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Classement des écoles d’ingénieurs 2016 édité par l’Etudiant, l’ESILV 1ère école post-bac

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Comment se positionne l’ESILV dans le palmarès 2016 des écoles d’ingénieurs édité par l’Etudiant ?

Le magazine l’Etudiant édite de façon annuelle un classement des écoles d’ingénieurs afin de répondre aux besoins d’orientation des étudiants, pour qui les palmarès rentrent en ligne de compte dans le choix de leurs écoles. Auparavant figé, le palmarès proposé par l’Etudiant est depuis quelques années personnalisable selon un certain nombre de critères.

Sur les critères d’excellence académique, de proximité avec les entreprises, d’ouverture internationale et du devenir des diplômés, l’ESILV est classée n°1 ex-aequo en 2016 parmi les écoles d’ingénieurs post-bac dont le cursus se déroule en 5 ans.

Excellence académique : avec une moyenne au Bac de 14.12 et un nombre de 12 élèves par enseignant, le classement révèle pour l’ESILV à la fois une sélectivité à l’entrée et un fort taux d’encadrement des élèves-ingénieurs.

Proximité avec les entreprises : 56 semaines passées en entreprises pour les élèves ingénieurs de l’ESILV, au cours des stages qui ponctuent le parcours des étudiants.

Ouverture internationale : 39% des diplômés 2014 ont passé plus de 6 mois à l’étranger en échange académique. Ce chiffre augrmente d’année en année avec la généralisation des expériences à l’étranger pour tous les étudiants du cursus ingénieur de l’ESILV.

Devenir des diplômés : le palmarès relève une fourchette d’embauche des jeunes diplômés de la promo 2014 de 33000 à 38000 euros, brut sans primes. Primes incluses, la moyenne des salaires ingénieurs de la promotion 2014 est de 40234 euros.

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Terminal Bloomberg : l’ingénierie financière expliquée par les étudiants ingénieurs

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Dans le cadre du Projet d’Innovation Industrielle de 5e année, des étudiants en ingénierie financière ont organisé une session de découverte du Terminal Bloomberg.

Maylis Gross, Sébastien Gaumin, Khafil Allabi et Geoffrey Dufour ont décidé d’organiser un événement en salle Bloomberg ouvert aux élèves du Pôle Léonard de Vinci mais aussi aux élèves d’autres écoles. Leur intention était de faire découvrir aux élèves le terminal Bloomberg autour d’un jeu de prise de décisions et de simuler une véritable salle de marché.

La salle de marché Bloomberg

Situé dans le Learning Lab du Pôle Léonard de Vinci, cet outil est essentiel pour les étudiants et les chercheurs en ingénierie financière. 12 terminaux sont ainsi équipés du terminal Bloomberg.

Il s’agit d’un des principaux outils financiers équipant les salles de marché, la plupart des cabinets de gestion mais aussi les grandes entreprises. Les étudiants ont ainsi accès à l’ensemble des cotations disponible pour le marché monétaire, le marché des changes, celui des matières premières et les marchés dérivés.

Le terminal Bloomberg dispose de très nombreux outils permettant l’analyse financière, l’analyse fondamentale ou l’analyse technique. Bloomberg est également une des principales sources d’information qualitative des professionnels de la finance et permettent également aux étudiants d’entrer directement en contact avec des professionnels de la finance.

Les étudiants ont également la possibilité de passer la certification Bloomberg ainsi que le Bloomberg Aptitude Test, qui sont autant de lignes à rajouter à leurs CV.

Management et ingénierie

Cet événement a eu lieu le Mercredi 20 Janvier 2016 entre 14h et 18h et nous avions organisé 2 sessions d’1h30 pour pouvoir accueillir le plus de personnes possibles. 3 jours après avoir publié l’événement sur Facebook, toutes les places étaient déjà prises. Plus de 60 élèves venaient de l’ESILV, de Dauphine et de Science Po.

La session d’1h30 était découpée en 3 parties:

  • Une présentation de notre projet, notre équipe, des fonctions de bases de Bloomberg et du jeu (20 min).
  • Le jeu de prise de décisions (1h).
  • Un débriefing avec chaque équipe (10 min).

Les étudiants étaient répartis en 9 équipes de 3 ou 4 et chacun des membres avait un rôle bien défini. Il y avait:

  • Les Traders: Ils manipulaient Bloomberg pour trouver les données pertinentes pour leurs analyses
  • Les Quantitative Analysts: Ils devaient rédiger un rapport d’analyse pour chaque scénario en précisant les fonctions Bloomberg utilisées et les données analysées
  • Les Sales: Ils servaient de lien entre leur équipe et les clients (Equipe 5th Universe), et ils devaient être le plus convaincant possible pour que nous suivions leurs stratégies.

Leur but était donc d’avoir une analyse solide et d’être convaincant !

Le jeu était divisé en 4 scénarios de 10 min, chacun sur un Asset Class différent (Equity, Fixed Income, Commodities, FX Market), et grâce à une macro réalisée en VBA, nous simulions le cours du sous-jacent de manière aléatoire.

Pendant les 10min de simulation, nous avions programmé plusieurs événements, comme la sortie de l’IPhone 7 ou encore une élection présidentielle, et les équipes devaient, en se basant sur les données historiques accessibles sur Bloomberg, construire une analyse et nous convaincre d’investir.

Beaucoup d’élèves nous ont demandé d’organisé d’autres sessions, et nous ont fait remarqué que c’était une idée originale, ludique et intéressante. Le soir même nous avons envoyé un questionnaire (TypeForm) à tous les participants pour avoir des retours sur l’événement, son organisation et sa pertinence : la note globale à l’événement attribuée par les participants a été de 7,39/10 et 67% aimeraient poursuivre leurs études dans la finance de marché.

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Challenges Citoyens CGI 2016 : deux projets RSE d’élèves-ingénieurs ESILV en finale du concours

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Nominés dans les catégories Environnement et Santé & Prévention, les deux projets de 1ère année du cycle ingénieur ont été sélectionnés parmi les 20 projets finalistes de la 4e édition des Challenges Citoyens CGI.

Les Challenges Citoyens CGI sont l’occasion de mettre en lumière de belles initiatives de la part des étudiants de la France entière sur des thématiques citoyennes variées. CGI offre l’opportunité de concrétiser des projets conçus au cours des études supérieures en remportant l’un ou plusieurs des 10 prix mis en jeu, d’une valeur de 1 500 à 3 000 euros.

Les 5 prix « Catégorie » font référence à des actions dans le cadre de la Responsabilité Sociale d’Entreprise : handicap, environnement, éducation et formation, santé et prévention, solidarité. Ils représentent une valeur de 3 000 euro chacun. Les Challenges Citoyens CGI sont ouverts à tous projets liés à des problématiques de responsabilité sociétale et environnementale se référant aux 5 catégories suivantes : handicap, environnement, éducation et formation, santé et prévention, solidarité.

Les projets d’élèves-ingénieurs ESILV présentés au concours le sont dans le cadre des projets de 1ère année du cycle ingénieur : les PING (Projet de l’Ingénieur Numérique Généraliste).

Le 17 mars 2016, les équipes des 20 projets finalistes sont reçues dans un lieu unique à Paris pour soutenir devant le jury, composé de professionnels CGI et d’un client de CGI, pour une soutenance de 30 minutes afin de convaincre ces derniers du potentiel de leur projet et de leurs capacités à le mener à bien.

