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Maxime, promo 2023, un semestre Erasmus en Bulgarie

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Échanges académiques, doubles-diplômes en école d'ingénieurs... L'ESILV développe des partenariats avec plus de 100 établissements dans 43 pays. Dès la 3e année, les élèves-ingénieurs ont la possibilité d'effectuer un semestre d'échange ou un stage à l'étranger.

La mobilité internationale des étudiants ESILV se poursuit. Retour sur l'expérience de Maxime, promo 2023, parti étudier à Varna, en Bulgarie, en 2020.

Une école généraliste au coeur du numérique

Très intéressé par les sciences, j’ai choisi l’ESILV car c’est une école généraliste mais tout de même assez orientée vers le numérique, le domaine de notre siècle. Je ne me suis pas encore fixé sur la spécialisation que je voudraischoisir mais pour le moment, je souhaiterais me spécialiser en intelligence artificielle.
Pendant mon temps libre, j’aime faire du sport : en particulier l’aviron que je pratique en compétition depuis 6 ans, et lacourse à pied. Je pratique le piano depuis mon enfance et j’apprends à jouer du ukulélé depuis mon semestre d’étude à Varna!
J’adore voyager, découvrir de nouvelles personnes et cultures différentes. Avant mon départ, j’étais motivé pour partir étudier à l’étranger car j’avais pour objectifs de perfectionner mon anglais jusqu’à être au moins fluent, m’ouvrirl’esprit et vivre quelques mois loin de mes habitudes.

Le "plan B" de la mobilité internationale en école d'ingénieurs

Initialement, parmi les destinations proposées par l’ESILV, je devais partir étudier en Australie, à Newcastle. Mais avec la pandémie de la Covid-19, les frontières de l’Australie ont fermé (elles le sont encore aujourd’hui) et l’échange était devenu impossible. Comme les autres élèves de l’ESILV qui ont vu leur destination annulée, l’ESILV m’a proposé un plan B : pour moi ce fût la Bulgarie, un pays certes d’apparences plus modeste et moins impressionnant que l’Australie mais j’étais finalement tout aussi motivé pour partir étudier là-bas car ce séjour en Bulgarie s’annonçait remplir tous mes objectifs cités au paragraphe précédent.
Quelle chance j’ai eu d’avoir pu partir étudier à l’étranger en cette année 2020 ! La Bulgarie est un pays qui jusqu’à l’automne 2020 était peu touché par la pandémie. J’ai étudié dans l’université partenaire : Varna University of Management (VUM). C’est une école qui a été créée en 1996 et qui propose des programmes dans plusieurs domaines, principalement le commerce, marketing, technologies de l’information, tourisme et arts culinaires. Elle possède 2campus : Varna (le principal) et Dobrich. En tant qu’Erasmus, nous étudions uniquement au campus de Varna.
Le campus est un bâtiment récent et en bon état, il est situé à 10-15 minutes à pied du centre de Varna. Pour comparer,le bâtiment est un peu plus grand que le bâtiment L du PULV à La Défense. Il possède du 5ème au 7ème étage desdortoirs. Il n’y a pas vraiment d’associations étudiantes mais en revanche il y a un Student Experience Department où un StudentExperience Expert y travaille à temps pleins et organise des évènements (pas beaucoup pour nous cette année à causedu Covid). Grâce à lui, nous avons pu notamment participer aux 10 ou 21 km du marathon de Varna sous les couleurs deVUM, un super évènement qui a eu lieu dans le grand beach parc de Varna et dans le centre. Les plus grands évènements auxquels j’ai participé étaient plutôt organisés par des communautés Erasmus et réseaux ESN de Bulgarie.

Des cours adaptés, en anglais

Tous les cours sont en anglais. J’ai suivi 5 cours :
  • Principles of Programming (C#)
  • Computer Architectures and Operating Systems
  • Economics
  • Data Structures and Algorithms (C#)
  • Mathematics for Software engineering
Ce sont tous des cours de 1ère année de Bachelor. Tous sont du programme Software Engineering (SE) sauf Economicsqui est du programme International Business Management (IBM), un cours que j’ai pu suivre en corrélation avec mondouble diplôme EMLV. Étant en A3 à l’ESILV, le niveau de ces cours est plutôt facile car il y a beaucoup de déjà-vu. La difficulté était plutôt de s’adapter à des cours en anglais et à des approches différentes.
Les cours sont par blocs de 3h et ont lieu tous les soirs de 18h à 21h (sauf Economics : 4h30 de cours qui ont lieu le mercredimatin). Je n’ai fait aucun travail de groupe pendant mon semestre.
Environ une trentaine d’élèves par cours, les cours ont plutôt la forme d’un cours magistral pendant les 2/3 du cours,puis le dernier tiers est sous forme de TD. Les professeurs sont très à l’écoute, disponibles et répondent aux questions. À raison de 16h30 de cours par semaine, le travail personnel n’est pas plus surmené et un travail approfondi peut bienêtre réalisé dans chaque matière avec au total 10h de travail personnel par semaine. Le rythme de travail scolaire estbien moins intense qu’à l’ESILV en 2ème année. Les modalités d’examens sont très semblables à l’ESILV : 2 contrôles continus qui se déroulent en classe, et unexamen qui vaut 50% à la fin du semestre, en janvier.

Vivre son éxperience Erasmus malgré la crise

Nous avons reçu un très bon accueil sur place : le jour de la rentrée, il y a eu une cérémonie d’ouverture avec les directeurs qui nous ont introduit VUM ainsi que des témoignages de diplômés. Pour finir, il y a eu un show de dance bulgare, c’était sympa ! Les coordinateurs se sont montrés très disponibles avec nous pendant le semestre et nous ont très bien accompagnés,notamment pour les démarches d’enregistrement au « migration office » de Varna.
Les étudiants internationaux que j’ai rencontrés venaient plus d’autres universités de Varna (Université of Economics) que de VUM. Comme précisé dans la question plus haut sur les associations étudiantes, un Student Experience Expert organise quelques événements. Quelques liens avec des étudiants locaux mais en majorité avec d’autres étudiants internationaux.
Pour ma part, dans l’optique de rencontrer des étudiants d’autres nationalités, j’avais publié des annonces sur desgroupes Facebook pour faire une collocation internationale. Je suis rentré en contact avec 2 Espagnols qui allaientétudier à Technical University et un italien qui allait aussi étudier à VUM. Nous nous sommes ainsi mis en collocationpour les 4 mois et nous nous entendons très bien ! Vivant la même aventure, nous participons aux mêmes sorties et voyages Erasmus. Je dirais même que j’ai eu beaucoup de chance de pouvoir voyager avec le contexte Covid ! J’ai visité quelques lieux de la Bulgarie qui sont à faire : Sofia, Monastère de Rila, Seven Rila Lakes (à faire entre mai etoctobre, pas l’hiver sauf si vous êtes bien équipés), Bansko, Roussé et Istanbul ! Je prévois d’ici la fin de mon séjour devisiter également Plovdiv, Veliko Tarnovo et éventuellement Bucarest (dépendra des frontières).

Bulgarie, une suprenante découverte

J’ai réalisé certains de ces voyages avec le réseau ESN de Bulgarie : https://www.facebook.com/EsnVarna/ qui crée un groupe FB privé pour chaque année Erasmus.
La Bulgarie est généralement un pays que l'on connaît mal en tant qu'Occidentaux, en s'y faisant plutôt une mauvaise image. Avant mon séjour, j'avais vu que c'était le pays le plus pauvre et corrompu de l'Union Européenne mais je ne m'attendais pas non plus à ce que ce soit un pays sous-développé. Je me doutais bien que ce pays possédait forcément des trésors culturels et des richesses sous d'autres formes qu'économique. Je pensais aussi qu'il faisait froid là-bas et que l'hiver allait être rude !
Varna, la ville où j'étais, est un endroit privilégié de la Bulgarie car elle a pu bénéficier de la côte de la mer Noire. En voyageant au cœur du pays, j'ai pu me rendre compte d'autres endroits effectivement plus pauvres où l'on se sent projeté parfois 30 ans en arrière et où l'on vit un peu "à l'ancienne". Mais j'ai surtout découvert un pays qui a un riche héritage historique puisque c'est l'une des premières civilisations qui a connu de nombreux peuples jusqu'à nos jours. Quant à son climat, le froid n'est arrivé qu'en novembre et l'hiver à Varna n'était pas spécialement plus frais qu'en France. Bien que ce soit un pays moins développé que la France, cela en reste un, et mon image après mon séjour n'en est que meilleure car j'ai adoré le découvrir et il y a des lieux vraiment magnifiques!

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Ingénieurs en cybersécurité : IBM à la rencontre des étudiants ESILV

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Ingénieurs en cybersécurité

À l'heure du tout numérique, les ingénieurs en cybersécurité sont des métiers en tension et la tendance n'en est qu'à ses débuts. Pour sensibiliser les étudiants ESILV aux enjeux de la sécurité des systèmes informatiques, le groupe IBM, parrain de la promotion 2022, a organisé une conférence en ligne sur le thème : "La cybersécurité est un enjeu métier - Gérer le risque numérique dans un monde hyperconnecté".

Sébastien Jardin, directeur  du Business Development IBM Security France, membre du CLUSIF (Club de la sécurité de l'information français), a convié les élèves-ingénieurs de l'ESILV intéressés par les métiers de la cybersécurité à une rencontre en ligne dans le cadre du parrainage de la promotion 2022 par IBM France.
La cybersécurité connaît une pénurie de spécialistes dans tous les domaines de la sécurité informatique. Pour répondre aux besoins des entreprises, l'ESILV propose une majeure Informatique, objets connectés et sécurité , qui forme des ingénieurs spécialisés en systèmes et services connectés.
Le premier critère d'une organisation cyber-résiliente est la "security by design", la sécurité dès le lancement d’un projet. Mais des pratiques comme l'hygiène informatique, la formation, la réaffectation des priorités et des investissements au sein des entreprises font également partie de la stratégie de cyber-résilience, abordée par Sébastien Jardin lors de la conférence "La cybersécurité - un enjeu métier".

