’atteindre un équilibre indispensable.

J’ai effectué mon stage de fin d’études à la Société Générale à la Défense en risque opérationnel. Les ingénieurs de l’ESILV y profitent d’une bonne visibilité grâce à la proximité géographique de l’école et grâce à leur réputation à être opérationnels rapidement.

Ce stage m’a permis de découvrir les nouveaux challenges qu’une banque globale doit affronter : la sécurité de l’information, la gestion des accès et le rogue trading.

Des expériences professionnelles à l’international

Fort de cette première expérience, j’ai ensuite réalisé un Volontariat International en entreprise (V.I.E) en tant qu’Analyste Valorisation pendant 1 an à New York, toujours pour la Société Générale. Dans un contexte réglementaire et comptable toujours plus strict, la valorisation des actifs de la banque est un secteur en pleine expansion. Suite au VIE j’ai intégré la même équipe à Paris en CDI.

La renommée des ingénieurs français ne se limite pas aux entreprises françaises, c’est ainsi que j’ai rejoint la prestigieuse banque JP Morgan à Londres comme Analyste Valorisation. Après Sydney, New York et Paris, je découvre la vie Londonienne !

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L’innovation transversale par Cisco et PSA Peugeot Citroën pour les ingénieurs, managers et designers du Pôle Léonard de Vinci

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La transversalité est au cœur de la pédagogie pour les étudiants ingénieurs de l’ESILV, managers de l’EMLV et designers de l’IIM Léonard de Vinci.

Lors des 2 semaines transverses organisées pour les 4e et 5e années des 3 écoles du Pôle Léonard de Vinci, PSA Peugeot Citroën et Cisco sont intervenus pour proposer un challenge de taille en Open Innovation aux étudiants.

PSA Peugeot Citroën et les « Smart Services »

Il s’agissait pour PSA Peugeot Citroën de demander aux 5e année de travailler sur un projet de « Smart Services » pour les véhicules connectés de demain. Les équipes pluridisciplinaires devaient ainsi imaginer des services connectés qui pourraient être proposés dans les voitures de la marque. Les designers ont ainsi pu mettre à profit leurs compétences créatives, les ingénieurs leur savoir-faire technique, tandis que les managers ont pu travailler sur les éco-systèmes et les marchés dans lesquels s’inséreraient de tels services.

« Nous sommes très heureux de ce partenariat qui met à la disposition de notre R&D des talents aussi divers que variés. Nous avons hâte de découvrir les projets de ces équipes transverses ; Cette première expérience promet d’être très enrichissante. » précise Lucas LEONARDI, Head of WW Strategy & Partnerships – Connected Cars & Services de PSA Peugeot Citroën.

Les projets ont été jugés par PSA Peugeot Citroën, qui a ensuite offert à l’équipe gagnante un stage, un accompagnement personnalisé et la possibilité de présenter son projet lors du Salon PSA dédié à l’innovation.

http://www.devinci.fr/evenements/challenges-smart-services-psa-peugeot-citroen-5e-annee/

Cisco et le Switchup Challenge

Le groupe Cisco a quant à lui proposé le « Switchup Challenge » avec comme objectif d’utiliser la technologie pour résoudre des problèmes sociaux et environnementaux. Lutter contre le gaspillage alimentaire, prévenir les agressions ou encore des armoires à pharmacie connectées, les étudiants ont rivalisé d’imagination sur ce challenge.

« Initié et porté par des salariés de Cisco France, le SwitchUp Challenge, a pour objectif de révéler puis accompagner les talents de la transition numérique. Nous sommes très heureux de ce partenariat avec le Groupe Léonard de Vinci dont la formation s’inscrit dans cet esprit de collaboration entre étudiants et professionnels. Nous avons hâte de découvrir les idées qui émergeront de la mise en commun des matières grises et apporteront des solutions aux enjeux sociétaux et environnementaux » ajoute Guillaume Desveaux, initiateur et responsable du SwitchUp Challenge chez Cisco France.

