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Rentrée en mars 2016 : pour une réorientation réussie en école d’ingénieurs avec restart-postbac

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La rentrée décalée de mars 2016 à l’ESILV permet aux étudiants d’intégrer une école d’ingénieur en semestre accéléré, sans perdre une année.

Choisir sa voie juste après le bac n’est pas forcément évident.  Une erreur de parcours, une désillusion sur un programme, des difficultés lors des examens, peuvent conduire à des désillusions et une réorientation s’impose alors.

L’ESILV, école d’ingénieurs généraliste au cœur des technologies numériques, offre une rentrée en mars 2016 avec ReStart-postbac, un semestre accéléré permettant ensuite de poursuivre en deuxième année de prépa intégrée.

Un semestre accéléré en école d’ingénieurs, rentrée le 7 mars 2016

17 semaines de cours intensifs de début mars à mi-juillet, voici ce qui attend les étudiants qui souhaitent se réorienter à l’ESILV. Le cursus prévoit 100 heures de cours transversaux, point d’orgue des écoles du Pôle Léonard de Vinci, dont la première semaine dite d’intégration commune aux élèves des 3 écoles : ESILV (Ecole Supérieure d’Ingénieurs Léonard de Vinci), EMLV (Ecole de Management Léonard de Vinci) et IIM (Institut de l’Internet et du Multimedia).

 

restart-postbac2016.2

Origine des élèves de Restart-Postbac en 2015 pour l’ESILV, école d’ingénieurs, 48 % PACES, 19% Licence, 10% prépa, 5% DUT

Infos pratiques rentrée décalée 2016 :

Date de rentrée : lundi 7 mars 2016
Fin des cours : mi-juillet 2016
Cours en semaine + éventuellement samedi (notamment examens)
Volume horaire de face à face : 395 heures
Programme délivre 60 ECTS
Admission : dossier universitaire + entretien individuel
Ouverture portail inscription : 15 décembre 2015
Frais de candidature : 100 euros / 40 euros pour les boursiers
Prix du programme : 4 900 euros
Nombre de places : 40

http://www.esilv.fr/cursus/restart-postbac/

Démarrer un dossier de candidature

PROGRAMME DU SEMESTRE ACCÉLÉRÉ RESTART POSTBAC 2016

Le programme comprend 4 Unités d’Enseignements dédiés à l’ESILV : Mathématiques (Algèbre, Analyse, Statistiques), Physique et Sciences de l’Ingénieur (Mécanique statique et dynamique, Électronique, Thermodynamique, Environnement technologique), Informatique (Algorithmique et langage C#, Systèmes électroniques et informatiques), Projet d’Imagination et d’exploration.

Une UE « soft skills » commune et transversale aux écoles du Pôle Léonard de Vinci (EMLV, IIM, ESILV) comprend : Jeu de simulation de découverte de l’entreprise, Méthodologie recherche information, Analyse d’un secteur d’activité porteur, Méthodologie de travail personnel, Projet Voltaire, Anglais et Sport option.

 

ESILV

École Supérieure d’Ingénieurs Léonard de Vinci Habilitée par la Commission des Titres d’Ingénieurs (CTI), école d’ingénieurs généraliste, l’ESILV forme en 5 ans des ingénieurs opérationnels qui s’insèrent parfaitement dans le monde professionnel. Le projet pédagogique de l’école s’articule autour des sciences et des technologies numériques. Enseignements en petits groupes, travail en équipe, pédagogie par projet, stages et expériences internationales complètent le cursus. Spécialisations : Ingénierie Financière, Nouvelles Énergies, Informatique et Sciences du Numérique, Mécanique Numérique et Modélisation. En dernière année, les élèves ont la possibilité de faire des bi-cursus : en Entrepreneuriat (filière commune avec l’EMLV et l’IIM), en Finance d’entreprise (avec l’EMLV), en Actuariat (ISUP), en France ou à l’étranger (Canada, Australie, Royaume-Uni, Chine, Autriche, États-Unis…).

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Open-data et handicap : un hackathon au De Vinci FabLab autour de l’innovation ouverte

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Une semaine en équipes transversales ingénieurs-managers-designers pour concevoir des services et dispositifs innovants au service du handicap en s’appuyant sur l’Open Data et les infrastructures du De Vinci FabLab.

Le De Vinci FabLab, c’est la structure du Pôle Léonard de Vinci dédiée à l’Open Innovation à disposition des élèves-ingénieurs de l’ESILV au sein du Learning Center. On y trouve entre autres des dispositifs de modélisation et d’impression 3D, ainsi qu’un ensemble d’outils technologiques innovants ayant pour objectif de faciliter la réalisation rapide de prototypes : littlebits, cartes intel et Arduino par exemple.

Du 23 au 28 novembre 2015, le hackathon Open Data et handicap s’est déroulé au De Vinci FabLab sous la houlette de Tatiana Vilela, conceptrice numérique et intervenante notamment à l’Institut de l’Internet et du Multimédia.

Prenant place dans le cadre de la semaine transversale des étudiants de 3e année des écoles du Pôle Léonard de Vinci, ce workshop a réuni des élèves-ingénieurs de l’ESILV, des étudiants en management de l’EMLV ainsi que des spécialistes du multimédia formés à l’IIM. En 5 jours, l’objectif pour les étudiants a consisté à livrer un prototype fonctionnel d’application ou de device au service du handicap, sur la base de l’Open Data.

L’Open Data, c’est un ensemble caractérisé à la fois par le fait que ce sont des bases de données, mais également qu’elles sont accessibles et ouvertes, et donc disponible pour créer des applications innovantes.

Faire travailler ensemble des étudiants aux compétences et horizons différents mais complémentaires est le but poursuivi par l’hybridation des cursus et des enseignements au sein des écoles, un concept largement partagé en entreprise.

Conception de produit et de service, gestion de projet, itération rapide sur fond de philosophie Design Thinking où l’utilisateur final est au cœur de la réflexion, innovation ouverte et partage des connaissances sont les problématiques associées à un évènement spécifique comme peut l’être un hackathon.

Parmi les projets développés au cours de ces 5 jours de marathon technologique, il faut retenir en particulier le projet Handistrap, composé d’un dispositif de type bracelet connecté, un hardware sur une base Arduino et d’une application mobile, et dont l’objectif est de faciliter l’accès des personnes souffrant d’un handicap à des lieux accessibles préalablement référencés.

Autre projet identifié comme porteur d’une vraie solution pour le handicap, le projet Filigo, qui s’adresse à des personnes souffrant de dyspraxie, et particulièrement les enfants : à l’aide d’un fil lumineux, le projet consiste à guider les enfants la nuit au sein de l’habitation, en leur facilitant l’accès aux toilettes, par exemple.

Plus d’infos sur le  De Vinci FabLab : http://www.devinci.fr/fablab/

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Modélisation des marchés et instruments financiers : conférence sur « Bâle III, et après ? »

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Cyril Grunspan, responsable du département d’ingénierie financière et Daniel Aidan, intervenant à l’ESILV et « Head of Structured Products » à la BRED, sont intervenus lors d’une conférence de présentation des formations de finance de l’école d’Ingénieurs, afin de discuter de Bâle III, de ses conséquences et de l’avenir des métiers de la finance.

Après la crise des subprimes en 2007, le monde financier et bancaire a été ébranlé dans ses fondements mêmes et tout son fonctionnement bouleversé. Les Accords de Bâle III publiés le 16 décembre 2010 sous l’impulsion du G20, sont des propositions de réglementation bancaire. En effet, les pouvoirs publics se sont efforcés de renforcer la résilience du système bancaire à travers ces recommandations. Par un effet pervers, ces nouvelles mesures ont créé artificiellement un nouveau marché où s’échangent des produits dans le seul but d’optimiser des bilans bancaires. De fait, le risk manager se transforme en traders. Où en est-on de Bâle III aujourd’hui et quel est le futur pour les banques et les métiers de la gestion des risques ?

Bâle III : les bilans financiers et la liquidité

Bâle III a mis l’accent sur deux nouvelles notions : le bilan et la liquidité.

La taille des bilans bancaires est désormais limitée au nouveau « Leverage Ratio » ; la liquidité à court terme est, elle contrôlée avec le « Liquidity Coverage Ratio », le fameux LCR (à long terme il y a aussi le NSFR).

Daniel Aidan explique la vie à l’intérieur des salles de marché. Tout tourne autour du LCR aujourd’hui. Les banques achètent ou vendent du LCR. Il souligne qu’en août dernier, Goldmann Sachs a acheté une banque en ligne, la General Electric Capital Bank, dans le seul but d’y récupérer ses 16 milliards de dollars de dépôt (il n’y a pas d’autres actifs) afin d’améliorer sa liquidité. Il explique que les banques françaises ont structurellement des problèmes de liquidité comparées aux autres banques européennes. En effet, les dépôts n’étant pas rémunérés en France comme c’est le cas par exemple en Allemagne (une loi d’après-guerre interdisait aux banques de le faire), les épargnants placent leur argent dans des livret A ou assurance vie voire des SICAV monétaires qui échappent aux banques et ne sont donc pas pris en compte dans le calcul du LCR.