La cybersécurité, business mondial et enjeu métier

"Nous vivons dans un monde où tout est devenu connecté, ce qui peut rapidement se tourner contre nous", a expliqué Sébastien Jardin. "Il ne se passe une semaine sans une nouvelle cyber attaque. Le sujet cyber fait les gros titres, cela touche tout type d'entreprise, toutes tailles incluses. C'est un sujet technique, mais c'est aussi un sujet d'entreprise. Avec le RGPD éruropéen déstiné à protéger les citoyens contre les abus dans la gestion des données, les entreprises sont appelées à prendre de nouvelles responsabilités juridiques et de marché." https://youtu.be/vutkDpFPQNg Aujourd'hui, la cybersécurité est un business mondial qui devrait dépasser les 151 milliards de dollars en 2023. Selon un rapport IBM, la cybercriminalité coûte 1000 milliard d'euros par an à l'économie mondiale, l'équivalent d'une crise des subprimes par an.
"On constate plus récemment une évolution et une diversification des profils d’attaquants : pirates, hacktivistes, cybermercenaires avec des motivations différentes.
La plus courante est financière : les cybercriminels sont en quête de données monétisables que les entreprises détiennent (services financiers, commerce de détail, transports, etc.), mais ils visent également les actions monétisables (fabrication, énergie, santé…) ou bien des enjeux d'influence et déstabilisation. Que faire face à des cyber criminels dont l'imagination déborde ?" La menace interne compte pour 60 % des cyber attaques : les erreurs humaines constituent le principal cyber-risque pour les entreprises.
Selon Sébastien Jardin, il n'y a que 3  manières de traiter le risque : "réduire en écoutant, anticipant, planifiant, traduisant, s'équipant et s'entraînant ; accepter le fait que le risque 0 n'existe pas et que parfois le remède est plus couteux que l'impact; déléguer le risque à un tiers et en contrôler la maîtrise." C'est ainsi que la cybersécurité peut accomplir son rôle, de protéger et de faciliter le business.
Parmi les approches communes les plus populaires on compte le "framework" du National Institute of Standards and Technology (NIST), une agence appartenant au Département du Commerce des États-Unis. Le NIST Cybersecurity Framework s'articule autour de 5 fonctions essentielles qui aident les organisations à mieux gérer leurs risques de cybersécurité en évaluant et en améliorant leurs capacités à prévenir, détecter et répondre aux incidents de cybersécurité.

Intégrer efficacement la cybersécurité dans les projets

"Nous sommes tous des cyberdéfenseurs", considère Sébastien Jardin. "Avoir le réflexe cybersécurité est rentable à bien des égards : c'est une obligation juridique et commerciale, mais il 'agit aussi d'un avantage compétitif et un argument différenciant sur le marché. Les lignes bougent et la cybersécurité devient un enjeu majeur : à en croire au Baromètre de risque Allianz, les  incidents cyber (39% des réponses) figurent pour la première fois en tête des risques d’entreprises dans le monde." Aujourd'hui la plupart des  entreprises testent systématiquement leurs défenses.
"S'entraîner grâce à des pratiques comme le pentesting (test d'intrusion) fait partie des méthodes pour se défendre correctement.  Les entraînements doivent être larges, complets et réalistes. L'équilibre ressources humaines et ressources techniques doit être pensé. les entreprises ont besoin de gens qui "pensent improbable" et d'accepter que personne n'est infaillible.
L'ensemble de l'entreprise doit être acteur de sa cybersécurité : collaborateurs, CIO, CEO, CMO, CISO… La cybersécurité a besoin de personnes à double-casquette : des personnes capables d'expliquer son langage à ceux qu'on est censé protéger. La cybersécurité devient un enjeu métier dans un monde hyperconnecté."

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E-sport : des étudiants ESILV sacrés Champions de France Universitaires sur League of Legends

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ESPORT : des étudiants ESILV champions de la Grosse Ligue lol universitaire

Une équipe e-sport composée d'étudiants ESILV est, pour la deuxième fois consécutive, championne de France étudiante de League of Legends. Après avoir remporté la finale de la Grosse Ligue, l'Abeille Cool participera aux University Esports Masters 2021.

L'e-sport continue à se développer à l'ESILV. "L'abeille cool", composée d'étudiants IIM et ESILV, a participé mardi 16 février à la finale nationale de la compétition étudiante de League of Legends (LoL). L'équipe du Pôle Léonard de Vinci a remporté la finale du palier baron de la Grosse Ligue. Elle s'est qualifiée pour la compétition internationale UEM 2021. https://twitter.com/gwadamicka/status/1361832532338212868?s=20

League of Legends (LOL), le jeu des champions : une tradition au Pôle Léonard de Vinci

Organisée par La Grosse Ligue et administrée par le Student Gaming Network, la compétition officielle étudiante de Riot Games regroupe des passionnés d’esport et de jeux vidéo. La Grosse Ligue réunit les meilleures équipes régionales, composées de 5 joueurs et un remplaçant, venant tous du même campus universitaire. Cette compétition a été sponsorisée par Amazon, Windows & Logitech.
En 2020, l'équipe du Pôle Léonard de Vinci avait remporté le titre de championne de France du tournoi étudiant. Cette année, les étudiants ESILV et IIM se sont une nouvelle fois qualifiés en finale de la compétition.
"L'abeille Cool" est composée de 6 étudiants, dont 4 ESILV : Piravin NAGANATHAN et Remy CHIO, promo 2022, Lucas AUFFRET et Clément SAUNIER, promo 2024. Après un match intense,  l’Abeille Cool a triomphé contre l'équipe « 4eSport» de l'EFREI Paris. Par conséquent, les étudiants du Pôle Léonard de Vinci représenteront la France aux University Esport Masters 2021. https://twitter.com/University_FR/status/1361829692203032577?s=20

Cette compétition réunira les vainqueurs provenant de 14 championnats nationaux universitaires européens de League of Legends.

https://twitter.com/uemasters/status/1357298606554943488 Avec plus de 67 millions de joueurs mensuels, le célèbre MOBA de Riot Games (multiplayer online battle arena) fait partie des jeux vidéo les plus populaires au monde. Il est également le jeu le plus suivi niveau esport. Ainsi, les tournois LOL attirent toujours plus de téléspectateurs que la finale de la NBA.

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Etre ingénieure à l’ESILV : le point sur les soft skills et l’égalité professionnelle femme-homme

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Etre ingénieure à l'ESILV

Selon la dernière enquête emploi, les femmes ingénieur.e.s de la promo 2019 de l'ESILV gagnent presque autant que leurs camarades de promo masculins. L'égalité homme-femme est au coeur des préoccupations et des enjeux de l'ESILV, école membre de l'association "Elles bougent".

Le dernier baromètre de la CGE sur l’insertion des jeunes diplômé.e.s (2019) montre qu'au niveau de la rémunération les écarts entre les jeunes filles diplômées des écoles d'ingénieurs et leurs camarades masculins se réduisent. Néanmoins, diplôme d'ingénieur.e en poche, les jeunes femmes ont encore beaucoup à apprendre concernant les soft skills à mettre en pratique pour booster leur employabilité. Développement de l’assertivité et de la confiance en soi, entrainement à la négociation salariale, leadership, éloquence et prise de parole en public… Au Pôle Léonard de Vinci, les étudiant.e.s reçoivent une formation complète à l'insertion professionnelle. On fait le point avec Laure Bertrand, directrice Soft skills, développement durable et carrières au Pôle Léonard de Vinci.

Entretien avec Laure Bertrand

https://youtu.be/LyATIQvRRDE Battez-vous ! Sachez négocier ! Ne soyez pas uniquement la bonne élève qui attend que le professeur lui donne un bon point. Sachez aller demander. Celui qui ne demande pas risque de ne rien avoir. Celui qui demande, peut-être se verra essuyer un refus, peut-être pas. Il faut oser.
Je suis féministe depuis toujours et je crois profondément qu'avoir une journée où on parle des femmes, des problèmes qu'elles rencontrent tous les jours dans leur vie personnelle, sociale, professionnelle.
C'est extrêmement important. La moitié de la population est concernée et le fait d'avoir une Journée de la femme, c'est vraiment le prétexte, l'occasion, l'opportunité d'avoir des études, des témoignages, des émissions. C'est un énorme travail de sensibilisation qui est fait. Oui, je suis peut-être un petit peu radicale, mais je crois que les ingénieurs sont attendus sur le marché de l'emploi qu'ils soient fille ou garçon, ce n'est pas vraiment le problème. Les jeunes femmes ont exactement les mêmes opportunités.

Où en sont les ingénieures ESILV ?

