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Projet d’imagination et exploration en prépa intégrée : 77 idées d’éoliennes de ville

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Les projets PIX1 de la promo 2025 ont concerné les éoliennes urbaines

"Partir de rien et arriver à la fin avec une éolienne urbaine"... C'est le défi du projet d'exploration et d'imagination de la promo 2025 : "Etudier et construire une éolienne et son alternateur, les plus efficaces possibles, en accord dans son paysage".

Dès la première année de prépa intégrée, les étudiants de l'ESILV apprennent à concevoir et développer des produits à partir d'un cahier de charges  bien précis. L'objectif des projets d'imagination et d'exploration en école d'ingénieurs est de développer les compétences techniques et coopératives des étudiants tout en les confrontant aux défis de la gestion de projet.  Le sujet de l'année 2020-2021 concerne le développement de l'éolien urbain, clé d’accès à la transition écologique pour les villes.

Les PIX 2020-2021 de la promo 2025 : Concevoir une éolienne urbaine

https://youtu.be/t1r1Hme6TBw Dispensé dès la première année de prépa intégrée, le cours sur les énergies vertes représente une opportunité pour les élèves de l'ESILV de découvrir les innovations de la transition énergétique. Qu'ils choisissent la majeure "Énergie et villes durables" ou une autre spécialisation du cycle ingénieur, les élèves découvrent le fonctionnement des énergies renouvelables et apprennent à analyser et évaluer les techniques déjà existantes. Cette année, pour aller plus loin dans l'innovation verte, dans le cadre des projets PIX1, les étudiants de la promo 2025 ont dû développer des prototypes d'éoliennes urbaines conformes au cahier des charges établi par les enseignants : des dispositifs en matériaux recyclés, avec des alternateurs adaptés et un design qui respecte les contraintes et les particularités urbaines.
Petite anecdote : pour mieux incarner le décor de la ville, les étudiants ont fait preuve d'imagination dans le choix des éléments végétaux et décoratifs qui entourent les éoliennes. L'une des exigences est de concevoir des éoliennes qui exploitent le vent de manière élégante.
Débuté au mois de novembre 2020, le projet d'imagination et d'exploration de la promo 2025 a mobilisé pas moins de 77 équipes. Un exercice complexe, mais aussi révélateur. "Ce qui m'a le plus plu, c'était le travail en équipe", affirme Hugo, étudiant en première année de prépa.
"Un projet qui dure toute une année, c'est la première fois, pour nombre d'entre nous." Pour Pénélope, c'est l'idée de "partir de rien pour à la fin arriver avec une éolienne urbaine" qui l'a plus stimulée.
Une quarantaine de "project road managers" ont accompagné les équipes durant toutes les étapes du projet. Parmi les experts en gestion de projet qui ont suivi et évalué les PIX1 on compte plusieurs étudiants de 4e et 5e année. Agathe, promo 2021, en fait partie.
"En tant qu'étudiante, j'ai une meilleure interaction avec les élèves, en ayant été déjà élève, et j'ai fait pas mal de projets à l'école. J'aime bien voir comment ils réfléchissent et aussi mieux comprendre d'où je suis partie et comment j'ai progressé."
Tout au long du cursus ingénieur, les projets en école d'ingénieurs permettent aux étudiants de découvrir technologie et travail en groupes-projet. Découvrir les projets à l'ESILV.

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Marc-Andréa, promo 2022, un semestre d’échange à l’Université de Newcastle, en Australie

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Étudier en Australie, l'île-continent de l'autre bout du monde, durant un semestre du cursus ingénieur permet aux étudiants d'améliorer leur niveau d'anglais tout en se plongeant dans un environnement multiculturel enrichissant. C'est l'une des raisons pour lesquelles Marc-Andréa, promo 2022, a choisi d'effectuer son semestre d'échange académique à l'Université de Newcastle, sur la côte Est australienne.