MSc Investment Banking and Risk Management

Pour Cyril Grunspan, les « Risk Manager » ne sont plus relégués dans d’obscurs départements du Middle Office mais qu’ils sont désormais à l’origine des choix d’investissement, au sommet de la gouvernance. Un grand nombre de systèmes de supervision existant aujourd’hui : l’Autorité Bancaire Européenne, l’ESMA, l’EIOPA et le Conseil Européen du Risque Systémique.

L’ESILV était parmi les premières écoles d’ingénieurs à proposer des cours entièrement centré sur le risque systémique dans la majeure d’ingénierie financière.

Daniel Aidan rappelle également que tout le monde n’est pas soumis à Bâle III ou pas tous de la même façon. Les Suisses, qui ne font pas partie de l’Union européenne, sont soumis à d’autres méthodes de calcul du LCR. Or, les banques suisses sont pleines de dépôts. Il y aurait donc un intérêt à faire des affaires avec elles. Daniel Aidan explique aussi que les assureurs sont soumis à Solvency 2 et qu’il convient de connaître aussi cette directive européenne. Les assureurs optimisent leur SCR et les banquiers leur LCR. D’où des transactions naturelles entre eux.

Bâle III et après ?

Après l’annonce faite en novembre dernier du Conseil de Stabilité Financière pour aller encore plus loin dans la capitalisation des banques systémiques, l’évocation de Bâle IV n’est pas loin. Il manquerait en moyenne à ces banques près de dix milliards d’euros chacune de fonds propre. Oui tout change et tout change même radicalement. Mais on peut sortir gagnant de ces changements.

Il s’agit de mieux connaître Bâle III que les autres, mieux que ses concurrents, pour mieux optimiser ses ratios réglementaires…

Et gagnant pour les banques, cela veut dire gagner de l’argent… L’avenir sourira à l’étudiant qui connaîtra bien Solvabilité II et Bâle III.

MSc Investment Banking and Risk Management

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Données numériques et flux touristiques : le big data au service du tourisme

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Gaël Chareyron, Bérengère Branchet et Jérôme Da-Rugna, font partie de l’équipe de recherche Big Data et tourisme du De Vinci Technology Lab. Spécialisés dans les données Big Data issues des réseaux sociaux, ils réussissent à analyser les comportements des touristes dans le monde.

Dans un article publié dans l’Expansion (Décembre 2015-Janvier 2016) n°810, les enseignants-chercheurs se sont intéressés de près à la trace numérique laissée par les touristes afin de suivre, comprendre et prédire leur comportement. Extraits.

Le tourisme, une industrie essentielle en France

La consommation touristiques intérieure dépasse les 155 milliards d’euros et représentait 7.4% du PIB en 2013 en France. L’attractivité des zones littorales, alpines et de la région parisienne fait de la France le premier pays visité dans le monde, avec 84 millions de visiteurs, et le 4e en termes de recettes. Pour autant, les tendances actuelles font naître une certaine inquiétude, tant du côté des pouvoirs publics que du côté des opérateurs prévis du secteur. La situation géopolitique et les risques terroristes pourraient dissuader les touristes étrangers de venir visiter notre pays. Le secteur présente par ailleurs des fragilités structurelles et les touristes déplorent des insuffisances tant en termes de services que d’offres hôtelières hétérogènes. Finalement le secteur est en proie à un phénomène disruptif particulièrement illustré ces derniers temps par la guerre entre hôteliers traditionnels et nouveaux entrant.

Le Big Data, une connaissance vitale pour l’avenir du secteur

Dans un secteur aussi concurrentiel, la maîtrise des données devient (…) fondamentale. Connaître les profils des consommateurs, les flux, les attentes; pouvoir anticiper les comportements et adapter l’offre touristique en conséquence : tels sont les défis auxquels sont confrontés les différents acteurs privés et les pouvoirs publics.

Or, à l’évidence, le secteur touristique est très numérisé. d’une part, un nombre croissant d’opération d’achats de produits touristiques (nuits d’hôtels, visites de sites etc…) passe par Internet. D’autre part, les touristes ont une tendance naturelle à partager leurs opinions et à décrire leurs expérience et comportements sur le Web. (…)

Les consommateurs mettent à disposition de tous un nombre de plus en plus important de traces numériques. Ils deviennent également prescripteurs (…). De nouvelles tendances émergent ainsi et l’imaginaire touristique des personne évolue en fonction non plus seulement de leur propre expérience, mais de l’expérience globale des autres.

Dans ce contexte, l’industrie touristique doit s’adapter pour comprendre, mieux et plus vite, l’évolution des comportements des touristes. (…) Il est nécessaire d’intégrer un nouveau type d’analyse, exploitant les big data. (…)

Cet article a pour objectif de montrer les enseignements tirés d’analyses de données big data et leurs implications sur le plan de l’économie du tourisme (…). Les recherches présentées dans cet articles sont basées sur deux types de données traitées dans leur volume et de façon anonyme : les sites d’évaluation de lieux et les sites de partages de photographies. Elles sont issues de quatre sources : Tripadvisor, Flickr, Panoramio et Instagram. (…)

La visualisation au service de l’analyse

Un des enjeux des politiques touristiques est de comprendre l’attitude des consommateurs et les motivations de visite d’un site. Une analyse poussée sur ces points permet un travail en profondeur sur des aspect comme la segmentation et le ciblage marketing. Cela permet aussi d’affiner l’offre touristique et d’orienter les politiques publiques.

Motivations et ressentis sont souvent liés. les données collectées en masse sur un site comme Tripadvisor permettre d’analyser les unes et les autres, séparément ou ensemble. (…) Les commentaires et avis donnent une vision globale d’un site et de la qualité perçue. part exemple, il est possible de « colorer » une ville en agrégeant par zones les notes d’intérêt ou de satisfaction attribués à différents lieux.

Cela met en évident les zones globalement mieux notées en termes d’hébergements, de restaurants ou d’attractions. Et il est possible de réaliser cette analyse à toute échelle et en profilant le groupe de touristes concernés (pays d’origine, catégories d’âge ou de sexe) Ce premier éclairage cartographie l’offre et le ressenti des clients sur cette offre. Cela suggère directement des axes d’améliorations des prestations proposées. (…)

Décrypter et modéliser les flux touristiques

L’apport du big data dans l’analyse des motivations et comportements permet de faire émarger des tendances non visibles ou inattendues. Il permet également de modéliser des flux touristiques, notamment grâce aux données de géolocalisation laissées par les consommateurs lorsqu’ils déposent des éléments comme une photo sur un site internet.

Les visualisations réalisées permettent de découvrir un Paris des pratiques qui ne correspondent pas forcément à l’offre touristique; ces visualisations révèlent la ville telle que la vivent les touristes et non pas telle que l’envisagent les prestataires du tourisme. De quoi éclairer le débat public.

(…)

Les comportements effectifs des touristes ne sont pas forcément ceux voulus par les opérateurs touristiques. Pouvoir analyser massivement les données tirées d’Internet et des réseaux sociaux permet de passer outre les idées reçues, de construire une démarche touristiques orientée client et par là même d’améliorer la compétitivité de ce secteur.

Retrouvez l’intégralité de l’article dans le numéro 810 de l’Expansion de décembre 2015- janvier 2016. pp152-156.

Informatique et sciences du numérique

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Le numérique peut-il offrir des solutions concrètes aux défis climatiques ?

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Tandis que s’est achevée la COP21 la semaine dernière à Paris, les enjeux climatiques continuent de préoccuper. Pierre Courbin, responsable du département Nouvelles Énergies de l’ESILV, s’interroge sur la capacité du numérique à apporter des réponses tangibles aux questions du réchauffement climatique.

Dans la lettre d’information de la Conférence des Grandes Écoles n°68 de décembre 2015, le focus est fait sur la corrélation possible entre les défis climatiques et les solutions pertinentes que peut apporter le numérique, notamment en ce qui concerne l’optimisation des ressources et de la consommation.

Convaincre, inciter, former : pédagogie à tous les étages

Le schéma utilisé aujourd’hui pour appréhender les défis climatiques semble suivre trois étapes.
Convaincre, en utilisant la science, les modèles mathématiques, l’analyse massive de données… Convaincre les populations et les dirigeants que nous sommes face à de réels défis climatiques.
Inciter, en utilisant des méthodes de marketing, de communication engageante, des leviers financiers… Inciter les populations et les dirigeants à prendre des décisions apparemment constructives pour faire face à cette situation.
Former, en réalisant des ateliers, des fiches pratiques, des jeux éducatifs… Former les populations et les dirigeants en leur apprenant des gestes basiques et en favorisant leur appropriation de concepts essentiels pour affronter ces challenges.

Malheureusement, l’étape “convaincre” semble souffrir de résultats fluctuants et un nombre important de personnes deviennent sceptiques quant à la réalité des défis climatiques ou aux solutions possibles. Le désintérêt croissant des populations et donc des dirigeants (ou l’inverse), peut-être plus préoccupés par le contexte économique actuel, laisse en effet place à des détracteurs attaquant notamment l’aspect « scientifique » qui apparaît parfois comme un argument d’autorité utilisé à mauvais escient.