Les différences de salaires à l'ESILV ne sont pas très importantes : 3 ou 4% selon que l'on intègre ou pas les primes dans le calcul de la rémunération pour la promotion 2019. Ce n'est pas très important et cela s'explique par le fait que les garçons ont plutôt choisi des fonctions qui traditionnellement sont plus rémunératrices. Ils sont un petit peu plus nombreux, par exemple, en finance. On va retrouver plus les filles en mécanique. Il y a des fonctions qui sont plus rémunératrices. Un deuxième facteur explicatif de cette différence, c'est que le fait que les garçons vont plus facilement vers des métiers à l'international. À l'ESILV, par exemple, nous avons un ratio de 1 pour 5 : une fille à l'international pour cinq garçons à l'international, en enlevant les VIE. Et là aussi, ce sont des rémunérations qui sont plus élevées dans ces fonctions à l'international pour la promo 2019. En revanche, l'écart peut se creuser plus tard. C'est là effectivement qu’est tout l'enjeu sur la négociation pour les augmentations de salaire, sur la négociation pour changer de poste, pour développer sa carrière et là, les écarts se creusent.
Premier point, nous formons tous nos étudiants à une réflexion sur les stéréotypes de genre : filles et garçons.
Les garçons, c'est 80% d'une promotion ESILV. C'est très important de comprendre en quoi la société en fait est modelée par ces visions à part, ces stéréotypes sur ce que doit faire une jeune fille, ce que doit faire un garçon, ce qui est possible, ce qui n'est pas possible. Les filles iraient naturellement plutôt vers les métiers du "care", du soin, les garçons plus naturellement vers des métiers plus combatifs ou des métiers de leadership. Tout cela, bien sûr, ce sont des représentations. Il faut se battre contre ces représentations : à la limite, même bien avant l'école d'ingénieurs. Dès le primaire les stéréotypes de genre - bleu, rose, poupées, voitures - vont se mettre en place.

Une formation pour promouvoir l'égalité femmes - hommes

Nous avons demandé à une personne qui est particulièrement bien placée pour cela, de venir former nos étudiants. Il s'agit de madame Pawlak, la présidente de l'association Elles bougent et qui se bat au quotidien, justement pour faire bouger les lignes dans l'enseignement supérieur scientifique, pour inciter les jeunes femmes à rentrer dans l'enseignement supérieur scientifique, au-delà des stéréotypes de genre. C'est une conférence obligatoire et on espère bien sûr que cela jette des graines qui vont germer ensuite pour plus de lucidité. On a aussi dans le parcours de formation de nos étudiants un cours qui est dédié à la négociation salariale.
Le cours est animé  par une femme qui était directrice commerciale qui a été chasseur de têtes, qui connaît bien les enjeux de la négociation au féminin et qui en parle notamment bien sûr avec les jeunes femmes qui sont présentes dans ce cours de 5e année.
Au-delà de cela, je crois que le la culture générale de l'ESILV est vraiment extrêmement ouverte sur le fait de promouvoir les jeunes femmes. Nos étudiantes ont confiance en elles.
À l'ESILV, nous avons un programme de cinq ans de formation aux soft skills, qui se déploie sur les 5 ans. Il se fait souvent d'ailleurs en transversalité avec les deux autres écoles du Pôle Léonard de Vinci.
Pour moi, effectivement, c'est fondamental, parce que nous formons les jeunes d'abord à la connaissance de soi. Nous avons des modules tout au long des 5 ans, qui apprennent à nos étudiants et nos étudiants à mieux se connaître. Pour une jeune femme, mieux se connaître, cela veut dire mieux connaître ses talents, mieux connaître ses points forts, savoir quelles sont ses sources de motivation. Cela va lui donner autant d'éléments pour bien choisir son orientation professionnelle et pour être capable de parler d'elle avec conviction et avec pertinence face à un recruteur et d'être en situation d'être exigeante parce qu'elle sait ce qu'elle vaut, elle connait ses points forts. La connaissance de soi est un élément très important. Je rajouterais un autre soft skill, qui est la prise de parole, l'éloquence. Nous proposons régulièrement à nos étudiants des formations pour développer leurs capacités à communiquer. C'est très important quand elles vont se retrouver en situation d'entretien, en situation de recrutement.

Employabilité : quelques conseils pour les jeunes diplômé.e.s

Un conseil important, c'est : battez-vous. Sachez négocier ! Je donnerais aussi un deuxième conseil : formez-vous sans cesse. Travaillez à développer votre employabilité. N'attendez pas de l'entreprise, de la structure qu'elle vous propose des plans de formation et que vous soyez sur des rails et prises en charge par votre entreprise.
Soyez proactive, cherchez les compétences, les connaissances que vous devez renforcer : hard skills en fonction de votre métier, les connaissances scientifiques, les compétences techniques dont vous aurez besoin et dont nous savons tous qu'elles connaissent une obsolescence rapide.
Il faut en permanence se former pour améliorer et augmenter sa valeur, quand on est sur des métiers techniques et scientifiques. Mais aussi il faut développer beaucoup vos compétences soft skills. Les enquêtes le montrent : à profil égal, c'est aussi ce qui va permettre à un candidat de se différencier d'un autre. Pour moi, travaillez vraiment à développer votre employabilité. Formez-vous. Allez chercher de l'info, allez demander des formations, vous êtes en train de préparer votre valeur pour demain.

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#FocusAssos : Vinci Eco Drive, l’association de technologie automobile

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Technologie, sport, tutorat, humanitaire, junior entreprise… à l'ESILV les étudiants ont l'embarras du choix. Aujourd'hui, cap sur Vinci Eco Drive : l'association de technologie automobile du Pôle Léonard de Vinci.

Avec plus de 50 associations étudiantes représentées sur le campus, les étudiants en école d'ingénieurs découvrent de nouvelles manières de s'investir et d'apprendre. L'association Vinci Eco Drive regroupe les fans de construction automobile électrique des 3 écoles du Pôle Léonard de Vinci (ESILV, EMLV et IIM). Créée en 2013, l'association comprend aujourd'hui plus de 80 membres grâce à la transversalité de ses activités. https://youtu.be/5ubYya1VcLo

Le sport automobile en école d'ingénieurs

Vinci Eco Drive, c'est l'association du sport automobile du Pôle. Notre objectif est d'innover dans la mobilité électrique à travers deux grands projets : le premier prototype déficience qui va entamer sa septième année. C'est un véhicule totalement électrique a pour objectif de consommer le moins d'énergie possible. Nous avons notamment un nouveau record qui est de 3731 kilomètres par litre , un équivalent sans plomb 95. Sur son compte Instagram, l'association partage de nombreuses updates concernant l'avancement du nouveau prototype. Le second, la Formula Student, c'est une voiture de course électrique qui est axée sur l'accélération, l'agilité et la performance.
La Formula Student / SAE est un type de compétition automobile où des monoplaces «type formule» s’affrontent lors de différentes épreuves d’agilité, d’endurance mais aussi de qualité de conception et d’ingénierie.
Les voitures utilisées en Formula Student sont très diverses et font appel à de nombreuses technologies. Ce projet ambitieux est possible grâce à l’expérience acquise durant la réalisation de notre prototype d’efficience. Il faut savoir que le record du monde d'accélération est détenu par une formula student en 1 seconde 53. Mais VOD c'est aussi : des compétitions internationales et des projets innovants dans le cadre du cycle ingénieur. Que vous soyez à l'EMLV, à l'IIM ou à l'ESILV, c'est l'opportunité de développer votre réseau et des compétences professionnelles à travers des projets concrets et ambitieux. Si tu souhaites nous rejoindre, contacte-nous sur les réseaux sociaux et notre site internet.

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Prix de l’Innovation 2021 Paris Ouest La Défense : 2 start-ups ESILV, sur le podium des meilleurs projets étudiants

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Start-ups ESILV

Devo et Feachy, 2 start-ups créées au Pôle Léonard de Vinci par des étudiants ESILV sont les gagnantes des 2e et 3e places au Prix de l'Innovation Pold 2021, dans la catégorie "projet étudiant".

Porté par le territoire Paris Ouest La Défense, le Prix de l’innovation récompense et valorise des idées locales innovantes. Dans le cadre  de ce concours, le Prix Etudiant a pour ambition de mettre en lumière les initiatives positives développées par les étudiants du territoire, des solutions qui répondent  à des problématiques actuelles.
Le 4 mars dernier, le Prix de l'Innovation POLD 2021 a rendu son verdict. Sur le podium du prix "Étudiant", 2 start-ups ESILV, créées par des élèves-ingénieurs en parallèle de leurs études en cycle ingénieur : Devo et Feachy.
Parmi les membres du jury qui ont voté en faveur des projets portés par le Pôle Léonard de Vinci on note des experts et des représentants de Cityscoot, start-up du Next40, d'Aster Capital, un fonds d’investissement en capital-risque spécialisé dans les cleantechs, B.Between, agence spécialisée en Business Development et du groupe Suez. https://youtu.be/OpgduMIvX5E?t=2470

DEVO, la robotique modulaire au service des villes, 2e prix "Étudiant"

DEVO, une start-up créée par Teddy Leclercq et Thomas Reynal, étudiants de la pomotion 2021, membres du De Vinci Innovation Center, a remporté le 2e prix de la catégorie "projet étudiant". Grâce à l'intelligence artificielle, DEVO développe des robots modulaires autonomes et sécurisés capables de se localiser et de naviguer dans un environnement urbain en toute autonomie. https://youtu.be/0fm0JoijpKE  

FEACHY, la pédagogie au service de la lutte anti-fraude bancaire, 3e prix "Étudiant"

Le 3e prix de la catégorie Étudiant est le projet Feachy, porté par Baptiste Florentin, promo 2023 et Célim Starck, promo 2021. FEACHY vise à réduire la fraude bancaire en sensibilisant les clients des banques au travers d’une plateforme e-learning et une application. https://youtu.be/pdqKaREtESs A la clé, les deux start-ups ESILV se voient proposer des dotations qui leur permettront d’avoir recours à des expertises en soutien à leur développement avec notamment un partenariat avec le Catalyseur au sein de Base 11, implantée au cœur du Wojo de Cœur Défense. La structure proposera des mises en relation pertinentes avec des acteurs pouvant aider au développement des projets grâce aux partenariats et aux experts du Catalyseur. Tout au long du cursus ingénieur, l'ESILV encourage l'esprit d'entreprendre et d'innover. Plusieurs dispositifs pour développer l'entrepreneuriat en école d'ingénieurs : les projets étudiants, le parcours start-up en 5e année, accompagné par Devinci Start-up,  le parcours Innovation, au sein du Devinci Innovation Center.