Catégorie Environnement : projet « Share your meal »

Ce prix récompense un projet favorisant le respect et la protection de l’environnement : protéger la biodiversité, sensibiliser et développer des actions autour du recyclage, promouvoir un programme autour de l’environnement local, un nouveau type de déplacement, ou des actions autour de l’énergie.

ShareYourMeal est le nouveau réseau social tourné vers l’environnement, plus particulièrement contre le gaspillage alimentaire. C’est un site communautaire pour partager ses plats ou bien des denrées alimentaires avec des personnes à proximité mais c’est également la possibilité de dîner à moindre coût.

Ce projet est porté par Matthieu Coront Ducluzeau, Anthony Courillon, Mathias Jauny, Nicolas Lecouflet et Clara Mostachi, élèves-ingénieurs ESILV promo 2018.

Soutenez ce projet en votant

Catégorie Santé et prévention : projet « Alcotime »

Ce prix distingue le meilleur projet accompagnant les citoyens dans la prévention et les bonnes conduites pour éviter les problèmes de santé.

Alcotime est un projet dont l’objectif est de ne plus vous faire mentir à vous-même plus jamais dans les soirées arrosées. Votre taux d’alcoolémie et le temps d’attente nécessaire pour retrouver votre état de sobriété vous seront donnés à tout instant grâce à un dessous de verre connecté : l’AlcoTime.

Ce projet est porté par Tanguy Bruchec, Hélène Clech, Quentin Delort, Damien Rubal et Loïc Bronisz, élèves-ingénieurs ESILV promo 2018.

Soutenez ce projet en votant

 

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Programme Dassault Systèmes Student Advocate : deux élèves-ingénieurs ESILV sélectionnés

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Le programme Student Advocate a pour objectif de favoriser les relations entre l’entreprise Dassault Systèmes et les établissements d’enseignement supérieur dans le domaine de l’innovation.

Dassault Systèmes, « The 3DEXPERIENCE Company », propose aux entreprises et aux particuliers des univers virtuels pour imaginer des innovations durables.

Ce programme sélectif a notamment pour objectif de mieux faire connaitre l’entreprise, ses différents secteurs et de développer leur recrutement. Il s’adresse à tous les étudiants en école d’ingénieurs et en école de management.

Marjorie Goudal et Clément Caillaud, respectivement en deuxièmes année de cycle ingénieur au sein de la majeure Mécanique Numérique et Modélisation et en première année du cycle ingénieur de l’ESILV, ont intégré le programme Dassault Systèmes Student Advocate.

Les étudiants ont été sélectionnés par le biais de vidéos de présentation dans lesquelles ils devaient montrer leur intérêt pour le programme et leur motivation pour les technologies développées par Dassault Systèmes et le monde de l’innovation technologique et numérique.

Lors d’une première journée d’immersion dans les locaux de Dassault Systèmes, les élèves-ingénieurs se sont vus présenter le programme avec précision mais ont pu également faire la connaissance des différents actionnaires du programme: les étudiants et le personnel de Dassault Système ingénieurs, développeurs, managers et ressources humaines.

Dassault Systèmes développe un portefeuille de solutions-expériences dédiées au service de 12 industries : Aéronautique et Défense, Architecture, Ingénierie et Construction, Biens de consommation et Distribution, Produits de grande consommation et Distribution, Énergie et Procédés, Finance et services professionnels, Hautes technologies, Équipements industriels, Sciences de la vie, Marine et Offshore et Transport et Mobilité.

http://www.3ds.com

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Ouverture du MS Assurance, Actuariat et Big Data, accrédité par la CGE

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Ce Mastère Spécialisé de niveau bac+6 est accrédité par le label décerné par la Conférence des Grandes Ecoles, et s’adresse à des diplômés Bac+5 (informatique, actuariat ou statistiques) ou des Salariés titulaires d’un diplôme Bac+4 pouvant justifier d’au moins 3 ans d’expérience professionnelle.

Le Big Data est devenu un enjeu stratégique pour le marché de l’Assurance qui s’inscrit dans un contexte en pleine mutation. L’accès et l’analyse d’un volume de données en croissance exponentielle devrait bouleverser le business model du secteur. Afin de pouvoir exploiter ces informations, les entreprises sont à la recherche de profils très spécialisés, comme les data scientists qui conçoivent et imaginent de nouveaux outils de traitement de données.

Parmi les métiers visés par cette formation de 3e cycle, on peut citer  :  actuaire souscripteur – tarificateur,  actuaire expert ERM (Entreprise Risk Management), data analyst expert du domaine de l’assurance, data scientist expert du domaine de l’assurance ou consultant et chef de projet Big data et Assurance.

Créé en fonction des demandes du marché de l’emploi et des entreprises, le mastère spécialisé Assurance, Actuariat et Big Data forme des spécialistes actuellement très recherchés par les entreprises. Le Mastère spécialisé est un label déposé par la Conférence des grandes écoles (CGE), seul organisme habilité à délivrer des accréditations mastères spécialisés.

Plus d’infos sur le MS Assurance, Actuariat et Big Data

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En double-diplôme au Québec à l’UQAC, Adrien, promo 2016, lauréat du défi Cecobois 2016

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Adrien guigné, ESILV promo 2016, remporte en équipe le prix du public du défi cecobois 2016, lors de son expérience internationale en double diplôme à l’UQAC, en maîtrise en ingénierie.

La 7e édition du Défi cecobois est organisée au Québec par l’Université Laval, en collaboration avec cecobois, le centre d’expertise sur la construction commerciale en bois. Elle a lieu dans le cadre de la semaine des sciences forestières et du Salon de la forêt.

En équipes, les étudiants doivent construire une structure de bois répondant à certains critères (originalité, design, intégrité structurelle, et plus encore) et ce, en utilisant uniquement le matériau bois. La fonction de cette structure n’est dévoilée que la journée même du début du concours, soit le premier jour du Salon de la forêt, et doit être terminée le samedi soir.

L’objectif de cette activité est de permettre aux étudiants d’utiliser leurs connaissances et leur créativité pour résoudre un problème, tout en faisant connaître et en valorisant le matériau bois. À l’avenir et grâce à ce concours, peut-être vont-ils contribuer à la promotion et à l’utilisation du bois dans la construction.

Cette année, le défi consistait à construire un modèle réduit à l’échelle 1 : 10, d’un passage piéton reliant deux plateformes à des niveaux distincts. La conception de la structure en bois devait faire preuve d’un design novateur et optimisé structuralement.

Le Défi Cecobois 2016 a accueilli une cinquantaine d’étudiants provenant : de l’Université Laval (architecture, génie civil et génie du bois), de l’Université de Sherbrooke (génie civil), de l’Université du Québec à Chicoutimi (UQAC) (génie civil), de l’Université de Montréal (architecture), l’Université du Québec à Montréal (UQAM) (design de l’environnement) de l’École de technologie supérieure (ETS) (génie de la construction) et de la Polytechnique (génie civil).

L’objectif de ce concours était de permettre aux étudiants d’expérimenter concrètement les possibilités, la polyvalence et les avantages du matériau bois en construction. D’ailleurs, les visiteurs qui ont circulé au Salon de la forêt installé au Pavillon Alphonse-Desjardins de l’Université Laval, ont pu contempler l’évolution du travail des étudiants et voter pour le prix du public.

Prix du public, remis par FRENECO : Équipe rouge (Hedi Ayadi, génie civil, Université Laval; Vincent Bourassa, génie de la construction, ETS; Adrien Guigné, génie civil, UQAC et ESILV Paris; Mathieu Létourneau-Gagnon, génie du bois, Université Laval et Fayza Mazouz, design de l’environnement, UQAM).

