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Le showroom 2021 des projets d’innovation industrielle de la promo 2022

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La promotion 2022 ESILV a présenté ses projets ingénieurs lors du showroom 2021

Énergies durables, IOT, santé, mécanique, robotique, industrie 4.0... Cette année, ce sont plus de 100 équipes d'élèves-ingénieurs qui ont exposé leurs projets d'innovation industrielle lors du showroom virtuel de la promo 2022.

Chaque année, les étudiants de l'ESILV mettent leurs compétences techniques et en gestion de projet au service des développements de leurs partenaires, entreprises, start-ups ou associations étudiantes, grâce aux projets d'innovation industrielle. Après des mois de travail, les étudiants de la promotion 2022 ont présenté leurs solutions lors d'un showroom virtuel.

Un showroom 2021 pour démontrer ses compétences d'ingénieur

Le Projet d’Innovation Industrielle 4, ou PI²4, intervient en 2e année du cycle ingénieur dans le cursus ingénieur de l’ESILV. Une équipe de 4 étudiants intervient sur une problématique concrète, recherche des concepts et au terme d'une centaine d'heures, conçoit une solution adaptée. Les problématiques traitées correspondent aux majeures du cycle ingénieur : informatique, objets connectés et sécurité, santé biotech, industrie 4.0, data et intelligence artificielle, finch, actuariat, énergies et villes durables, modélisation et mécanique numérique, ingénierie financière, innovation, research & manufacturing. Exemples de projets traités par la promotion 2022 :
  • Recherche du meilleur portefeuille par algorithmie génétique
  • Gestion des passerelles IoT avec la blockchain
  • Application du deep learning en assurance : Protection et accompagnement des Clients Vulnérables
  • Objets connectés en assurance
  • Outil de qualification des patients avant consultation pré anesthésie
  • Gamification d'exercices de gestion de cyber-crise
  • Capture The Flag
  • Conception automatisée d’évaluation à partir de textes pédagogiques
  • Wavelets in finance: estimating densities and singularities
  • Suivi et prédiction du fonctionnement d’une installation industrielle
  • Banque du futur - Cofidis – Oracle
  • Traçabilité des vêtements via la blockchain - GANT
  • Bateau Connecté - Contrôle à distance
  • Evaluation de systèmes de comparaison de voix
  • Conception et Fabrication de Matériel Orthopédique 3D
  • Construction de la formation cybersécurité de l’école onepoint
  • Smart Farming
Parmi les missions industrielles dans le cadre des projets d'ingénieurs en 4e année, on retrouve également des activités proposées par les associations du Pôle Léonard de Vinci.

DeVinci Durable : lampadaires connectés

https://www.youtube.com/watch?v=yjh4I1Nl5fk&list=TLGG2OONhygnF-YwMTA0MjAyMQ Aujourd’hui 50% de la population mondiale vit dans les villes et en 2050 ce pourcentage passera à 70%. Cette concentration toujours plus importante des individus amène donc les villes à préserver et optimiser leurs ressources et leur organisation.
Notre objectif cette année a donc été de poursuivre le projet lancé par Devinci Durable l’année dernière : la fabrication de trois lampadaires connectés dans une rue piétonne.
Ce lampadaire 2.0 a plusieurs fonctionnalités. Tout d’abord il a pour objectif d’être nettement moins consommateur en énergie par les composants qui le composent. Nous avons aussi implémenté une détection de mouvement sur chaque lampadaire afin de rendre l’éclairage plus efficient.
Lorsqu’il n’y a personne dans la rue, le lampadaire éclaire à hauteur de 20% de sa capacité afin de garantir un certain niveau de sécurité tout en préservant de l’énergie.
Dès qu’une personne est détectée, le lampadaire passe à 100% de sa capacité d’allumage. A ce module éclairage nous avons ajouté un module d’intensité sonore. Enfin, la fonctionnalité majeure du lampadaire est de pouvoir envoyer ces données à un superviseur. Via le réseau LoRa, qui est un réseau de communication basse consommation, nous remontons le niveau sonore moyen à intervalle de temps régulier ainsi que le temps d’allumage des lampadaires. Ainsi les villes utilisant nos lampadaires auront une cartographie des niveaux sonores et du passage dans leur ville et pourront prendre des décisions en conséquence.

Système de surveillance et de nettoyage des salles de réunion

https://www.youtube.com/watch?v=T9pYGYk6AMU&list=TLGGShb69e2KICQwMTA0MjAyMQ Notre projet a pour objectif de simplifier la maintenance et l’utilisation des salles de réunion aussi bien pour les employés que pour le service de nettoyage dans le cadre de la crise sanitaire actuelle.
Pour répondre à cette problématique, nous avons mis en place 3 dashboards spécifiques pour chaque personnage que nous avons défini : le contrôleur en charge de la surveillance des salles, l’employé et le personnel de nettoyage.
Premièrement, le dashboard contrôleur affiche des informations sur la température, l’humidité, le taux de particules fines d’une salle en temps réel ainsi que son évolution dans le temps. Il indique si la porte et les fenêtres de la salle sont ouvertes et enfin attribut un indice de risque à la salle en fonction de son taux d’occupation et de son aération.
Le dashboard employé est composé de plusieurs agendas correspondants à l’emploi du temps des différents salles réunion de l’entreprise. Accessible par tous les employés, cet emploi du temps indique le niveau de dangerosité de la salle en temps réel.
Enfin le dashboard nettoyeur vise à faciliter le travail du personnel de nettoyage. Chaque salle possède son propre dashboard affichant un plan de la salle et les zones à désinfecter en priorité. Ces régions à risque sont identifiées via un système de reconnaissance d’image qui détermine les zones en mouvement de la salle. Un bouton « nettoyé » permet au personnel de nettoyage d’actualiser le plan de la salle après désinfection.

Modélisation du relais d'accessoires du Rafale

https://www.youtube.com/watch?v=OQ3tz5kfXhg&list=TLGGUUXWZ7NEWDcwMTA0MjAyMQ Notre projet consiste à modéliser un relais d’accessoires du Rafale de Dassault Aviation. Pour cela, nous avons accès au logiciel 3DEXPERIENCE développé par Dassault Systèmes, nous devions alors apprendre à l’utiliser pour pouvoir réaliser une modélisation et un assemblage fonctionnels. La modélisation du relais repose alors sur plusieurs étapes : la conception de pièces paramétrées à l’aide de formules et tables de paramétrages (engrenages, arbres de transmission, roulements à billes); la création de pièces génériques ; la réalisation de calculs de puissances, de couples et d’efforts à transmettre pour alimenter chaque partie du relais correctement ; l’assemblage des pièces ; la modélisation des autres parties du relais (pompes, démarreur, génératrice) ; la conception d’un carter de protection et l’étude par éléments finis sur l’assemblage.
Le but principal du projet est de pouvoir offrir la meilleure modélisation permettant d’alimenter de façon optimale tous les composants du relais, pour assurer leur bon fonctionnement sans oublier l’aspect sécurité.
De nombreuses documentations, de calculs théoriques préliminaires, de modélisations de roues dentées, d’arbres de transmissions ont été nécessaires pour que chaque pompe, démarreur, génératrice de ce relais reçoivent la puissance, la vitesse de rotation et le couple attendus pour assurer le bon fonctionnement du relais et pour mener à bien ce projet.

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Noë, promo 2022, en alternance chez L’Oréal

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Noë, élève ingénieur apprenti chez L'Oréal, dans l'innovation packaging

Noë, promo 2022, effectue son alternance chez L'Oréal, en tant qu'ingénieur apprenti au sein de l’équipe Cross Fertilisation. Passionné par la fabrication numérique, il a découvert l'univers des makers et le packaging innovation grâce à l'ESILV et au Fablab du Pôle Léonard de Vinci.

J’ai intégré l’ESILV en prépa intégrée juste après mon bac scientifique. J’étais scolarisé au lycée Bossuet Notre Dame à Paris et je souhaitais aller en école d’ingénieurs parce que j’adorais les sciences et je suis du genre à bricoler.

Comment obtenir une alternance chez L'Oréal

Le Pôle Léonard de Vinci m’avait vraiment plu et le Fablab était vraiment attirant. J’ai choisi la spécialisation Modélisation et Mécanique Numérique parce que j’adore modéliser en 3D et je n’étais pas fan du tout de la finance et ne souhaitais pas intégrer les parcours informatiques.
J’ai voulu aller vers l’alternance pour mes étude d'ingénieurs parce que j’avais beaucoup d’amis en parcours alternance, dans des domaines d’études totalement différents, qui me vantaient souvent les avantages du bi-cursus école/entreprise.
Mais aussi parce que j’ai toujours aimé travailler sur des projets concrets, mettre en pratique réellement ce que j’apprenais en école d'ingénieurs. Je voulais avoir le nez dans le monde de l’entreprise le plus tôt possible pour m’intégrer plus facilement à l’obtention de mon diplôme. J’ai aussi choisi l’alternance (en contrat d'apprentissage) parce que ça me permettait d’être indépendant financièrement vis-à-vis de mes parents. J’avais tenté une première fois de trouver un contrat d’apprentissage dès la deuxième année pour intégrer le parcours alternance en troisième année, mais je n’en ai pas trouvé, j’ai donc intégré la troisième année en parcours initial.
En début de troisième année, je me suis pris le plus tôt possible pour chercher à nouveau un contrat en apprentissage : j’ai changé totalement mon CV, ma lettre de motivation, je me suis lancé dans des projets techniques juste pour pouvoir les inscrire sur mon CV et pouvoir justifier de mon travail et mes compétences et ainsi décrocher une alternance.
Et puis j’ai postulé dès février à une offre en alternance de L’Oréal sur LinkedIn. J’ai ensuite eu un entretien avec un RH qui était très agréable et compréhensif. Suite à ça, j’ai eu un entretien en visioconférence avec mon futur manager pendant le confinement qui a validé ma candidature pour ce poste en apprentissage.

Mes missions chez L'Oréal en alternance

L’intitulé exact de ma mission d'alternance, c’est « Ingénieur Apprenti au sein de l’équipe Cross Fertilisation ». Il s'agit d'une petite branche au sein du Packaging Innovation composé de deux personnes (mon manager et moi) qui pratiquons de « l’innovation croisée ».
Nous sourçons et co-développons des technologies qui ne sont pas issues de l’industrie cosmétique, tel que le médical, le textile, le silicone pour créer des packagings innovants.
Au sein de ce département, je fais du suivi technique et gestion de projet d’innovation en phase de prototypage semi-industriel, c’est-à-dire que j’organise et participe aux réunions avec les fournisseurs internes et externes dans lesquelles nous donnons les directives pour industrialiser nos essais et prototypes.
J’ai aussi la chance d’être chef de projet sur un projet confidentiel dont je n’ai pas le droit de parler dû a des contraintes d’innovation concurrentielle.
C’est une alternance dans laquelle je suis en contact avec un peu toutes les expertises qui créent un packaging complet, de la comptabilité formule/packaging au dessin technique en passant par les études consommateurs et les brevets. Je rencontre tout le monde et c’est ça qui est super puisque je peux apprendre dans un peu tous les domaines.