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Design végétal : le projet de deux étudiants ESILV, lauréat du festival Creart’up de la ville de Paris

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Le projet Harmony porté par deux étudiants ESILV s'inspire du design végétal

Recréer une interaction avec la nature à travers le végétal intégré dans les objets du quotidien. C'est l'idée de deux étudiants ESILV, qui ont imaginé une gamme de mobilier intérieur végétalisé. Le projet Harmony, développé au De Vinci Innovation Center, fait partie des 13 lauréats de l'édition 2021 du festival Créart'up, un concours organisé par la Mairie de Paris pour soutenir la création étudiante artistique et culturelle.

Alex Dru et Thibault Charlet, les 2 étudiants de la promotion 2022, en parcours Innovation, Recherche & Manufacturing au sein du De Vinci Innovation Center, ont présenté le projet Harmony au concours Créart'Up. Porté par la ville de Paris et l'Hadopi, ce dispositif vise à accompagner et valoriser des projets culturels et artistiques novateurs, initiés et portés par des étudiants. Harmony fait partie des 13 projets lauréats de l'édition 2021, parmi 371 équipes participantes.

Harmony : innover dans le design végétal

Le design végétal, c'est une autre façon de retourner à l'essentiel, grâce à l'intégration du végétal dans notre environnement quotidien. C'est à partir de ce besoin de se reconnecter avec la nature que l'idée d'Alex Dru et Thibault Charlet est née : créer une gamme de meubles hybrides qui mettent la nature en scène en tant qu’objet. Pour donner vie à ce projet, les deux étudiants ESILV se sont associés à un jeune jeune designer produit se spécialisant en ébénisterie, Théo RichardLe premier produit de cette gamme est un cadre végétal composé de plusieurs modules de végétaux interchangeables, avec des finalités diverses : potager, plante ornementale, herbe aromatique. "Tout d’abord, nous souhaitons recréer une interaction avec les plantes", expliquent les deux étudiants sur le site du De Vinci Innovation Center. "C’est pourquoi nous avons conçu Harmony comme un objet modulable afin qu’il s’adapte aux goûts de l’utilisateur. Ensuite, à travers les différents modules qui composent Harmony, nous avons joué sur les différents sens de l’utilisateur. Dans le but de générer un lien d’empathie avec le végétal, Harmony a été développé avec une vision Low Tech, afin qu’il soit le plus simple possible à appréhender pour l’utilisateur."   Mariant design et low-tech, le procédé s'inspire des système d'arrosage ancestral  remis au goût du jour à travers des matériaux recyclables, d'origine naturelle : bois, verre, terre cuite, liège, métaux. Un diffuseur en terre cuite Oya permet un arrosage économique et 100% écolo de ce meuble vert. La ville de Paris suivra de près le projet Harmony dans les prochains mois. "Devenir lauréat CRÉART'UP, c'est : être accompagné dans le montage de votre projet en assistant aux masterclasses CRÉART'UP ; consolider votre projet; acquérir et développer des compétences grâce aux workshop CRÉART'UP ; bénéficier d'une aide à la diffusion dans le cadre du festival CRÉART'UP".

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DaVinciCTF 2021, un projet ingénieur ESILV dans la cybersécurité

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Compétition de cybersécurité type CTF capture de Flag organisé par l'ESIL et de DigitalTeam

Le premier concours de cybersécurité "CTF" (Capture the Flag) organisé par DigiTeam Devinci, l'association digitale du Pôle Léonard de Vinci, a opposé 661 équipes internationales durant 48 heures. Il s'agit d'un projet ingénieur ESILV qui a mobilisé plus de 1000 participants du monde entier.

Le DaVinciCTF, c'est la compétition de cybersécurité proposée par l'association DigiTeam dans le cadre des projets d'innovation industrielle de 4e année du cycle ingénieur. Pour sa première édition, du 12 au 14 mars 2021, le Capture the Flag du Pôle Léonard de Vinci a rassemblé en ligne plus de 1000 participants, issus des 4 coins de la planète, qui ont soumis 5 000 drapeaux (flags) virtuels au cours de 27 challenges.

 CTF : se former à la cybersécurité par le jeu

Développer ses compétences cyber tout en s'amusant en équipe. C’est ce que proposent les CTF ou Capture The Flag, un « jeu » consistant à hacker un système informatique. Les participants, seuls ou en équipes selon les modalités, doivent résoudre divers challenges dans de nombreuses catégories. Cela consiste en une exploitation d’une ou plusieurs vulnérabilités laissées volontairement par les créateurs. Après résolution, le participant récupère un “flag” (une chaîne de caractères cachée, preuve de la réussite) et le soumet sur une plateforme afin d’obtenir des points et se comparer aux autres participants. Bien entendu, plus un challenge est dur, plus il rapporte de points. À titre d’exemple, un challenge peut tant être une image de laquelle il faut extraire un flag caché (stéganographie), qu’un site web, dans lequel le joueur doit réussir à voler les identifiants d’un administrateur.

DaVinciCTF, un concours pour tous les niveaux

Afin de démocratiser l'apprentissage de la cybersécurité, l'association DigiTeam propose une compétition ouverte à tous, débutant ou expert, étudiant ou employé.  Organisé sous la forme «jeopardy » d’une durée de 48 heures, le Devinci CTF 2021 a regroupé 27 challenges à difficulté variable. 8 catégories au rendez-vous : cryptographie, forensique, web, ingénierie inversée, stéganographie,  open source intelligence, exploitation de binaires, programmation. Le concours a démarré avec une présentation en direct, effectuée par Clovis Carlier et Louis Wolfers, promo 2022, notamment avec la présence de deux invités : Sasha Robert, alumni ESILV, analyste SOC chez Orange France et Walter PERETTI, responsable de la majeure Informatique et objets connectés (IOS). https://twitter.com/PerettiWalter/status/1371185256343175174 Grâce à un Serveur Privé Virtuel (VPS), plus de 600 équipes internationales ont pu s'affronter en ligne. A la clé de la compétition, 2 000 $ de crédits DigitalOcean à partager entre les équipes gagnantes. La gagnante de la première place était l'équipe Faust,  représentante de l'université Friedrich-Alexander d'Erlangen-Nuremberg, l'une des mieux classées dans les domaines de l'ingénierie, nouvelles technolgies et informatique en Allemagne. Parmi les membres de l'association "Digiteam" qui se sont mobilisés pour cet événement, on note : Eliott Aillerie, Lucas Becker, Samy Bontemps, Jean Loubieres, Philbert Rezmer, Matthis Villeneuve et Louis Wolfers et Katell Gourlet, étudiants des majeures Data et intelligence artificielle et Informatique et objets connectés.

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Mon Super Voisin lève 1M€ : Sylvain, promo 2016, co-fondateur

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Mon Super Voisin, start-up co-fondée par un ancien étudiant ESILV, a fait une levée de fonds d'1 million d'euros

Intégrer les services complémentaires dans le parcours d'achat des clients des grandes enseignes comme Mr.Bricolage ou E.Leclerc afin d'améliorer l'expérience client. C'est le pivot qu'a effectué Mon Super Voisin, co-fondée par Sylvain Beral, ancien ESILV, promo 2016. La start-up a bouclé une levée de fonds d'1 million d'euros.

Sylvain Beral, promo 2016, est un diplômé du double-diplôme Ingénieur-Manager  ESILV-EMLV. Entrepreneur aguerri, il est impliqué depuis la fin de ses études d'ingénieur dans le développement du business model de Mon Super Voisin, la start-up qui se propose de révolutionner l'accès aux services à domicile.
Depuis 2020, l'ancienne application de services et d'entraide entre particuliers a pris un vrai virage serviciel, devenant une solution B2B omnicanale et totalement intégrée dans le parcours d'achat.
Après avoir opéré son pivot stratégique, Mon Super Voisin a finalisé en décembre 2020 une levée de fonds d’1 million d’euros auprès de 44 experts du retail français pour valider leur nouveau modèle économique. Sylvain Beral, co-fondateur de Mon Super Voisin, est intervenu lors d'une conférence en-ligne organisée par De Vinci Start-up dans le cadre de la Semaine De Vinci Start-up Week, du 8 au 12 mars. L'ancien étudiant ESILV nous dévoile les coulisses de ce tour de table.

Devinci Startup Week : La levée de fonds d'1 million expliquée par Sylvain Beral

https://youtu.be/0Lr8IK1jiwE "Il fallait faire bien un truc radical, il fallait changer. Nous nous sommes barricadés, tous les 5 (N.D.L.R : Axel Josse, Mickael Braconnier, Haithem Benhamouda, Sylvain Beral, Lucas Fremont) à la campagne, en mode barbecue et avons analysé notre modèle et la concurrence. Nous avons décidé de nous adresser aux grandes enseignes en partant de ce qu'ils avaient déjà mis en place : leur magasin et leurs sites web. Donc nous avons proposé une solution de montage, d'installation, en nous détachant de plus en plus de l'aspect entraide, social, petite mission, etc., en allant vers des missions rémunérées qui font sens pour nos clients. Nous nous sommes penchés sur les acteurs du bricolage, de l'ameublement et avons commencé à échanger avec eux. Contrairement à un petit commerçant, avec qui une discussion peut durer 2 heures, discuter avec les grands acteurs, cela prend beaucoup de temps. Pour convaincre Mr. Bricolage, E.Leclerc ou autres avec lesquels on travaille en ce moment, il faut des mois et des mois.
Nous avons proposé un business model d'abonnement grands comptes. Notre objectif, c'est que nos clients puissent diversifier leur offre commerciale, en proposant des services complémentaires aux produits mis en vente. C'est ce modèle qui nous a permis de séduire les investisseurs pour notre levée de fonds.
La levée de fonds s'est faite en 2 temps : les investisseurs qui ont cru en nous dès le début de l'ancien produit, et aujourd'hui, des investisseurs avertis, des gérants de grandes entreprises (But, Carrefour, etc.), qui nous conseillent. Aujourd'hui, le projet est en place, on le vend vraiment depuis un an - même si Mon Super Voisin a déjà 5 ans, pour moi, en vrai, elle a 1 an - et il est déployé dans les magasin depuis fin de l'été 2020. On prévoit que notre produit soit présent dans une centaine de magasins des enseignes comme Mr. Bricolage, E.Leclerc, etc. avant l'été 2021. L'objectif, c'est d'être présents aussi sur leur site web", a expliqué Sylvain Beral.