Les membres du jury ont évalué les projets selon des critères relatifs au design adapté au matériau bois, autant au niveau du concept architectural et du transfert des charges que de la durabilité de la structure. Ces derniers ont procédé à la sélection de trois équipes gagnantes ainsi qu’une d’une mention.

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Plus d’infos sur le défi cecobois 2016

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Quelle place pour les femmes, aujourd’hui et demain, dans l’industrie, la technologie et l’innovation ?

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L’eSILV est membre de l’association Elles bougent, qui publie  les résultats de son enquête réalisée auprès de 1000 femmes ingénieures, 500 étudiantes en filière scientifique et technologique et 500 collégien-ne-s, lycéen-ne-s .

Il y a 10 ans, l’association Elles bougent était créée pour inciter les jeunes filles à s’engager dans les filières scientifiques et technologiques et lutter contre les stéréotypes de genre dans l’industrie.

A travers une grande enquête, réalisée avec l’institut CSA, l’association dresse aujourd’hui un état des lieux concret de la situation des femmes dans l’industrie et recueille les perceptions/aspirations des jeunes filles.

Télécharger le rapport complet de l’étude

Les 10 grands enseignements de cette étude

Message n°1 : Avant le bac, pas de censure sur les métiers scientifiques, un besoin de plus d’informations pour clarifier la réalité des métiers , les rencontres en face-à-face avec des ingénieures en activité plébiscitées, et une légère préférence des élèves pour le « numérique » qui leur parait plus familier et plus concret.

Au collège et au lycée, garçons comme filles se déclarent majoritairement prêts à faire des études scientifiques et ensuite à travailler dans les secteurs industrie/techno/numérique (60% filles, 70% garçons).

Pour 75% d’entre elles et 70% d’entre eux, ils ont une idée plus ou moins claire de ce qu’est le métier d’ingénieurs. Mais 70% considèrent avoir besoin d’accès à davantage d’informations , principalement grâce à des rencontres directs avec les femmes en postes. Si on fait un focus sur les secteurs et le vocabulaire, les jeunes déclarent avoir une idée plus ou moins précise de ce qu’est le numérique (65%), puis la technologie (59%) puis l’industrie (55%). Il y a donc pour les jeunes une représentation plus claire du numérique que de l’industrie.

Message n° 2 : Un classement des secteurs préférés par les collégiens et lycéens malgré tout très stéréotypé !

Aux filles, le médical, le paramédical, le luxe, les médias. Aux garçons l’aéronautique, le spatial, le numérique, l’automobile et la voiture intelligente, la robotique.

Message n°3 : Garçons comme filles imputent le peu de femmes dans l’industrie au manque de communication des entreprises qui ne valorisent pas assez les femmes y travaillant et ne les mettent pas suffisamment en avant. Une moindre connaissance des filles pour les métiers est aussi évoquée et le fait que les entreprises continuent à embaucher davantage d’hommes que de femmes.

Ainsi, une communication renforcée et davantage de « role models » sont encore nécessaires. C’est ce que fait l’association Elles bougent et ses partenaires, grâce aux témoignages in situ des marraines, femmes ingénieures et techniciennes . D’autre part, il faut axer l’orientation davantage sur les métiers, plutôt que sur les études. C’est la vocation, l’envie d’un métier qui doit être le critère déterminant pour choisir d es études, et pas le contraire. La logique est de choisir un métier puis les études qui y mènent et pas des études sans bien connaître les métiers auxquelles elles mènent.

Message n°4 : Quel que soit l’âge , toutes les femmes et jeunes filles font état de discrimination de genre et sont victimes du sexisme ordinaire.

La banalisation de ce type de remarques et comportements quotidiens a pour conséquence que ces discriminations ne reculent pas, nuisent à un épanouissement personnel et professionnel et rendent la tâche plus difficile aux femmes pour accéder à des niveaux supérieurs de responsabilité, voire inhibent toute velléité en ce sens. 6 femmes sur 10 déclarent avoir été elles-mêmes victimes de discrimination dans le monde du travail.

Message n°5 : Des discriminations qui ne sont pas près de disparaitre ! 90% des élèves , filles et garçons , pensent que les discriminations à l’égard des femmes existent encore dans le monde professionnel. Deux tiers des filles s’attendent à en être victimes elles-mêmes !

Chez les élèves, la discrimination la plus redoutée est d’être moins payée à travail égal. Vient ensuite celle d’accéder à des postes inférieurs à formation égale. La crainte d’un moindre respect par rapport à leurs homologues hommes est aussi bien présente. Les discriminations liées à la vie personnelle et la famille arrivent en dernier chez les élèves.

Message n°6 : Si la mixité est considérée par toutes comme un atout pour l’industrie, elles sont partagées , en revanche, sur le fait de faire confiance aux entreprises pour promouvoir autant les femmes que les hommes.

Seule une petite minorité d’ingénieures font tout à fait confiance à leur entreprise pour promouvoir autant des femmes que des hommes à des postes de direction et les étudiantes sont encore plus pessimistes sur ce point puisque 57% d’entre elles ne font pas vraiment ou pas du tout confiance aux entreprises, en général, sur ce point.

Message n°7 : Elles peuvent, mais elles n’osent pas, une autocensure encore bien présente.

Si 80% des femmes ingénieurs s’estiment capables d’exercer un poste à responsabilité plus élevée, elle s avouent pour la moitié d’entre elles ne pas de sentir à l’aise pour postuler réellement à un poste plus élevé. On voit donc combien des actions de coaching sont nécessaires pour décoincer les phénomènes d’autocensure très présents encore aujourd’hui chez les femmes. Les étudiantes s’imaginent plus dans des postes de direction, mais est-ce que l’essai sera transformé quand elles seront en activité ?

Message n°8 : Le numérique, l’énergie et l’aéronautique et spatial très largement cités comme secteurs porteurs, tant par les étudiantes, que par les femmes en poste.

Message n°9 : Le top 5 des développements et ruptures technologiques pour demain sont liés aux énergies renouvelables, aux objets connectés, aux nouvelles mobilités et transports intelligents, aux biotechnologies et biomatériaux et aux nanotechnologies.

Message n°10 : Parmi les 1000 femmes ingénieures et techniciennes interrogées, elles sont 90% à s’estimer satisfaites de leur parcours professionnel !

« Pour ses 10 ans, Elles bougent a souhaité lancer une grande enquête nationale avec l’institut CSA. Les enseignements de cette étude nous montrent combien il reste de travail à accomplir sur le champ de l’égalité dans l ’ orientation des élèves et de l’égalité professionnelle. Mais la bonne nouvelle, c’est que les actions entreprises par l’association correspondent parfaitement aux besoins des jeunes filles. Nous nous appliquerons à les déployer davantage encore avec l’aide de nos partenaires. Des progrès sont à réaliser notamment au niveau d’ un sexisme ordinaire qui perdure, et d’une représentation insuffisante de « role models » à haut niveau. Nous lançons un appel à toutes les entreprises et aux médias pour faire passer ces messages et éviter de perpétuer l es stéréotypes. » conclut Marie-Sophie Pawlak, Présidente et fondatrice d’Elles bougent.

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Décryptage sur les enjeux, les usages et les acteurs de la Blockchain, table-ronde ACSEL

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Cyril Grunspan, enseignant-chercheur responsable de la majeure ingénierie financière à l’ESILV, est intervenu lors de la matinée « Blockchain : la promesse de la confiance ? Décryptage, premiers usages et perspectives », organisée par l’ACSEL (l’Association de l’économie numérique), en partenariat avec Blockchain France.