Le packaging innovation chez L'Oréal

Comment peut-on innover efficacement dans le packaging cosmétique au sein d'une marque géante comme L'Oréal ? En créant le département « Cross Fertilisation ». Plus sérieusement, mon manager a créé ce département il y a maintenant 5 ans parce qu’il estimait qu’on ne pourrait pas se différencier si on ne dépassait pas son environnement de travail. Qu’il fallait aller chercher des technologies très lointaines du packaging classique pour apporter une vraie valeur ajoutée aux produits développés. Je le rejoins complètement dans cette idée.
J'ai toujours adoré le concept de « chic and choc » et je pense que c’est là ou l’innovation se crée. Que ce soit dans le design, l’ingénierie, le médical ou autres, c’est toujours des idées de mélanges assez farfelues qui sont à l’origine de révolution.
Je pense que l’impression 3D a transformé la manière de travailler dans le packaging puisque cette technologie permet un prototypage extrêmement rapide et à bas prix d’un flacon, rouge à lèvres ou encore poudrier. Sans cette technologie, ça mettrait des semaines à être fabriqué, il faut passer par la modélisation d’un moule, son usinage, la simulation d’injection de plastique etc. Ce sont des étapes assez coûteuses, surtout l’usinage du moule et donc le prototypage est assez long. Alors qu’aujourd’hui, lorsqu’un ingénieur packaging a finalisé la modélisation de son pack, il le lance en impression 3D et en quelques heures et quelques dizaines d’euros, il reçoit un prototype de son packaging. Au sein de mon bâtiment, on a un 3D Lab, une salle remplie d’imprimante 3D qui permets aux ingénieurs d’accélérer considérablement le temps de travail. L’Oréal, c’est un groupe qui vend des produits de beauté et de soin. Mais ces produits, il faut qu’ils soient protégés et qu’on puisse les utiliser facilement.
C’est là que l’ingénierie packaging intervient, il faut que le produit soit restitué facilement, pour aider le consommateur à l’application de son make up ou sa crème. Ou que la prise en main du mascara rende le temps dédié au maquillage agréable et rapide.
Depuis peu, L’Oréal a ouvert un département spécialisé dans l’étude consommateur, ils étudient chaque action, chaque ressenti par le consommateur de l’achat jusqu’à la fin de vie du produit pour améliorer l’expérience utilisateur de chaque nouveau packaging. C’est dans ces éléments que l’ingénierie et la beauté se rejoignent.

L'ESILV : se former pour les missions en alternance en école d'ingénieurs

À vrai dire ce sont principalement les projets d’années Pix et Ping qui m’ont aidé le plus en entreprise. Même si je suis encore novice dans le monde du travail, les projets menés durant les années précédentes aident forcement, dans la prise de note, la restitution des informations, la présentation des concepts. Et puis mes projets personnels m’ont aussi beaucoup apporté, chez moi, j’ai créé un atelier de conception (un genre de mini FabLab) qui s’appelle L’arche conception dans lequel je réalise des meubles, de la maroquinerie, des customisations de sneakers grâce à l’impression 3D etc… ça m’aide énormément dans l’idéation et la compréhension des projets techniques sur lesquels on travaille. Je n’ai pas vraiment de conseil pour intégrer L’Oréal en contrat d'apprentissage en particulier parce que c’est une entreprise qui recrute des profils totalement différents.
Il n’y a pas de profil « type », je pense qu’il faut simplement être passionné par des domaines et montrer qu’on investit du temps et du travail dans ces domaines.
Et ça, ça vaut pour n’importe quelle entreprise. Et le fait d’être un garçon n’est pas du tout handicapant, au contraire, j’ai remarqué qu’il y avait beaucoup d’hommes au sein des ingénieurs chez L’Oréal et au premier abord ça m’a plutôt étonné.
Je me demandais comment des ingénieurs hommes pouvaient concevoir des packagings efficaces alors que statistiquement parlant les hommes ne se maquillent pas ou très peu.
C’est plus simple de concevoir quand on est concerné par le produit que quand on ne l’est pas. Mais L’Oréal travaille avec des « beauty experts » lors de la phase de conception. Des personnes spécialisées en produit de beauté, qui sont les intermédiaires avec les ingénieurs. Ces "beauty experts" testent les produits et rapportent les différents avantages et inconvénients du produit conçu pour l’améliorer. En savoir plus sur l'alternance en école d'ingénieurs à l'ESILV

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DeVinci Fablab, au coeur du « Hive », génération makers

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De Vinci FabLab, les génération makers à l'ESILV

DeVinci FabLab, c'est le "Hive" du Pôle Léonard de Vinci. Plus qu'un makerspace, c'est toute une communauté et une philosophie maker qui ouvrent leurs portes aux passionnés. Focus sur l'asso des makers, les faiseurs qui créent (presque) tout de leurs propres mains.

Vous n'avez pas d'espace ni des outils chez vous pour bricoler ? Vous aimeriez découvrir l'univers de l'impression 3D ? Ou tout simplement échanger avec d'autres passionnés de make ? Le meilleur lieu pour cela à l'ESILV, c'est le DeVinci FabLab, l'univers du "Do It Yourself" en variante étudiante. Située au Learning Center du Pôle Léonard de Vinci, dans un espace partagé avec DaVinciBot, l'association met à disposition des makers une véritable ferme d'impression 3D équipée d'outils dernière génération : découpes laser et vinyle, brodeuse numérique, fraiseuse numérique... C'est aussi, et surtout, une question de transmission de connaissances...

DeVinci FabLab : culture makers

https://youtu.be/ePDJSBO0Qg4 Bienvenue au FabLab ! Nous sommes le DeVinci FabLab, une association de makers. Qu'est-ce qu'un maker ?
Un maker, c'est une personne qui fabrique de ses propres mains. Alors vous pouvez organiser un projet associatif, faire des modélisations techniques, travailler sur un projet en école d'ingénieurs : électronique, robotique, etc.
Nous avons des profils différents, avec des motivations et des horizons différents. C'est ce qui fait le plus de l'association FabLab : nous sommes une association transverse.
Tout au long de l'année, nous organisons des événements : des formations pour savoir utiliser les outils présents au FabLab, des imprimantes 3D ou du materiel électronique.
Nous allons aussi faire des workshops avec des entreprises pour faire des projets avec nos mains. Il y a aussi des simples sorties associatives, des ateliers pour mieux connaître les membres du FabLab. Sinon, vous pouvez aussi venir au 5e étage, nous parler et peut-être adhérer à l'association. Pour nous rejoindre, nous allons te rencontrer dans un entretien pour voir quelles sont tes motivations, si tu as un projet en tête, ce que tu as envie de faire au sein de l'association. Nous, ce qu'on cherche à savoir si tu comptes venir, t'impliquer dans la vie de l'association et si tu vas t'y plaire. À bientôt au DeVinci FabLab ! Pour en savoir davantage, c’est par ici qu’il faut cliquer : www.devinci.fr/vie-etudiante/associations-etudiantes/ DeVinci Junior sur Instagram : www.instagram.com/devinci.fablab/

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Solutions EdTech : 2 étudiants ESILV remportent un hackathon Erasmus +

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2 étudiants ESILV font partie de l'équipe gagnante du Hackathon EdTech dans le cadre d'un programme Erasmus +

Imaginer une plateforme EdTech d'un campus entièrement numérique, où les étudiants peuvent interagir et socialiser comment s'ils étaient dans un véritable campus. C'est l'idée de l'équipe qui a gagné le Hackathon Task 21, organisé dans le cadre d'un partenariat Erasmus + . 2 élèves-ingénieurs de l'ESILV ont fait partie de l'équipe.

TASK 21 est un projet de recherche partenariale porté par le Pôle Léonard de Vinci dans le cadre du programme de partenariats stratégiques Erasmus +. Intitulé "EdTech & AI: Creating pedagogical material for the 21st century", ce projet vise à moderniser les programmes d’enseignement et le matériel pédagogique de manière à répondre aux besoins du 21e siècle.
C'est pour imaginer des solutions EdTech pour faire face aux challenges du e-learning que le hackathon Task 21 a mobilisé, le 13 avril, 8 équipes inter-écoles de France, Portugal, Brésil, Norvège et Suède.
Parmi les membres de l'équipe gagnante, on compte Alix Petitcol et Regis de Lagrevol, les 2 étudiants en 3e année du cursus ingénieur à l'ESILV.

Un hackathon Eramus+ pour imaginer la pédagogie du 21e siècle

Au programme du Hackathon Task 21, faire travailler ensemble et en une journée, les étudiants de 4 établissements d'enseignement supérieur européens. Toutes les équipes comptaient à la fois des étudiants en pédagogie et des étudiants en IA et présentaient au moins 3 nationalités différentes. Pour ce hackathon entièrement en ligne, les étudiants avaient à leur disposition plusieurs outils pour communiquer et organiser leurs idées. Alix Petitcol, promo 2024, nous raconte son expérience.
"Pour communiquer au mieux nous disposions d’un mural, où nous notions toutes nos idées, et d’une salle zoom pour la journée.
Chaque étape du problème était décomposée en petites activités. Premièrement l'identification du ou des problème(s) lié(s) au e-learning : comprendre ses différents aspects, puis choisir quelle partie traiter pour imaginer des solutions.
Pour appréhender au mieux notre objectif et proposer une solution innovante, les organisateurs nous ont proposé d’utiliser les méthodologies du « design thinking » et du « Double Diamond ».
De cette façon nous avions suffisamment de liberté pour faire diverger nos idées puis converger vers des solutions jugées réalisables et intéressantes. La barrière de la langue ne nous a pas empêchés de développer nos idées et de débattre sur les différents problèmes et solutions proposés.

Plateforme EdTech pour l'e-learning : l'idée de 2 élèves-ingénieurs ESILV

Notre idée était de recréer un environnement de travail proche de l’université. Un espace où l’élève puisse s’épanouir et progresser peu importe sa localisation physique. Nous avons d’abord imaginé retranscrire ce lieu grâce à la réalité virtuelle (comme dans le film de Steven Spielberg Ready Player One), ou bien en proposant de créer des hologrammes des professeurs faisant cours. Toutefois ces idées paraissaient trop ambitieuses et peu accessibles.
En réfléchissant nous nous sommes orientés vers une vision d’un campus entièrement numérique. Une sorte de plateforme unique pour chaque université.
Les étudiants pourraient s'y retrouver pour travailler ensemble (bibliothèque virtuelle et salle d’étude façon zoom), suivre leurs cours, ou participer à des conférences.
Il y aurait aussi des lieux de détente pour échanger, partager ou jouer en ligne. La communication et le réseau restant ainsi une partie importante de l’apprentissage en ligne.
Nous avions pensé à rajouter un bouton Push To Talk (PTT) pour parler à quelqu’un en particulier pendant un cours en ligne, sans déranger le reste de la classe. Et également à créer une sorte de mappemonde de l’université pour s’y balader virtuellement.

L'anglais comme langue de travail en école d'ingénieurs

Partager nos points de vue et échanger sur un problème commun dans un contexte où la distanciation sociale est pesante nous a permis, d’une part, de sortir de notre zone de confort, mais surtout de faire de belles rencontres.
Nous étions ravis de pouvoir nous rencontrer et travailler ensemble le temps d’une journée. S’exprimer en anglais tout le long était aussi un bon moyen pour progresser et améliorer notre attitude à l’oral.
Je ne retire de cette expérience que du positif, et je recommencerai sans hésitation !"

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Machine Quantum Learning : Adem, promo 2022, majeure Innovation, Research & Manufacturing

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Adem, étudiant ESILV, a participé au QHack 2021, une compétition de quantum machine learning

À l'heure de la suprématie quantique, le quantum machine learning (QML) capte de plus en plus l'attention des chercheurs et des géants technologiques. Cette technologie est susceptible de disrupter l'usage et les capacités de l'intelligence artificielle. C'est aussi le terrain de jeu d'Adem, promo 2022, étudiant de la majeure Innovation, Research & Manufacturing à l'ESILV.