Les équipes gagnantes ont été vivement encouragées à présenter leurs projets dans le cadre du prochain Switchup Challenge Cisco dont les candidatures sont ouvertes jusqu’en janvier 2016.

http://www.devinci.fr/evenements/global-business-challenge-groupe-cisco/

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Drone quadricoptère : impression en 3D d’un prototype au De Vinci FabLab par un élève-ingénieur

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Alexis Massol est élève-ingénieur en 2e année de prépa intégrée à l’ESILV Paris-La Défense. Il a entièrement conçu, imprimé en 3D et assemblé un drone quadricoptère au De Vinci FabLab.

Alexis, élève-ingénieur, a profité des équipements de l’ESILV afin de concevoir un drone « from scratch », l’exemple parfait d’un Do It Yourself réussi !

Son projet de drone quadricoptère

Mon projet a consisté en la création d’un drone – pour prendre des prises de vue aérienne – dont le châssis est 100% en impression 3D .

L’idée m’est venue en juin car mon ancien drone n’étais pas assez fiable et pas assez stable. J’en ai donc conçu un moi-même en partant de zéro en m’appuyant sur le FabLab du Pôle Léonard de Vinci.

La réalisation du drone a duré 5 mois en comptant la modélisation numérique qui m’a pris 2 mois, l’impression des pièces en 3d au FabLab qui a duré 21 h environ au total et la fabrication en tant que telle qui a été de 3 mois car il a fallu que j’achète les composants électroniques et mécaniques un par un par rapport à mon budget personnel.


Le De Vinci Fablab-w

Le Laboratoire de Fabrication de l’école d’Ingénieurs Léonard de Vinci (le De Vinci FabLab) est équipé d’imprimantes 3D (Velleman, Makerbot et Scholar Object 30) qui permettent ainsi l’impression de pièces servant à la fabrication d’objets en tout genre.

Le De Vinci FabLab est implanté au sein du Learning Center du campus du Pôle Léonard de Vinci : c’est un espace ouvert, cogéré par une association d’étudiants, et qui accueille des projets des trois écoles : IIM, ESILV, EMLV.

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Achraf Kallel, European Campus Ambassador en modélisation sur Altair SolidThinking Inspire

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SolidThinking Inspire est un logiciel de haut niveau édité par la société d’ingénierie ALTAIR. Achraf Kallel, enseignant-chercheur en mécanique numérique et modélisation, vient d’être nommé parmi les ambassadeurs Inspire les plus performants d’Europe.

En juin 2015, dans le cadre de la chaire ALTAIR-ESILV, Achraf Kallel recevait déjà le prix ambassadeur Inspire pour son travail d’enseignement réalisé dans le cadre de la formation des élèves au De Vinci FabLab, où le logiciel INSPIRE® est utilisé par les élèves pour la conception des pièces en impression 3D.

La 8e conférence ALTAIR

La 8e Conférence européenne Technology Altair (ATC) s’est tenue à Paris du 29 septembre au 1er octobre dernier. Elle a réuni 650 ingénieurs et experts en simulation à la Cité de la Musique porte de la Villette, pour discuter des tendances et des nouvelles sur la simulation et le développement. Avec plusieurs séminaires techniques dédiés, la Journée européenne universitaire a compté plus de 100 présentations – subdivisées en 5 Keynote et 17 pistes techniques et colloques – une vaste galerie, avec 32 exposants et des expositions de produits innovants des clients d’ALTAIR, ainsi que des séances de mise à jour de produits dédiés. La 8e ATC européenne était remplie de contenu d’ingénierie précieux et a offert une plate-forme idéale pour partager ses expériences.

Avec environ 140 visiteurs rien que pour la partie académique de l’ATC, cette journée était une occasion de participer à une vingtaine de présentations, et de découvrir l’exposition de plus de 25 posters.

C’est à cette occasion qu’a eu lieu la signature officielle de la chaire d’enseignement « optimisation » entre ALTAIR et l’ESILV.

Le logiciel SolidThinking Inspire par Altair

SolidThinking Inspire permet aux ingénieurs de calcul, les concepteurs et les architectes d’examiner les concepts structurellement efficaces, rapidement et facilement. Cela peut conduire à une réduction des coûts, de temps de développement, de consommation de matière, et de poids du produit.