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Alyssar, promo 2020, un semestre à Pace University, New York

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Alyssar, étudiante ESILV, a passé un semestre à Pace University

Dans le cadre de sa 5ème année du cursus ingénieur ESILV, Alyssar a passé un semestre dans une université partenaire du Pôle Léonard de Vinci. Elle a  choisi Pace University, à New York, et nous raconte ses aventures au sein de la Big Apple.

Je suis actuellement en 5ème année en majeure Finance au sein de l’ESILV. J’ai intégré l’école en Restart-Postbac après 1 an et demi en PACES (première année commune aux études de santé). Afin d’obtenir le titre d’ingénieur à l’ESILV, une expérience à l’étranger est requise. Étant étudiante en finance, mon choix s’est automatiquement tourné vers New York. J’ai donc intégré en septembre 2019 Pace University.

Étudier à Pace University

https://www.youtube.com/watch?v=tEmNylC8voE Pace University est une école privée localisée au cœur du financial district, à deux pas de Wall Street, localisation parfaite pour étudier la finance de marché ! Tous les cours sont en anglais. Nous avons 4 matières imposées : Valuation of Investment / Strategy of Investment, options and futures / Private Equity / Visual Analytics. Ces cours sont entre français uniquement. Nous devions aussi choisir une 5ème matière que l’on pouvait choisir parmi une liste de choix : pour ce cours, nous étions mélangés, c’est-à-dire avec des américains. Il y a un cours de chaque matière par semaine soit 15h de cours en tout. Un certain travail personnel est donc requis. Les examens sont sous forme de QCM contrairement à ceux de l’ESILV et nous avons à peu près un projet dans chaque matière à faire pour la fin du semestre. Les cours durent donc 3h avec une pause de 15 minutes généralement au bout d’1h30. Au début d’année, un certain nombre de livres est à acheter (système américain) donc prévoir un budget pour, les prix peuvent très vite monter ! Les cours et les explications des professeurs donnent une très bonne base en finance de marché.

Explorer New York

Étant donné que nous avions 4 jours de week-end, en étant bien organisé c’est assez facile de combiner visites et travail ! Certains ont eu le temps de voyager à Washington, Boston ou encore Philadelphia. Vous pouvez profiter des vacances de Thanksgiving pour quitter le territoire américain (seules vacances que vous aurez et seul moment où vous êtes autorisé à quitter le territoire) pour aller au Canada par exemple. Niveau loyer, les recherches ont été longues afin de trouver un logement avec un prix acceptable. Les logements sont chers ici, attendez-vous à payer minimum $1000 par mois ! J’ai finalement trouvé un logement grâce à Facebook, dans une maison en colocation avec 3 autres étudiantes, au sud de Brooklyn. Il faut aussi acheter une carte de métro chaque mois, il n’y a pas de tarif étudiant donc vous devez inclure dans votre budget $127 * 4 mois ! J’en garderai un très bon souvenir et cela reste une très bonne expérience, et donne une idée pour le futur : pourquoi pas un jour travailler à New York en finance de marché ? Un conseil que je donnerai aux personnes qui veulent faire cet échange : préparez un bon budget mais malgré ça cela reste une très belle expérience à faire et à vivre.

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FocusAsso : LeoFly, la passion aéronautique au Pôle Léonard de Vinci

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LeoFly l'association des passionnés d'aéronautique au Pôle Léonard de Vinci

LeoFly réunit des passionnés d’aéronautique et de spatial autour de projets concrets : conception et développement de fusées expérimentales, aéromodélisme, cours de vol, compétitions, conférences. S'épanouir tout en développant ses compétences techniques en école d'ingénieurs, c'est possible et même essentiel.

Depuis 2015, LeoFly s'impose sur le tarmac de la vie associative au Pôle Léonard de Vinci comme L'association des passionnés du ciel. Plus que des camarades des 3 écoles du Pôle, c'est une vraie communauté, un lieu de travail et de rencontre unique autour d'événements et projets d'innovation en école d'ingénieurs.

LeoFly : l'association pour les innovateurs qui ont la tête dans les nuages

https://youtu.be/RgLTZ4b3M8c LeoFly est l'association d'aéronautique et d'aérospatiale du Pôle Léonard de Vinci, qui propose plusieurs projets académiques en lien avec ces thématiques. Parmi eux, le C'Space, une campagne de lancement organisée par CNES et Planète Sciences. LeoFly a déjà lancé plusieurs fusées expérimentales. Sur son compte Instagram, LeoFly partage de nombreuses updates concernant ses projets. Le projet SmartWing est un projet d'aile volante autonome, sur lequel nous proposons plusieurs expériences de cartographie, de trajectographie. Le projet Planeur est un projet d'aéromodélisme, pour réaliser un planeur d’1.5 mètre d’envergure à l'échelle 1/10e. Perseus, c'est un projet de recherche étudiante. Cette année, LeoFly a pour but de construire 2 souffleries : une soufflerie de 4 m 50 et une autre d'1 m 70, sur lesquelles nous allons réaliser des tests de capteurs. Le Cockpit c'est un projet qui a débuté il y a 4 ans : le but, c'est de simuler un cockpit de l'Albatros L39-C. Cette année, nous souhaitons ajouter un écran 360°, un logiciel pour simuler les différentes commandes et pièces. LeoFly organise également d'autres activités en rapport avec l'aéronautique et l'aérospatiale : nous donnons des cours de préparation au Brevet d'Initiation Aéronautique. LeoFly participe au Rallye Aérien Étudiant, qui est organisé par l'EDHEC. Il s'agit d'une semaine durant laquelle LeoFly envoie un équipage de 4 étudiants participer à une compétition de navigation, avec d'autres équipages d'écoles françaises. LeoFly organise également de nombreuses conférences en rapport avec l'aéronautique et l'aérospatiale. L'année dernière, nous avons reçu le "père du Rafale". LeoFly fait également des sorties autour des mêmes thèmes. Cette année, pour la première fois chez LeoFly, nous organisons un événement caritatif. Nous enverrons voler les enfants de l'association Constance la petite guerrière astronaute, qui milite pour le don de moelle osseuse : ce sont des enfants atteints de leucémie. LeoFly bénéficie d'un partenariat avec la RAS (Royal Aeronautical Association), l'association britannique d'aéronautique, qui nous permet chaque année de partir une semaine à Londres, visiter notamment le site d'Airbus et de participer à de nombreuses conférences. LeoFly est une association ouverte autant aux passionnés d'aéronautique et aerospatiale qu'à tous les curieux.

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Comment améliorer la diversité en entreprise ? Hackathon transversal soft skills

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Le hackathon transversal soft skills du Pôle Léonard de Vinci a porté sur la diversité en entreprise

La problématique de la diversité continue à être un sujet majeur dans le monde d'entreprise. Afin de mettre l'intelligence collective au service de la lutte contre les inégalités, un hackathon transversal soft skills a été organisé pour la promotion 2024.

Du 15 au 19 mars, la Direction Soft Skills du Pôle Léonard de Vinci a organisé un hackathon transversal "La diversité dans le monde professionnel en 2030".
214 équipes composées d'étudiants de l'ESILV, de l'EMLV et de l'IIM ont relevé le défi de développer de nouvelles solutions pour améliorer la diversité dans les entreprises.
Coachés par des "trainers" experts de la Dthinking.academy, les 1250 étudiants de 2e année ont pu recevoir à la fin de la semaine hackathon un certificat de "design thinker".

La méthode du "design thinking" pour innover en équipe

Née dans les années '80 à Standford, la méthode du design thinking est une démarche de plus en plus populaire dans le monde de l'entreprise. Concrètement, le travail en mode design thinking s'organise autour de 3 dimensions :
  • Collaboration :"On est plus intelligents à plusieurs”
  • Customer centricity : le client ou l'utilisateur est le point de départ dans le design d'un service ou d'un produit
  • Agilité : on s'inspire des feedbacks pour améliorer en continu notre démarche
https://www.youtube.com/watch?v=Zdi48KVhg0Y

Un storytelling, 6 thématiques, 3 choix

Le storyrtelling suivant a été proposé comme point de départ. "Un très grand colloque national est organisé à Paris, autour de la thématique de la Diversité dans le monde professionnel. Ce colloque réunit tous les acteurs de la Diversité : État, entreprises, administrations de la fonction publique, collectivités territoriales, think tank et experts, associations loi 1901, ONG...
L’objectif est de présenter un panorama d’expériences réussies, initiées au début des années 2020, qui ont permis de faire progresser sensiblement et durablement la Diversité et l’Inclusion au travail.
Un bilan des progrès réalisés, 10 ans après.Vont se succéder à la tribune un ensemble d’intervenants, représentant toute la variété des acteurs de la diversité. Chaque équipe va présenter le diagnostic qu’elle avait réalisé en 2021, la stratégie qu’elle s’est alors fixée, les actions qu’elle a mises en oeuvre, les résultats qu’elle a obtenus.
La diversité a été abordée à travers 6 thématiques : inégalités femmes-hommes, apparence physique, origines et fait religieux, personnes en situation de handicap, LGBT+, différences d’âge et de génération.
Pour clarifier leur défi, les équipes devaient faire 3 choix : 1. Quelle dimension de la diversité aborder ? 2. Dans quel « moment » de la vie professionnelle situer la démarche ? 3. Quel rôle jouer ? Grande entreprise, secteur public, think thank, ONG, start-up ?