Le numérique, une approche concrète

Des personnes ne croient pas assez aux défis qui nous font face ? On ne peut pas s’appuyer avec certitude sur leur engagement ? Une réponse qui semble se dessiner est d’utiliser des méthodes numériques pour automatiser nos réponses et maîtriser précisément les enjeux de ces challenges.

Automatisons les villes, les maisons, les usines. En développant des systèmes “intelligents” dans nos espaces de vie et de travail, l’idée est d’automatiser des processus afin de garantir une optimisation de la consommation et donc de la production.

Ceci se fait essentiellement grâce à des outils numériques et l’usage de grandes quantités de données (Big Data) afin de prendre des décisions automatiques pour garantir un niveau de service optimal sans gaspillage.

Des solutions nécessairement diverses

La nature ne semble pas aimer l’uniformité, elle favorise la diversité et les échanges complexes, inspirons-nous en : pour ces systèmes numériques intelligents, il faut se concentrer sur des protocoles d’échanges clairs et ouverts, laissant à chacun la possibilité de développer sa propre technologie mais s’appuyant sur l’interopérabilité avec l’ensemble de l’environnement. Comme pour la nature, cela augmente la résistance aux défauts, aux pannes et aux attaques.

Des limites à comprendre et à intégrer
Si le numérique est une solution intéressante pour répondre aux défis climatiques, il ne faut pas oublier que rien n’est gratuit. La technologie consomme, génère des déchets, nécessite de la maintenance et de la supervision. Utiliser un ensemble d’objets connectés reliés à des serveurs d’analyses doit évidemment permettre d’économiser plus de ressources que ce nouveau système n’en consomme.

Former, inciter, convaincre : se replacer au centre de la solution avec le numérique
L’automatisation semble être une solution techniquement viable mais nous savons qu’aucun changement n’est possible sans réel engagement de la population. Et il semble en fait bien pessimiste de penser qu’une réelle et profonde prise de conscience n’est pas en marche.

Que dire des mouvements tels que les “makers” avec les FabLabs, les “AMAP”, les réseaux sociaux de proximité pour échanger des services ou des biens, des voitures, des logements ?

Toutes ces approches s’appuient sur le numérique pour créer du lien et mettre les personnes en relation afin d’inventer un nouveau mode d’échange et de partage décorrélés des habitudes de consommation classiques.

Alors tout serait déjà sur la bonne voie grâce au numérique ? Oui. Et non.

On a parfois tendance à penser que les générations actuelles, celles “nées avec le numérique”, ont une compréhension innée des technologies. Ce serait une grave erreur de confondre utilisation et compréhension.

Nous avons besoin de personnes qui ont une réelle maîtrise des enjeux de ces technologies, de leurs limites et de leurs possibilités.

Le numérique pourra être une réelle solution, notamment pour les défis climatiques, si nous formons massivement les nouvelles générations à ne pas simplement utiliser mais réellement à comprendre cette discipline et que nous leurs donnons les outils et les connaissances nécessaires à son utilisation raisonnée et mesurée.

Bien formés, ils feront le reste : inciter et convaincre les autres.

Nouvelles énergies

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Les salaires des ingénieurs, l’enquête emploi 2015 auprès des jeunes diplômés ESILV

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Les chiffres des salaires des ingénieurs de l’ESILV en 2015  : avec un salaire annuel moyen de 41 590 euros, ils reflètent la réalité du marché de l’emploi. Les profils ingénieurs généralistes sont très prisés par les entreprises quel que soit leur secteur d’activité.

Sur les 126 diplômés de la promotion 2014, 101 ont répondu à l’enquête emploi sur leur insertion professionnel, soit près de 80% de répondants à l’enquête premier emploi 2015. Près de 73% des ingénieurs diplômés répondants se déclarent satisfaits ou très satisfaits de leur poste.

Toutes les données salaires en 2015 :

  • 41 590 Euros
    salaire annuel brut moyen avec primes
  • 82 000 Euros
    Salaire le plus haut
  • 32 000 €
    Salaire le plus bas

Les rémunérations sont légèrement plus élevées pour les emplois situés à l’étranger et qui concernent 19 % de la promotion :

53 625 € annuel avec primes pour un premier emploi à l’international.

Principaux indicateurs d’insertion professionnelle des ingénieurs

L’employabilité de ses étudiants, le résumé de la mission de l’ESILV et des écoles du Pôle Léonard de Vinci. Les écoles accordent une grande importance à l’accompagnement des étudiants dans leur recherche de stage, de contrat d’apprentissage ou de premier emploi.

Ainsi, ce sont près de 45% des répondants de la promotion 2014 qui ont été embauchés grâce à leur stage de fin d’études. Près de 13 mois de la totalité du cursus des élèves-ingénieurs sont ainsi consacrés à la réalisation de stages en entreprises.

47% ont d’ailleurs signé leur contrat avant l’obtention de leur diplôme, 30% à peine deux mois après leur diplomation. 80% des embauches ont été effectuées en CDI, ce qui est un fort indicateur justement des compétences maîtrisées par les ingénieurs de la promotion 2014.

La place de la dimension internationale dans les fonctions occupées

La majorité des diplômés ingénieurs sont recrutés dans des entreprises en Ile de France, avec néanmoins toujours une dimension internationale.

19% des embauches ont été effectuées à l’étranger, avec un salaire annuel moyen de 53 625 euros (avec primes). 51% de l’ensemble des diplômés ont une fonction liée à l’international et 70% des salariés utilisent l’anglais quotidiennement dans leur travail.

Ces chiffres montrent donc l’importance de la maîtrise des langues et en particulier de l’anglais pour les ingénieurs pour un premier emploi. Ainsi les cours d’anglais sont obligatoires tout au long du cursus de l’école d’ingénieurs, et la 4e année du cursus s’effectue intégralement en anglais.

Responsabilités et postes occupés

98% des répondants de la promotion des ingénieurs diplômés en 2014 ont un statut cadre dès leur embauche.

61% d’entre eux ont la responsabilité d’un projet, 23% la responsabilité d’un budget et 18% la responsabilité d’une équipe.

Ces indicateurs marquent une fois de plus le fort potentiel d’employabilité de ces jeunes ingénieurs diplômés, qualifiés et aptes à répondre immédiatement aux besoins des entreprises.

38% des répondants occupent un poste dans l’ingénierie financière, 27% en informatique, big data et objets connectés. 29% sont à des postes d’études et de développement de systèmes d’information, 18% en gestion, finance et comptabilité.

entreprises

Quelques exemples de postes occupés par les diplômés :
  • Gestionnaire Fixed Income – Société Générale CIB New York
  • Quantitative Analyst – HSBC
  • Ingénieur études et développement – Accenture
  • Account Manager – Altair
  • Ingénieur Analyste financier et IT – Thomson Reuters
  • Ingénieur d’affaires logistique – EDF
  • Ingénieur production – L’Oréal
  • Ingénieur – Dassault Systèmes

L’enquête premier emploi 2015 de l’ESILV

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En finance, l’automatisation du trading grâce à la révolution numérique

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Dans le hors-série du Journal des Grandes Ecoles et Université de décembre 2015, Sergio Focardi, enseignant-chercheur au De Vinci Finance Lab, s’attache à montrer les impacts que la révolution numérique a eu sur plusieurs aspects de la finance moderne.

La révolution numérique, qui a commencé dans les années 50 quand les ordinateurs centraux sont apparus dans les entreprises commerciales, a eu un énorme impact sur la finance : elle a permis de décrire l’évolution des prix des actifs dans le temps, de déterminer le prix théorique des produits dérivés en fonction du sous-jacent actif, de gérer le risque et d’optimiser le compromis risque-rendement. Plus récemment elle a permis l’automatisation du trading.

La révolution numérique dans la gestion d’actifs, les risques et les produits dérivés

Dans les années 50, Harry Markowitz, alors chercheur à la Rand Corporation, a introduit le principe selon lequel les investissements devraient être déterminés par l’optimisation du compromis risque-rendement, désormais dénommé « optimisation moyenne-variance ». Ceci a marqué le début de la théorie moderne de la gestion de portefeuille, au cœur de la pratique de la gestion d’actifs d’aujourd’hui. Markowitz a compris le potentiel que les nouvelles technologies de l’informatique pouvaient offrir alors même que les méthodes économétriques et les ordinateurs haute performance nécessaires ne seraient disponibles que quatre décennies plus tard.

Aujourd’hui, la plupart des gestionnaires de portefeuille utilisent des processus informatiques le screening de la sélection des actifs, voire pour gérer automatiquement tout le processus de gestion du portefeuille.

Mais la véritable explosion de l’utilisation de méthodes numériques en finance a commencé avec l’utilisation d’instruments dérivés – contrats dont la valeur dépend d’un instrument financier sous-jacent, par exemple une action ou une obligation. (…)

La révolution numérique et l’automatisation du trading

Enfin, la révolution numérique a eu un impact sur le trading. Avec la diffusion des bourses électroniques, le trading a été automatisé de diverses manières. Grace à des algorithmes sophistiqués, de grosses commandes peuvent désormais être divisées automatiquement en plusieurs petites commandes afin de réduire leur impact sur le prix des actions à vendre. On estime que le trading algorithmique constitue désormais 80-85 % de tout le volume sur le New York Stock Exchange (NYSE ).