La nouvelle version du logiciel intègre un outil de gestion de contact qui permet aux utilisateurs de trouver des pièces voisines et désigne si elles doivent être liées, en contact ou pas. Cet outil permet aussi de connecter plusieurs pièces dans un même modèle, utilisant des outils de fixation et des joints pour ajouter des boulons, des vis, des broches ou des épingles.

Avec la nouvelle version d’INSPIRE®, les charges de gravité peuvent être ajoutées à un modèle à travers le navigateur de modèle.

 

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Battle Dev de RegionsJobs : l’ESILV dans le top 10 !

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RegionsJobb organise régulièrement des Battle Dev pour les étudiants développeurs puissent régulièrement s’exercer à résoudre des problèmes. C’est également l’occasion pour eux de se faire remarquer par des entreprises.

Destinée aux étudiants, la Student Battle Dev de RegionsJobs mettait en compétition 27 écoles. Avec une vingtaine de participants toutes années confondues, l’ESILV se hisse en 8e position ! Bravo à tous les étudiants qui ont contribué à ce beau classement.

Modalités de participation à la Battle Dev

La Battle Dev est un concours de programmation en ligne à destination des développeurs. L’épreuve consistait tout d’abord à choisir son langage de programmation. (C, Python 3, C++, Java, PHP, C#, Ruby) Les étudiants devaient ensuite résoudre 6 exercices de difficulté croissante. (Moyenne du bulletin scolaire, TV, Scrabble, Logigraphes, Ronronnement, Centrale électrique).

Le 1er prix était un Nexus 6, le deuxième une montre connectée et des leap motion pour les 3e, 4e et 5e prix. En outre, des entreprises comme Thales, GB & Smith, Elosi ou Enovea sponsorisaient l’événement. Certaines d’entre elles étaient d’ailleurs à la recherche de profils pour pourvoir certains postes.

Les résultats de la Battle Dev RegionsJobs

Plus de 750 candidats ont tenté leur chance et seules deux personnes ont réussi à résoudre les 6 problèmes proposés en moins de deux heures. Une centaine d’étudiants ont tout de même atteint le 6e exercice sans toutefois en trouver la solution.

Les résultats ont été communiqués aux entreprises sponsors du concours qui ont ensuite été susceptibles de contacter les candidats pour leur proposer une offre de stage ou d’emploi.

Retrouvez toutes les solutions des exercices sur le Blog Du Modérateur.

http://www.esilv.fr/cursus/cycle-ingenieur/

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Nouvelles énergies : l’ingénieur Smart Grid dans le Top 20 des métiers d’avenir

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Dans un article paru dans « Les Echos » en novembre 2015, l’ingénieur smart grid, qui travaille dans le secteur de l’énergie, fait partie des métiers les plus prometteurs. Pierre Courbin, responsable du département « Nouvelles Energies » à l’ESILV, revient sur la formation de ces ingénieurs de demain.

Le secteur énergie est parmi ceux qui connaissent le plus de mutations, notamment à cause des nouvelles réglementations environnementales (françaises, européennes ou internationales). Le spécialiste en technologie smart grid fait partie de ces nouveaux métiers émergents apparus avec la mutation énergétique.

« Mi-informaticien, mi-énergéticien »

Matthieu Viotti, senior manager chez Spring (marque middle-management du groupe Adecco), qualifie l’ingénieur Smart Grid comme un hybride « mi-informaticien, mi-énergiticien, [qui] coordonne de la manière la plus efficace possible la production, la distribution, le stockage et la consommation d’énergie ».

L’ingénieur smart grid est l’archétype du rapprochement entre le monde de l’énergie et celui du numérique.

Sa mission s’étend de la conception de logiciels jusqu’à la distribution des sources d’énergie. Ses compétences vont de l’informatique industrielle à l’électronique, en passant par la conception de systèmes. Des entreprises comme Alstom, par exemple, sont avides de profils ingénieur smart grid.