L'apprentissage automatique et l'informatique quantique sont deux technologies qui ont chacune un potentiel énorme.

Machine Quantum Learning, une technologie à maîtriser en école d'ingénieurs

Aujourd'hui, des chercheurs les réunissent grâce au Quantum Machine Learning : la combinaison entre les technologies d’apprentissage automatique et le Quantum Computing (QC).
Cette technologie quantique qui fait avancer l'IA fait partie des apprentissages dispensés dans le cadre de la majeure Innovation, Research and Manufacturing, à l'ESILV.
Adem Rahal, promo 2022, qui effectue son cycle ingénieur au sein du De Vinci Innovation Center, est passionné par ce sujet et il en fait le fil conducteur de son parcours en école d'ingénieurs. C'est à ce titre qu'il a participé au QHack 2021, une compétition prestigieuse dans l'univers quantum. Parmi les 800 équipes inscrites cette année, l'équipe d'Adem s'est qualifiée à la 103e place, une performance non négligeable au regard de la concurrence. Témoignage.

La majeure Innovation, Research & Manufacturing, pour "tout faire"

Je suis originaire d’une petite ville : j'ai d’abord fait un bac STI2D, avant de vraiment savoir ce que je voulais faire. Puis, j’ai intégré une CPGE à Lyon pendant 2 ans, dans l’espoir de devenir ingénieur plus tard. De fil en aiguille grâce à de bon résultats, j’ai pu intégrer l’ESILV. Ma conception du métier d’ingénieur était un peu faussée par rapport à la réalité, je m’imaginais plus ça comme ce qu’on a l’habitude de voir dans les films, c'est-à-dire quelqu’un qui sait tout faire technologiquement parlant. J’ai vite déchanté quand j’ai appris qu’il fallait souvent se spécialiser. Dans la majeure IRM, je retrouvais un peu ce côté d’être capable de tout faire, vu que le programme est très complet et touche à beaucoup de choses, ce qui me permet d’explorer plein de domaines pour trouver ma voie.

Se former au "mélange" informatique quantique et intelligence artificielle à l'ESILV

Il faut savoir que j’ai de très grosses ambitions pour mon futur, mais j’avais l’impression que mon travail de tous les jours ne reflétait pas assez cela. Alors j’ai décidé de me lancer le défi d’apprendre l’un des domaines considérés les plus “compliqués”, pour tester mes capacités d’autodiscipline et investissement.
J’ai entendu parler de l’informatique quantique en IRM à travers un professeur qui nous avait conseillés de suivre un cours d’introduction sur l’informatique quantique donné par le CERN.
Ce qui a éveillé ma curiosité, dans un premier temps, puis m'a permis de me mettre à l’épreuve et de découvrir un nouveau domaine révolutionnaire qui fait doucement son entrée dans la vie de tous les jours, grâce à de récentes avancées technologiques.
L'apprentissage automatique quantique est l'intégration d'algorithmes quantiques dans les programmes d'apprentissage automatique (machine learning).
En gros, les ordinateurs quantiques peuvent être utilisés et entraînés comme des réseaux neuronaux. Nous pouvons adapter systématiquement les paramètres de contrôle physique (champ magnétique ect..), pour résoudre un problème comme dans tout autre algorithme classique de machine learning.
Combinées, l'informatique quantique et l'intelligence artificielle pourraient révolutionner les technologies futures.
Une tâche centrale dans le domaine de l'informatique quantique est de trouver des applications où un ordinateur quantique pourrait fournir une accélération exponentielle par rapport à n'importe quel ordinateur classique (un exemple ici sur l'algorithme de grover).
L'apprentissage automatique représente un domaine important avec de nombreuses applications pour lesquelles un ordinateur quantique pourrait offrir une accélération substantielle.
Quelques exemples d’applications concrètes sont, par exemple ; la médecine, la cyber sécurité, la physique, la finance, etc..

QHack, une compétition pour les "pros" du calcul quantique

Le QHack est un hackathon de machine learning quantique organisé par Xanadu Quantum Technologies, une entreprise canadienne qui travaille sur les technologies et applications des ordinateurs quantiques. Le concours était soutenu par beaucoup de grandes entreprises : Amazon, Google, IBM, le CERN etc. Le QHack se décomposait en 2 parties. Une première partie consistait à résoudre des problèmes “théoriques” : de l’IA, de la chimie quantique et des problèmes mathématiques. Suite à cette première partie un classement a été établi, qui a permis aux 20 premières équipes de se qualifier pour participer à la deuxième partie. La 2e étape du concours consistait en un hackathon libre dans le but de développer une solution concrète à un problème réel, grâce au machine learning quantique. Malheureusement, nous n’avons pas pu nous qualifier pour la seconde partie du concours, nous avons donc continué de résoudre des problèmes jusqu'à la fin de la compétition. Ce n’était pas un hackathon adressé aux étudiants uniquement : des chercheurs et doctorants du monde entier ont participé, ce qui levait la barre très haut et le nombre de participants était très élevé. Selon les chiffres officiels, plus de 2650 personnes ont participé : plus de 800 équipes à travers la planète.
J’ai eu l’occasion de faire équipe avec des personnes venant de Russie et d’Inde notamment. Et après 2 longues semaines acharnées nous avons pu arracher la 103e place du classement sur 800 équipes inscrites.
Cette expérience m'a beaucoup appris. Il m’est arrivé de ne pas pouvoir trouver de l’aide sur certains sujets que je ne maitrisais pas, car c’est un domaine relativement nouveau et qu’on ne trouve pas encore toutes les réponses sur internet.
Cela m’a obligé à me débrouiller et à repousser ce que je pensais, être capable de faire. Cela m’a appris aussi à être à l’écoute des idées des autres et de communiquer en tant que membre d'une équipe.
Je n’ai pas abandonné et aujourd’hui je suis capable de construire mes propres algorithmes de machine learning quantique de A à Z. Les applications concrètes se font encore attendre, comme il est encore difficile d’avoir accès à des ordinateurs quantiques aujourd’hui, mais cela va arriver bientôt, selon IBM.

Préparer la 3e révolution quantique en école d'ingénieurs

Grâce à la découverte de ce nouveau domaine j’entrevoie une possibilité d’avenir très intéressante dans l’informatique quantique. Je vais continuer à explorer et découvrir ce que l’informatique quantique peut m'apporter.
Néanmoins, il y une vraie prise de conscience internationale sur la quantique et les états investissent de plus en plus. La France par exemple a lancé le plan quantique, qui est un projet national interministériel français.
Le but est de trouver une place pour la France dans la troisième révolution quantique. Ce sont des métiers qui vont recruter. Si le domaine vous intéresse, je vous conseille vivement d’y jeter un coup d'œil : j’ai notamment fait un tuto assez simple sur le machine learning quantique que vous pouvez retrouver ici, mais c’est déjà un niveau avancé en informatique quantique. Pour ceux qui n’ont pas de notions ; voici une introduction sur le monde de l’informatique quantique.

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SpaceX, la révolution de l’espace ? Laurène, promo 2019, invitée sur BFM Business

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Laurène, promo 2019, invitée sur BFM TV, pour commenter le lancement de SpaceX

Laurène Delsupexhe, ingénieure astronaute, promo 2019, était invitée sur BFM Business pour échanger sur le décollage de Thomas Pesquet avec SpaceX vers l'ISS. C'était également l'occasion, pour la diplômée ESILV, d'aborder la place des femmes dans l'Espace, la formation des astronautes et ses projets dans l'aéronautique.

Le 22 avril dernier, Laurène Delsupexhe, diplômée de la filière aéronautique de l'ESILV, majeure Modélisation et mécanique numérique, a participé à l'émission "SpaceX, la révolution de l'espace" sur BFM Business. Ce live stream présenté par Thomas Leroy, journaliste et Jean-Baptiste Huet, reporter chez BFM Business, fait partie de tous premiers contenus proposés par la chaîne économique sur Twitch, plateforme de streaming en direct. Aux côtés de Michel Tognini, astronaute français de l'Agence spatiale européeenne (ESA), Laurène était invitée par les deux journalistes pour répondre à des questions concernant le décollage de la navette spatiale SpaceX.
Diplômée de l'ESILV en 2019, Laurène, ancienne stagiaire à l'ESA, est actuellement consultante pour Ariane Group et prépare une mission de simulation martienne 100% feminine.
En octobre 2021 l'équipage WoMars partira deux semaines dans dans le désert de l’Utah aux Etats-Unis.

L'intervention de Laurène sur BFM Business : "SpaceX, la révolution de l'espace ? "

https://youtu.be/VRBjSlHvIb4?t=2255

Les femmes dans l'espace : quelles évolutions et perspectives ?

L'espace, un milieu macho ? Interrogée sur la question, Laurène a répondu du tac au tac : "C'est à double tranchant, dans le sens qu'il y a 10% de femmes astronautes, parce qu'il y a aussi très peu de candidatures de femmes. De dire que c'est un milieu de macho, je n'irais évidemment pas jusque là. Alors, il y a eu, à l'époque d'Apollo, quelques petites "gaffes" : je pense notamment à une astronaute russe qui était accueillie dans l'espace avec un  torchon, pour lui dire d'aller à la cuisine... Il y a de petites jolies anecdotes de sexisme, mais aujourd'hui, je pense que cet aspect - comme Claudie Haigneré ou Samantha Cristoforetti pourraient le confirmer - est de moins en moins présent.

Le regard de Laurène sur SpaceX et le rôle d'Elon Musk dans la révolution de l'espace

"J'adore cette mentalité, qui est un peu plus américaine, que européenne, qui est d'oser, y aller au culot. Falcon 1, c'était, quand même 4 échecs au début ; à 1 échec de plus, Elon Musk aurait été en faillite, ça aurait été la fin de l'aventure pour SpaceX; il fallait y aller et la NASA n'était pas derrièrere lui initialement. Cette start-up qui sort un peu de nulle part a réussi à s'imposer de façon impressionnante et qui a vraiment révolutionné et donné un coup de vie au secteur du spatial, américain et mondial."

WoMars, une mission analogue pour recréer l'environnement martien

"Cette station de Mars Desert Research Station, située dans le désert d'Utah, fonctionne comme un analogue martien, au sens où la structure géologique autour de la station, est similaire à celle que l'on peut retrouver sur Mars. La station a été pensée et construite comme une colonie martienne, dans le sens où il y a quelques "hubs", par très agréables à vivre, quelques laboratoires, quelques ateliers de mécanique, pour l'ingénieure de l'équipage (Ndlr : Laurène). Dès qu'on sortira, on enfilera nos combinaisons spatiales avec un casque, afin de simuler les EVA (extra-vehicular activity) qui auraient lieu sur Mars ou la Lune."  

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Thomas, promo 2022, un semestre à Montevideo, Uruguay

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Thomas, étudiants ESILV, a effectué un semestre à Montevideo, Uruguay

Située en bord de mer, Montevideo est une capitale d'Amérique Latine unique dans son genre. C'est aussi le choix de Thomas, promo 2022, qui a effectué son échange académique au sein de l'Université de Montevideo, classée dans le top 500 des universités mondiales.

En 3e année du cursus ingénieur, Thomas, étudiant de la majeure Énergie & Villes durables, est parti à Montevideo, Uruguay, pour 6 mois d'études, visites, rencontres et découvertes dépaysantes. L'occasion de faire un petit bilan.