Les bourses électroniques ont aussi considérablement réduit le temps nécessaire pour exécuter un trade. Aujourd’hui, les trades peuvent être exécutés en millisecondes (millièmes de seconde) et nous nous dirigeons vers l’exécution en microsecondes (millionièmes de seconde).

L’utilisation d’algorithmes sophistiqués et les progrès récents dans le traitement de données permettent de gagner un petit bénéfice sur un grand nombre de petits trades. On estime que jusqu’à 50 % de tous les trades des bourses américaines sont exécutées par les traders haute fréquence.

La révolution numérique et les quants en finance

En fonction de la révolution numérique, un tout nouveau profil professionnel – le « quant » (quantitatif) – a pris de plus en plus d’importance dans la finance, créant des emplois pour les personnes avec des diplômes en ingénierie, mathématiques et physique. Lorsque les quants sont arrivés dans la finance dans les années 80, c’était leur pure « wizardry » (magie) mathématique qui a été le plus recherché. Aujourd’hui, les candidats les plus recherchés sont ceux qui combinent des compétences en mathématiques et en programmation avancée avec la capacité d’analyser, de façon critique, les événements, les théories et les résultats des modèles avec une bonne connaissance de l’économie et des marchés

Retrouvez l’intégralité de l’article par Sergio Focardi sur le site du Journal des Grandes Ecoles paru le 9 décembre 2015.

Retrouvez plus d’infos sur la majeure ingénierie financière de l’ESILV

Découvrez également le programme du MSc Investment Banking and Risk Management

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Les écoles d’ingénieurs post-bac séduisent de plus en plus

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Dans le numéro 3 du magazine Eureka, publié en janvier 2016 par le groupe ALTEN, Nelly Rouyrès, Vice-Présidente du Pôle Léonard de Vinci, explique le succès des écoles d’ingénieurs et le regain d’attractivité des écoles post-bac, plus adaptées aux besoins actuels des entreprises.

Les écoles d’ingénieurs séduisent-elles toujours autant ?, Sans aucun doute, répond Nelly Rouyrès, avec un certain nombre d’évolutions dans la manière pour les étudiants d’appréhender les cursus et de se projeter dans un début de carrière. Globalement, l’intérêt des jeunes pour les études d’ingénieurs ne se dément pas. Des mutations sont cependant à observer notamment en ce qui concerne l’attractivité des écoles.

La montée en puissance des écoles d’ingénieurs post-bac

Selon Nelly Rouyrès, qui remarque que le poids des écoles privées dans le paysage global des études d’ingénieurs augmente – jusqu’à représenter 30% des formations-, il faut surtout noter l’intérêt accru des jeunes pour les écoles d’ingénieurs post bac aux côtés des écoles préparatoires, ce qui traduit une volonté d’appréhender différemment leurs études. Les classes prépa ne sont désormais plus le modèle unique, bien qu’irriguant toujours les grandes écoles, notamment les plus prestigieuses, comment-t-elle.

De nombreux étudiants, en effet, choisissent à présent les écoles post-bac dont l’offre, dynamique et adaptée à la demande des entreprises, a beaucoup évolué, notamment en répondant au besoin de compétences du marché, phénomène particulièrement vrai dans le digital. Nos jeunes sont plus pragmatiques, constate Nelly Rouyrès, et en général plus motivés par les sciences appliquées que par l’approfondissement des concepts

L’ESILV, école d’ingénieurs post-bac, propose ainsi d’intégrer une formation en 5 ans dès l’obtention du baccalauréat. Pendant deux années, les étudiants acquièrent l’ensemble des bases théoriques et techniques en mathématiques, mécanique, physique, informatique…adaptées à la poursuite d’études en cycle ingénieur. Ce cycle dit préparatoire se termine par un stage de 3 mois, destiné à familiariser l’étudiant avec le monde de l’entreprise.

L’enseignement de disciplines d’ouverture – les soft skills ( langues, management, conduite de projets, compétences relationnelles…)- représentant jusqu’à 20-25% des cursus, participe à l’attractivité des écoles d’ingénieurs, dont les diplômes solides et adaptés à des organisations collaboratives sont amenés à jouer des rôles clés dans les économies mondiales.

Dans un modèle d’enseignement innovant, l’ESILV, aux côtés de l’EMLV et de l’IIM, a développé une transversalité pédagogique qui encourage le décloisonnement des enseignements et permets aux étudiants de travailler sur des projets commun en équipe pluridisciplinaires.

Eureka-ALTEN

L’importance de secteurs et de sujets porteurs

Par ailleurs, le choix des filières se fait au regard de secteurs d’activité porteurs. Les étudiants sont attirés par des secteurs identifiants tels que l’aéronautique, le digital, la finance ou les nouvelles énergies. Les nouveaux enjeux autour de la ville numérique, de la mobilité ou de la transition énergétique des entreprises sont au cœur de leurs préoccupations, précise la Vice-Président du Pôle Léonard de Vinci.

L’attrait des doubles formations

Enfin dans une même logique d’adaptation et d’ouverture, les futurs ingénieurs optent de plus en plus fréquemment pour les doubles diplômes.

Les formations de 3e cycle type IAE et Mastères Spécialisés, ou les formations d’ingénieurs managers, permettent de s’ouvrir aux compétences managériales souvent considérées comme des accélérateurs de carrières des Ingénieurs, qui remportant donc un vrai succès.

Nous le constatons au sein de l’ESILV, qui propose un double diplôme ingénieur-manager réparti sur 5 ans. Gros succès cette année : 40% de la promo a postulé!

L’ESILV propose en effet aux étudiants de 1ère année le double cursus ingénieur-manager. Les futurs ingénieurs auront ainsi l’opportunité d’obtenir au bout de 5 ans, le diplôme d’ingénieur de l’ESILV et le diplôme de manager visé Bac+5 de l’EMLV.

Retrouvez le dernier numéro Eurêka n°3 de janvier 2016, Alten Communication

Nelly Rouyrès, Vice-Présidente du Pôle Léonard de Vinci

Nelly Rouyrès, Vice-Présidente du Pôle Léonard de Vinci

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Les objets connectés au service du handicap : 3 projets ingénieurs de 2e année à l’ESILV

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Les étudiants de 2e année de prépa intégrée de l’école d’ingénieurs doivent travailler sur des « Projets d’Imagination et d’eXploration » (PIX2) qui leur permet de concevoir et de réaliser un projet innovant sur un thème choisi.

Ces projets permettent aux étudiants de mettre en pratique les bases qu’ils acquièrent pendant leurs deux premières années de prépa intégrée.

3 groupes des 2A se sont donc consacrés au développement de prototypes conciliant objets connectés et handicap. En effet, de plus en plus de personnes en situation de handicap souffrent du manque d’adaptabilité des infrastructures notamment urbaines. L’idée pour les 3 groupes étaient d’aller plus loin dans l’offre existante sur ce marché et d’apporter une réelle plus-value à ce marché.

Ces 3 groupes ont travaillé en utilisant des cartes Arduino UNO. Ces cartes possédant des microcontrôleurs facilement programmables ainsi que de nombreuses entrées et sorties, elles sont facilement adaptables à tout type de projet. Ces cartes se programment en C++ à l’aide d’un logiciel de programmation gratuit et open-source fourni par Arduino.

Ainsi, 2 groupes d’étudiants ont imaginé une canne pour personnes malvoyantes et aveugles qui iraient au-delà de la fonctionnalité basique de cet objet.

I Canne See est une canne révolutionnaire pour aveugle, munie d’une technologie qui lui permet de détecter tout obstacle perturbant le déplacement utilisateur. Par un système de vibrations (par à-coup ou prolongé selon l’obstacle) l’utilisateur a quelques secondes supplémentaires qui lui permettent d’appréhender son environnement et ses déplacements.

La canne Guider-Prévoir-Sécuriser a également pour objectif d’améliorer les déplacements du quotidien des personnes malvoyantes ou aveugles. Grâce à un boîtier et un système d’ultra-sons, le boîtier commence à vibrer dès que l’obstacle se présente à deux mètres. L’utilisateur peut, donc, se déplacer de façon sécurisée et, grâce à cela, anticiper les risques encourus.

IW4Y, Eye’M watching for you, sont des lunettes connectées pour malvoyants qui fonctionnent également grâce à un système d’ultra-sons relié à une oreillette qui communique à l’utilisateur la présence d’un obstacle par une fréquence sonore. Ce groupe d’étudiants a utilisé le FabLab pour réaliser une impression 3D du boîtier qui leur correspondait le plus et qui s’adaptait à la taille de la carte Arduino.

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Bilan des travaux de recherche en technologie et finance en 2015 à l’ESILV

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Les enseignants-chercheurs de l’école d’ingénieurs appartiennent à deux laboratoires de recherche du Pôle Léonard de Vinci : le Technology Lab dirigé par Jean Rohmer et le Finance Lab dirigé par Martino Grasselli.

Mathématiques appliquées, physique, informatique, économie ou finance de marché, les enseignants-chercheurs de l’ESILV ont publié plus de 25 articles, ouvrages ou rapports techniques et sont intervenus dans près d’une dizaine de conférences en France et dans le monde.