Transactions bancaires, nouvelle monnaie avec Bitcoin, constats d’assurance ou actes notariés, certification de diplômes ou d’œuvres d’art, organisation des échanges collaboratifs en pair à pair, protection des données personnelles ; les usages autour de la technologie Blockchain sont nombreux.
Quels sont les impacts sur les métiers et les secteurs d’activités ? Quels sont les modèles économiques ?

L’ESILV est la première école d’ingénieurs à certifier ses diplômes à l’aide de la technologie Blockchain, et à ouvrir une filière spécifique aux fintechs.

La vidéo de la table-ronde sur les usages de la technologie Blockchain

Première table ronde sur les usages, animée par le directeur de l’innovation du Groupe La Poste, Minh-Viêt PHAM.  Avec Laurent Benichou (Axa), Cyril Grunspan (ESILV Paris), Grégory Chenue (Crédit Agricole), Francesca Pick (OuiShare), Jean-Claude Barbezange (Worldline) et Alexandre Stachtchenko (Association Blockchain France).

Une vidéo bitcoin.fr

Au programme de cette vidéo :

  • Quelles applications dans le domaine de l’Assurance ? : Laurent Benichou, Director of Innovation & Foresight, Axa
  • Certifier les diplômes avec Blockchain : Cyril Grunspan, Responsable pédagogique du département d’Ingénierie Financière de l’ESILV, Pôle Léonard de Vinci
  • Les usages bancaires de Blockchain 
  • Echanges collaboratifs Blockchain va-t-il ubériser uber ? Francesca Pick, Project manager, Collaboration Catalyst, Ouishare
  • Comment protéger les données personnelles avec Blockchain et autres usages prospectifs : Worldline, département R&D
  • Overview des usages par Alexandre Stachtchenko cofondateur de l’Association Blockchain France

L’ACSEL, l’association de l’économie numérique, est le hub français de la transformation digitale.

Forte d’un réseau actif et multi secteurs de 1 200 professionnels et de près de 150 grands groupes, ETI et prestataires, l’Association est devenue l’interface de référence de l’écosystème numérique qui regroupe et anime en cohérence l’ensemble des entreprises, organismes et pouvoirs publics engagés dans la transformation digitale.

L’ACSEL se donne pour mission de créer les conditions du succès de la transformation digitale de l’économie française.

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Le Big Data en pratique, par Gaël Chareyron et Jérôme Da Rugna, enseignants-chercheurs en école d’ingénieur

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Le replay de la conférence donnée le 15 mars à l’ESILV, dans le cadre du cycle Person of Interest des écoles du Pôle Léonard de Vinci.

Donner la parole a des enseignants-chercheurs ou des alumnis sur des thématiques d’expertises, tel est l’objectif des conférences #poi2016.

Cette conférence « Le Big Data en pratique » a pour objectif de présenter les travaux de recherche de l’équipe Informatique, Big Data et Objets Connectés de l’ESILV sur l’analyse des traces numériques laissées en ligne.

Il s’agit de démontrer comment le Big Data et les sites communautaires ou réseaux sociaux sont suceptibles d’apporter un éclairage nouveau sur les pratiques touristiques.

Grâce aux grands volumes de données mises en ligne par les touristes sur le Web, il est désormais possible de suivre, comprendre et même prédire leur comportement de manière très fine.

Ce gisement d’informations Big Data constamment renouvelé est un atout stratégique pour les professionnels du secteur du tourisme, et encore malheureusement peu exploité.

Les conférenciers :

Gaël Chareyron est enseignant-chercheur au département d’informatique de l’École Supérieure d’Ingénieurs Léonard de Vinci (ESILV) et membre de l’Équipe interdisciplinaire de recherches sur le tourisme (EIREST) de l’Université de Paris 1 Panthéon-Sorbonne. Il est docteur de l’Université de Jean Monnet de Saint-Étienne en informatique et traitement d’images (2005). Depuis 2011, il travaille sur les liens entre réseaux sociaux, big data et tourisme en développant des outils d’analyse et de data mining.

Jérôme Da-Rugna est directeur de la Formation de l’ESILV. Diplômé en informatique de l’École Normale Supérieure de Lyon (1997), il est Docteur de l’Université de Saint-Étienne (2004). Il a été maître de conférences pendant quatre ans à Telecom Saint-Étienne avant de rejoindre l’École Supérieure d’Ingénieurs Léonard de Vinci (ESILV) en 2008. Ses thèmes de recherche sont centrés sur les big data et le traitement d’images en partenariat avec l’Équipe interdisciplinaire de recherches sur le tourisme (EIREST) de l’Université de Paris 1 Panthéon-Sorbonne.

 

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SAP DataGenius Competition 2016 France : 4 élèves-ingénieurs ESILV remportent le challenge

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Organisée par SAP University Alliances, la DataGenius Competition challenge les écoles d’ingénieurs sur les thématiques du décisionnel et des analytics.

Fabien DOUSSE, Bilale HAROUNA ABASSI, Claire JARRIGE , Pierre MARION et Naïra SAIDALI sont élèves ingénieurs à l’ESILv, en 4e année, majeure Informatique, Big Data et Objets connectés, et ont participé au défi sur une durée d’un mois.

Dans le cadre de la compétition DataGenius, ils ont présenté leur projet réalisé en équipe, sous forme de challenge DemoJam, au d-kom de Paris, le 10 mars 2016, et ont remporté le challenge !

Un d-kom (Development Kick-Off Meeting) est organisé tous les ans par SAP Labs France pour ses collaborateurs afin de transmettre la stratégie et la vision de l’entreprise sur le développement technologique. C’est surtout l’occasion de favoriser le partage de connaissances par le biais d’ateliers, de tables rondes et de stands.

Comme sujet de réflexion, les participants ont du  choisir un de ces 4 thèmes : Health and Social Impact Alliance,Galactic League of  Entertainment and Sports, Guild of Technology and Scientific Discovery, et Business and Trade Federation.

Les technologies mises à disposition par SAP à appliquer sont : SAP Lumira SAP Lumira, Cloud SAP Predictive Analytics, SAP HANA et Cloud Platform.

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Nouvelles Énergies : 3 projets d’innovation industrielle d’élèves ingénieurs

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Les projets d’innovation industrielle 4, ou PI²4, interviennent en deuxième année du cycle ingénieur de l’ESILV Paris-La Défense. Présentation de 3 projets réalisés par des étudiants ingénieurs en partenariats avec des entreprises ou des laboratoires de recherche.

Grâce aux projets proposés tout au long du cursus d’ingénieur, les étudiants de l’ESILV peuvent ainsi mettre en pratique leurs compétences acquises pendant leurs études au service de problématiques réelles d’entreprises. Le domaine de l’énergie, des nouvelles énergies, du développement durable est un secteur prometteur dont les préoccupations sont celles de tous puisqu’il s’agit en général de trouver des solutions innovantes à des problèmes environnementaux et énergétiques qui sont l’affaire de tous.

Diagnostic électrique des bâtiments

En partenariat avec l’entreprise de Saint-Gobain Distribution Bâtiment France, Daphné Gripon, Thomas Péridier, Chloé Beaumont et Alonso Alfaro, ont travaillé sur une solution pour réduire les coûts de consommation énergétique des entrepôts de la société.