La formation Nouvelles Energies à l’ESILV

Pour former ces profils atypiques, l’ESILV a constitué un programme alliant physique liée à l’énergie, systèmes embarqués et réseaux pour la collecte de données ou encore informatique pour l’analyse de ces données. Avec une spécialisation sur le thème des smart grids et de la smart city en dernière année, les élèves-ingénieurs sont particulièrement bien préparés pour répondre aux attentes de ce poste.

Cependant, si cette hybridation entre « énergéticien » et « informaticien » est déjà un défi, il ne faut pas se limiter à faire tomber cette seule barrière.

L’ingénieur smart grid réellement utile sera aussi celui qui saura prendre en compte des domaines plus vastes et comprendre les enjeux de ses réalisations pour anticiper et concrétiser ces projets.

Comprendre le contexte économique et législatifs entourant ce domaine, maîtriser les bases de la psychologie sociale pour faire accepter cette révolution ; voilà des compétences aussi nécessaires à cet ingénieur smart grid.

http://www.esilv.fr/cursus/cycle-ingenieur/majeures/nouvelles-energies/

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LMCS 2015 : Modélisation et calcul scientifique

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Le 24 novembre dernier, l’ESILV a co-organisé la journée nationale des utilisateurs de logiciels dédiés à la modélisation et au calcul scientifique, qui a eu lieu au centre Inria Rennes Bretagne Atlantique.

Bérengère Branchet, du département de recherche du traitement de l’information et de l’informatique, faisait partie du comité d’organisation de cette journée aux côtés d’EDF, IFP Energies Nouvelles, de l’INRIA et de Acsystème.

Cette journée était l’occasion pour les participants de tester des logiciels libres ou commerciaux sur des expériences de modélisation et de simulation dans différents domaines d’application. Techniciens, ingénieurs, docteurs, chercheurs, étudiants, la journée était ouverte à tous ceux qui avaient un intérêt ou une partie prenante sur l’utilisation de ces outils.

Des moments de rencontre ont également été organisés pour permettre aux participants, aux intervenants et aux entreprises d’échanger autour de logiciels comme Matlab/Simulink, Scilab/Xcos, Modelica, Dymola, Amesim, Mathematica, Maple/Maplesim, Anylogic, xMOD etc…

4 cycles de conférences étaient organisés tout au long de la journée. Le premier a traité de l’analyse et de compilation de modèles. Antoine Girard du CNRS a évoqué l’analyse de l’atteignabilité des systèmes hybrides, tandis que Jean-Philippe Chancelier (ENPC) et Ramine Nikoukah d’Altair ont parlé de la génération de code par évaluation partielle pour Scicos.

La deuxième session s’est consacrée à la fiabilité des systèmes. Qinghua Zhang de l’INRIA est intervenu sur le diagnostic de défauts de câbles électriques par l’estimation de l’impédance caractéristique distribuée, Marc Bouissou d’EDF a présenté le logiciel Modelica. Miguel Munoz Zuniga d’IFPen a évoqué l’estimation de la probabilité de défaillance d’une turbine d’éolienne tandis que Thierry Soriano de Supmeca a analysé un système méactroinique incertain quantifié dans l’espace d’état avec la métrique de Hausdorff.

La troisième session se déroulait autour de la modélisation 0D/1D de process. Alexandre Cortina de Dassault systèmes et Jean-Luc Terrier d’Alstom transport ont traité de la conception d’un système de monitoring de boggie (BMS). Dominique Thuault d’Adria développement a évoqué la simulation de la prolifération microbiologique au sein des aliments sous gaz. Enfin Xavier Tardy de Cerebrum a présenté une modélisation 1D des phénomènes vibratoires?

La dernière session de la journée présentait plusieurs simulations. Eashan Liyana de DPS a montré une librairie de modélisation du trafic urbain, Jean-Philippe Tavella d’EDF a présenté une plateforme de co-simulation DACCOSIM et enfin Nicolas Pernet d’IFPen a effectué une simulation en temps réel de multi-coeurs.

http://www.devinci.fr/evenements/journee-dechanges-sur-les-logiciels-de-modelisation-et-de-calcul-scientifique/

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Forum entreprises 2015 : les entreprises recrutent des ingénieurs du numérique dans les écoles généralistes

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Le forum entreprises 2015 aura été l’occasion pour plus d’une centaine de recruteurs de se confronter à la diversité des profils qu’offre l’ESILV, école d’ingénieurs généraliste, qui forme aussi bien des étudiants en finance, qu’en informatique, mécanique et nouvelles énergies.