Des projets transversaux en faveur de l'égalité femme-homme

Plusieurs équipes ont planché sur le thème de la diversité des genres dans les milieux professionnels. Le jury a noté les équipes selon ces 6 critères : compréhension du thème, maitrise du process (design thinking), coopération, relations humaines, résultat final, capacité à communiquer sur son projet sur LinkedIn.

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Bâtiments résilients : une équipe ESILV remporte le Hackathon Onepoint

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Le hackathon Batiments resilients a eu comme scénario de départ le campus bordelais de Onepoint

Faire parler la donnée pour permettre l'analyse prédictive de la résilience des bâtiments face aux changements climatiques. C'était le défi du hackathon "Bâtiments Résilients & Climat" organisé par Onepoint, entreprise partenaire du Pôle Léonard de Vinci. 2 équipes ESILV ont fini sur le podium, dont une sur la première marche.

Le nouveau campus de 30 000m² situé au cœur du nouveau quartier innovant Bordeaux Euratlantique marque la volonté du groupe Onepoint, partenaire de l'ESILV, de faire évoluer le modèle des entreprises de services du numérique. Ce campus XXL a fait office de cas d'usage pour le hackathon "Bâtiments Résilients & Climat", qui s'est déroulé entièrement en ligne, en 2 étapes :
  • 4 février : explorer les données et créer de nouveaux actifs data science
  • 11 mars : mettre à l’épreuve des assets pour valider leur valeur 
L'édition 2021 a réuni du hackathon Onepoint a réuni 4 équipes de 3 écoles d'ingénieurs. 2 équipes ESILV ont fini sur le podium. L'équipe gagnante sera accompagnée pendant 3 semaines par les spécialistes Onepoint pour réaliser un POC fonctionnel.

Première place : gérer les risques énergétiques

"Nous avons formé une équipe comprenant trois étudiants en majeure Energies et Villes Durables : BADJI Lylia, BRIQUE Valentin, BERTHAUD Flavien, et trois étudiants en majeure Data et Intelligence Artificielle : SANDS Jonathan, SHENOUDA Gabriel, TALEB Sammy. L’efficacité énergétique nous paraissait être un élément central dans une problématique de résilience et de durabilité d’un bâtiment : nous avons donc centré nos recherches sur la gestion des risques et aléas énergétiques auxquels le bâtiment pourrait être confronté en lien avec l’évolution du climat bordelais. La solution que nous avons présentée comporte deux parties. Dans un premier temps, nous avons utilisé des algorithmes prédictifs de Machine Learning développés en langage Python pour prédire la consommation énergétique du bâtiment à un instant donné. Cette prédiction n’est utile que si elle est comparée à une valeur de référence. C’est ici qu’intervient la seconde partie de notre solution. Nous avons construit un algorithme de Scoring permettant d’attribuer un score à cette prédiction de consommation énergétique, et de déterminer si oui ou non cette consommation est en dehors d’une tendance moyenne jugée acceptable.
L’objectif de cette solution est de permettre au gestionnaire d’avoir la main sur la consommation générale du bâtiment en temps réel.
Si une prédiction s’avère jugée trop élevée par l’algorithme de Scoring, il pourra alors agir directement sur son bâtiment en temps et en heure, sans avoir à prendre en compte lui-même les données ou algorithmes qui sont derrière ces prédictions. Notre solution a pour vocation de permettre une optimisation de la gestion du bâtiment en facilitant le travail d’interprétation des données du gestionnaire."

3e prix : Améliorer le confort thermique des immeubles

L'équipe Devinci Dome, composée de Béatrice MACE, Mardie BARDET, Stéphane TRAN, Florentin BAILLY, Aymeric PERONNAU-NYSSENS, Benoit CORDIER, étudiants des majeures Énergies et villes durables et Informatique, objets connectés et sécurité, est la gagnante du 3e prix. "Après plusieurs recherches, nous avons remarqué que ces épisodes de canicules sont particulièrement présents en Nouvelle-Aquitaine. A l’aide des différents outils qui nous étaient proposés tels que Meteomatics ou SpinalCom, nous avons analysé le cas d’étude et nous avons pensé nos indicateurs (la température apparente, le rayonnement solaire incident et la température des surfaces en contact avec le bâtiment) de façon à qu’ils puissent nous aider à résoudre notre problème.
Afin d’améliorer le confort des occupants d’un immeuble à Bordeaux pendant les vagues de chaleur, DaVinci Dome a étudié plusieurs indicateurs dans le but de prédire la température intérieure du bâtiment, anticiper et déployer la solution de refroidissement à l’aide du fleuve de la Garonne. 
Pour cela, nous avons utilisé des bases de données des températures de la Garonne ainsi que des températures de la ville afin de simuler grâce à Python et au Machine Learning, les températures internes du bâtiment." Conjuguer data science et bâtiments durables afin de mettre à défi la pédagogie "learning by doing" en école d'ingénieurs, tel était le pari du Hackathon Onepoint. Cette méthodologie est au cœur des projets d'innovation à l'ESILV, qui permettent à chaque étudiant de découvrir et de cultiver ses propres compétences et talents.

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FocusAsso : DaVinciBot, la robotique dans tous ses états

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DaVinciBot, l'association de robotique de l'ESILV

Les robots vous passionnent, vous interrogent ou vous impressionnent ? DaVinciBot permet à tous les étudiants de Pôle Léonard de Vinci d'explorer la robotique sous toutes ses facettes, de la robotique humanoïde à la robotique autonome ou la participation dans des compétitions comme la Coupe de France de Robotique.

Pour assister l'homme dans ses tâches quotidiennes, dans le domaine de la santé ou dans des opérations pénibles, les robots ne cessent d'évoluer. Leur développement représente pour beaucoup une promesse de performance, de soulagement, voire de bonheur.
De l'automatisation à la cobotique, en passant par mécatronique et robotique en essaim, les étudiants de l'ESILV ont l'occasion de se former aux technologies de demain, qu'elles soient dans le domaine de l'industrie 4.0, de la santé ou encore de l'automobile et de l'exploration spatiale...
Située au Learning Center du pôle Léonard de Vinci, dans un espace partagé avec le FabLab de Vinci, DaVinciBot, c'est l'endroit idéal pour s'initier à la robotique par la pratique.

DaVinciBot, l'association de robotique du Pôle Léonard de Vinci

https://youtu.be/_06NCZXajOc Depuis sa création, l'association Da Vinci Bot, c'est aujourd'hui 70 passionnés de robotique, 8 participations à la Coupe de France de robotique, un robot humanoïde InMoov, ainsi que de nombreuses formations en électronique mécanique et informatique. DaVinciBot en 3 mots ? Innovation, famille et diversité. J'ai pu assister à de nombreuses formations proposées par les professeurs et les élèves expérimentés de De Vinci Bot, ce qui m'a permis d'accentuer mes connaissances en électronique, en informatique et en robotique. Aujourd'hui, notamment, je peux réaliser tous les projets en utilisant RoS. Concernant les projets pédagogiques, on y apprend tout d'abord l'esprit d'équipe, mais aussi à s'organiser pour des projets tels que la Coupe de France de robotique ou alors InMoov. DVB réunit des profils très différents, ce qui fait tout son charme. Localisée aux Fab Lab, l'association concilie la technique et le côté humain, en organisant divers événements que nous vivions; comme de nombreux afterwork et un week-end de cohésion. Aussi, cette année, de nouveaux challenges, feront leur arrivée. Rejoignez-nous donc sans plus attendre pour les découvrir.

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Smart City Solutions : Three Engineering Projects focused on Sustainable Energy

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ESILV Students work on engineering projects to design solutions for smart city environment

With the surge of smart city solutions and initiatives, cleaner, smart energy demands become more apparent. ESILV students specialise in developing greener and more sustainable energy alternatives through project-based, collaborative work.

Smart city development is a flourishing market and innovative energy technologies are part of a broader transition to self-reliant and sustainable homes, communities and cities.
At ESILV, each year, engineering students partner with companies and institutions to solve real-world problems by developing smart solutions in renewable energies to address complex urban challenges.
The fourth-year industrial innovation projects allow students to test their engineering knowledge in a real-world setting prior to graduation. This week, we look at a selection of three engineering projects focusing on green energy efficiency in urban areas and economic zones.

Logistics management for the conventional natural gas market

https://youtu.be/CErL7eIY1NM Naturgy France is a natural gas supplier, which delivers mostly to professionals. Our project is to attribute score to their customers on two distinct aspects: Energy Efficiency and Billing. We divided the team into pairs to treat each half of the project.
The first step for both sub-project is to fetch data from different sources, mainly APIs and the partner's own MSSQL database. Then we gather and clean it.
For the Energy Efficiency part, we directly view their database and extract it as an Excel file to work from home. From the selected features, we created different indicators that give information about a customer's energy consumption efficiency. Finally, we made a program that directly creates a PDF file with some graphs and information that gives clues about energy efficiency. These files are made to be used by the marketing sector of the partner. For the Billing sub-project, the data is fetched from APIs but not treated.