Le projet de départ était divisé en trois parties. Premièrement, la création d’un Dashboard ergonomique (interface simple d’utilisation) et de la base de données relative. Deuxièmement, d’après ce Dashboard et à l’aide de capteurs présents sur les sites (dont les résultats seraient transmis au Dashboard), les étudiants devaient repérer les 20 sites les plus énergivores. Troisièmement, ils devaient proposer des idées d’amélioration à mettre en place sur ces sites afin de réduire au mieux leur consommation énergétique.

Retrouvez l’intégralité du projet ici

Mesurer la pollution émise

En partenariat avec la compagnie AIRTCONTROLE, Stéphane Zamfirou, Romain Fontaine, Guillaume Vicassiau et Richard Rieder ont travaillé sur une chambre ou « coupelle » capable de mesurer la quantité de pollution émise d’une source spécifique.

Retrouver l‘intégralité du projet

Simulation et objet connecté pour la régulation thermique

Dans un souci d’optimisation énergétique des bâtiments, les étudiants ont travaillé avec le De Vinci Technology Lab afin de trouver un système capable de contrôler ou de faire de la régulation thermique d’une pièce.

Retrouver l’intégralité du projet

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Pieter, promo 2019, blogueur passionné par l’informatique et la programmation

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Pieter Algera, promo 2019, est passionné par l’informatique et la programmation. De ce fait, pour compléter son CV, il a décidé de publier un blog pour partager avec ses connaissances mais aussi avec ses futurs employeurs, les projets réalisés à l’ESILV.

Je suis passionné par l’informatique et la programmation et après la validation de mon diplôme, je voudrais travailler dans le monde du jeu vidéo ou de l’intelligence artificielle.

J’ai choisi l’ESILV parce que c’est une école d’ingénieurs généraliste, elle ne fait pas que de l’informatique. J’acquiers donc des compétences dans d’autres domaines qui pourraient me servir plus tard. Le pôle Léonard de Vinci est un très beau campus, très grand et avec d’équipements à disposition de ses étudiants.

Le fait que l’école se trouve à La Défense a été aussi un facteur déterminant dans le choix de l’école. Je suis dans la promo 2019 et je vais me spécialiser dans l’informatique, big data et objets connectés quand je serai en 4e année car l’informatique est ma passion !

J’ai commencé à écrire un blog pour trois raisons :

  • Je voulais avoir un moyen de montrer mes projets et prototypes à mes amis sans pour autant avoir mon PC avec moi pour lancer le programme ou le prototype. Avec un blog, je peux tout simplement sortir mon portable et leur montrer mon blog avec tout dessus.
  • Je voulais aussi avoir un moyen de mieux me présenter dans ce monde numérique. Le blog est un complément de mon CV et si jamais un futur employeur se demande si je sais vraiment programmer, je pourrais lui montrer mon blog.
  • Ce qui m’a vraiment poussé à commencer à écrire, c’est un blog que j’avais commencé à lire d’un programmeur professionnel qui a travaillé dans un studio de jeux vidéo il y a quelques années et qui maintenant travaille en tant qu’un indie developer. Son blog m’a beaucoup plu et ça m’a inspiré.

Au début je ne parlais à personne de mon blog car je ne le trouvais pas très qualitatif et je ne voulais pas que les gens le lisent. Ça m’est arrivé de vouloir montrer un des articles à un ami Sud-Africain et il m’a dit que mon blog n’était pas mal. Du coup, j’ai décidé de le partager sur les réseaux sociaux et j’ai eu un retour très positif. Ça fait toujours du bien d’entendre ça.

En premier semestre de deuxième année de prépa intégré à L’ESILV, on avait un cours sur comment créer et gérer un blog dans une équipe, ça m’a donné pas mal d’astuces et informations pour mon blog.

Je me suis fixé une fréquence de publications d’un article tous les vendredis ou samedis et pour l’instant j’ai pu garder ce rythme. Cette fréquence marche bien car je programme dans le train tous les matins et après-midi quand je vais ou reviens de l’école, ce qui me fait à peu près 2h de programmation par jour. J’arrive donc à faire des petits prototypes toutes les semaines et si ça prend plus qu’une semaine je fais plusieurs articles sur le prototype actuel. J’ai essayé de faire un ou deux articles de plus en réserve pour les publier si il y a une semaine où je n’arrive pas écrire.

En ce moment, comme toutes les semaines, je travaille sur des petits prototypes et essaie de nouvelles fonctionnalités. Le projet sur lequel je travaille en ce moment est un Jeu de la vie. C’est un algorithme qui « simule » une sorte de vie artificielle. Je suis aussi dans la phase de réflexion sur un bras robotisé mieux fait que celui que j’ai construit il y a 2 ans au Fablab(w) Devinci. Ce bras serait fait en taille réelle.

 

J’adore ce que je fais et je vous conseille vraiment de faire ce que vous aimez faire ! C’est vraiment important. Sinon vous n’aurez pas de motivation pour apprendre ou travailler. N’hésitez pas à venir visitez mon blog pour voir mes projets personnels (ou ceux que je fais avec l’école), de poster des commentaires et de le partager. Comme je suis d’origine sud-africaine, le blog est en anglais !

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Big Data, objets connectés, analytics et valorisation de la Data

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Dans le cadre d’un partenariat entreprise avec SAP, des élèves-ingénieurs de la majeure Informatique, Big Data et objets connectés, ont été reçus au siège de SAP France pour une matinée dédiée au Big Data et aux objets connectés.

Les étudiants de la majeure IBO ont été introduits à SAP et à ses solutions, en particulier, SAP HANA, une plate-forme In-Memory qui fait de l’entreprise en temps réel une réalité. En effet, elle simplifie l’analyse du Big Data en centralisant données et applications sur une même plate-forme.

La valeur de la Data et des Analytics

Les élèves-ingénieurs ont assisté à une conférence sur le Big Data et les Objets Connectés donnée par Thierry Pierre, expert SAP, du service Product Innovation Analytics. Ils ont pu appréhender l’étendue de l’influence de SAP dans le monde et le nombre de sociétés utilisant leurs solutions (Total, Air France…).

Thierry Pierre a également témoigné d’un phénomène nouveau dans le monde professionnel mais qui prend une ampleur d’envergure : la valorisation de la Data. En effet, la révolution technologique qui transforme aujourd’hui la société, donne de la valeur à la Data au même titre qu’un bien physique (locaux d’entreprise, machines industrielles). Il est donc primordial de savoir quantifier la valeur de la donnée et de savoir l’exploiter.

Les étudiants ont ensuite visité en compagnie d’Alexandra Darras, responsable des partenariats avec les écoles et les universités, le Showroom de SAP utilisant la plateforme In-Memory SAP Hana et présentant les solutions analytics : ville connectée, distributeur connecté, statistiques en temps réel d’un match de foot. Ils ont également visité un magasin connecté, qui permet une traçabilité du client via sa carte d’adhérent, ou une reconnaissance physique et du produit (présentoir intelligent, détection de prise d’objets).

La majeure Informatique, Big Data et Objets Connectés

La majeure IBO forme des ingénieurs informaticiens généralistes, capable de maîtriser toutes les composantes du traitement de l’information.

Pour répondre aux nouveaux besoins stratégiques des entreprises, les élèves-ingénieurs sont ainsi formés aux systèmes d’informations, à l’architecture des bases de données, à la mobilité et au développement d’applications. Ces futurs ingénieurs mènent et accompagnent la transformation digitale des entreprises.

Grâce aux enseignements en Big Data, les futurs ingénieurs de l’ESILV seront en mesure de répondre aux grands enjeux informatiques et statistiques des Big Data des entreprises des secteurs bancaire, assurance, santé, environnement et informatique. L’étude de l’Internet des Objets leur permet de se former à l’innovation et d’être véritablement des moteurs de la révolution des objets communicants et intelligents.