Organisé chaque année par le service des relations entreprises, le forum Entreprises permet ces dernières de profiter de la présence dans un même lieu des 3 écoles du Pôle Léonard de Vinci : l’ESILV, l’EMLV et l’IIM Léonard de Vinci. Ainsi, la transversalité, au cœur des enseignements du Pôle pour les étudiants, prend tout son sens.

La proximité de ces entreprises dans le quartier de La Défense est également un atout supplémentaire pour les étudiants du Pôle.

Banques, finance, distribution spécialisée, tourisme, technologies, services, plus d’une centaine d’entreprises étaient au rendez-vous cette année. Outre les stands de chacune, des séances de « speed-dating » étaient organisées entre les recruteurs et les étudiants. Ainsi, ces derniers étaient ainsi confrontés à de véritables entretiens de recrutement, exercice qui peut s’avérer périlleux les premières fois.

Les entreprises cette année étaient particulièrement en recherche de profils généralistes et digitaux. En effet, qu’elles soient des grands groupes du CAC 40 comme AXA, BNP Paribas ou des PME comme Micropole, ou le groupe Eolen, toutes ont de fortes problématiques dans le numérique que les étudiants de l’ESILV peuvent contribuer à résoudre.

Mathilde Jean de Sopra Steria, souligne la forte adaptabilité de ces jeunes ingénieurs généralistes qui sortent de l’école avec de grandes qualifications dans les langages de programmation.

Retrouvez l’intégralité des dates de stages 2015-2016 des étudiants de l’ESILV :

stages-esilv-2016-620x112

http://www.devinci.fr/entreprises/recruter-un-etudiant-en-stage/

Les entreprises présentes au forum entreprise 2015

Accenture // ACCORHOTELS // Actimage Consulting SAS // ADAGIO SAS // ADECCO // ALTEN // ALTRAN // ALYOTECH // Amaris // Amexio // AVIVA // AXA // BACKELITE // Baltazare // BEAUTE PRESTIGE INTERNATIONAL // BIG YOUTH // BNP PARIBAS // BNP PARIBAS Real Estate // Bouygues Telecom // bpifrance // BRED Banque Populaire // CAISSE D-EPARGNE ILE-DE-FRANCE // Cellfish // Cisco Systems // CITY ONE // Comexposium // CREDIT AGRICOLE CORPORATE & INVESTMENT BANK // CWT  // Darty // Dassault Systèmes // DDB Health Paris // Decathlon // DENTSU AEGIS NETWORK // DFCG // DogFinance // Emmaüs Connect // Europcar International // EXTIA // Extrême Sensio // FCA Fiat Chrysler Automobiles // FEDERAL EXPRESS CORPORATION // FNAC // GALEC / E.Leclerc // Galeries Lafayette // General Electric // GLOBAL MARKET SOLUTIONS // GROUPE EOLEN // GROUPE PENELOPE // Groupe Pierre & Vacances Center Parcs // HSBC // IBM France // ING Luxembourg  // iQuesta.com // John Paul // Johnson & Johnson // KWANKO // KELEY CONSULTING // KLB GROUP // KPMG // KWANKO // Lincoln HR GROUP // MANPOWER // Marine nationale // mc²i Groupe // McCANN ERICKSON FRANCE // MICROPOLE // MICROSOFT // NASEBA // NATIXIS // Nell’Armonia // Netbooster // NEURONES IT // Nissan West Europe // OGILVY // ONE MORE // PCO Innovation // Plan.Net // Prime Engineering // PROCTER&GAMBLE // Profile-Research // PSA PEUGEOT CITROËN // Razorfish France // Reed Expositions France // SAINT GOBAIN DISTRIBUTION BATIMENT France // SAP // Schneider Electric // SensioLabs // SHOWROOMPRIVE.COM // small IZ beautiful // SOGETI FRANCE // SOPRA STERIA // STARCOM MEDIAVEST GROUP // Tata Consultancy Services // TF1 // THE KOOPLES // Tradedoubler // Valeo  // VMware // ZenithOptimedia