Partir étudier à l'étranger, ce n'est pas une option pour les élèves-ingénieurs de l'ESILV. Dès la 3e année du cursus ingénieur, les étudiants doivent réaliser au moins un semestre à l'international. Parmi les nombreuses destinations proposées, l'Australie est l'un des pays les plus convoités pour les études. Parti un semestre à Newcastle, en Australie, Marc-Andréa Henri, étudiant de la majeure Actuariat, partage son expérience en université australienne.

L'international en école d'ingénieurs : autonomie, diversité, dépaysement

Je m’appelle Marc-Andréa Henri, j’ai intégré l’ESILV en prépa intégrée en 2017 et je suis maintenant en 3è année. J’ai décidé d’intégrer cette école car elle proposait un cursus général pendant 3 ans qui me permettait d’avoir du temps pour choisir ma spécialisation. De plus la vie associative du pôle m’a fortement attiré car le pôle propose un large choix d’associations diverses et variées. J’ai choisi d’étudier à l’étranger dès la 3ème année pour plusieurs raisons. Tout d’abord pour découvrir une nouvelle culture et devenir plus autonome car jusque-là j’avais tout le temps vécu avec mes parents. De plus je voulais améliorer mon niveau d’anglais. C’est pourquoi j’ai décidé de partir en Australie car c’est un pays anglophone et que l’île-continent m’a toujours attiré car c’est l’autre bout du monde et un pays extrêmement riche en termes de paysages et de faune.

Un semestre à l'Université de Newcastle en Australie

J’ai donc intégré l’Université de Newcastle en Nouvelle Galles du Sud. Situé à environ 150km de Sydney, l’université possède un large campus où j’ai logé pendant 5 mois. J’ai beaucoup apprécié la vie sur le campus, il y a beaucoup d’associations et d’activités à faire tout au long du semestre. https://youtu.be/f0yI1aPABJA J’ai par exemple pu surfer pendant quasiment l’intégralité du semestre car la plage était située proche du campus. Dès notre arrivée nous avons eu droit à une visite du campus et à des activités pour rencontrer les étudiants locaux. J’étais en collocation dans une des résidences du campus ce qui m’a permis de m’intégrer rapidement. Sur place j’ai suivi 4 cours en anglais (2 d’informatiques, 1 de mathématiques et 1 cours d’anglais spécialisé pour les étudiants). Les cours sont assez différents de ce qu’on suit à l’ESILV. En effet, je n’avais que 15h de cours mais les cours nécessitent beaucoup de travail à la maison. Le cours que je suivais demandaient également beaucoup de travail en groupe. Journée type: Réveil à 8h, puis environ 4h de cours par jour. Ensuite du travail personnel en fonction des cours de la journée et des devoirs à réaliser. Après les cours je partais souvent au surf (des fois même le matin avant les cours) puis une sortie le soir. Pendant mon séjour de 5 mois j’ai eu l’opportunité de découvrir une partie de l’Australie. J’ai fait un roadtrip de 2 semaines lors du Springbreak, de Newcastle jusqu’à Cairns. C’était une expérience très enrichissante qui m’a permis de découvrir pleins de paysages différents, de visiter la grande barrière de Corail et même de faire un saut en parachute! J’ai vécu tout le semestre dans une collocation de 10 personnes (International House). J’ai beaucoup ce mode de vie et je le recommande pour tous eux qui souhaitent essayer. Le coût de la vie est légèrement plus cher là-bas, notamment les transports. Cette expérience m’a vraiment donné envie repartir à l’étranger pour mon stage de 5èmeannée par exemple pour découvrir un nouveau pays et de nouvelles personnes.

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Aéronautique et aérospatial : 3 projets étudiants en cycle ingénieur à l’ESILV

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Les projets d'innovation des étudiants ESILV concernent l'ingénierie aéronautique et aérospatiale

En cycle ingénieur, les étudiants de l'ESILV sont amenés à développer des projets technologiques innovants dans un large éventail de secteurs et enjeux liés à l'ingénierie, entre autres, l'aéronautique et l'aérospatial.