Choisir l'Uruguay pour son semestre d'échange en école d'ingénieurs

Durant le cycle ingénieur de l’ESILV, il est obligatoire de vivre une expérience internationale ; soit partir pour un semestre d’échange académique dès la 3e année, soit pour un stage en entreprise en 4e ou 5e année. J’ai fait le choix de partir et effectuer un semestre à l’étranger en 3e année pour dans un premier temps marquer une coupure entre le cycle préparatoire et le cycle ingénieur et ensuite, évidemment, saisir la chance de pouvoir découvrir un nouveau pays, une nouvelle culture, une autre manière d’étudier et dans mon cas, parfaire mon niveau d’espagnol. Mon objectif était : l’Amérique Latine à tout prix !
J’ai toujours eu beaucoup de fascination pour ce continent, son histoire, sa diversité, ses paysages et son goût de ‘bout du monde’.
Dans la liste des universités partenaires en 3e année, deux options s’offrent à nous : Santiago au Chili ainsi que Montevideo en Uruguay. Tirage au sort… Pile ! Ça sera donc Montevideo pour moi ! Avant mon départ je ne connaissais rien de ce pays et pouvais à peine le placer sur une carte. J’étais conscient du challenge que représentait cette destination et j’avais en tête beaucoup de questions concernant le bon déroulement du semestre. Vais-je réussir à m’adapter au mode de vie ? Vais-je comprendre mes cours (en sachant qu'ils sont tous en espagnol) ? Puis les résultats sont tombés… Je partirai le 25 juillet pour 6 mois d’échange universitaire à Montevideo !

Un semestre à la "Facultad de Ingeniería" à Montevideo

L’Universidad de Montevideo (UM), à l’instar du Pole Leonard de Vinci, comprend en fait plusieurs facultés et écoles (communication, droit, commerce… et ingénierie) qui sont principalement toutes regroupées dans les mêmes locaux à une exception prête : La Facultad de Ingenieria qui se trouve à 10/15 min à pied du bâtiment principal. L’accueil des élèves ‘intercambios’ est très chaleureuse et se fait en 2 jours : une journée de rencontre avec le corps enseignant et responsables internationaux ainsi qu’une journée d’intégration avec jeux et déjeuner.
Tout le monde est très gentil, joignable et compréhensif et vous vous rendrez assez vite compte que les relations professeurs/élèves n’ont rien à voir avec tout ce que vous avez pu vivre en France.
Tout comme un semestre à l’ESILV, il nous faut valider 30 ECTS (soit 25 creditos ici : 1 ECTS = 1,2 creditos) et c’est à nous de choisir les cours que nous souhaitons suivre. Il faut néanmoins faire valider cette liste par le corps enseignant du Pole.
A votre arrivée également, l’UM vous proposera des cours d’espagnol payant (-50%) en plus si nécessaire qui peuvent rapporter 2 creditos, et que j’ai décidé de suivre.
Ils m’ont énormément aidé, car même si vous avez un bon niveau d’espagnol (un niveau B2 est obligatoire pour candidater à cette destination), ici l’accent est fort et le vocabulaire peut varier, il est donc parfois difficile de comprendre un Uruguayen parler. Pour les cours, j’ai pris 2 matières de mathématiques et 2 matières de programmation, soit un total de 32 ECTS pour 23h de cours par semaine. La mécanique des cours ne diverge pas vraiment de celle du Pole : 2 cours théoriques pour 1 de pratique en mathématiques, et 1 cours théorique pour 1 cours de pratique en informatique.
Le travail personnel est assez important mais la plateforme Moodle de l’UM est très simple d’utilisation et vous aurez accès à des corrections de TD, à des sujets de contrôles/partiels/examens des années précédentes ainsi que leurs corrections.
Si vous avez quelconques questions sur le cours, les professeurs sont tout à fait joignables par mail ou directement à la fin des cours. Préparez-vous à les appeler par leur prénom (voir surnom), à rigoler avec eux et parler de tout et de rien avec les autres élèves.
Les relations professeurs/élèves n’ont strictement rien à voir avec celles en France, et il m’a fallu un peu de temps pour m’y faire, mais il ne m’aura jamais été aussi plaisant de suivre un cours de 3 heures de mathématique théorique.
En ce qui concerne les absences : L’appel est fait par le professeur en début ou en fin de cours. Il est nécessaire d’avoir au minimum 75% de présence pour valider la matière. Dans le cas contraire, l’accès à l’examen final vous sera refusé !

Les plages, l'accueil, la météo et, en prime, l'Amérique latine

Première impression en arrivant : le bord de mer ! ou plutôt le bord du Rio de la Plata. Le climat est donc doux en général, mais il peut vite faire assez froid et comme la plupart des logements sont mal isolés, il est tout de même préférable de prévoir des affaires chaudes. Néanmoins à partir de fin octobre, les températures se stabilisent et les jours ensoleillés sont au beau fixe ! L’Uruguay est donc une parfaite destination pour fuir l’hiver de Paris. Je ne dirai pas que Montevideo est une jolie ville, en effet, les centres d’intérêts n’y sont pas nombreux (Ciudad Vieja et la Rambla, après plus grand-chose…) mais il y fait bon vivre !
Les gens sont gentils, accueillants et prennent le temps de vous aider ou de faire votre connaissance. Les rues sont relativement propres, et les quartiers sont vivants.
Montevideo, bien qu’hébergeant la moitié de la population totale, est une ville totalement sûre; contrairement à certaines autres capitales du continent. Pour ce qui est du coût de la vie, il est à peu près le même que celui en France une fois la conversion faite, donc assez cher. Néanmoins, les étrangers bénéficient d’une réduction (ne payent pas de TVA) lorsqu’ils payent par carte bancaire, ce qui rend les restaurants, bars, etc… très vite intéressants ! Cependant, l’Uruguay possède des destinations pour tous les goûts, et les navettes en bus de la gare routière (Tres Cruses) sont à des prix intéressants et sont propres et confortables : Punta del Este (le saint-tropez national), Cabo Polonio (bord de mer au milieu des baleines et lions de mer), Colonia (classée au patrimoine mondial de l’UNESCO) et beaucoup d’autres ! Sans compter Buenos Aires, qui se trouve qu’à 3 heures de ferry et est donc tout à fait joignable pour le week-end, ainsi que les vols intercontinentaux (Chili, Bolivie ou Pérou) aux prix abordables. De mon côté, j’ai essayé de voyager dès que possible : d’abord, les 4 jours à Buenos Aires, proposé par MIS (Montevideo International Students), une association qui s’occupera tout au long de votre échange d’organiser des soirées, visites, activités et voyages. La journée à Colonia, cette fois-ci proposée par l’UM. Mais aussi Rio de Janeiro, le Chili, la Bolivie et enfin la Colombie. Bref, des voyages qui resteront à jamais dans ma mémoire, rendus possibles grâce à cette incroyable opportunité d’échange universitaire que je recommande que trop !

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Esport Student Series 2021 : LDV Esport champion de France ESS sur Rocket League

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L'équipe LDV Esport a gagné la première place du championnat ESS 2021 sur Rocket League

L'Esport Student Series, le plus grand événement esport étudiant francophone, a désigné ses champions. Parmi les équipes gagnantes de 2021, on retrouve RLDV LSK, qui a fièrement représenté les couleurs du Pôle Léonard de Vinci et de l'association LDV Esport.

Cette année, l’Esport Students Series 2021 s’est réinventé et a proposé le plus grand tournoi esport & emploi francophone en ligne. Pendant 3 mois, près de 1500 étudiants de 250 campus français se sont affrontés. 7 jeux étaient à l’honneur pour cette édition : Rocket League, Fifa 21, ClashRoyale, Brawl Stars, Hearthstone, Trackmania et Fortnite.

L'équipe LDV Esport gagnante du tournoi Rocket League

Pour représenter le Pôle Léonard de Vinci, LDV Esport a envoyé deux équipes sur Rocket League, deux joueurs sur Hearthstone et un joueur sur Trackmania. Seule une équipe Rocket League s’est qualifiée pour la phase finale du tournoi et a brillamment remporté la première place : RLDV LSK, représentée par François « Laiku » Marty (EMLV, promo 2024), Killian « Scaylin » Lafaye (ESILV, promo 2025) et Thomas « Kioutso » Samper (IIM, promo 2025) et dirigé par leur manager et coach Pierre-Yves « ZoomerDoomer » Tanguy (ESILV, promo 2021) . https://twitter.com/LDVEsport/status/1386227062566965249 Ce trio composé d’un étudiant de l’IIM, un étudiant de l’EMLV et un étudiant de l’ESILV, a permis à LDV Esport de devenir champion de France ESS sur Rocket League. Ils ont chacun empoché un Cash Prize de250€. Afin de se hisser au sommet, ces trois étudiants ont misé sur une bonne communication, une répartition précise des rôles et sur des entrainements réguliers. Ils ont tout de même été impressionnés et mis sous pression lorsqu’ils ont été castés par Rocket Baguette, référence du cast Rocket League francophone. https://twitter.com/rocketbaguette/status/1371944911965196305 L’équipe et le staff les encadrant gardent un merveilleux souvenir de ce tournoi : leur victoire a  été visionnée en direct sur Twitch et célébrée juste après avec tous les membres de l’association.

Devenir champions de France ESS sur Rocket League

Rythme effréné, pression, des compétiteurs haut niveau ... Malgré quelques obstacles et oublis, les gamers de RLDV LSK ont finalement brillé sur la dernière semaine du tournoi. "Nous n’avons pas participé à la première phase de qualification des ESS car nous avions tous oublié quand elle avait lieu. On s’en est rendu compte le lendemain et on se sentait vraiment bête. Puis nous avons effectué les 3 suivantes, on a été sorti dès le 1er match à la 2eme qualif, perdu en final 3-1 lors de la 3eme qualification pour au final s’imposer 3-2 en finale de la 4eme qualif", raconte Thomas « Kioutso » SAMPER, capitaine de l’équipe (IIM). Parmi les anecdotes les plus drolatiques on retient celle de la toute dernière étape de qualification. "On a (j’ai) oublié de s’inscrire au dernier qualifier, j’ai dû aller envoyer un DM à une organisatrice du tournoi pour la supplier de nous enregistrer. On lui a expliqué qu'on était hyper motivé et qu’on allait gagner. Elle a accepté de justesse 2h avant que ça commence. Et au final j’avais raison, on a gagné." (François "Laiku" Marty, EMLV)
"On n’avait pas vraiment de stratégie, on voulait juste tout donner. On a quand même beaucoup joué ensemble entre les qualifiers et la finale, on a améliorer notre communication et notre jeu de passe et ça c’est ressenti". (Killian "Scalylin" Lafaye, ESILV)
"En tant que coach, je suis très fier de mes joueurs. Ils ont vraiment réussi à appliquer ce qu'on leur a dit, malgré le niveau solide des équipe concurrentes, ils sont restés confiants, ils ont gardé un bon mental, ils ont vraiment rarement mieux joué que le jour J. C'était vraiment un plaisir d'être avec eux. (Pierre-Yves "ZoomerDoommer" Tanguy, ESILV).

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La synthèse des classements des écoles d’ingénieurs

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Synthèse des classements des écoles d'ingénieurs

L'ESILV est dans le Top 3 des meilleures écoles d'ingénieurs en 5 ans et 1e école post-bac en île-de-France. La synthèse des classements intègre les 4 palmarès parus dans Le Figaro, l’Etudiant et l’Usine Nouvelle en 2020-2021.