Smart cities : Pedestrian-oriented night lightning

https://youtu.be/OPvd8u2gRf8 We live in a world where the population is more and more concentrated in cities. We expect that in 2050, 7 out of 10 persons will live in a city. Today, these cities consume 75% of the global energy production and are at the origin of 80% of the global CO2 emissions. One thing is obvious: cities must change, and this is where our project leads us.
In partnership with Orange, we will create an intelligent city model by incorporating the vast connectivity sector.
The reduction in energy consumption due to public lighting has been studied for about ten years. It represents more than six terawatt-hours per year or about 700 million euros each year for communities.
Street lamps are a source of wasted energy and money, but also light pollution. The latter has a significant impact on biodiversity: in particular birds, their metabolism and migration, but also on the well-being of humans (we need natural light during the day and darkness at night, for our digestion, our metabolism, our sleep, etc.).
Night lighting has increased by 94% in France in 25 years, according to ADEME (French Environment and Energy Management Agency). "All public lighting means 89% more light points in France over the last 25 years". The first victims are migratory birds completely disoriented by these light sources. But other animals, including ourselves, are also affected, as artificial light disrupts the biological cycle.  This form of pollution does not spare the plant kingdom either. Indeed, there is a 60% drop in pollination and a 13% drop in fruit production due to light pollution.
That's why we have chosen to work on intelligent street lamps which could detect pedestrians on the sidewalk (and eventually cars on the road).
We implemented an electrical circuit using sensors and connectivity to recover the wanted data and handle them the way we wanted. We also added a weather station on the street lamps and a function of predictive maintenance, allowing citizens to make the services aware that they have to fix the defective street lamps.

Smart, mobile, modular energy systems

https://youtu.be/fU94UJgNGvA
An increasing number of professions and activities rely on mobility, mainly because of electrical devices (phones, computers, sound system, lighting, sensors). All these devices need electricity, and access to the power source is now a significant issue in mobility and isolated areas. The current solutions are unsuitable, so the sector of energy is ready for a  technological revolution.
To answer this need, we developed with a start-up company O’Sol, a new modular and decentralized electrical network, allowing us to link the traditional electrical grid and the billions of mobile devices.
PICO is a modular and intelligent power box. It is rechargeable by a new solar panel or by plugging into the network; it allows energy in every situation to supply electricity for devices from small sizes (phones and computers) to medium ones (fridges). We developed and prototyped PICO , and its dedicated application.
This project allowed us to work on the electrical and electronic designs while taking care of PICO’s modular and reconfigurable nature (design, selection, sourcing and prototyping of batteries, connectors and microcontrollers).
But we also worked on the modelling design of the power box (containing PICO’s and the external electrical components, this last module permits to increase electrical capacity). On top of that, we worked on the dedicated application, allowing access to PICO’s parameters like temperature or electrical consumption.
At the end of the day, what future for our project? The goal is to optimize PICO to commercialize it at the beginning of spring 2020.
Future developments will pave the way to new versions, new functionalities, and new practices, particularly in humanitarian missions or power source supply in isolated villages in Africa and Asia.

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Julie, promo 2023, élève-ingénieure en alternance au CEA, majeure Sante-Biotech

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Julie, majeure Santé biotech à l'ESILV, en alternance au CEA

Julie, promo 2023, a fait le choix de l'alternance à l'ESILV. En alternance au Commissariat à l'Énergie Atomique et aux énergies alternatives (CEA) de Saclay, elle nous raconte comment études d'ingénieurs se conjuguent avec biotechnologies pour la santé.

À la suite de l’obtention de mon baccalauréat (scientifique), j’ai réalisé un DUT en informatique graphique, qui m’a permis d’avoir une formation dans la modélisation 3D et la création de jeux vidéo. J’ai choisi de me former à l’ESILV, car un de mes professeurs de DUT m’a parlé de cette école et m’a encouragée à passer le concours. J’ai donc tenté ma chance, car le programme m’a intéressée, notamment la majeure Sante Biotech, et faire un parcours en alternance est une très bonne opportunité surtout en école d’ingénieurs.

En alternance au Commissariat à l’Énergie Atomique et à l’Énergie Alternative

Je travaille au Commissariat à l’Énergie Atomique et à l’Énergie Alternative, en particulier à IDMIT - Infrastructure nationale pour la modélisation des maladies infectieuses humaines et des thérapies innovantes – en tant qu’alternante ingénieure en biotechnologie.
Ma mission consiste à réaliser une application intuitive qui permet de visualiser des données, assez hétérogènes en termes de format et de technique, directement sur un élément 3D correspondant.
Cela va permettre de mettre en avant les éléments étudiés en laboratoire et d’avoir une visualisation "réelle". Ce qui me plaît le plus est d’avoir trouvé un travail qui poursuit ce que j’ai appris dans mon IUT et de pouvoir l’associer à ce que je vais apprendre à l’ESILV. Mais je pense que ce qui me plaît aussi, c’est de pouvoir découvrir un nouveau domaine, celui de la biologie. Le rythme de l'alternance nous apprend à jongler entre les impératifs de notre travail professionnel et celui de notre travail scolaire. Il nous permet de mieux nous organiser également, car on peut vite se retrouver submergé entre les deadlines au travail, les devoirs à rendre, les cours à réviser et encore plein d’autres éléments qui font notre vie au quotidien.

Santé biotech & industrie nucléaire, des synergies qui font progresser la recherche

Pour donner une idée, en France, près de 500 praticiens sont des spécialistes de médecine nucléaire et plus de 1 000 personnes travaillent dans des unités de médecine nucléaire (cliniciens, internes, infirmiers, cardiologues, endocrinologues, etc.).
Les biotechnologies de la santé sont utilisées notamment dans les travaux de recherche dans l’industrie du nucléaire. Je dirais principalement dans la recherche de traitements médicaux.
Beaucoup d’expérimentations en laboratoire utilisent les capacités de la radioactivité. Lors de certaines expérimentations, les pathogènes ou les anticorps sont couplés avec une molécule radioactive qui va permettre de savoir où et comment se propage l’anticorps ou le pathogène.
La molécule va émettre de la radioactivité qui va être détectée grâce à des technologies imageries spécialisées comme un scanner.
Je pense que cet exemple montre bien le lien entre les biotechnologies et l’industrie nucléaire. De plus, je pense qu’il est important de préciser que l’industrie nucléaire comprend l'ensemble des procédés de transformation et des acteurs industriels qui utilisent les propriétés du noyau atomique. Elle n’est pas uniquement utilisée pour la production d'armes atomiques et d'électricité d'origine nucléaire, même s’il s’agit de ses principaux débouchés, on la retrouve aussi dans les secteurs industriels de la médecine nucléaire, de la propulsion des sous-marins et porte-avions nucléaires.

Toujours croire en soi pour trouver un tremplin vers la carrière de ses rêves

C’est incroyable, travailler au CEA est une grande fierté pour moi, j’ai réussi avec un simple diplôme à montrer à une institution ce que je valais et ce que je vaudrais plus tard.
C’est une réussite personnelle et professionnelle, car c’est un magnifique tremplin pour mon futur et une expérience extraordinaire.
Mon conseil pour les étudiants ESILV ? Toujours croire en soi et avancer, les échecs sont aussi importants ils permettent de nous montrer nos faiblesses et de pouvoir s’améliorer, tout ce qu’on fait nous renforce et ce sera toujours ainsi.

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Devinci Junior, la Junior-Entreprise du Pôle Léonard de Vinci

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DeVinci Junior, une structure impliquée dans le mouvement junior-entreprise

Junior-entreprise : c'est le plus grand mouvement étudiant de France, avec plus de 25 000 étudiants et 200 structures françaises conseillées par les junior entrepreneurs étudiants. Riche des compétences issues de l'ESILV, de l'EMLV et de l'IIM, Devinci Junior propose des accompagnements stratégiques auprès d' entrepreneurs, PME ou de grandes entreprises.

Devinci Junior fait partie du mouvement leader des Juniors-Entrepreneurs, un moyen privilégié pour les étudiants de mettre en application leur savoir-faire théorique dans des cas pratiques auprès d’entreprises.

DeVinci Junior : une Junior-Entreprise aux compétences variées

https://youtu.be/0Pu03b6bYE8 Bonjour, je m'appelle Geoffroy LAMBOLEZ  et je suis actuellement président de De Vinci Junior. Moi, c'est Antonin MÉLINE et je suis responsable du développement commercial au sein de De Vinci Junior. Bonjour je m'appelle Simon PONGAN et je suis responsable marketing chez De Vinci Junior. En tant que président de junior entreprise, je suis chargé du pilotage de la structure dans sa globalité. Avec nos responsables de pôles, nous mettons en place des stratégies afin de développer la junior entreprise. Mon rôle est également d'assurer les relations externes à la junior, je suis donc ambassadeur de notre structure pour tout le Pôle, les entreprises partenaires, auprès de nos clients et de la confédération nationale des junior-entreprises. En tant que responsable du développement commercial je suis en charge de piloter ce qui concerne l'activité commerciale de la junior. Les principales missions sont donc de définir la stratégie commerciale, de dynamiser l'activité, et de développer de nouveaux outils permettant d'optimiser le suivi notre activité. À l'aide du chargé DevCo ainsi que des 3 business unit managers nous manageons et accompagnons l'équipe de 10 chefs de projets en contact permanent avec de nouveaux prospects et clients. Notre but, avec toute l'équipe du DevCo est donc de ramener un maximum d'études à la junior afin d'accroître son évolution. En tant que responsable marketing, mon rôle est d'améliorer l'attractivité de la junior auprès de ses parties prenantes. À l'aide du community manager et de la chargée du marketing, nous travaillons de concert afin de définir la stratégie marketing de la junior. Nos missions sont donc de travailler sur l'identité visuelle et de développer la communication avec l'ensemble des acteurs de notre écosystème. Le pôle marketing est à la fois technique, puisqu'il s'agit de développer des outils et d'analyser des données afin d'atteindre nos cibles, mais également artistique, car nous sommes garants de l'image de marque de la junior.