Qu'il s'agisse de nouvelles technologies déployées par l'aviation commerciale, de drones qui sillonnent le monde de manière autonome ou de fusées qui font le délice des campagnes de lancement C'Space, les projets des étudiants ESILV touchent un grand nombre de défis passionnants pour les ingénieurs aéronautiques de demain. Secteur à la pointe de l'innovation, l'aéronautique reste une source importante d'inspiration pour les élèves-ingénieurs qui ont envie d'innover par les projets. En 4e et 5e années du cycle ingénieur, les projets d'innovation industrielle sont une occasion pour les futurs ingénieurs aéronautiques, d'expérimenter et de tester leurs compétences, en partenariat avec des entreprises comme Air France ou les associations techniques du Pôle Léonard de Vinci, à l'instar de LéoFly. Zoom sur 3 projets pour l'industrie aérospatiale.

WinX : un hublot connecté pour Air France

https://youtu.be/kdsDzL0Kap4 WinX est un hublot connecté qui permet au passager de bénéficier d’une toute nouvelle expérience de vol. Il donne accès à de nombreuses informations sur le paysage, les régions survolées mais aussi toutes les spécificités culturelles qui rendront votre vol plus enrichissant. Le Lifi représente un réel avantage pour le domaine de l’aéronautique avec un plus haut débit de données, comparé au Wifi, et un effet positif sur le poids des avions grâce à la réduction du câblage. La technologie Lifi directement intégrée à l’avion, permet aussi de jouer à des jeux, d’en apprendre plus sur les étoiles pour les vols de nuit et tout cela de pair avec la réalité augmentée et la base de données Oracle. Ce projet représente le futur de la clientèle d’Air France. Il montre vraiment comment les nouvelles innovations peuvent maintenant être mise à disposition du grand public et rentre en adéquation directe avec la vague menée par l’Industrie 4.0, qui est en train de changer le modèle de travail de toutes les entreprises travaillant dans les domaines techniques. WinX est la première étape pour proposer aux futurs voyageurs une expérience de vol plaisante.

LéoFly : Smartwing, aile volante autonome

https://youtu.be/HS2MrVj1iG4 SmartWing est un projet d’aile volante autonome qui a débuté il y a deux ans et qui se poursuit cette année. L’objectif est de fournir à l’association une plateforme volante modulaire sur laquelle plusieurs expériences pourront être montées au besoin, de la vidéo aux relevés topologiques ou météorologiques. À terme, il s’agira donc d’un outil à la fois simple et efficace qui aurait un intérêt industriel certain. L’objectif est aussi pédagogique pour l’association car le projet est très complet et ambitieux. Il fournira, d’autre part, un support utilisable par les futurs projets de LéoFly. En juin 2019, nous avons remporté l’appel à projet d’ALTEN avec SmartWing. Le précieux soutien apporté par ce partenariat rend ce projet plus vraisemblable que jamais et nous permet de projeter un prototype fonctionnel fin 2021.

LeoFly : Conception d’une fusée expérimentale pour le C’Space

https://youtu.be/GEiKqPurtrY Le projet Fusex qui consiste au lancement d’une fusée expérimentale dans le cadre de la campagne de lancement C’Space organisée par le CNES et Planète Sciences. L’année précédente, Pulsar (La Fusex 2020) n’a pas pu être lancée à cause de l’annulation du C’Space pour raisons sanitaires et le planning de lancement a donc été décalé. Néanmoins nous nous sommes tout de même lancés dans la fabrication d’une nouvelle fusée avec, à son bord, une toute nouvelle expérience insolite : un drone embarqué. Prometheus (la fusée) mesure 1,70m de long et 100 mm de diamètre et sera l’hôte de deux nouveaux systèmes d’éjection développés cette année. AETOS (Le drone) formera l’ogive de la fusée et sera éjecté à l’apogée de la trajectoire de celle-ci. Son rôle sera de suivre et de filmer la descente de Prometheus (qui sera sous parachute), cette dernière lui envoyant des commandes de positionnement en temps réel. Selon nos estimations, Prometheus devrait atteindre environ 1750 mètres d’altitude et devrait peser quasiment 7 kg. AETOS, lui, devrait peser 1.3kg et sera propulsé par des moteurs pouvant réaliser plus de 30 000 tours par minute à pleine puissance.