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Ibrahim, promo 2015, un ingénieur financier intermédiaire en assurances

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Ibrahim Arslan intègre l’ESILV en 3e année afin de se diriger vers le diplôme d’ingénieur en mathématiques et ingénierie financière. Dès l’année suivante, il crée son entreprise d’intermédiaire en assurances et de services financiers : IR Assurances & Services Financiers.

Ses deux stages en asset management chez Natixis AM et AMUNDI ont été de réels atouts pour Ibrahim, lui permettant ainsi très tôt d’obtenir suffisamment d’expérience, de connaissance et de volonté pour créer sa propre entreprise.

Créer une société d’intermédiaire en assurance

L’aventure commence en août 2013 lors de la création de la société. En revanche, tout ne s’arrête pas au centre des formalités des entreprises, la chambre de commerce et de l’industrie ; le métier d’intermédiaire en assurance est un métier réglementé. Depuis 2007, sous la tutelle de l’ACPR, autorité de contrôle prudentielle et de résolution, la profession requiert une certification auprès de l’ORIAS – organisme pour le registre des intermédiaires en assurances- afin de justifier de la capacité professionnelle. Il a donc fallu que je passe une certification complémentaire afin d’obtenir l’accord de l’ORIAS. Cette justification peut être faite de plusieurs façons, voir le site www.orias.fr. Outre l’agrément, de nombreuses conditions sont à respecter : garantie financière, devoir de conseil, d’honorabilité….

La solution la plus simple et rapide fut la réalisation d’un stage de 150 heures dans une société d’assurance. La qualité des cours, des projets et des enseignants de l’ESILV m’ont aidé à la fois à obtenir rapidement mon agrément, cela a notamment renforcé mon dossier lors de la commission à l’ORIAS, et à avoir une certaine notoriété auprès des compagnies d’assurances et d’établissements bancaires.

Mais un intermédiaire se doit de trouver des partenaires. Afin de pouvoir commercialiser des produits en assurances, nous devions trouver des compagnies d’assurances avec lesquelles nous pouvions travailler. Comme tout beginner dans le domaine du courtage, nous avons travaillé avec des courtiers grossistes nous permettant d’avoir accès aux produits des plus grandes assurances telles qu’AXA, Allianz ou Generali.

C’est suite à ce long chemin de démarches que nous avons enfin pu commencer notre métier.

Etudiant et entrepreneur, un double statut

Durant mes deux dernières années de scolarité, mon challenge quotidien fut de mener à bien à la fois ma scolarité au Pôle et la conduite de mon cabinet.

En effet, j’ai dû savoir jongler entre mes cours, mes professeurs, mes clients et mes partenaires, des compagnies d’assurances, afin de maintenir une certaine stabilité entre ces deux mondes. Les conseils de mes enseignants ont été précieux pour ne pas rater ma scolarité et atteindre mon but : la diplomation. Fort heureusement j’ai été épaulé par mon associé dans ce challenge.

Dès l’obtention de notre ORIAS, nous avons commencé la vente des produits d’assurances. Les premiers contacts furent noués auprès de notre réseau personnel et professionnel.

Nous avons inauguré notre premier point de vente sur une rue commerçante en juin 2014 et c’est dès la rentrée 2014 que nous avons recruté notre premier collaborateur en alternance.

L’année 2014-2015 nous a permis de nous étendre à une clientèle plus vaste et de passer à l’étape supérieure. Le défi par la suite fut de pouvoir répondre à toutes les demandes de nos clients. Pour cela, nous avons augmenté notre gamme de produits et nous pouvons aujourd’hui proposer la quasi totalité des produits d’assurances et financiers.