Chaque palmarès est conçu en fonction de critères qui varient d’un média à un autre.
Que ce soit pour ses résultats en matière d'excellence académique, de recherche, d'ouverture à l'international ou pour ses scores en matière de proximité avec les entreprises, d'insertion professionnelle ou entrepreneuriat, l’ESILV est régulièrement classée dans le top 3 des meilleurs écoles d'ingénieurs post-bac.
Téléchargez la synthèse des classements de l'ESILV et des écoles d'ingénieurs

L'ESILV, 3ème école d'ingénieurs post-bac au niveau national

Dans le classement des classements des écoles d'ingénieurs post-bac, l'ESILV se situe à la 3ème place au niveau national et obtient la 1ère place en île-de-France, sur les 33 établissements évalués par l'Usine Nouvelle, l'Étudiant et le Figaro.

L'ESILV, 21ème au classement général des écoles d'ingénieurs

Dans le tableau ci-dessus figurent 60 des meilleures écoles d'ingénieurs recensées par les 4 classements différents de l'Usine Nouvelle, de l'Étudiant et du Figaro. L'ESILV se situe à la 21ème place parmi les meilleures écoles d'ingénieurs, toutes spécialités et tous niveaux confondus (post-bac, prost-prépa). Chaque palmarès est conçu selon une méthodologie différente, en fonction des critères retenus par chacun des médias.

Une stabilité confirmée dans le Top 10 des classements généraux

En 2021, l'ESILV confirme sa position dans le top 10 des meilleures écoles d'ingénieurs référencées dans les classements généraux.
  •  Le Figaro 2021 : L’ESILV se situe à la 5ème place du classement des écoles d'ingénieurs généralistes et pluri-disciplinaires, parmi 48 établissements évalués.
  • L'Usine Nouvelle 2021 : +1 place, 7e rang général parmi 130 écoles d’ingénieurs référencées
Première école post-bac parmi les écoles retenues par l'Usine Nouvelle, l’ESILV se classe 6e parmi les écoles d'ingénieurs françaises qui ont d'excellents rangs dans l’insertion des diplômés sur le marché du travail. Le classement du Figaro Étudiant confirme la validité du positionnement de l’ESILV comme une école “généraliste au coeur des technologies numériques” : 1e école post-bac en île-de-France dans le classement des écoles d’ingénieurs généralistes et pluridisciplinaires.

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L’informatique en école d’ingénieurs : l’ACM Digital Library en accès libre à l’ESILV

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Les étudiants ESILV ont accès à l'ACM Digital Library, une base de données en informatique

L'ACM Digital Library, la base de données la plus importante en informatique, est disponible en accès libre aux étudiants ESILV dans le cadre du package "Digital Learning". Cette collection permet la recherche et la fouille de textes sur l'intégralité des données publiées par l'Association for Computing Machinery.

Créée en 1947, l'Association for Computing Machinery (ACM) est la plus grande société d'informatique académique et scientifique du monde.

ACM Digital Library, une ressource complète pour la recherche en informatique

Nicolas Travers, enseignant-chercheur à l'ESILV et responsable du Digital Group dans le cadre du De Vinci Research Center, explique en quoi cette nouvelle base numérique peut faire évoluer les savoirs dans l'informatique.
"L’ACM est une association internationale sur la recherche en informatique, c’est à la fois une maison d’édition pour les journaux et proceedings de conférences, mais également un label associé aux conférences scientifiques.
C’est une marque de qualité de recherche en informatique. Un grand nombre de publications scientifiques en informatique se retrouve dans cette base de données en ligne.
On y trouvera notamment les dernières avancées en IA, Machine Learning, Big Data & Cloud, mais également Software Engineering, Systèmes d’Information, Robotique, Recherche Opérationnelle, Interfaces-Homme-Machine, etc.
Les étudiants pourront être intéressés par l’approfondissement des connaissances abordées en cours, la compréhension de nouvelles approches ou concepts. De plus, certains cours de spécialisation abordent l’étude d’articles scientifiques, les étudiants pourront ainsi comprendre l’écosystème de recherche à travers cette grande base de données." Parmi les publications co-écrites par Nicolas Travers, accessibles sur ACM Digital Library, on retrouve notamment "FiND: a real-time filtering by novelty and diversity for publish/subscribe systems", "TDV-based Filter for Novelty and Diversity in a Real-time Pub/Sub System" et "RoSeS: a continuous query processor for large-scale RSS filtering and aggregation".

L'informatique en école d'ingénieurs à l'ESILV

Grande École d' ingénieurs généraliste au cœur des technologies du numérique, l'ESILV propose 10 majeures de spécialisation dans le cadre du cycle ingénieur. Les étudiants qui ont un projet professionnel dans le secteur informatique et numérique ont le choix entre 2 majeures ESILV qui répondent aux besoins grandissants de la société en matière de conception d'objets et services connectés et de traitement des données. La majeure Informatique, objets connectés et sécurité forme des ingénieurs qui s'intègrent dans tous les secteurs numériques comme ingénieurs hard & soft IoT, ingénieurs sécurité, responsable de la sécurité des systèmes informatiques, développeur full stack, etc. https://youtu.be/V1-sDTmsCuA La majeure Data & Intelligence artificielle forme des spécialistes de la donnée, massive ou non, depuis sa collecte, sa modélisation et son stockage jusqu’à son analyse et son interprétation. Parmi les débouchés, data scientist, data engineer, data scientist, développeur big data, ingénieur IA... https://youtu.be/C_EEkUQFWIE Découvrir les majeures ESILV.

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Jean-David Alexandre, promo 2022, en master Data & Intelligence Artificielle

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Jean-David Alexandre, étudiant de la majeure Data & Intelligence Artificielle à l'ESILV

Futur ingénieur de la donnée, Jean-David Alexandre, promo 2022, se spécialise dans les domaines de la Data et de l'intelligence artificielle grâce au Master de l'ESILV. Comment se former aux métiers de la data ? Il répond en vidéo.

La majeure Data et intelligence artificielle du cycle ingénieur à l'ESILV a pour ambition de former les spécialistes de la donnée, massive ou non, depuis sa collecte, sa modélisation et son stockage jusqu’à son analyse et son interprétation. Inspiré par la pédagogie d'école d'ingénieurs généraliste au coeur des technologies numériques, Jean-David a choisi l'ESILV pour approfondir sa formation en ingénierie des données et acquérir des compétences multidisciplinaires. Témoignage vidéo.

Vidéo : Jean-David Alexandre, promo 2022, majeure Data & Intelligence Artificielle

https://youtu.be/cXDopxrOQEU Je m'appelle Jean-David Alexandre Koye, j'ai 24 ans, je suis venu de Côte d'Ivoire et je suis en Master 1 Data et intelligence artificielle à l'ESILV. J'ai eu mon bac à 16 ans et j'hésitais d'abord quel pays choisir ; au départ, j'avais opté pour la France, mais les choses ne se sont pas très bien passées et j'ai décidé d'aller en Chine. J'ai fait d'abord deux ans d'apprentissage de la langue chinoise. La Chine est un monde complètement différent, si tu ne parles pas chinois, tu ne peux pas vraiment y vivre. En attendant de commencer mon bachelor, j'ai fait deux ans, donc ça m'amène de 16 à 18 ans. À partir de 18 ans, je commence mon bachelor en télécommunications, donc 4 ans, 18 - 22 ans et je suis élu major de ma promotion, j'ai eu la chance d'avoir une bourse d'études me permettant de continuer 2 ans de plus pour faire un master de recherche 1 en information et communication.

Se spécialiser en école d'ingénieurs, tout en bénéficiant d'une pédagogie généraliste

Ensuite, dans un souci de me spécialiser, pour avoir des compétences beaucoup plus techniques, je postule l'ESILV et je suis là depuis octobre 2020. J'ai fait des recherches sur les écoles de Data en France et précisément sur Paris et ces recherches m'ont emmené sur le site letudiant.fr. Il y avait un classement des écoles d'ingénieurs ; le but, c'était de faire une école d'ingénieurs. Le premier point, c'était, hormis le fait de faire de la data, être dans une école d'ingénieurs. J'ai regardé un peu le classement, j'ai postulé d'abord pour les top 10 et je suis tombé sur l'ESILV.
Ce qui m'a plu en fait avec le programme de l'ESILV, contrairement aux autres - pas pour dénigrer les autres programmes - c'était le fait que le programme de l'ESILV était beaucoup plus général.
Les autres universités proposaient souvent des programmes un peu plus spécifiques. Je commençais vraiment à m'intéresser à la donnée, et ne savais pas forcément qu'elle voit j'allais emprunter. Le programme de l'ESILV avec des compétences très globales, des programmes qui englobaient tout, ça m'a permis de vraiment déterminer la suite de ce Master-là, ce que je voudrais faire comme emploi plus tard.

Maîtriser les outils d'analyse et de visualisation des données

Ça, c'est un point très important, le fait que les cours sont en anglais, pour choisir ce programme à l'ESILV. On a des modules à l'ESILV comme la "data viz'", autour de la quelle on a des cours aussi.
Associer des cours à des modules, cela nous permet de nous tester en termes de moyenne finale. Par exemple, dans le module, tu peux avoir 3 ou 3 cours et au final tu auras la moyenne du module; donc ça peut aider dans un sens à se diriger.
Moi, personnellement, je savais déjà ce que je voulais faire, mais je voulais quand même avoir les compétences globales, au final, donc des connaissances générales dans tous les domaines, au cas où au niveau de ce que je ferai plus tard je serai amené à toucher à certaines parties que je n’aime pas forcément. Au moins, j'ai déjà une idée précise de ce que c'est. C'est vraiment ce volet-là qui pour moi est très bien. En termes d'apport, je pense que je ne peux pas être très objectif, vu la situation un peu compliquée avec la COVID. Malgré cela, les choses se sont très bien passées, avec les cours en ligne.
Les professeurs sont assez disponibles, ils nous permettent de nous exprimer, de poser plein de questions, même de leur envoyer des mails après les cours.
Ce volet-là, je suis très satisfait, mais j'espère que la situation va s'arranger ; peut-être, l'année prochaine une autre interview pour vous donner un avis très objectif avec le retour des cours en présentiel.

L'avenir est dans la data et l'intelligence artificielle

Le programme Data & Intelligence Artificielle donne l'opportunité de faire deux stages pendant le master. La première année commence dès septembre jusqu'à fin mars ; après, à partir du 1er avril, tu commences les stages jusqu'à septembre. C'est la même chose pour la deuxième année, de septembre à février, plus tôt, et après, dès février jusqu'à septembre, on fait un autre stage.
C'est l'une des raisons pour lesquelles j'ai choisi ce programme. Malgré la situation sanitaire, j'ai pu obtenir mon stage, que je commencerai le 6 avril et j'espère que tout va bien se passer.
Je serai chargé du management et de data, dans un poste de data manager chez Europ Assistance. Ce que je vais faire, en fait, c'est d'accompagner le chief data officer, donc celui qui est chargé de du département data, dans ses missions.
Je veux être un business intelligence analyst. Après les deux ans de master, je prévois trouver du travail directement et la data est heureusement un domaine en plein essor.
J'espère que cela ne sera pas trop compliqué pour moi et je me donne cinq ans pour acquérir une expérience en Data et dans le BI, et après monter un cabinet de conseil avec quelqu'un ou commencer mon aventure solo.
Souvent, on entend : "Data is the new oil", la donnée, c'est le nouveau pétrole. C'est le nouvel or noir. Mais cela demande aussi beaucoup de temps et de travail personnel.
Pour être honnête, je ne peux pas passer un jour sans travailler. Si vous êtes intéressés, je vous encourage à postuler, surtout à l'ESILV, pour vraiment avoir des compétences globales et après, vous orienter vers le métier que vous voulez.