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Monaco Energy Boat Challenge : Hydrovinci prête à dévoiler son nouveau bateau électrique

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Hydrovinci, l'association nautique de l'ESILV, participe à la compétition Monaco Energy Boat Challenge

J-18 avant Monaco Energy Boat Challenge : Hydrovinci, l'association nautique du Pôle Léonard de Vinci, se prépare à dévoiler son prototype de système flottant inscrit pour la 8e édition de Monaco Energy Boat Challenge, du 6 au 10 juillet 2021. Avec une coque en carbone, un poids plume, un système de propulsion électrique et des capteurs aux endroits clés, le nouveau bateau 2021 a tout pour dominer la concurrence lors des épreuves prévues dans la catégorie Energy Class.

Les élèves-ingénieurs aux manettes de Hydrovinci, l'association nautique du Pôle Léonard de Vinci, ont maintenu la cadence dans la préparation de leur projet pour être prêts prêts le 6 juillet, date du coup d’envoi du 8e Monaco Energy Boat Challenge. 32 équipes, 22 universités et 16 nationalités s'affronteront jusqu'au 10 juillet sur le Rocher afin de tester leurs dernières innovations en matière de yachting et d'énergie.

Le challenge Energy Class, premier pas vers le bateau autonome

Cette année encore, Hydrovinci participe dans la catégorie Energy, une nouvelle classe lancée par le Yacht Club de Monaco en 2018. Les élèves-ingénieurs qui y participent ont pour défi de concevoir le cockpit et un système de propulsion le plus performant et le plus endurant, en utilisant les énergies renouvelables de leur choix, le tout à partir d’une quantité d’énergie donnée (5kWh). Pour mettre en avant leurs compétences informatiques et électroniques, cette année les membres de Hydrovinci ont choisi de construire un bateau à propulsion électrique et d’ajouter des capteurs aux endroits clés. Cela leur permettra de gérer le navire de manière plus globale et à long terme pour pouvoir faire de l’apprentissage machine et améliorer leur gestion. "Nous pensons que les innovations matérielles sont cruciales, mais que c’est toujours l’homme qui est le plus faillible, et c’est sur cela que nous voulons travailler. C’est aussi un premier pas vers le bateau autonome." Retour sur le making-off du projet Hydrovinci pour le #Energyboatchallenge.

Découvrir le nouveau bateau électrique de Hydrovinci : le making-off sur Instagram

https://www.instagram.com/p/COauXvToxIc/ https://www.instagram.com/p/COfH2eFoWKi/ https://www.instagram.com/p/COfJDofIhSA/ Hydrovinci sur Instagram : https://www.instagram.com/hydrovinci/. En savoir davantage sur la vie associative au Pôle Léonard de Vinci.

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Industrie 4.0 : 3 projets ingénieurs réalisés par la promo 2021

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Les étudiants ESILV abordent les outils de l'industrie 4.0 à travers les projets ingénieurs

Intégrer les outils et les technologies de la transformation digitale dans les processus et systèmes de production industrielle. À la clé : produire plus et mieux tout en étant plus rentable. De nombreuses sociétés tentent de se positionner sur le marché de l'industrie 4.0. Les étudiants ESILV proposent leurs compétences et solutions.

Dans la majeure Industrie 4.0,  les élèves-ingénieurs développent des compétences liées aux systèmes industriels modernes, aux méthodes de production et aux technologies numériques qui transforment le secteur industriel. La 4e révolution industrielle est déjà en marche et fait évoluer les projets ingénieurs à l'ESILV. Zoom sur 3 solutions connectées proposées par les étudiants de la promo 2021.