Un futur en constante évolution

Après l’obtention de mon diplôme à l’été 2015, je peux enfin m’accorder pleinement au développement de mon cabinet. Nous avons récemment inauguré un second point de vente, dont le lieu a été choisi dans le cadre de notre plan stratégique. Aujourd’hui notre cabinet est composé de 4 collaborateurs.

Aujourd’hui, IR Assurances et Services Financiers propose l’intégralité des solutions assurantielles et bancaires. Afin de compléter nos solutions d’investissement, nous allons très prochainement développer une nouvelle branche dans le domaine de l’immobilier.

Pour plus de détail : www.groupeir.com

http://www.esilv.fr/cursus/cycle-ingenieur/majeures/ingenierie-financiere/

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3 pitchs originaux de projets innovants d’élèves-ingénieurs en finance, mécanique et énergie

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Dans le cadre des projets d’innovation industrielle de 4e année des étudiants de l’ESILV, les élèves-ingénieurs se réunissent par groupe de 4 ou 5 selon leur majeure d’enseignement afin de travailler sur une problématique concrète, souvent proposée par une entreprise ou un laboratoire de recherche.

Le Projet d’Innovation Industrielle 4, ou PI²4, intervient en deuxième année du cycle ingénieur dans le cursus ingénieur de l’ESILV, école d’ingénieurs généraliste au coeur des technologies numériques.

L’objectif est de mettre en oeuvre les compétences de sa majeure d’enseignement. Ce projet intervient en 4e année du cursus en 5 ans de l’école d’ingénieurs. Equivalent à une centaine d’heures par élève, il met en scène une équipe de 4 étudiants sur une problématique concrète, le plus souvent proposée par une entreprise ou un laboratoire de recherche.

Comme chaque année, les futurs ingénieurs ont dû réaliser une vidéo de présentation des enjeux de leur projet, en anglais. Le défi ? Réaliser une vidéo de pitch originale sur un projet d’innovation industrielle et cumuler le plus de vues.

Le podium en nombre de vues de ces projets est composé d’un projet sur les nouvelles énergies en première position, un projet en ingénierie financière en deuxième position, et un projet en mécanique numérique et modélisation en 3e position.

1er : Dimensionnement et test d’une solution d’éclairage

Ce projet qui est en cours de réalisation par des élèves-ingénieurs en nouvelles énergies consiste à réaliser et tester une solution d’éclairage autonome pour l’agriculture : « ALI ». Grâce à l’utilisation de panneaux solaires photovoltaïques, l’énergie est récupérée et stockée en pile. Les piles sont ensuite utilisées pendant la nuit en serre de manière à ce que les plantes utilisent l’énergie contenue pour réaliser leur photosynthèse et ainsi continuer de croître.

Céline de Pin, Quentin Dupuis, Thomas Hervier, Margaux Lericheux et Carmen Orejas de la majeure Nouvelles Énergies travaillent ensemble sur ce projet en partenariat avec le CEA Cadarache, l’un des 10 centres de recherche du Commissariat à l’Énergie Atomique et aux Énergies Alternatives.

2e : Mean-Variance optimization of a portfolio

En utilisant les bases de données importées du logiciel référence dans le monde de la finance de marché, Bloomberg, les étudiants ont travaillé sur nouvel algorithme qui leur permet de mieux appréhender et maîtriser les investissements financiers.

« Keep calm and invest », le nouveau mantra de cette équipe de futurs professionnels des salles de marché,  de la finance et de la Bourse !

3e : Automated approach for rapid optimal design of offshore structures

Le but du projet est de réussir à automatiser le design et la construction d’une plateforme offshore grâce à une méthode d’algorithme génétique.

La réalisation de ce projet en mécanique numérique et modélisation se fait via la simulation avec le logiciel Abaqus – logiciel de Dassault systèmes. Cela permettra de récupérer les données de contraintes, déformations, déplacements de la structure en sortie, les optimiser grâce à l’algorithme génétique, garder les critères qui sont satisfaisants en termes d’optimisation et modifier les autres jusqu’à avoir une solution optimale et obtenir le design final.