A propos de SAP et In-Memory SAP Hana

Premier éditeur de logiciels en Europe et quatrième dans le monde, SAP est leader du marché des applications d’entreprise. SAP aide ainsi les entreprises à lutter contre la complexité, à générer de nouvelles opportunités d’innovation et de croissance et à renforcer la compétitivité de ces dernières.

Contrairement aux systèmes antérieurs qui récupéraient la donnée mais l’analysaient ultérieurement, le système In-Memory SAP Hana permet de récupérer la Data et de l’analyser en temps réel, ce qui permet d’améliorer la valorisation de cette data, comme par exemple pour des données sur une turbine ou un moteur qui ont besoin d’être exploitables tout de suite et perdent de leur valeurs avec le temps.

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Mécanique et automobile : 3 projets d’innovation industrielle d’étudiants ingénieurs

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En 4e année du parcours à l’ESILV (2e année du parcours ingénieur), les élèves réalisent un Projet d’Innovation Industrielle (PI²) qu’ils doivent eux-même valoriser grâce à des partenariats avec des entreprises ou des associations mais aussi à travers des publications de recherche, brevets, concours, création de start-up. Présentation de 3 projets d’étudiants en majeure Mécanique Numérique et Modélisation.

Ces projets ambitieux mettent en jeu l’ensemble des savoir-faire et des savoir-être des élèves ingénieurs : compétences de leur majeure, compétences d’un ingénieur généraliste et maîtrise de toutes les facettes du management de projet.

La majeure Mécanique Numérique et Modélisation forme des futurs ingénieurs aptes à concevoir, développer et dimensionner de nouveaux produits et systèmes complexes en particulier appliqués dans l’aéronautique, l’automobile et les transports.

Optimisation d’une coupelle de suspension automobile

Aline Weyrather, Laëtitia Tourigny, Geoffroy Brunel et Jordan Badani ont travaillé sur ce projet en partenariat avec PSA sur l’optimisation topologique d’une coupelle de suspension permettant de réduire les déplacement les déplacements auxquels est soumise la coupelle et donc à réduite les émissions de CO2. Cette pièce automobile est le lien entre la route et la voiture habituellement en acier. Le prototype serait réalisé en aluminium.

Le but est à terme d’améliorer les performances de la voiture.

Méthode en dynamique explicite pour un assemblage par colle structurale

La colle structurale est un élément utilisé dans l’automobile dans le but de renforcer un assemblage. Cette colle permet à la fois de gagner en cout/masse et d’améliorer les prestations d’analyse du cycle de vie et de crash.

Pour ce projet, Bertrand Leroi, Julien Denneulin, Martin Gschösser et Oswald Pitscheider ont eux aussi travaillé avec PSA afin de démontrer l’efficacité de la colle structurale en lieu et place de soudure.

Amélioration d’un berceau automobile

Toujours en partenariat avec PSA, Florian Moneuse, Yoann Robert, Thomas Grillot et Hervé Brulé ont dû travailler sur l’amélioration du berceau de voiture, pièce qui réalise la liaison entre la caisse et la voiture.

Les étudiants se sont aidés du logiciel HyperMesh, édité par Altair Engineering, afin de modéliser la pièce en question.

L’intégralité du projet peut être consulté ici.

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L’ESILV accueille les professeurs de ses universités partenaires pour la « Cross-skills international week »

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Le service des relations internationales organise chaque année une semaine consacrée à l’international. Cette année était placée sous le signe de la transversalité entre les trois écoles du Pôle, l’ESILV, l’EMLV et l’IIM. Des professeurs et des experts des universités partenaires sont intervenus pendant plus d’une centaine d’heures de conférences.

Plus de 200 étudiants de l’ESILV, principalement en 4e année, ont eu l’opportunité de participer à la semaine internationale en compagnie des étudiants de l’EMLV et de l’IIM. Au total, ce sont plus de 650 étudiants qui ont assisté aux quelques centaines d’heures de conférences dispensés par les experts des universités partenaires.

Les experts et professeurs sont intervenus sur des sujets de finance (volatilité et prévisions), d’ingénierie technique (optimisation technique d’applications d’ingénierie moderne), de nouvelles énergies (développement durable et énergies renouvelables) ou de management (révolution de l’information et du management).

L’international tient une place de premier ordre dans le cursus ingénieur de l’ESILV. En effet, les étudiants ont le choix de partir dès la 3e année pour un semestre d’échange académique dans l’une des 100 universités partenaires du Pôle Léonard de Vinci. Ils peuvent également réaliser un stage en entreprise en 4e ou 5e année. Les cours de 4e année sont tous en anglais et ce dans les 4 majeures du cycle ingénieur.

Les élèves-ingénieurs ont également la possibilité de réaliser en dernière année, un double-diplôme avec l’une des universités proposant cette offre en Australie, en Autriche, au Canada, en Italie, au Vietnam, en Irlande, aux États-Unis, en Chine ou au Royaume-Uni. Ce double diplôme leur permet de se spécialiser dans un domaine ou d’acquérir des compétences complémentaires à l’étranger.

Quelques exemples de conférences de la Cross-Skills International Week à l’ESILV :

Conférences

Professeurs

Universités

Pays

Volatility Modelling & Forecasting with Garch Models  Ling Xiao  London South Bank University Royaume-Uni
Sustainable development & renewable energy  Jay Johnson  Southeastern University, Louisiana USA
Managing Risk and Return on investing  Alan Lynch  Griffith College Dublin Irlande
Total Control : The Experience Benjamin Massow Management Center Innsbruck Autriche
Information revolution & management  Ulas Ograk University of Louisiane Monroe USA

L’ESILV compte aujourd’hui près de 80 accords avec des universités partenaires répartis dans plus de 20 pays. Chaque semestre, l’ESILV accueille également des étudiants en échange international.

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Femmes ingénieurs : Elles bougent pour l’énergie, au contact des lycéennes

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Le 24 mars 2016, l’ESILV accueillait l’évènement Elles Bougent pour l’énergie, une journée de rencontre entre lycéennes, collégiennes, entreprises et écoles d’ingénieurs afin de promouvoir les métiers de l’énergie et la place des femmes dans ce secteur.

Au cœur d’enjeux économiques et environnementaux majeurs, le secteur de l’énergie est à la recherche de nouveaux talents. Dans des métiers appelés à évoluer rapidement, les femmes- insuffisamment représentées dans l’industrie, ont une vraie place à prendre. Mais trop d’idées reçues sur les carrières techniques et scientifiques dissuadent encore les jeunes filles de s’engager dans cette voie.

L’objectif de la journée ? Balayer les idées reçues sur les métiers de l’énergie : le  24 mars, Elles bougent® a attiré l’attention de près de 2000 jeunes filles à Paris et en région sur les opportunités professionnelles dans ce secteur très diversifié. L’évènement s’est déroulé en simultané dans 11 sites partenaires, en Ile-de-France, Aquitaine, Centre, Champagne-Ardenne, Franche-Comté, Lorraine, Midi-Pyrénées, Normandie, Pays de la Loire et Rhône-Alpes.

Que ce soit en amont, lors de la phase de conception au sein de bureaux d’études, ou plus en aval sur des postes de techniciens ou d’ingénieurs d’exploitation qui vont piloter les process, les femmes ont toute leur place. Sans oublier encore les ingénieurs dans les services à l’énergie qui assurent l’installation et la maintenance des équipements et des réseaux.