Développement de la maintenance prédictive pour Renault

https://youtu.be/01lfen-CEis Aujourd’hui, l’industrie possède de fortes lacunes dans la transition vers le numérique. L’implémentation du numérique pourrait éviter des coûts conséquents pour ces industries, que ce soit en termes d’argent mais aussi de temps. Pour l’usine de Renault, on estime que la maintenance représente 25% des coûts annuels d’une usine. De plus en plus les entreprises souhaitent s’orienter vers ce qu’on appelle aujourd’hui l’industrie 4.0. C’est en ce sens que Renault et Oracle on fait appel à des étudiants pour mettre en place cette transition grâce à notre projet. Dans le cadre de notre projet nous avons travaillé pour l’usine de Renault sur de la maintenance conditionnelle puis prédictive. Ces machines se situent en sous-sol de l’usine et permettent de recycler l’huile de coupe servant à la lubrification des chaines de production. Elles représentent les organes vitaux de l’usine, sans elles c’est toute la chaine de production qui s’arrête. Générant pour une heure d’arrêt un manque à gagner chiffré à plusieurs centaines de milliers d’euros. La maintenance aujourd’hui s’effectue par des équipes de techniciens en 3×8 patrouillant dans les km2 de sous-sol pour contrôler une à une les machines. Une machine est en moyenne contrôlée toutes les 4 heures. Une panne est donc détectée seulement lorsqu’un technicien est devant la machine.
C'est tout l’enjeu de notre projet : l’implémentation d’une maintenance conditionnelle qui permettra par la suite la mise en place d’une maintenance prédictive.
Le principe est simplement d’implémenter des capteurs sur les points critiques de ces machines pour récolter des données comme la température, la tension, la pression … Ces données sont ensuite via le réseau Lora Wan acheminées vers le cloud Oracle ou elles seront soumises à des critères que nous aurons définis en amont. Si les données récoltées à un instant t surpassent ces bornes une alerte sera envoyé sur l’application pour notifier un technicien qu’une anomalie a été détectée sur une machine précise du sous-sol à un endroit précis. En parallèle, cette collecte de données nous permettra de déployer par la suite notre système de maintenance prédictive. Une fois l’échantillon suffisamment important, il nous sera possible d’implémenter des modèles permettant d’identifier différents schémas qui se répètent juste avant une panne machine : par exemple l’apparition d’une vibration caractéristique.

Dispositif Interactif de Danger

https://youtu.be/7kUl1c5MP6s Le Dispositif Interactif de Danger est un projet proposé par le département Recherche et Innovation de Veolia qui vise à réduire le nombre d’accidents entre les piétons et les camions-bennes. A travers ce projet, Veolia souhaite développer un système 100% autonome et qui se veut le plus interactif possible afin de prévenir les personnes qui se trouvent autour du camion quelles sont en danger. En confiant ce projet à une équipe d’élèves-ingénieurs, Veolia compte sur nous pour apporter notre vision jeune et novatrice. Le cahier des charges est clair :  ce dispositif doit avertir directement les passants qui se trouvent dans la zone de danger afin de faciliter le travail du conducteur et des ripeurs, ces derniers étant déjà occupés par les nombreuses tâches à effectuer. Bien que ce dispositif doit être interactif et novateur, il se doit de respecter des règles de sécurité strictes vis-à-vis des passants autour du camion, mais aussi des automobilistes.
Nous devons mettre au point un system couvrant un public le plus large possible afin de prévenir toutes ces potentiels accidents.
Pour cela, notre système se devra doter d’un système d’alerte visuel et sonore. Devant être adaptable sur les camions-bennes, ce dispositif pourra aussi être installé sur tout type de camion ou véhicule, nous devons donc trouver un dispositif universel. Pour mettre au point ce système, Veolia a mis à notre disposition une caméra Blaxtair, permettant de détecter, dans un rayon donné et avec une précision plus ou moins importante suivant la distance, tout type de forme (humaine ou objet) qui se trouve dans son champ de détection.
Une fois la forme humaine détectée, la caméra Blaxtair enverra un signal à notre dispositif afin que ce dernier se déclenche.
Toujours dans une optique jeune et moderne, nous avons mis au point le dispositif suivant: Le camion-benne sera équipé de 8 caméras blaxtairs (4 de chaque côté du camion), 8 projecteurs laser (4 de chaque côté), 2 écrans LED (1 de chaque côté) et un haut-parleur. Les projecteurs laser auront pour but de créer une ligne au sol indiquant au passant de ne pas aller plus loin. Les écrans led afficheront un message indiquant au passant de s’éloigner du camion. Enfin, le haut-parleur émettra un signal d’alerte.