Les Juniors-Entrepreneurs au Pôle Léonard de Vinci

De Vinci Junior est la junior entreprise du Pôle Léonard de Vinci. Une junior entreprise, c'est une association qui est assimilable à un cabinet conseil.
Notre particularité est que depuis 2014 nous représentons les 3 écoles du Pôle et que nous vendons donc des prestations de services dans tous les domaines enseignés par 3 trois écoles.
Cela peut comprendre que l'ingénierie financière, informatique et mécanique, tout ce qui va concerner le multimédia,  la création artistique numérique, les jeux vidéo ou encore développement web ou encore le business, avec des business plans, des études de marché ou encore du marketing digital. Nos membres sont ceux qui réalisent les projets donnés par les entreprises clientes et sont donc rémunérés en conséquence.
Comme toute entreprise, nous avons une multitude de postes à pourvoir dans tous les domaines, pour que chaque membre puisse développer ses compétences dans son ou ses domaines choisis.
De Vinci Junior est une expérience unique qui va vous permettre de compléter votre parcours académique. Au sein de la junior vous allez pouvoir mettre en application vos multiples compétences techniques mais également développer de nouvelles compétences peu enseignées, mais pourtant essentielles dans le monde de l'entreprise. Je pense notamment à la relation client, au management des équipes ou encore à la présentation de projets.
L'expérience junior entreprise est donc très professionnalisante ; de plus, le vaste réseau des juniors entrepreneurs vous offre de belles opportunités pour la suite de votre carrière.
Mais De Vinci Junior c'est que du sérieux ? Alors bien au contraire et en fait on se prend vite au jeu, à essayer de réaliser des chiffres d'affaires importants. Au-delà du côté business, nous participons à 4 congrès par an avec les autres junior entrepreneurs de France, mais cela sera plus parlant en images. Pour en savoir davantage, c'est par ici qu'il faut cliquer : www.devinci.fr/vie-etudiante/associations-etudiantes/ DeVinci Junior sur Instagram : www.instagram.com/devinci_junior

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Vulnérabilités des satellites & cyberdéfense : Erwann, promo 2025, co-rédacteur d’un article dans DSI

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Un article publié par un étudiant ESILV dans DSI traite des vulnérabilités des stylites et de cyberdéfense

Erwann Oliviero, promo 2025, en première année de la prépa intégrée à l'ESILV, est le co-auteur d'un dossier publié dans un numéro hors série du magazine Défense & Sécurité Internationale sur la vulnérabilité des satellites et la cyberdéfense.

Défense & Sécurité Internationale (DSI) est le magazine de référence sur les questions de défense, géostratégie et d'armements, en France et dans le monde. Cette revue composée de veilles, des travaux de recherche et d'analyses a pour objectif de créer un espace de réflexion sur les questions stratégiques et militaires. Son hors-série "Spatial militaire, la nouvelle donne" de février 2021, donne la parole entre autres à un étudiant ESILV, passionné par l'ingénierie aérospatiale. Erwann, en première année de prépa intégrée à l'ESILV, co-signe, avec sa mère, officier de cyberdéfense, un article intitulé "Satellites : les nouveaux papegais de l’espace".

Satellites & cyberdéfense : Les nouveaux papegais de l'espace

Si la conquête spatiale démontre la puissance de ses acteurs, de nouveaux risques exposent désormais leurs vulnérabilités : après 64 ans d'insouciance depuis le lancement de Spoutnik, le réveil est brutal. Chaque jour, nous utilisons en moyenne 45 satellites pour téléphoner, naviguer sur Internet et payer par carte bancaire. Leur emploi s'est généralisé tant pour les applications civiles que pour les opérations militaire. Alors que les conflits et les attaques informatiques font désormais partie du quotidien des terriens, l'espace peut sembler préservé. Pourtant, lkes satellites ne sont pas épargnés au regard de leur surface d'exposition. Ils sont soumis à de nombreuses menaces, avant tout, par leur nature, mais également par le développement des cyberattaques, et aux risques d'arsenalisation. Rendez-vous sur cette page pour découvrir l'intégralité du dossier, en consultation payante : https://www.areion24.news/produit/dsi-hs-n-76/

Découvrir le spatial à l'ESILV

La majeure Modélisation et mécanique numérique à l'ESILV forme des ingénieurs en simulation numérique, aéronautique, automobile et spatial. Cette majeure s’articule autour de plusieurs modules clés comme l'aérodynamique, la mécanique du vol, l'avionique et la commande des systèmes qui permettent aux diplômés de l’ESILV d’obtenir des postes en recherche, développement, gestion des programmes ou dans le domaine du spatial. Les projets d'innovation industrielle de LeoFly, l'association d'aéronautique et spatiale du Pôle Léonard de Vinci, permettent aux étudiants du cycle ingénieur à l'ESILV développer leurs compétences techniques et coopératives tout en mettant au profit leur passion. Découvrir la majeure Modélisation et mécanique numérique : https://www.esilv.fr/formations/cycle-ingenieur/majeures/modelisation-et-mecanique-numerique/

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M3D, une start-up ESILV dans les 100 start-up où investir selon Challenges

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La start-up M3D a été créée par 2 anciens ESILV au Pôle Léonard de Vinci

Faire du sur mesure un standard afin d’aider les personnes en situation de handicap et les animaux. C'est la promesse de M3D, une start-up co-fondée par 2 anciens ESILV dans le cadre d'un projet ingénieur. La pépite qui fabrique des orthèses imprimées en 3D a été sélectionnée dans le classement des 100 start-ups où investir en 2021, publié dans le magazine Challenges. 

Arrivée à sa 12e édition, la selection Challenges des "100 start up où investir demain" est devenue un rendez-vous annuel, incontournable pour tous les professionnels de l'écosystème. La start-up créée dans le cadre du cursus ingénieur ESILV, M3D, y figure cette année dans le secteur Medtech et Biotech.

Medical 3 D : des orthèses sur mesure en impression 3D

Medical 3D, start-up créée par deux diplômés ESILV, Arnaud Toma et Saad Ghazzali, conçoit une solution permettant de fabriquer des orthèses en impression 3D à partir d’un scan 3D. Grâce à une application développée par M3D, les professionnels de santé peuvent gagner du temps sur leur fabrication d’orthèse, et entrer dans le monde de l’impression 3D afin de répondre à tous les besoins de leurs patients.
"Avec l’application, il suffit d’envoyer les informations à une imprimante 3D pour sortir le produit en un ou deux jours contre deux à cinq semaines avec un procédé classique", explique Saad Ghazzali (promo 2020), interviewé par Challenges.
Pour l’instant, les deux entrepreneurs sortis de l’école utilisent l'imprimante de Sculpteo, spécialiste de l’impression 3D.
"Pour rentabiliser l’achat d’une imprimante 3D, qui coûte 800.000 euros, il faut que nous ayons 20 prothésistes qui passent une commande par jour."
Le process peut être généralisé pour la fabrication d'autres dispositifs sur mesure :  semelles, corsets, attelles, plâtre (pour les fractures). À ce stade, la start-up a besoin de fonds pour développer un catalogue complet. Le montant minimum pour ce type d'investissement tourne autour de 500 000 euros.
"Ça marche très bien aux Etats-Unis et au Canada, pas de raison que ça ne marche pas en France. Nous visons d’abord la clientèle des orthoprothésistes indépendants. Nous voulons arriver de façon très agressive sur ce marché avec plusieurs produits."
HP (fabricant d’imprimantes 3D), Sculpteo et Orthovision sont partenaires du projet. Pour l’instant, le seul client de M3D est Bilal Haidar, orthoprothésiste président d’Orthovision, une PME qui fabrique des prothèses.

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ESILV-DUAS, un nouveau double-diplôme ingénieur-actuaire

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Un double-diplome actuariat ESILV DUAS

L'ESILV enrichit son offre de doubles-diplômes dans les sciences actuarielles. Les élèves-ingénieurs ont accès à un nouveau parcours bi-diplômant en partenariat avec le DUAS (Diplôme Universitaire d'Actuaire de Strasbourg).

Le DUAS est l'une des dix filières de formations reconnues par l'Institut des Actuaires, ce qui lui permet de délivrer le titre d'Actuaire associé.
L’Institut des Actuaires regroupe l’ensemble des professionnels diplômés qui exercent la profession d’actuaire.
Etre membre de l'Institut des Actuaires, c'est avoir le droit d'exercer le ce métier très demandé en France comme à l'international. L’actuariat offre des débouchés significatifs dans les secteurs de l’assurance, du conseil, de la banque... De nombreux étudiants trouvent un emploi à l’issue de leur cursus, voire avant.

Intégrer le DUAS en majeure Actuariat

Ce nouveau double-diplôme du cursus ingénieur, ouvert aux étudiants de la majeure Actuariat, est accessible à partir de la 4e année du cycle ingénieur. Les meilleurs étudiants en M1 et M2 à l’ESILV ont la possibilité la d’intégrer le DUAS en début de M1, dans le cadre du Master Mathématiques et Applications, Spécialité Statistique, Parcours Actuariat.
Les enseignements se déroulent sur le Campus de l’Esplanade à Strasbourg et au Pôle Européen de Gestion et d’Economie, à proximité du centre-ville historique.
La formation est pluridisciplinaire à dominante maths-éco complétée par des compétences spécifiques du métier (techniques actuarielles) et des connaissances de la vie professionnelle (langue, droit, fiscalité, règles professionnelles, etc.).
A l’issue de ce double-diplôme d'une durée de 2 années, les étudiants  ESILV obtiennent à la fois :
  • Le diplôme d'Ingénieur ESILV (Majeure Actuariat)
  • Le titre d'Actuaire IA (sous réserve de validation de leur mémoire devant l'Institut des Actuaires)
  • Le Diplôme d’un master 2 en sciences actuarielles
Ces spécialistes ont vocation à intégrer des compagnies d’assurance et de réassurance, des mutuelles, des caisses de prévoyance, ainsi que des banques, des cabinets de conseil et d’audit, des organismes de contrôle, etc. Le lancement de ce double-diplôme s'inscrit dans la stratégie de l'ESILV de renforcer son offre de doubles-diplômes dans les sciences actuarielles, afin de former des ingénieurs-actuaires reconnus et recherchés en France et à l'international.

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