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Métiers du numérique : Les ESN apprécient la transversalité et les soft skills

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La transversalité et les soft skills font partie des compétences appréciées par les ESN

Malgré une 2020 morose sur le fond de la crise sanitaire et du ralentissement économique engendré par les mesures de confinement, les entreprises du numérique continuent leur croissance en 2021.

Les recrutements dans le secteur IT repartent à la hausse avec de nouvelles tensions en matière d'emploi. Plus que jamais d'actualité, certaines compétences comme la transversalité ou les soft skills, font recette dans l'écosystème ESN. Pour évoquer les nouvelles tendances et besoins du secteur, une table ronde réunissait 7 experts du numérique. Parmi les invités de cet événement en ligne, on comptait Walter PERETTI, responsable de la majeure Informatique, objets connectés et sécurité à l'ESILV.

"Le channel IT, en quête de compétences et de nouveaux talents"

Sur le thème "Le channel IT, en quête de compétences et de nouveaux talents", le webinaire organisé par IDC et IT Partners'Up associait plusieurs intervenants :
  • Emmanuel Stanislas, directeur général du cabinet de recrutement Clémentine, spécialisé dans les métiers du digital, de l'IT et du web
  • Loïc Mignotte, CEO du groupe Activium-ID et président de la Fédération EBEN, entreprises du Bureau et du Numérique
  • Yazid Chir, président bénévole, co-fondateur du dispositif "Nos quartiers ont du talent"
  • Godefroy de Bentzmann, président de Syntec Numérique
  • Christine Hennion, présidente de "Femme numérique"
  • Walter Peretti, enseignant à l'ESILV, responsable de la majeure IoS, coordinateur des projets d'innovation industrielle
  • Jean-Patrice Glafkides, responsable projets innovations pédagogiques, IA et transformation digitale, Paris-Dauphine
Au programme de la table ronde :
  • Vision IDC : " Les grands chantiers de l’innovation, quels déficits de compétences techniques ? "
  • Interview : " De quels talents se doter pour piloter la transformation numérique et réinventer son modèle
  • Débat : Recrutement externe, formation, coopération écoles/universités… quels leviers actionner ?
  • Prospective : " Impact de l’IA sur les compétences et les métiers "

Le "pari" gagné du Pôle Léonard de Vinci : transversalité & soft skills

Les mutations des métiers du numérique engendrées par la transformation digitale demandent des profils transversaux, qui sauront associer expertise technique et compétences relationnelles. Transversalité et soft skills sont aussi les points d'orgue de la pédagogie de l'ESILV, école d’ingénieurs généraliste tournée vers le numérique, les nouvelles technologies, l’hybridation et l’innovation. Invité à intervenir lors du débat autour de la coopération entreprises/écoles, Walter Peretti a évoqué ces méthodes qu'il appelle "le pari du Pôle".
"La transversalité, c'est un pari associé au tissage des soft skills qui animent les trois écoles sur des challenges communs, comme les hackathons organisés lors des semaines transverses."
Un "pari" apprécié par les autres intervenants, qui ont souligné, entre autres, la nécéssité des écoles à former non seulement des ingénieurs qui sauront répondre aux besoins techniques des entreprises, mais aussi et avant tout des employés avec des qualités qui fassent echo aux valeurs prônées par les entreprises dans l'air du temps : innovation, respect de la nature et de l'homme, égalité et inclusion ...
Éthique, impact positif pour la planète, RSE... Pour les futurs ingénieurs ESILV, ce sont désormais des prérequis pour s'embarquer dans de nouvelles aventures professionnelles.
"J'ai évoqué le cas d’une équipe de PI2 qui a refusé de poursuivre son projet après avoir rencontré pour la première fois l’entreprise partenaire, parce que le sujet proposé s’est avéré aller contre leurs valeurs. Ils ont donc changé de sujet. C’est bien la première fois que cela nous arrive, mais nous sentons bien monter l’exigence éthique chez les étudiants", a expliqué Walter Peretti.

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DeVinci Partners : les recruteurs, c’est leur job

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DeVinci Partners est l'association qui noue des liens avec les entreprises autour d'événements communs

Les partenariats écoles-entreprises sont un outil gagnant-gagnant en école d'ingénieurs comme en école de commerce. DeVinci Partners est l'association qui mobilise écoles et recruteurs pour organiser des moments de rencontre productives.

Établir des relations durables avec les entreprises constitue un win-win aussi bien pour les écoles comme pour les employeurs. Les établissements peuvent nouer des contacts privilégiés avec des entreprises convoitées en France, et les recruteurs bénéficient d'un accès privilégié aux ressources des écoles cibles.
De quoi animer le calendrier des événements de DeVinci Partners, l'association qui promeut les partenariats du Pôle Léonard de Vinci avec les entreprises de tout bord.
Parmi les entreprises partenaires, on compte des employeurs du top 3 du classement LinkedIn Top Companies 2021 des 25 entreprises offrant les meilleures perspectives de carrière en France : Capgemeni, SNCF...

DeVinci Partners, l'association qui noue des liens avec les recruteurs

https://youtu.be/vV3K8Ugntig Bonjour à tous. Je suis Arthur Di Betta, président de l'association étudiante DeVinci Partners, A4 ESILV. Vous vous demandez sûrement ce qu'est DeVinci Partners.
DeVinci Partners - a.k.a. DVP - est l'association étudiante qui organise en amont et le jour J la plupart des événements professionnels sur le Pôle, que ce soit les formations, les visites d'entreprises, les conférences ou les forums.
Pour tous ces événements, DeVinci Partners travaille avec des partenaires que vous connaissez sûrement, comme Allianz, Capgemini, Global Market Solutions et plus particulièrement avec notre mentor, la direction des Partenariats Entreprises du Pôle Léonard de Vinci.
Forum entreprise, forum alternance, forum alumni, conférences GMS, visite d'entreprise (SFR, Capgemini) sont des exemples d'événements qu'on peut faire tout le long de l'année.
Chaque année on essaie de se diversifier, d'apporter encore plus de d'événements intéressants et pour ce faire on a besoin de vous.
DVP est l'association qui vous fait grandir, qui vous professionnalise, en travaillant avec des entreprises, qui vous permet de rencontrer tout un tas de recruteurs et d'entreprises durant nos événements.
Vous avez un contact privilégié, ça vous permet d'ajouter une expérience crédible et vérifiable sur vos CV, que vous pourrez approfondir durant vos entretiens et enfin, ça vous fait rencontrer une famille que vous allez avoir l'occasion de revoir assez fréquemment, que ce soit durant les événements professionnels ou durant les événements en interne. Chez DVP on recrute dans tous nos pôles : le pôle communication qui s'occupe de tout ce qui est affiche, vidéo et couvre nos événements, le pôle événementiel, qui organise les événements, tout simplement, le pôle événements associatifs qui organise les événements internes à l'asso, tout ce qui est sortie, week-end, bar, et enfin le pôle international, qui organise les books multiculturels et stages et qui participe au forum entreprise à Dublin. Si vous êtes intéressés par DeVinci Partners, vous nous envoyez un mail : dvp@devinci.fr avec le pôle ou les pôles qui vous intéressent et votre CV. Je pense qu'on aura d'autres occasions de se revoir, comme aux amphis de rentrée, où normalement je serai présent. Je vous souhaite une bonne rentrée à tous. Merci ! Devinci Partners sur Instagram : https://www.instagram.com/devincipartners.

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Vidéo: Intégrer le Bachelor Ingénierie Numérique à l’ESILV via et hors Parcoursup

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Le Bachelor Ingénierie numérique à l'ESILV propose des débouchés académiques et professionnels

Allier la technique et l'opérationnel, pour intégrer les métiers du numérique ou poursuivre ses études en école d'ingénieurs. Le Bachelor Ingénierie numérique proposé par l'ESILV et accessible via Parcoursup et le Concours Avenir est une formation professionnalisante qui ouvre de nombreux débouchés.

Assia Spicher, responsable Bachelors & Alternance à l'ESILV, fait le point sur ce programme bac+3 ouvert aux candidats de Terminale et en réorientation.

Bachelor Ingénierie Numérique à l'ESILV

https://youtu.be/3s2_5YJ13nE Le Bachelor Ingénierie Numérique de l'ESILV permet de former des spécialistes du digital en informatique, en systèmes, en objets connectés, avec un cycle en mathématiques et en soft skills.
Le Bachelor Ingénierie numérique sur trois ans se compose de la manière suivante : les deux premières années, c'est des années classiques, où il y a cours, projet, hackathon, et la dernière année est une année en alternance entre l'école et l'entreprise.
Les enseignements du bachelor se décomposent en trois parties :
  1.  Une partie informatique : de la programmation, des bases de données, des réseaux, de la sécurité ;
  2.  Une partie systèmes, avec de l'électronique, de la mécatronique, l'IoT
  3.  Une partie connaissances générales en mathématiques en soft skills et en anglais.
Les cours du bachelor sont découpées en cours de 3 heures, 3 heures 30, dans lesquels on applique directement ce qui a été ce qui a été vu ; il n'y a pas de cours TD, TP, mais une notion est décrite en théorie et on va la mettre en pratique tout de suite. Entre deux cours il peut y avoir aussi des projets pour travailler sur ces missions-là.
Il y a aussi un projet "fil rouge" sur toute l'année qui permet de mettre en pratique toutes les notions de tous les cours en même temps et pouvoir avoir un prototype à la fin.
En plus des projets et des cours, il y a des hackathons qui sont mis en place régulièrement. Il s'agit d'ateliers d'un jour, trois jours, voire une semaine de travail très intense en groupe où il y a une problématique au départ et l'idée est de répondre à cette problématique en travaillant tous ensemble. Il y a deux types de débouchés pour le bachelor : des débouchés-métiers, comme développeur full-stack, administrateur systèmes et réseaux, analyste de données ou encore des débouchés plus académiques pour intégrer une école d'ingénieurs ou une école de digital, par exemple.
Il y a deux voies d'admission pour intégrer le bachelor. Si vous êtes en Terminale : Parcoursup, ensuite le concours Avenir Bachelors. Si vous avez déjà le bac, si vous êtes en réorientation : Avenir  + bachelor.
Le bachelor Ingénierie numérique de l'ESILV s'adresse à vous si vous souhaitez des études sur trois ans appliquées, professionnalisantes et qui vous donnent le choix, après ce bachelor, de continuer dans la vie active ou de poursuivre dans une école.

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Devinci Student Life : 55 assos pour profiter au mieux de sa vie étudiante en école d’ingénieurs

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55 assos rythment la vie étudiante à l'ESILV

Du foot à l'aéronautique, en passant par rugby, esport, danse, voile, robotique... Et encore, la liste est réduite. Qui dit vie associative au Pôle Léonard de Vinci,  dit 55 assos, 350 évènements toute l'année, et 7500 étudiants pour animer des projets transversaux aux 3 écoles, l'ESILV, l'EMLV et l'IIM.