Publications et conférences sur Big Data et Tourisme

Gaël Chareyron, Bérengère Branchet et Jérôme Da Rugna enseignants-chercheurs de la filière Informatique, Big Data et Objets connectés, ont publié en 3 articles, sur l’année 2015 portant sur l’utilisation du Big Data dans le tourisme. Ces recherches ont étudié et analysé un grand nombre de données récupérées notamment sur des réseaux sociaux (Facebook, Instagram, TripAdvisor…) afin d’établir des tendances dans le comportement des touristes à travers le monde (lieux les plus visités, rapport entre lieux touristiques et lieux de restauration peu appréciés etc…)

En décembre 2015, dans le journal l’Expansion, ils publient ainsi l’article « Foule voyageuses et traces numériques : le Big Data au service du tourisme« , et un intitulé « Patrolling TripAdvisor : re-purposing large data-sets in tourism research » dans EspacesTemps.net. Enfin, dans la revue IEEE Big Data 2015, ils publient « A new area tourist ranking method ».

Gaël Chareyron et Bérengère Branchet ont également participé à 2 conférences sur le même thème, l’une lors des rencontres internationales des Jeunes chercheurs en Tourisme qui s’est déroulée à Paris du 10 au 12 septembre 2015. La seconde lors du 5e Colloque international pluridisciplinaires ASTRES : « Observer les touristes pour mieux comprendre les tourismes ».

Gaël Chareyron s’est également exprimé lors de la conférence des Printanières EspacesTemps.net, lors du Workshop Digital Technologies and tourisme et enfin lors du Colloque à UC Berkeley sur Tourism Studies Working Group Colloquium Series.

Publications et conférences sur la volatilité et le pricing en finance

Martino Grasselli, responsable du Finance Lab, a publié dans Risk Magazine « Quantized calibration in local volatility »; un rapport technique « Pricing via Quantization in Stochastic Volatility Models ».

Il publie « Pricing currency derivatives under the benchmark approach » dans le Journal of Banking and Finance. Il a également participé à 2 conférences, l’une à Florence en janvier 2015 « Lie Symmetries in local volatility models», et la seconde à QMF Sydney « Pricing via Quantization in stochastic volatility models ».

Les articles publiés en physique et mathématiques appliquées

Pascal Clain, enseignant-chercheur dans le département des Nouvelles Énergies, a publié un article collaboratif sur « Particle size distribution of TBPB hydrates by focused beam reflectance measurement for secondary refrigeration application » dans le International Journal of Refrigeration.

Radoin Belaouar, responsable du département Mécanique numérique et modélisation, a publié également un article collaboratif sur « Numerical analysis of the nonlinear Schrödinger equation with noise dispersion ».

Mohamed Guerich, enseignant-chercheur spécialisé en mécanique, a publié deux articles l’un sur « Effective size of RVE for finite element analysis of structures made of nonlinear composites » et le second sur « Incremental multilevel computational homogenization method for elastoplastic composites » tous deux extraits de la 18ème conférence sur les structures composite qui s’est tenue à Lisbonne.

Les travaux de recherche et les conférences sur la finance de marché

Patrice Fontaine, directeur de la recherche et des 4 laboratoires du Pôle Léonard de Vinci, a publié en collaboration avec Abdoul Cissé, deux articles « Why do Companies Switch the Listing Section of thier Common stock » dans Research in International Business and Finance; le second « Consequences of Voluntary Stock Exchange Section Switching on Stock Price, Liquidity and Volatility » dans Bankers, Markets and Investors.

Il a également participé à plusieurs conférences sur la maturité de la dette « Do Market and Creditworthiness Timings Drive Debt Maturity, Decisions of Firms ? », sur le thème des acquisitions et des mergers  « Cross-border Mergers and Acquisitions From European Union to Emerging Countries : Industry Diversification or Industry Specialization ? ». Il a participé à une dernière conférence sur l' »Impacts of Introducing Short Maturity Options ».

Sergio Focardi, a publié dans The Journal of Portfolio Management l’article « An empirical Science Capable of Forecasting Economic Events ? ».

Retrouvez toutes les publications de nos enseignants-chercheurs sur les pages du Technology Lab et du Finance Lab.

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Hackathon Nec Mergitur : l’application de géolocalisation des étudiants-ingénieurs de l’ESILV

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Suite aux attentats du 13 novembre, la ville de Paris organisait le week-end du 16-17 janvier 2016 un hackathon « Nec Mergitur » sur le thème de la sécurité, dans les locaux de l’école 42. Une équipe de 4 étudiants et un diplômé de l’ESILV ont mis au point en 2 jours une solution de géolocalisation des véhicules d’intervention.

L’objectif du hackathon était de s’appuyer sur le numérique afin d’améliorer la prévention et la gestion des situations de crise. Prévenir la radicalisation, soulager les plates-formes de réception des appels d’urgence, recevoir et traiter l’information des autorités, détecter et contrer les rumeurs en temps réel, autant de chantiers et de thèmes sur lesquels des étudiants et des professionnels du numérique ont planché pendant 2 jours du 15 au 17 janvier 2016. C’est Axelle Lemaire, secrétaire d’État au numérique qui a lancé le coup d’envoi vendredi soir à 18h.

Une dizaine de projets ont été sélectionnés sur différentes thématiques pour être présentés ensuite devant le maire de Paris, Anne Hidalgo, le préfet de police de Paris Patrice Latron, et de Clothilde Valter, secrétaire d’Etat chargée de la Réforme de l’Etat et de la simplification auprès du Premier Ministre.

Samu Location : l’application de géolocalisation des véhicules d’urgence

L’équipe de 4 étudiants et 1 diplômé de l’ESILV en majeure Informatique, Big Data et Objets Connectés qui a participé à cette compétition était composée de :

  • Pierre-Louis Mauge, étudiant en 5e année
  • Danaé Toubiana, étudiante en 4e année
  • Pierre Juhel, étudiant en 4e année
  • Louis Bompart, étudiant en 4e année
  • Alexandre Bonnamy, ingénieur diplômé 2015  et étudiant en mastère cybersécurité à TELECOM Bretagne/Supélec.

Ils étaient accompagnés de Jean-Philippe Lelièvre, co-fondateur de la société Hear&Know et professeur à l’ESILV, de Philippe Pirard, médecin à l’Institut National de Veille Sanitaire, d’Etienne Mercier, étudiant à l’Université Lille 1 et ingénieur alternant développeur chez Mapwize, et enfin d’Olivier Louisin, ingénieur des travaux de la Ville de Paris et étudiant en mastère cybersécurité à TELECOM Bretagne/Supélec.
Ce projet permet de géolocaliser une équipe de secouristes qui intervient sur un site où s’est produit un incident de tout type (incendie, accident, catastrophe naturelle, attentat terroriste, incident industriel), y compris à l’intérieur des locaux en l’absence de signal GPS

Cette géolocalisation, disponible pour les véhicules d’intervention et pour chaque membre de l’équipe de secours,permet d’assister les autorités en charge de la gestion de cette crise dans le déploiement des différentes unités d’intervention et dans leur réaffectation si nécessaire.Le service de géolocalisation reste disponible quelle que soit la saturation du réseau cellulaire qui serait due à la crise en cours.

Il s’adresse en particulier  à l’APHP, au SMUR et au SAMU mais pourrait être déployé par d’autres institutions telles que la Sécurité Civile ou la Croix-Rouge
Ce service de géolocalisation opérationnelle a pu être testé avec succès sur le terrain dimanche matin aux alentours du 42 (lieu du Hackathon) et de l’Hopital Bichat.

La solution technique de Samu Location

Les urgentistes se déplacent dans des véhicules d’intervention (ambulance, véhicule sanitaire ou de premier secours). La composition des passagers d’un véhicule est souvent la suivante (2 à 4 voire 5 personnes) :

  • un conducteur ambulancier/brancardier,
  • un infirmier,
  • un médecin et parfois un stagiaire.

Il faut donc pouvoir à la fois localiser le véhicule et ses occupants.

La solution technique se décompose de la manière suivante :

  1. un équipement de géolocalisation (balise bluetooth low-energy) dans le véhicule,
  2. le recours au smartphone du conducteur et idéalement de chaque membre de l’équipe,
  3. un site web pour géolocaliser les véhicules d’intervention qui sera utilisé par l’état-major de crise,
  4. une application développée en Android, solution pour mobile et pour tablette pour les équipes opérationnelles envoyées sur les différents sites.

Développement et test

L’application a été développée pendant le hackathon et a été testée dès le dimanche matin et permettait d’afficher la position des ambulances sur le terrain.

Une première version de la solution a été testée avec succès pendant le Hackathon par le docteur Lecarpentier de l’APHP SAMU qui a trouvé que « l’interface de l’application est simple et intuitive. Les différents déplacements sont historisés. »

Menu sous Android

Menu de l’application « Samu localisation »

 

Samu Localisation-hackathon-NecMergitur-ESILV-2

Localisation des véhicules d’intervention de l’APHP SAMU

Les applications mobiles sont à la disposition de l’APHP ainsi que le serveur. L’équipe d’étudiants de l’ESILV va continuer le projet pendant les prochains mois, le relais pourra être pris par les start-ups MapWize et Hear & Know pour le déploiement de la solution la cas échéant.