Pour l’optimisation d’une plateforme offshore pétrolière, un nombre important de paramètres entrent en jeu pour réussir à avoir le design final. Il faut avoir le meilleur rapport qualité/prix pour chaque matériau et chaque pièce tout en prenant en compte les contraintes de la structure pour que celle-ci résiste aux différents efforts.

Les projets à l’ESILV

Tout au long du cursus ingénieur, sur des thématiques proposées par les entreprises partenaires de l’école, les étudiants élaborent en petits groupes des projets sur la base de problématiques concrètes

Voir le répertoire des projets

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Pourquoi et comment les labs d’innovation révolutionnent la façon de penser l’innovation dans les organisations

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L’ESILV et le Pôle Léonard de Vinci ont accueilli la deuxième édition de l’Innovation Ecosystems Agora, un évènement dédié aux nouveaux lieux de la créativité et à l’open innovation au sein des entreprises et institutions.

Les problématiques d’innovation sont constantes pour les entreprises dans un environnement concurrentiel fort, et dans un contexte où la transformation digitale engendre des mutations profondes de modèles économiques et d’usages.

En ce sens, la façon dont les organisations suscitent l’innovation en interne, a évolué ces dernières années et l’on a vu apparaître puis se multiplier des  cellules et lieux dédiés à ces problématiques.

Qu’ils s’appellent FabLab, creative Labs, clusters d’innovation, incubateurs, living labs, maker spaces, tech shops, ces dispositifs ont tous un objectif en commun : promouvoir au sein des entreprises et institutions l’innovation ouverte et l’esprit d’intrapreneuriat.

Promouvoir les lieux d’innovation en interne, impliquer les acteurs dans une démarche d’innovation ouverte, susciter des vocations d’intrapreneuriat, faire entrer l’ecosystème startup dans l’entreprise, nombreux sont les enjeux actuels pour les organisations « corporate » autour de l’innovation.

Une démarche qui a une résonance particulière au sein des établissements du Pôle Léonard de Vinci, où les élèves-ingénieurs de l’ESILV, les futurs étudiants managers de l’EMLV et les concepteurs numériques et multimédia de l’IIM travaillent en équipes transversales tout au long de l’année sur des projets innovants en partenariat avec des entreprises, sur fond d’hybridation des cursus et compétences.

L’Innovation Ecosytems Agora 2015 en vidéo

L’Innovation Ecosystems Agora du 17 novembre 2015 avait pour ambition d’analyser la nature de ces « corporate labs », ainsi que leurs différentes formes d’interaction avec des partenaires externe : l’innovation « ouverte » ou open Innovation est désormais au centre des préoccupations des entreprises, particulièrement dans le numérique.

Avec au programme des conférences, ateliers et séances de speed meeting, l’IEA2015 s’est déroulée dans le cadre de la Global Entrepreneurship Week. Parmi les intervenants présents, les participants ont en particulier eu le plaisir de pouvoir échanger avec Yann Barbaux, Directeur de l’Innovation – Airbus, Xavier Quérat Hément, Directeur Qualité – Groupe La Poste, André-Benoît de Jaegère, Vice Président – Capgemini, Bruno Humbert,Président – Co-fondateur – La Ruche, ou encore David Valentini, Co-fondateur – Geek Impact.

Au sein des worskshops proposés tout au long de la journée ont été abordés des thèmes comme les outils et méthodes de conception innovante, les talents et compétences pour les Labs, l’impact des Labs sur les organisations et sur le management, les outils et méthodes de prototypage, la place des labs dans l’innovation sociale, ou encore la méthode de conception « Design Thinking ».

Innovation Labs : Synthèse Innovation Ecosystems Agora 2015

Table Ronde de synthèse avec les rapporteurs des divers ateliers – Conclusions et perspectives – Intervenants : Nadège Bouquin (ANRT/Futuris), Bernard David (CEA), Albert Meige (Presans), Valérie Mérindol (Newpic), Eric Seulliet (DIL / Fabrique du Futur), David Versailles (Newpic) interviewés par André Dan.

 

Cet article Pourquoi et comment les labs d’innovation révolutionnent la façon de penser l’innovation dans les organisations est apparu en premier sur Ecole d'Ingénieurs Paris-La Défense ESILV.

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