Après une année académique hors du commun, la vie associative du Pôle Léonard de Vinci se dévoile avec une bande-annonce qui en dit long. https://youtu.be/JyHUVYfSQJA La vie associative fait partie de l'ADN du Pôle Léonard de Vinci. À ce jour (2021), ce sont pas moins de 55 associations étudiantes en tout genre qui composent et animent le tissu des 3 écoles.
  • Les passionnées du sport ont le choix entre des associations adressant quasiment toutes les disciplines sportives : Étoile de Vinci (foot), Falcons de Vinci (basket américain), Léo Running Club (comme le nom l'indique...), LeoVolley, LéoSquale (nager avec les requins, pourquoi pas ?), LeoWorkout( eh oui, les muscles, c'est pas que de la gonflette sur Insta) ...
  • Les âmes sensibles à ne surtout pas s'abstenir : Comedia da Vinci (théâtre), Devinci Durable (vous savez le combat pour cette planète un peu souffrante), DeVinci Studio (du cinéma et que du cinéma), La joute de Vinci (parlez-vous "oral" ? ) Léo & Co (la cause animale, "tout ça"), LeoLyfestyle (métro, Pôle, yoga), Pôletech (pour "copier-coller" les instants en photo), TEDxClub De Vinci (parce que les idées valent d'être partagées) ...
  • Les assos incontournables pour les aficionados du business : Devinci Partners (les recruteurs, c'est leur job), Devinci Junior (se faire accompagner par les consultants juniors du Pôle : du travail de PRO), Vinci Investments (de l'asset management au trading, en passant par bots, R&D et financial advisory)
  • Les techos ont leur mot à dire .. et ils ne s'en privent pas ! DaVinciBot (M & Mme Robot), De Vinci Fablab ("bidoumakers"), Digiteam (les SI sous toutes leurs coutures), LéoFly ( "j'peux pas, je bosse pour l'aéronautique"), VED (quand auto rime avec asso)
Mais il en reste encore beaucoup d'associations à découvrir : https://www.devinci.fr/vie-etudiante/associations-etudiantes/ Photo de couverture réalisée par @poletechpulv (d'autres sont à venir)

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Aérospatial & Intelligence artificielle : Quelles évolutions pour demain ?

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L'intelligence artificielle peut-elle aider l'industrie aérospatiale à redécoller ? C'est la question à laquelle se sont intéressés François-Marie Lesaffre, innovation manager chez Sopra Steria et Romaric Redon, responsable du département IA & Informatique chez Airbus, invités dans le cadre d'une conférence virtuelle organisée par l'Institut Fredrick Bull.

Secteur majeur de l'industrie européenne durement touché par la crise sanitaire, quel usage l'aérospatial fait-il de l'intelligence artificielle et de ses promesses ? Une interrogation qui revient souvient dans l'univers de l'industrie aéronautique. En effet, pour des acteurs mondiaux du secteur, comme Airbus, l'IA est devenue une réalité avec des prouesses comme les vols autonomes ou le premier ravitaillement automatique en vol. Pour détailler ces opportunités technologiques, ainsi que les défis posés par l'utilisation de l'IA, l'Institut Frederick Bull, partenaire du Pôle Léonard de Vinci, a organisé une session spéciale consacrée à l'industrie aérospatiale. Présidé par Jean Rohmer, responsable de la recherche partenariale à l'ESILV, le think-thank Fredrick Bull se donne pour vocation "d'étudier les conséquences économiques, sociales et humaines de l'emploi" des nouvelles technologies.

L'Intelligence Artificielle peut-elle aider l'industrie aérospatiale à redécoller ?

https://youtu.be/V8qhjeMhSvE Les intervenants invités par l'Institut Fredrick Bull et interrogés par  Fernanda Arreola, Stéphane Gourichon, Patrice Huguenin :
  • François-Marie Lesaffre, Champion des Technologies de l’Intelligence Artificielle chez SopraSteria
  • Romaric Redon, head advisor on artificial intelligence technologies for Airbus, "fast track leader"
Parmi les sujets abordés :
  • Et pour commencer ... l’Intelligence Artificielle, c'est quoi ?
  • Fausses pistes, bonnes pistes ?
  • L'IA peut-elle tirer des leçons de sa propre histoire ?
  • L'humain est-il un frein à l'Intelligence Artificielle ?
  • Et plus concrètement ...?
  • L'IA peut nous protéger, mais sommes-nous protégés de l'IA et de ses erreurs?
  • Si l'IA apprend, devient-elle plus forte que l'homme ?
  • Il va falloir que l'IA s'explique un peu mieux !
  • L'IA, combien ça rapporte ?
  • L'IA peut-elle aider l'industrie à redécoller et à innover ?
  • Quel comportement attendre de l'IA face aux incertitudes, au risque, à la malveillance ?
  • Les problèmes éthiques du virtuel face à l'homme
  • Peut-on surveiller une IA, peut-on reprendre la main si elle est en défaut ? Qui aura le dernier mot ?
  • Terminator: Skynet n'est-il pas déjà parmi nous ?
  • L'existence des risques: mettons les pieds dans le plat!
  • Où l'on a envie de les écouter encore pendant des heures ...
Intéressé d'en savoir plus sur la formation ingénieur aéronautique à l'ESILV ? Faire connaisssance avec LeoFly, l’association de conception et de modélisation aéronautique et spatiale du Pôle Universitaire Léonard de Vinci.

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Blockchain & cryptomonnaies : 3 projets d’innovation industrielle de la promo 2021

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Smart contrats, gestion de données, certification de diplômes, implémentation de stablecoins... À l'ESILV, étudier la blockchain et les cryptomonnaies passe par les projets ingénieur d'innovation industrielle. Une méthode qui ne cesse de susciter de nouvelles idées et solutions pour intégrer cette nouvelle technologie dans notre quotidien.

L'intérêt de la blockchain va bien au-delà de la cryptomonnaie. Outil largement déployé par les grandes entreprises, les banques et les organismes publics, la technologie Blockchain apporte de l'innovation à n'importe quelle sphère. Qu'ils soient en majeure Fintech ou dans d'autres spécialisations du cycle ingénieur, les étudiants de 4e et 5e années ont l'occasion de gérer des missions concrètes dans la blockchain, grâce aux projets d'innovation industrielle. Coup de projecteur sur 3 projets blockchain & cryptomonnaies en école d'ingénieurs.

Générer des intérêts sur la blockchain avec une caution d’appartement

https://youtu.be/EpM28epM99Q Le système actuel de dépôt de garantie sur les locations d’appartements n’est pas très efficace. Parfois le propriétaire refuse de rendre la caution, ou le locataire n’est pas solvable. De plus, l’argent immobilisé est inutile et il n’y a aucune garantie que le propriétaire ne l’ait pas déjà dépensé Face à ces problématiques, Smart-Caution est la solution !
Le but de notre application est de permettre à nos utilisateurs de profiter des opportunités offertes par la blockchain en mettant en relation propriétaires et locataires par le biais d’un smart contract (un contrat intelligent).
Un moyen très sûr et qui, en plus de cela, permettra de générer des intérêts. En effet, grâce au compound, l’argent qui sera déposé, grandira avec le temps. Notre objectif est de permettre aux deux parties impliquées dans ce contrat de pouvoir placer cet argent dans un smart-contract tiers qui ne nécessite pas la présence d’un intermédiaire. Le propriétaire et le locataire s’accorderont sur le montant et la durée de la caution. Un contrat sera généré et mis sur la blockchain uniquement si les deux parties s’accordent.

Certification de diplômes dans la blockchain Oracle

https://youtu.be/yDBn4I3-zZo Afin d’embellir leur parcours professionnel lors d’une procédure d’embauche, certains candidats peu scrupuleux peuvent être tentés de mentir sur leur CV. S’inventer une expérience ou un diplôme est de plus en plus courant et les recruteurs peinent à identifier les faux CV. C’est pourquoi nous avons réfléchi à une solution simple qui permettrait à n’importe quel recruteur de pouvoir vérifier en quelque clics l’authenticité du diplôme de son candidat.
Diplomapi2 est une solution basée sur la blockchain d’Oracle. Autrement dit, c’est sur une base de données distribuée où sont enregistrés les diplômes et où chaque enregistrement est protégé par cryptographie contre la falsification ou la modification.
Notre solution permet d’inscrire dans la blockchain un diplôme et d’y associer une multitude d’informations. Il suffit au recruteur de les consulter pour se rendre compte du sérieux et de l’honnêteté de son candidat.

Elaborer une stablecoin sur ethereum

https://youtu.be/rnPmaNayd10 Notre partenaire était Sceme, une start-up fraichement créée, dont le but est de créer et fournir une plateforme d’émission et de gestion de stablecoin à des entreprises sous forme de Software As A Service. Un stablecoin est une crypto-monnaie dont le prix reste assez stable afin de contrecarrer la grande volatilité des crypto-actifs de nos jours. Ce type de monnaie numérique est stable soit algorithmiquement (brièvement : quand on a une forte inflation l’émetteur de nouveaux tokens sont émis pour compenser cette hausse et inversement quand le prix diminue des tokens sont brulés/détruit) soit en ayant un prix indexé sur un actif stable (par exemple le dollar ou l’euro). Le problème est qu’aujourd’hui, les entreprises qui s’intéressent aux stablecoin n’ont souvent ni les compétences ni les connaissances pour le faire et ne sont qu’à un stade d’experimentation. Ainsi, faire appel à une entreprise comme Sceme pour créer une plateforme permettant de gérer (émettre des tokens, en bruler, ajouter des administerateurs, whitlister des personnes etc…) une stablecoin spécialement créée pour eux. Au début de notre projet Sceme, étant créée en avril 2020, n’avait eu qu’un seul client, ainsi ils avaient créé un stablecoin sur une seule blockchain (Tezos). En effet, de nos jours plusieurs blockchains permettent de créer son stablecoin. Soucieux d’élargir ses compétences techniques et les solutions qu’elle propose, l’entreprise a fait appel à nous pour créer un stablecoin et une plateforme de gestion sur une nouvelle blockchain (Ethereum).

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La plaquette alpha ESILV : le rewind de la vie étudiante et associative en école d’ingénieurs

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plaquette alpha une annee d evenements associatifs en images

Le secret des Grandes Écoles pour fédérer une communauté d'étudiants ? Une vie associative riche et variée, qui vient compléter les enseignements des cours pour développer des compétences de gestion de projet.

En complément de la formation académique reçue par les élèves ingénieurs, l'ESILV encourage, encadre et valorise la vie associative au sein du Pôle Léonard de Vinci, où une cinquantaine d’associations étudiantes animent la vie du campus.
C’est maintenant que démarrent les plus belles années de ta vie. Les années les plus marrantes, les plus stressantes mais surtout les plus enrichissantes. Le BDE.

Le BDE, au centre de la vie étudiante

Élu chaque année par les étudiants, le BDE du Pôle Léonard de Vinci a pour tâche d'animer le campus et d'insuffler un esprit de promotion. Intégration, vacances, soirées, gala, animations sportives... le Bureau des élèves organise des évènements tout au long de l'année scolaire. Au cœur de la vie étudiante, il œuvre en faveur de la cohésion des étudiants des trois écoles, faisant de la transversalité et de la diversité une force.