 

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Ouverture d’APB : préparer le Concours Avenir 2016 pour intégrer une école d’ingénieur post-bac

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La plateforme Admission Post-Bac (APB) a ouvert aujourd’hui jeudi 20 janvier 2016. Les étudiants ont jusqu’au 20 mars 2016 pour s’inscrire et saisir leurs vœux. L’occasion pour les bacheliers désireux de s’inscrire dans une école d’ingénieurs en prépa intégrée de commencer à se préparer au Concours Avenir grâce à l’application mobile dédiée.

Si vous souhaitez intégrer une école d’ingénieurs généraliste post-bac comme l’ESILV, vous devez impérativement vous inscrire au Concours Avenir via la plateforme APB.

Le Concours Avenir 2016 : intégrer une école d’ingénieurs en post-bac

Le Concours Avenir regroupe 6 grandes Écoles d’Ingénieurs en France dont l’ESILV. Il est ouvert aux élèves de Terminale S et STI2D pour l’intégration en 1ère année de prépa intégrée.

L’inscription au concours se fait dans le cadre de la procédure APB directement sur le portail www.admission-postbac.fr. Le concours se déroule en deux étapes : une première phase d’étude des dossiers Première et Terminale. Viennent ensuite les épreuves du concours qui se déroulent le 16 avril 2016 pour les Terminales STI 2D et le 8 mai 2016 pour les Terminale S.

Du 20 janvier au 20 mars 2016, saisie des voeux Admission Post-Bac

C’est l’inscription et la saisie des voeux sur le portail. Cherchez l’ESILV, et sélectionnez une ou plusieurs écoles du Concours Avenir : elles comptent pour un seul et unique voeu à ce stade ! Vous devez également compléter votre dossier de candidature, qui sera étudié.

Mi-avril 2016, résultat des grands classés

Les grands classés, après étude des dossiers, sont exempté des épreuves écrites, aussi bien pour les candidats de Terminale S que STI2d. Pour tous les autres candidats, rendez-vous aux dates suivantes :

16 avril 2016, entretiens pour les STI2D Avenir Bac

Les admissibles issus de STI2D après étude des dossiers sont convoqués à un entretien dans un des centres le 16 avril 2016. Pour les candidats STI2D non-admissibles, c’est la fin de la procédure.

8 mai 2016, épreuves écrites Terminales S Avenir Bac

Pour tous les candidats de terminale S non grand-classés, c’est le jour des épreuves écrites !  Au programme, QCM de mathématiques, de physique, d’anglais et et de français, dans un des nombreux centres de concours partout en France.

31 mai 2016, classement final de tous les candidats

A cette date, il n’est plus possible pour les candidats de réordonner leurs voeux sur le portail Admission Post-Bac 2016. C’est donc le jour du classement final du Concours Avenir 2016 !

A partir du 8 juin 2016, propositions et affectations dans les écoles

En fonction du classement des voeux sur APB et des résultats au Concours Avenir, des propositions d’affectation sont proposées aux bacheliers.

Bien se préparer au Concours Avenir grâce aux journées de préparation et à l’application mobile

Vous trouvez le Concours Avenir difficile ? L’ESILV prévoit deux sessions de préparation aux épreuves le 19 mars 2016 et le 21 avril 2016 pour les futurs bacheliers. Pendant une journée entière, les étudiants peuvent ainsi se préparer aux épreuves écrites du concours.

L’application mobile Concours Avenir, disponible depuis 2015 sur Android et Apple donne accès aux annales des épreuves des années précédentes. Dans la lignée des Serious Game, cette solution est parfaitement adaptée à la mobilité des Terminales.

Les étudiants peuvent ainsi s’entraîner à tout moment et ainsi mettre toutes les chances de leur côté pour réussir le concours.

appli-concours-avenir

 

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Shell Eco-Marathon 2016 : Vinci Eco Drive en lice avec son véhicule électrique

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Plus de 40 étudiants ingénieurs, managers et designers composent l’association Vinci Eco Drive, en pleine phase de recherche de partenaires pour sa participation au Shell Eco-Marathon 2016, une compétition majeure dans le domaine automobile.

Préserver l’environnement sans pour autant couper court au développement technologique est l’une des problématiques majeures de ces dernières décennies. Les questions énergétiques et écologiques sont devenues des points de recherches passionnants pour les ingénieurs d’aujourd’hui et de demain.

A travers une compétition automobile inter universitaire, le Shell Eco-Marathon encourage tous les ans plus de 3500 étudiants venus de toute l’Europe à se surpasser afin d’innover toujours plus, de prendre conscience et de surmonter les enjeux propres aux véhicules du futur. De la conception à la course, c’est l’occasion pour tous de mettre en application tous leurs talents pour créer des prototypes et des concept-car révolutionnaires.

L’association Vinci Eco Drive (VED) et son véhicule seront présents sur les routes de Londres dès le 27 Juin 2016 dans la catégorie «Prototype à batterie électrique» pour sa troisième participation.

A l’origine fondée par 5 élèves ingénieurs de ll’ESILV, école d’ingénieurs du Pôle Léonard de Vinci, Vinci Eco Drive compte aujourd’hui une quarantaine de membres passionnés de mécanique et d’électronique automobiles. L’esprit sportif et le désir de perfectionner nos résultats nous poussent cette année à entamer un processus d’optimisation du véhicule.

De l’aérodynamisme au moteur, en passant par un volant intelligent, l’équipe de VED est toujours aussi motivée pour repousser les performances de son prototype. Avec un nombre de membres croissant et un accès aux nouvelles technologies facilité par les infrastructures et l’encadrement du Pôle, l’association n’a besoin que d’une chose pour faire de leurs ambitions une réalité.

Votre soutien est tout ce qu’il leur manque ! A travers la compétition vous avez la possibilité de soutenir l’association et de promouvoir votre entreprise en profitant de l’évènement pour vous assurer une communication médiatique à l’échelle européenne.

Devant plus de 40 000 spectateurs et aux côtés des plus grandes entreprises automobiles, votre logo sera visible sur leur voiture et sur les différentes plateformes de communication papiers et digitales. Mobilisez vos équipes et rencontrez les ingénieurs de demain, nous sommes tous concernés par l’innovation. Leur verser une aide ou leur fournir du matériel fera souffler un vent nouveau dans leur association et dans votre entreprise !

Plus d’infos

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Le double diplôme ingénieur-manager ESILV/EMLV en première année post-bac

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Lancé pour la promotion 2020, l’ESILV propose à ses étudiants de 1ère année en prépa intégrée d’effectuer un double diplôme ingénieur-manager avec l’EMLV.

D’après l’enquête 2014 des Ingénieurs et Scientifiques de France menée par la Commission des Titres d’ingénieur (CTI), le taux de formation en management et gestion a triplé en 15 ans passant de 3.7% à 9.8%. 34% des ingénieurs possèdent au moins un second diplôme, et 10% des ingénieurs possède un diplôme de management. Cette double diplomation est une compétence très recherchée par les entreprises et est considérée comme un booster de carrière par les diplômés.

Intégration et déroulement de la double formation ingénieur-manager

40% des 266 étudiants en 1ère année post-bac ont candidaté à cette formation et 33%, soit 87 étudiants, ont été retenus pour intégrer ce cursus. Ils ont été sélectionnés sur dossier et sur entretien, selon leur dossier scolaire et leur motivation à suivre un double cursus exigeant.

« Bien souvent les cursus d’ingénieur-manager démarrent sur la fin des études [en 4e ou 5e année]. Or beaucoup de nos étudiants ingénieurs sont intéressés par des thématiques de management (marketing, gestion, économie, entrepreneuriat). La transversalité mise en place au Pôle Universitaire Léonard de Vinci nous permet donc de leur proposer un programme sur 5 ans sans allongement de la scolarité et sans changer d’école. » Pascal Brouaye, Président du Pôle Léonard de Vinci

À raison de 2 à 3 heures (en moyenne) de cours par semaine, en plus de leurs cours scientifiques et techniques, les futurs doubles-diplômés apprennent les fondamentaux de la gestion, du marketing et de la vente (1ère année) ; le droit des affaires, les fondamentaux des RH et du management, les études de marché et la stratégie (2ème année). La 3ème année (cours en anglais) porte sur la dimension internationale de l’Ingénieur-Manager.

Les 2 dernières années permettent à l’élève de se concentrer sur une thématique via le mémoire de recherche et les modules au choix : Management, Ressources Humaines, Digital Marketing, Finance d’entreprise, Stratégie, E-business… Le programme est conçu pour monter en compétences, étape par étape.

« Ces formations sont appréciées par les entreprises car les circuits d’innovation rapprochent de plus en plus des ingénieurs, des managers, des designers et d’avoir des diplômes qui parlent les deux langages, qui s’intéressent de manière ouverte à l’ensemble de ces disciplines, est un gros plus et un accélérateur de carrière et donc de prise de responsabilités. » Pascal Brouaye, Président du Pôle Léonard de Vinci

Au bout des 5 années de cursus, les étudiants obtiendront le diplôme d’ingénieur de l’ESILV et le diplôme visé bac+5 de manager de l’EMLV. Ils pourront candidater à des postes à forte dimension manageriale, une compétence particulièrement prisée des entreprises sur des profils considérés habituellement très techniques.