Les entreprises recherchent également des compétences pointues comme des ingénieurs électroniciens, électriciens, géographes, ou géologues.

Organisée sous le Haut Patronage du Ministère de l’Environnement, de l’Energie et de la Mer, cette journée placée sous le signe de l’énergie a réuni des marraines issues d’entreprises comme ALTEN – DCNS – EDF – ENGIE – General Electric – Segula – Schlumberger – SPIE – Technip – TOTAL – Réseau WELinks Bouygues construction, et des écoles d’ingenieurs : Arts et Métiers ParisTech, CESI, ECE, EPF, ESIEE Paris, ESIGELEC, ESILV, ESME Sudria, ESSTIN, ICAM, ISEP.

Au cœur de l’un des plus grands quartiers d’affaires européens, Paris-La Défense, dans les locaux de l’ESILV Paris au Pôle Léonard de Vinci, école d’ingénieurs généralistes qui propose notamment une spécialisation « nouvelles énergies », femmes ingénieures et techniciennes et futures diplômées ont pu témoigner de leur parcours et métiers aux collégiennes, lycéennes et étudiantes.

L’énergie, source de progrès humain, bénéficie d’une dynamique de recrutements au sein de petites, moyennes et grandes entreprises autour de 4 grands enjeux : la préservation des ressources naturelles, la préparation de la transition énergétique, des projets qui s’internationalisent et des filières émergentes comme le renouvelable

Les ambassadrices ESILV présentes lors de la journée : Pauline RIVIERE, Aurélie LE CALVEZ, Yasmine SALEHY,  Sabrine YOUSFI, Aude VANRIVONG et Sarah HASAN.

« L’avenir énergétique est un formidable défi pour les hommes et les femmes. Chez Total, il est synonyme d’une aventure humaine hors du commun. Ce qui nous définit : une intelligence collective qui agit et réussit par l’addition de ses talents, aux quatre coins de la planète. Au-delà des questions d’équité, la promotion de la mixité femmes-hommes est une question d’attractivité, d’innovation et d’acceptabilité. C’est avec une grande fierté que je m’attache à contribuer activement aux initiatives de l’Association Elles bougent »
François Viaud, Directeur des Ressources Humaines du groupe Total et président d’honneur 2015 de Elles bougent

La majeure Nouvelles énergies de l’ESILV

La “transition énergétique” est synonyme de contraintes pour certains acteurs économiques ou d’opportunités de croissance et de développement pour d’autres. Les problématiques multiples liées aux nouvelles énergies ou à l’optimisation des ressources énergétiques traditionnelles se traduisent par une forte demande du marché en ingénieurs ayant des compétences spécifiques dans ce domaine. La majeure nouvelles énergies forme des ingénieurs énergéticiens capables de :

  • Concevoir, dimensionner et gérer des bâtiments énergétiquement efficaces
  • Assimiler les modes de production et d’acheminement de l’énergie
  • Dimensionner et optimiser des systèmes de production d’énergie
  • Concevoir des systèmes électriques propres et intelligents

http://www.esilv.fr/formations/cycle-ingenieur/majeures/nouvelles-energies/

A propos de l’Association « Elles bougent »

Depuis 10 ans, l’Association « Elles bougent » fait découvrir aux collégiennes et lycéennes les métiers passionnants d’ingénieures et de techniciennes dans tous les secteurs industriels ou technologiques en manque de talents féminins : l’automobile, l’aérospatial, l’énergie, le ferroviaire, le maritime, le numérique et le bâtiment notamment. L’Association « Elles bougent », parrainée par 4 Ministères, réunit 17 délégations régionales, 90 partenaires entreprises et établissements d’enseignement supérieur, un club des collèges et lycées et 2100 marraines. La présidente et fondatrice de l’Association est Mme Marie-Sophie Pawlak. Le président d’honneur de l’Association est M. François Viaud, Directeur des ressources humaines du groupe Total.

En savoir plus : www.ellesbougent.com

 

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Quels sont les enjeux réels de la Blockchain ?

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L’ESILV a accueilli la session du Club Open Prospective 2030 consacrée à la Blockchain, avec notamment une intervention de Cyril Grunspan, enseignant-chercheur en charge du département d’ingénierie financière de l’ESILV, école d’ingénieur.

Créé fin 2014 à l’initiative d’Orange Labs, le club open prospective a vocation à réunir des entreprises, organisations et établissements d’enseignements supérieur pour nourrir des réflexions stratégiques à moyen-long terme.

Ademe // AFD // Akka // Alliancy // Alstom // Arte // BNP Paribas // Caisse des Depots // Darty // Dassault System 3DS // DCNS // EDF // Engie // EMLV // ESILV // Fing // Mazars // Michelin // Onera // Orange // Renault // Saint-Gobain // Strate college // Total GP.

A en croire le buzz médiatique actuel, la technologie Blockchain ouvrirait autant de perspectives innovantes que celles de l’internet des années 1990. Initialement, la blockchain était  associée à la seule monnaie virtuelle Bitcoin.

Mais depuis quelques mois, les experts voient dans cette technologie et son architecture de pair à pair, des développements immenses et ceci dans tous les secteurs d’activités, certains parlent de « révolution ».

La vidéo intégrale de la conférence Blockchain

Session intégrale du Club Open Prospective, fondé par Orange, sur la Blockchain, la machine à confiance qui peut changer le monde.

00:00:08 : Introduction, Thierry Bardy, vice président Open Innovation et Business Développement Orange Labs
00:05:03 : La technologie Blockchain, Cyril Grunspan, enseignant-chercheur ESILV, responsable de la majeure Ingénierie Financière

// Rôle de la Blockchain dans l’écosystème banques/assurances aujourd’hui, et demain ?

00:35:14 : Nadia Filali, Caisse des Dépôts, Initiatrice du do tank « Blockchain lab » qui réunit banques et Assurances pour co-construire des propositions de services.
00:46:40 : Christophe van Cauwenberghe, SOCIETE GENERALE – Global Transaction & innovation Payment Services, Responsable innovation paiements et programme FINTECH
01:00:08 : Maximilien Nayaradou, Directeur r&d, Pôle de compétitivité mondial FINANCE INNOVATION, l’écosystème Fintech et la Blockchain ?
01:11:01 : Questions réponses

// Au-delà de la finance, Pourquoi la Blockchain pourrait-elle impacter nos relations sociales, nos modèles économiques, le fonctionnement de nos organisations…

01:35:15 : Guillaume Buffet, CEO de l’agence U, Rédacteur du livre Blanc « comprendre la blockchain »
02:05:56 : Claire Blava, Co-fondatrice de Blockchain France : L’impact sur la Supply chain, santé et l’assurance
02:18:08 : Benjamin Tincq, Co- fondateur de Ouishare : Blockchain, le maillon manquant d’une économie décentralisée ?
02:33:50 : Questions réponses

Le futur de la Blockchain

En novembre dernier, plus de 2.000 développeurs se sont rassemblés à Londres pour imaginer le futur de la Blockchain . La plupart d’entre eux travaillaient pour des plates-formes de développement comme Colu, Chain, Ripple, etc .. Ils avaient pour ambition de revisiter notre futur à partir des ingrédients de cette technologie qu’ils nomment  « smart contract ».

Notre démarche de prospective ne pouvait pas rester indifférente à ce phénomène qui incontestablement dépasse largement le cadre du « techno push ».