Plaquette alpha 2021 : une année de vie étudiante dans le rétro

Le Bureau des élèves et les quarante associations étudiantes animent le campus depuis la rentrée jusqu'à la fin de l'année.
Le Pôle bouge toute l’année au rythme des évènements organisés par les assos. Petits-déjeuners, journées à thèmes, compétitions sportives, évènements nationaux et régionaux, voyages, conférences, pièces de théâtres, débats, soirées, afterworks... et on en passe. 4500 étudiants sur le campus, ça motive !
La plaquette alpha recense quelques-uns des évènements qui ont marqué l'année étudiante précédente. Un avant-goût de ce qui attend les futurs ingénieurs de l'ESILV, en admission post-bac en prépa intégrée ou en première année de cycle ingénieur par le biais du concours e3a/PT. Tournoi de rugby du concours Avenir, Challenge du Monde des Grandes Écoles et Universités, 4L Trophy, Coupe de France de Robotique, Course croisière EDHEC... Télécharger la plaquette Alpha ESILV Associations de loisirs, associations sportives, mais aussi techniques... l'offre associative est riche et diversifiée. Les étudiants du Pôle Léonard de Vinci qui souhaitent s'investir en parallèle de leurs études ont le choix entre une cinquantaine d'associations. Celles-ci leur permettent d'acquérir des compétences comportementales essentielles dans un environnement professionnel. Les associations techniques du Pôle sont particulièrement actives et se prêtent tout particulièrement au développement des connaissances et savoir-être de l'élève-ingénieur. Dans le domaine de la robotique, de l'aéronautique ou encore de l'énergie, toutes les associations participent à des projets et compétitions. Plus d'informations sur la vie étudiante du Pôle Léonard de Vinci.

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La cobotique au service de l’homme : les projets PIX2 de la promo 2024

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Les porjets PIX2 de l'ESILV ont eu comme thématique la cobotique

Concevoir des "cobots" radiocommandés qui améliorent la vie des humains : c'est le projet d'imagination et d'exploration des élèves-ingénieurs en 2e année de prépa intégrée, promo 2024.

Le projet PIX, en 2e année de prépa intégrée du cursus ingénieur à l'ESILV, consiste à concevoir et réaliser un produit innovant autour d'une thématique d'actualité. En 2021, les étudiants de prépa et ceux du Bachelor Ingénierie Numérique ont conçu et piloté des projets autour de la cobotique collaborative, en mobilisant à la fois des soft skills de travail en équipe et des compétences de gestion de projet. Lors d'une journée showroom, les 72 équipes ont présenté leurs réalisations au reste du Pôle Léonard de Vinci.

Le showroom 2021 des PIX2 de la promo 2024

https://youtu.be/wZENu3PnEiM

MOA/MOE, communication, pilotage ... La cobotique pour et par la collaboration

Comme dans la gestion de projet informatique, les étudiants ont travaillé cette année en mode MOA/MOE, c'est-à-dire maître d'ouvrage et maître d'oeuvre.  De septembre jusqu'au mois de mai, 72 équipes de 6 étudiants chacune ont travaillé en binôme : chaque équipe devait agir à la fois en maître d'ouvrage et maître d'oeuvre.
Concrètement, les étudiants doivent fournir un cahier de charges fonctionnels et dirigent une autre équipe en charge de piloter le projet tout au long de sa durée. En plus de jouer le rôle du maître d'ouvrage, ils doivent à la fois prendre en charge la partie opérationnelle pour la mise en oeuvre du projet défini par une autre équipe.
C'est tout un suivi technique et soft skills qui est mis en place. Tout au long de l'année, les étudiants sont évalués par des PRM (project roadmap manager) familiers de la gestion de projet et par des coachs soft skills. Ces spécialistes des soft skills en entreprise les aident à travailler en équipe tout en gérant la relation MOA/MOE qui peut être compliquée à mettre en oeuvre.
Mais il y a aussi un défi technique à relever. Les équipes devaient concevoir des applications spécifiques à la robotique en tant qu'aide à l'humain qui reposent uniquement sur de la communication radio : les objets doivent pouvoir communiquer entre eux sans wifi.
Un bon prétexte pour faire découvrir aux étudiants en prépa intégrée les protocoles de communication et leurs spécificités et les aider à prendre en main ces réseaux très utilisés en domotique.

WasteManager : la cobotique au service de la planète

Parmi les projets PIX2021 les plus ambitieux cette année, on note celui de l'équipe WasteManager. Ce robot télécommandé a  pour but de faciliter le tri grâce à un système de balance intégrée et à une caméra qui reconnait les déchets, permettant d'indiquer la poubelle de tri la plus indiquée. Les technologies employées pour créer le WasteManager : un algorithme codé sous Linux, des micro-ordinateurs raspberry pi, une pi caméra et une cellule de charge. Les membres de l'équipe Waste Manager : Alexandre COGORDAN, Antoine CELLIER, Maxime ROUILLE, Oriane BOMBARDI, Savinien BERAULT, Iris BENSIMON. En savoir plus sur les projets à l’ESILV

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IoT, IA, BIM, Santé… Les alumni entrepreneurs de l’ESILV agissent pour la Tech for Good

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Quand technologie et humain vont de pair, il n'y a rien de plus motivant que de se lancer dans l'entrepreneuriat. C'est aussi le constat de Jean-Philippe Panaget, promo 2012 et Arnaud Toma, promo 2020, deux diplômés ESILV qui, après leurs études en école d'ingénieurs, ont créé leurs propres entreprises à impact. Plus qu'un courant à la mode, pour ces entrepreneurs ESILV, la "tech for good" est un état d'esprit qui les pousse à innover pour le bien commun.

"Tech for Good" : derrière cette expression qui fait mouche dans l'écosystème entrepreneurial, il y a toute une philosophie pratique qui met a l'honneur le rôle des ingénieurs dans la société. Ces experts pouvant intervenir dans des domaines très différents, innovent, conçoivent et fabriquent des technologies qui répondent aux défis d'aujourd'hui et de demain. La mission de l'ESILV est de former des acteurs innovants et responsables, prêts à expérimenter et à participer activement aux évolutions de nos sociétés. C'est dans ce sens que CAD42 et Medical3D, 2 entreprises lancées par des alumni ESILV, mobilisent des technologies comme l'IoT, l'IA, le BIM ou  l'impression 3D médicale pour aider les humains à mieux vivre. Invités dans le cadre de la Devinci Start-up Week, Jean-Philippe Panaget, promo 2012 et Arnaud Toma, promo 2020, ont fait le point sur l'impact des entreprises qu'ils cofondées à leur sortie de l'ESILV.

Devinci Startup Week : Tech for Good

https://youtu.be/f6yPOHEP7Oc

Devenir entrepreneur tech for good : le grand déclic

Co-fondateur de CAD42, une entreprise hybride, présentant des élements de la sécurité, de la donnée et du BIM, Jean-Phippe Panaget, entrepreneur ESILV, est revenu sur la genèse de son projet. "A l'époque il y avait une structure Pépite Pon et j'ai pris un statut d'étudiant-entrepreneur, ce qui m'a permis d'avoir un statut autre que de salarié à l'international, des locaux, un accompagnement intéressant. On a lancé CAD 42 en 2016. On est 11 aujourd'hui, 4 co-fondateurs, mais on est tous des salariés, au final, de l'entreprise.
Chez CAD42, on fait des objets connectés pour les chantiers, qui nous permettent d'alerter des compagnons quand ils sont en danger : soit trop proches d'un engin qui est en train de reculer, quand il sont en dessus d'une charge de grues... Parmi nos clients, on compte pas mal d'entreprises connues, comme Vinci, Boygues,Eiffage, et d'autres."
Son déclic pour se lancer dans l'entreperenuriat. "A l'époque, moi et Raphael (Garcia Broton, promo 2012), on avait ce désir pendant nos études, mais à l'époque il n'y avait pas de parcours dédié à l'entrepreneuriat. Pour moi, ce qui m'a poussé à me lancer, c'était ma première expérience dans une entreprise qui a grossi et qui a fait ses preuves, et j'ai vu l'aventure que c'était et cela a donné envie". Arnaud Toma, co-fondateur de M3D, start-up  Santé & Biotech,  a compris qu'il n'était pas fait pour être un employé "classique".
"Ce qui m'a convaincu de faire ça après mon diplôme, c'était mon stage de 4e que j'ai effectué, où je me suis rendu compte que la supposée liberté de l'entrepreneuriat me paraissait vitale pour mon épanouissement professionnel, par rapport au fait de faire 6 h 00 - 20 h 00 au desk, devant l'ordinateur, en flex office, avec une suppression totale de ta personnalité en tant qu'individu au bureau.
En réalité, la seule liberté est de pouvoir travailler autant d'heures que tu peux travailler sur ton projet. Il y a des impératifs que tu ne troques pas : la satisfaction client, le bon développement de ton produit, ton produit finit par coller forcément aux besoins des clients."

L'ingénierie au service des entreprises à impact

CAD.42 propose des solutions de chantier connecté. "Aujourd'hui, notre cœur de métier, c'est l'analyse des données dans le cloud ; on a des capteurs sur le terrain. Leur fonction est d'alerter et on a de l'intelligence qui est dans une plateforme sur laquelle on peut créer des règles de sécurité.
On se définit comme une boîte SaaS : on propose une prestation "objets connectés", mais aussi un service application et gestion de données. On traite à peu près 12 millions de données par jour;  plus de 6000 d'alertes envoyées tout le temps.  Cette plateforme nous permet de répondre à des enjeux sécurité et d'analyser la donnée pour optimiser ce qu'il se passe sur un chantier. La sécurité, c'est notre leitmotiv, mais cela va au-delà de cela", explique Jean-Philippe.
Développée lors d'un projet ingénieur, la start-up M3D a été l'oeuvre d'un constat. "Medical3D a été l'idée de mon associé Kamil, dont le père, qui est un peu âgé, a un problème osseux au pied ; il y a eu besoin d'une orthèse. La prise en charge était trop longue, de 3 semaines, et après toute cette attente, il s'est retrouvé avec une énorme botte absolument pas pratique ; cela demandait un lourd agencement à la maison.
La problématique de Medical 3 D était de répondre à cette problématique : avoir une prise en charge rapide et qui permette de fournir un dispositif médical parfaitement adapté à la vie du patient, tout en bénéficiant de techniques de fabrication modernes. Aujourd'hui, on permet aux praticiens, qu'on appelle des orthoprothésistes, d'accéder à de nouvelles technologies : scanner 3D et impression 3D.
Grâce à ces technologies, aujourd'hui, plutôt que de compter de 2 à 6 semaines pour avoir son orthèse sur mesure, le patient peut l'avoir en 3 jours", a déclaré Arnaud.

L'impact sur l'humain comme priorité de l'entrepreneuriat

Même avant que la notion "Tech for Good" ne devienne un mouvement à la mode, Jean-Philippe avait constaté que "la tech permettrait de sauver des vies. Je me suis dit : avec le savoir-faire que l'on a acquis chez l'ESILV, on est capables de sauver des vies. C'est dans l'ADN de Cad42 depuis le départ. Typiquement, quand on recrute pour nos équipes, cette valeur de l'humain doit être bien partagée et comprise par les personnes qui nous rejoignent." Pour Arnaud, il s'agit de "faire un business qui a du sens. On se rend compte que le marché n'est pas du tout centré sur l'humain, alors qu'il s'agit du marché de l'orthopédie. Notre but, c'est de coller aux besoins d'un individu qui a un besoin précis et unique. C'est galvanisant, d'activer le triangle du win-win : orthopédiste gagne, parce qu'il peut mieux prendre en charge ses patients, le patient, lui aussi gagne, et puis, nous on fait quelque chose qui nous passionne." Pour en savoir davantage sur le parcours Start-Up à l'ESILV  

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