Le témoignage de Jennifer, en 1ère année du double cursus

Jennifer Scemama-Selander, a été sélectionnée pour intégrer la formation ingénieur-manager dès la prépa intégrée.

« J’ai choisi le double diplôme d’ingénieur-manager car celui-ci me correspondait. Je ne souhaite pas être une simple ingénieur et je cherchais à compléter ma formation pour me différencier des autres. Le management, la communication, c’était exactement ça qui me fallait ! Je pense avoir un profil qui nécessite ce genre de formation; je parle beaucoup de langues (français, suédois, anglais, allemand et russe), ce qui fait que j’aime communiquer; et je me suis toujours projetée vers une carrière où je serais en charge d’une équipe.

Ce double diplôme me permettra d’apprendre comment une entreprise fonctionne, ce qui me semble fondamentale pour ma formation.

J’ai une idée, pour l’instant, assez précise de ce que j’aimerais faire plus tard. Je voudrais prendre l’option finance en 3ème année et finir dans les fusions-acquisitions qui m’ont toujours intéressé. Pour me permettre cela, je savais qu’il m’aurait fallu une deuxième formation, et celle que proposait l’ESILV en partenariat avec l’EMLV tombait juste à point!

Ce double-diplôme me permet, pour ainsi dire, de m’ouvrir beaucoup plus de portes sur ma carrière. Nos cours pour ce premier semestre, étaient essentiellement tournés sur les « Fondamentaux de la gestion »; nous avons pu apprendre à comprendre et à réaliser des bilans d’entreprise ainsi que des comptes de résultats. Une entreprise ne peut fonctionner sans gérer ses bilans. Ce premier cours nous a donc poussé à comprendre l’importance de la comptabilité au sein d’une entreprise. Les prochains cours à venir porteront sur les fondamentaux de la vente et du marketing. Je pense que ce cours sera très enrichissant et nous permettra d’avoir ce point de vue commercial que les autres ingénieurs avec une formation « standard » n’auront pas. »

Double diplôme Ingénieur-Manager

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3 projets sur l’énergie d’élèves-ingénieurs en 2e année post-bac

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Lors de leur seconde année de prépa intégrée de l’ESILV, les futurs ingénieurs travaillent en groupe sur les « Projets d’Imagination et d’eXploration (PIX2) leur permettant de mettre en application ce qu’ils ont appris au cours de ces deux premières années post-bac et de réaliser un projet d’innovation sur une thématique précise.

Grâce à ces projets, les étudiants mettent d’une part en pratique les compétences techniques acquises lors de ces deux premières années de prépa intégrée et d’autre part d’utiliser les soft skills indispensables en gestion de projets comme la gestion d’une équipe, d’un planning et d’un budget sur un an.

Les futurs ingénieurs peuvent également s’appuyer sur les outils mis à leur disposition au FabLab, comme les imprimantes 3D.

Zoom sur trois projets où les étudiants ont développé des convertisseurs d’énergie liés aux mouvements ou à la chaleur du corps humain. Ils ont réalisé des prototypes basés sur leurs observations et leurs enquêtes. En utilisant une source de chaleur toute trouvée, le corps humain, les étudiants ont ainsi exploré différents systèmes qui leur permettaient de convertir cette chaleur en électricité. Une voie à explorer dans les domaines des énergies renouvelables !

Deux groupes ont ainsi travaillé sur des convertisseurs d’énergie générée à partir des mouvements du corps humain. Ils ont tous deux utilisé le logiciel de conception 3D assistée par ordinateur, SolidWorks, développé par Dassault Systèmes. Ce logiciel, fonctionnant sous Windows, couvre ainsi tous les aspects du développement de produit et permet aux concepteurs et ingénieurs de donner forme à leurs modèles.

E-POD, convertisseur énergie cinétique – électrique

E-Pod a été imaginé pour recharger la batterie de votre téléphone portable, dispositif transformant l’énergie cinétique en énergie électrique.

E-Pod, convertisseur énergie cinétique – électrique

Convertisseur d’énergie pour vélo

Ce système est capable de récupérer l’énergie générée par le pédalage du vélo et de le transformer en courant électrique. Ce courant peut ensuite alimenter un téléphone portable, un GPS ou tout autre appareil muni d’un port USB.

Convertisseur d’énergie pour vélo

Kmouse, la souris qui produit de l’énergie

Kmouse est la souris d’ordinateur productrice d’énergie. Grâce à un système d’alimentation dit « plaque de Peltier », il suffit que l’utilisateur pose sa main sur la souris pour que cela produise de l’électricité.

Kmouse, la souris qui produit de l’énergie

La pédagogie projets au cœur des enseignements de la prépa intégrée

En 2e année de la prépa intégrée, les étudiants développement une idée originale allant jusqu’à la preuve de concept et le prototypage sur des thèmes actuels de la société (développement durables, objets connectés, ville intelligente…). La gestion d’un budget complète les autres enjeux d’apprentissage : gestion d’équipes et de projet, adhésion à ses objectifs, maîtrise des champs techniques.

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Pour étudier en Corée du Sud, deux nouveaux accords avec Soongsil University et Seoul Tech

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Deux universités partenaires  viennent renforcer l’offre de destinations déjà existante pour les élèves ingénieurs de l’ESILV en Corée du Sud, pour aller étudier en semestre d’échange à l’étranger.

Etudier en Corée du Sud, c’est se confronter à un univers technologique et de croissance rapide, découvrir une nouvelle façon de travailler et d’envisager l’innovation.

Partir étudier un semestre à l’étranger, c’est une opportunité offerte à tous les élèves ingénieurs de l’ESILV, dès la 3e année du cursus, au sein du réseau d’universités partenaires.

Signés récemment par le département des relations internationales du Pôle Léonard de Vinci, les accords avec Soongsil University et Seoul Tech porte à quatre le nombre d’universités partenaires de l’ESILV en Corée du Sud, avec Sungkyunkwan University (SKKU) et Hanyang University.

Soongsil University

Fondée en 18977, la réputation de Soongsil dans le secteur de l’informatique et des technologies est particulièrement forte : le premier département d’informatique en Corée a été fondé au sein de cette université et le département est actuellement classé deuxième en Corée après l’Université Nationale de Séoul dans le domaine des sciences informatiques.

Selon JoongAng Ilbo, un journal coréen, à partir de 2011 cette université se classait 22e au total dans les classements nationaux : en 2012 et 2013, l’université se classait 16e pour son nombre de diplômés ayant obtenu un CPA.

http://eng.ssu.ac.kr/web/eng

Seoul Tech

L’Université Nationale de Technologie de Séoul, ou SeoulTech, a été fondée en 1910. Sur un campus de 508 000 m², elle comprend 6 colleges, 23 départements et 1 division pour les programmes undergraduates, et 7 graduates schools. Il s’agit du 3e campus universitaire le plus grand à Séoul.

SeoulTEch a été classée 32e au niveau de l’Asie en 2015 par le classement QS des universités spécialisées et 15e au niveau Coréen dans le domaine des Sciences de l’ingénierie par le Korean Economic Daily.

http://en.seoultech.ac.kr/

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Achraf Kallel, enseignant-chercheur en méthodes numériques invité au Management Center Innsbruck, Autriche

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Dans le cadre du programme d’échange international Erasmus +, Achraf Kallel, enseignant-chercheur en Mécanique Numérique et Modélisation, a été invité au Management Center Innsbruck (MCI) en Autriche, pour intervenir sur les différentes méthodes numériques existantes pour résoudre un problème de contact mécanique.

Erasmus + offre aux enseignants des établissements d’enseignement supérieur d’intervenir dans les établissements partenaires signataires de la charte. Les motivations et les enjeux d’un tel programme sont d’accroître les savoir-faire spécifiques sur les bonnes pratiques de l’enseignement à l’étranger mais aussi de pouvoir collaborer, entre des départements similaires de deux établissements, sur des projets et des réalisations de recherche et d’enseignement.

Visiting professor au département de Mécatronique & Smart Technologies

Le Management Center Innsbruck compte un département en Mécatronique et Smart Technologies et reçoivent ainsi des Visiting Professors spécialisés dans ces domaines.

Achraf Kallel, du De Vinci Technology Lab, a été accueilli par le Dr Andreas Mehrle, directeur du département de Mécatronique & Smart Technologies (MSC) et est intervenu dans deux séminaires sur « The Introduction to Computational contact Mechanics ».

Cet échange lui a été précieux pour l’amélioration de ses connaissance en mécanique numérique et de modélisation et lui a permis de valider la pertinence de ses enseignements à l’ESILV.

Résoudre un problème de contact mécanique grâce à des méthodes numériques

La conférence a consisté en une présentation des différentes méthodes numériques pour résoudre un problème de contact mécanique. Un rappel sur les différentes formulations utilisées pour résoudre un problème de contact avec ou sans frottement a aussi été détaillé.

Achraf Kallel a exposé les deux phases de calcul d’un problème de contact : la phase d’appariement et la phase de résolution.