Par ses caractéristiques en rupture, la Blockchain pourrait devenir une sorte de protocole social, totalement décentralisée et jeter les bases de nouvelles organisations politiques (régulation, démocratie,…), économiques (gouvernances d’entreprises, modèles économiques,…) mais aussi sociales (gestion des organisations,…).

Redessiner la notion de tiers de confiance

La définition de la notion de « tiers de confiance » et de « sécurité », si chères à nos entreprises et nos institutions, pourraient être redessinées à travers cette technologie.

Plus concrètement, les entreprises ou organisations qui composent notre club pourraient aussi être fortement impactées. Les banques, les assurances sont les premières visées, mais les opérateurs d’énergies et/ou de télécommunication, les professions juridiques ou de santé, notre consommation numérique (musique , vidéo…) seront, elles aussi impactées.

La Blockchain constitue également un enjeu de souveraineté nationale voire Européen. Maitriser cette démarche et trouver rapidement  des pistes de développements pourraient couper l’herbe sur le pied à l’ingérence Américaine actuelle en matière de données et de privacy.

Normalisation, réglementation, user expérience facilitée sont autant d’obstacles à encore surmonter. A en croire les experts du sujet toutes ces adversités méritent d’être explorées et notamment dans le long terme.

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Imagine Cup 2016 : une équipe ESILV en finale française de la compétition organisée par Microsoft

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Imagine Cup est un concours organisé par Microsoft, pour les étudiants du monde entier, avec 3 catégories différentes :Innovation, citoyens du monde et jeux vidéo.

Imagine Cup est la compétition technologique mondiale organisée par Microsoft et réservée aux étudiants. Que ce soit un jeu vidéos, une application novatrice, un gadget ou un robot, l’objectif pour les étudiants est participer au changement mondial à l’aide de la technologie.

La remise des prix de l’Imagine Cup France 2016 s’est déroulée sur le Campus de Microsoft France.

L’équipe Quicker, composée d’Antoine Porte, Sébastien Pérez, Tara Zhong, et Valentin Rossi, tous élèves-ingénieurs à l’ESILV, promo 2018, est arrivée en finale de la compétition France, dans la catégorie Innovation.

Leur projet consiste en une application mobile, permettant un paiement plus rapide en magasin, dans l’objectif d’accélérer les flux de traitement. Destinée à tous les professionnels, l’application permet un scan des articles avec un paiement en ligne afin d’éviter de passer par la caisse.

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L’équipe Quicker, composée d’élèves-ingénieurs ESILV, en finale française Imagine Cup 2016

Le bootcamp Microsoft

Les étudiants ont été conviés au siège de Microsoft France en vue d’effectuer un bootcamp de 2 jours pour préparer la finale France du 7 avril. Au cours de ce stage intensif, ils ont eu la possibilité de rencontrer des coachs Microsoft, spécialisés dans des domaines informatiques mais aussi de communication.

Pendant ces deux jours, ils ont eut l’opportunité d’avancer concrètement sur leur projet  en améliorant le prototype, mais également de préparer la soutenance, en se mettant en conditions réelles face à un jury composé de professionnels reconnus.

https://www.imaginecup.com/country/details/fr

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Pourquoi le Big Data révolutionne les métiers de l’assurance et de l’actuariat

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Jérôme Da Rugna, directeur de la formation de l’ESILV et enseignant-chercheur spécialisé en Big Data, analyse la transformation digitale du secteur de l’assurance sur Frenchweb.

Les métiers de l’assurance et de l’actuariat sont en train de vivre une véritable révolution. La transformation digitale, les objets connectés et bien-sûr le Big Data challengent d’une manière forte les entreprises du secteur : la recherche de nouveau profils «Numérique & actuariat» est au cœur des enjeux. L’actuaire doit intégrer dès aujourd’hui dans son calcul de risques et de tarifs des données de plus en plus massives, variées. Ces données sont souvent non structurées et très difficiles à traiter : celles recueillies en masse par le biais d’objets connectés en sont un parfait exemple.

A tous les niveaux de l’assureur : relation client, tarification, innovation et création de nouveaux produits les data-scientists de l’assurance devront être capables de créer de la valeur en personnalisant les offres, tout en maintenant le pilier historique et intrinsèque du métier d’assureur qu’est la mutualisation.

Ces nouveaux métiers reposent sur deux socles de compétences : les fondamentaux de l’assurance et de l’actuariat et l’expertise Big Data. Il est en effet primordial de maîtriser la typologie et la modalisation de l’ensemble des risques actuariels tout autant que les enjeux sociétaux, économiques ou réglementaires – la fameuse réforme Solvabilité 2-  des sociétés d’assurance. L’autre facette de ces futurs experts porte sur l’expertise Big Data tant sur l’aspect scientifique que technologique. Plus qu’un statisticien, c’est l’expertise en machine learning, dataviz, NoSql, Hadoop, ou Python qui sera recherchée.

Lire la suite sur FrenchWeb

Le Mastère Spécialisé Assurance, Actuariat et Big Data

Créé en fonction des demandes du marché de l’emploi et des entreprises, le mastère spécialisé Assurance, Actuariat et Big Data forme des spécialistes actuellement très recherchés par les entreprises. Le Mastère spécialisé est un label déposé par la Conférence des grandes écoles (CGE), seul organisme habilité à délivrer des accréditations mastères spécialisés.

Plus d’infos

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Créativité, numérique et handicap

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Le Pôle Léonard de Vinci organise chaque semestre des semaines transverses où les étudiants des trois écoles et d’une même promotion se réunissent pour travailler ensemble sur un challenge lancé par une entreprise. Aux étudiants ingénieurs, managers et designers de la promotion 2019 de réfléchir sur le handicap et le numérique, défi proposé par Microsoft.

Investi dans la recherche et l’industrialisation de solutions d’accessibilité pour les personnes en situation de handicap – car c’est un facteur d’intégration important – Microsoft a choisi de parrainer cette semaine transversale du Pôle Léonard de Vinci intitulée « Créativité et Numérique au service du Handicap ».

Les étudiants ont été principalement formés à la créativité. L’objectif premier était de leur faire développer des processus de créativité dans un cadre professionnel.

A l’issue de cette semaine, différents projets ont été primés par Microsoft et Philippe Trotin, référent handicap de Microsoft France.

Handi-Tab : tablette tactile en Braille avec 3 boutons (reconnaissance vocale, localisation , flux alimenté par les étudiants) et haut-parleur + prise Jack) pour pallier aux différences liées au handicap.

Ear Sign : outil connecté destiné à aider les personnes en situation de handicap auditif lors des entretiens de recrutement en entreprise. Il se présente sous la forme d’un écran transparent doté d’une caméra Kinect et d’un système micro/audio. L’écran peut capter le langage des signes et le retranscrire à l’écrit et réciproquement.

Multisport Chair : un fauteuil sportif connecté 3 en 1.

Exodus : 1 gant pour les personnes atteintes de dyspraxie ou Parkinson qui permet :

  • l’acquisition d’une motricité fine pour écrire
  • le contrôle les mouvements du bras et des doigts
  • la stabilisation pour des gestes précis

Pimp My Way : fauteuil roulant équipé d’un écran sur l’accoudoir avec les fonctions de GPS, qui fonctionne en automatique (on entre la destination et le fauteuil l’y conduit), incluant une géolocalisation et un accès à une application collaborative alimentée par les autres détenteurs sur les difficultés rencontrées et propositions d’aide.

Leasy : une application multiplateformes pour aider les dyslexiques à prendre et apprendre leurs cours (numérisation d’un cours, résumé avec mots clés en exergue) et faire des progrès grâce à l’IA intégrée.

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