Une étude comparative des différentes techniques utilisées pour résoudre ce type de problème a été présentée à la fin de ce séminaire.

Continuum mécaniqueLa méthode des éléments finis est un outil puissant pour résoudre numériquement les problèmes mécaniques continus linéaires ou non-linéaire, dynamique ou statique de structure ou multi-physique. Les problèmes de contact ne sont pas continus et ils exigent donc :

  • une nouvelle formulation mathématique rigoureuse pour la description de la géométrie, pour l’optimisation, et pour le lissage de l’analyse.
  • un traitement particulier des algorithmes des éléments finis.
  • une utilisation adaptée de l’analyse par éléments finis.

 

simulation crash testLes méthodes numériques pour la résolution d’un problème de la mécanique du contact sont très importantes puisque ce phénomène est omniprésent sur différentes situations concrètes comme:

  • la modélisation du crash test,
  • la simulation des articulations humaines,
  • la simulation de l’ADN…

 

Cette mobilité va renforcer la coopération entre l’ESILV et le MCI. Les étudiants du MCI ainsi que le directeur du département ont fortement apprécié l’intervention d’Achraf Kallel : cette expérience va se renouveler dans les années à venir.

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Blockchain, les prochains rendez-vous de la majeure ingénierie financière de l’ESILV

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Cyril Grunspan, enseignant-chercheur en charge de la majeure ingénierie financière de l’EILV, intervient dans les prochaines semaines au cours de plusieurs évènements consacrés à la Blockchain et ses enjeux.

La technologie Blockchain, sur laquelle repose la monnaie virtuelle Bitcoin, permet de sécuriser, stocker et transférer toutes sortes de données et de transactions en se basant sur des bases de données distribuées.

Sa généralisation à d’autres secteurs d’activités est actuellement un des enjeux forts, ce qui explique en grande partie le buzz médiatique dont ce mot fait l’objet. Constats d’assurance ou actes notariés, transactions bancaires, certification de diplômes ou d’œuvres d’art, organisation des échanges collaboratifs en pair à pair, protection des données personnelles, les domaines d’application de la technologie Blockchain sont très nombreux : là où il y a besoin de certification et/ou échange, la Blockchain est une solution.

Parmi les évènements qui ont lieu autour de la Blockchain, focus sur trois interventions où l’ESILV, école d’ingénieurs est représentée via son responsable du département Ingénierie Financière, Cyril Grunspan, enseignant-chercheur.

16 février 2016 – Blockchain : la promesse de la confiance ? Décryptage, premiers usages et perspectives

Le développement de blockchain avec son modèle de confiance pair à pair et les applications qui en découlent (émission de monnaie, certifications d’actes, usages collaboratifs, apport de la preuve…) représente de nombreux enjeux relatifs à la souveraineté, à l’économie, à la disruption des métiers, à l’émergence de nouveaux écosystèmes etc. Blockchain l’uberisation ultime ? titrait récemment le Monde. L’ACSEL vous propose une Matinée de décryptage sur les enjeux, les usages et les acteurs. Cyril Grunspan interviendra sur le thème « Certifier les diplômes avec Blockchain ».

Plus d’infos sur la matinée Blockchain

24 mars 2016 – Blockchain : rencontre à l’Assemblée nationale

L’ESILV sera représentée lors de cette manifestation planifiée à l’initiative de Jean Launay, député et président de la commission parlementaire du numérique et des postes, pour qui : « La technologie Blockchain sera au cœur de notre vie : c’est pourquoi [il a] décidé, en tant que président de la commission parlementaire du numérique et des postes, de lui consacrer une grande rencontre […], à l’Assemblée nationale, le 24 mars prochain. »

Plus d’infos sur la rencontre Blockchain à l’Assemblée Nationale

5 avril 2016 – Club Open Prospective 2030 : Blockckchain, enjeux et perspectives

A en croire le buzz médiatique actuel, la technologie Blockchain ouvrirait autant de perspectives innovantes que celles de l’internet des années 1990.
Initialement, la blockchain était  associée à la seule monnaie virtuelle Bitcoin. Mais depuis quelques mois, les experts voient dans cette technologie et son architecture de pair à pair, des développements immenses et ceci dans tous les secteurs d’activités, certains parlent de « révolution ». Cyril Grunspan interviendra sur le thème Vulgarisation de la technologie Blockchain.

Plus d’infos sur le Club Open Prospective 2030 dédié à la Blockchain 

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Un projet d’ingénieur obtient la médaille d’argent au CES Las Vegas au concours de startups US-UE

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La start-up Hear & Know fondée par Jean-Philippe Lelièvre, enseignant à l’ESILV, École d’Ingénieurs Paris-La Défense, a remporté la médaille d’argent au Consumer Electronic Show (CES) de Las Vegas en janvier dernier dans la catégorie des startups US et UE.

Le CES est un événement mondial qui se déroule chaque année à Las Vegas. Il est un des plus importants salons consacrés à l’innovation technologique et électronique destiné au grand public.

Cette année, une centaine de startups américaines et européennes étaient en lice pour cette catégorie. Elles avaient été sélectionnées sur des critères mis au point par Harvard et 10 d’entre elles ont été déclarées « admissibles » à une présentation orale devant un jury international. La startup Hear&Know, spécialisée en traçabilité et sécurité, obtient la médaille d’argent.

SecureTrip, descendante du projet PIX5 ESILV des étudiants ingénieurs

En 2012, des étudiants en 5e année avaient travaillé dans le cadre de leur Projet d’Innovation Industrielle avec la startup Hear&Know sur la localisation de dispositifs mobiles à partir de signaux GPS et WiFi (Projet Geolog)

Quelques années et de nombreuses évolutions plus tard, les applications « SecureTrip » et « SecureTeam » naissent.

Il s’agit d’une application pour smartphone qui, grâce à une balise, confirme la position GPS en position automatique ou en manuel. Cette position est reportée sur une carte précise même en l’absence de GPS. L’application SecureTeam, va de même localiser avec précision même en l’absence de GPS la position de personnes.

Les applications utilisent toutes les ondes qui sont à la disposition des smartphones : GSM 2G, 3G, 4G, wifi bien entendu mais aussi Bluetooth, BLE, FM etc…

Innovation électronique et opportunité pour les ingénieurs

La startup se propose ainsi de fournir la meilleure localisation possible à des objets ou des personnes en l’absence même de GPS. La technologie utilisée fonctionnant à l’extérieur comme à l’intérieur.

Cela permet ainsi de sécuriser aussi bien les voyageurs qu’aider les personnes en situation de handicap (aveugles, patients atteints de la maladie d’Alzheimer).

Alexandre Bonnamy, ingénieur fraîchement diplômé de l’ESILV, a eu la chance d’effectuer son stage de fin d’études chez Hear&Know et a ainsi travaillé sur des moyens de localisation hybride à partir de signaux radio permettant d’améliorer la précision du GPS en localisant ainsi des objets connectés en mouvement. Une véritable opportunité professionnelle pour lui.

Avec sa médaille d’argent, Hear&Know a remporté un hébergement de six mois dans un incubateur californien ainsi que de nombreuses aides qui permettront à la startup de s’implanter aux Etats-Unis.

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Altair Safety Challenge : optimiser la sécurité aéronautique avec la simulation numérique

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Deux projets d’élèves-ingénieurs de 5e année de l’ESILV ont été récompensés lors de la première édition de ce challenge dédié à l’aéronautique et à  sa sécurité via l’utilisation d’outils de simulation numérique.

L’ESILV et Altair sont partenaires dans le cadre de la chaire « Optimisation » signée en décembre 2015. En collaboration depuis plusieurs mois, avec les Enseignants-chercheurs de la Majeure Mécanique Numérique et Modélisation de l’ESILV, l’entreprise s’est engagée pour 3 ans à soutenir le développement d’activités d’enseignement de l’Ecole d’ingénieurs dans le domaine de l’Optimisation.

Le concours Altair Aircraft Safety Challenge a pour objectif de faire réfléchir les élèves-ingénieurs sur des problématiques de sécurités liées au fonctionnement des avions, en s’appuyant sur des outils de simulation et de modélisation numérique pour proposer des solutions innovantes pour l’aéronautique.

Deux projets de 5e année du cursus ingénieurs ont été récompensés le 28 janvier lors de la finale du challenge : l’un concerne l’amerrissage des appareils, l’autre étudie l’impact des collisions entre des oiseaux et les cockpits des avions.

Amerrissage d’un avion, Altair Safety Challenge

Projet porté par Bertrand LEROI, Julien DENNEULIN, Guillaume VICASSIAU, et Hervé BRULE, élèves-ingénieurs ESILV promo 2016.

Impact d’oiseaux sur le cockpit, Altair Safety Challenge

Projet porté par Gauthier BOUCHESECHE, Martin GSCHÖSSER, Oswald PITSCHEIDER, et Richard RIEDER, élèves-ingénieurs ESILV promo 2016.

Altair est spécialisée dans le développement et le déploiement des technologies de simulation numérique, afin de maitriser et d’optimiser la conception, les processus et les prises de décision pour une meilleure performance.  www.altair.com.

http://www.altairuniversity.com/21390-soutenances-du-altair-safety-challenge/

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