Plateforme d’immersion 2D/3D d’organisation des flux

https://youtu.be/WypEtKDGc70 Les sociétés Kamui Digital Health et Becton Dickison souhaitent créer un logiciel de modélisation 3D. Ce logiciel modélisera le lieu de travail à partir d’un scan 3D ou d’un dessin d’architecte. Il pourra convertir le lieu avec de nouveaux outils et maximiser leur agencement.
Afin de déterminer les options que le logiciel attendu doit contenir, nous avons fait une étude approfondie des besoins du client pour ensuite créer le cahier des charges ainsi que l’analyse structurelle.
Dès lors que cela fut au point, nous avons réalisé un début de visuel de notre logiciel et nous en avons codé une partie. Notre projet a, en partie, été réalisé en suivant un planning prévisionnel. Il nous a permis d’acquérir de la créativité et de consolider notre travail d’équipe.
Le donneur d’ordre est globalement satisfait des échanges que nous avons pu avoir tout au long du projet. Il aurait aimé que le projet aille plus loin avec un peu plus de temps.
Les différentes méthodes d’étude des besoins apportent toutes un certain nombre d’informations intéressantes pour l’étude et la compréhension globale de ce que nous recherchons. Nous aurions pu améliorer cette étude en l’élargissant. Pour la suite, nous devrions utiliser tous les axes de cette étude de besoins afin de mieux réaliser le logiciel et d’optimiser au maximum les options du logiciel. Découvrir les projets d'innovation industrielle en 4e année du cycle ingénieur

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Concours E3A – PT : Pourquoi choisir l’ESILV après une CPGE ?

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La saison des oraux E3A bat son plein. Les candidats qui passent l'oral de motivation à l'ESILV découvrent les majeures, les projets ingénieurs, les associations et prennent le pouls du Pôle à travers de nombreuses animations et visites concoctées pour l'occasion.

Les oraux du concours E3A-PT sont aussi et surtout un moment d'échange pour l'école comme pour les admissibles. Et qui de mieux pour accueillir et accompagner les admissibles que les admisseurs ? Retour sur l'expérience post-prépa à l'ESILV.

Ils ont choisi d'intégrer l'ESILV en post-prépa et en témoignent

https://youtu.be/y7TEf4w49pA J'ai choisi l'ESILV pour son cadre, au coeur de la Défense ; c'est une école d'abord généraliste. Pour sa transversalité, les majeures que l'ESILV propose. Je ne savais pas du tout dans quel domaine je voulais me tourner. On peut d'abord toucher un peu toutes les matières pendant la troisième année et après on se spécialise en 4e année. C'est une école généraliste et tu peux faire ce que tu veux après. Cela ne nous bloque pas en fait directement dans une formation. Généraliste, mais quand même spécialisée ! L'ESILV a beaucoup de relations avec les entreprises : ça a été un atout important pour mon choix. Mon meilleur souvenir à l'ESILV, c'est les soirées poker que j'ai faites avec mon "asso". C'est toute la vie associative. On se fait des amis qu'on ne vas pas oublier; les week-ends d'intégration... Il y a plein de diversité, on trouve des gens pour tout, en fait. On est vraiment entre "assos". Les personnes qu'on rencontre pendant les études supérieures sont celles qu'on va garder plus tard, donc pas moi je suis content d'avoir rencontré. La meilleure asso ? En vrai, c'est "chaud", ça, de choisir. VED : Vinci Eco Drive. Amma, je pense. Hydrovinci, j'en fais partie. Je pense, je ne vais pas me prononcer. DaVinci Sharks, l'asso de poker du Pôle. Il y a le côté sport, il y a le côté festif ... La vie associative, on l'aime vraiment bien. On a l'impression que c'est une famille, en fait. Si vous me regardez, Amma, faites-moi une place l'année prochaine ! Tout savoir sur le Concours Avenir Prepas et les modalités d'intégrer l'ESILV après une CPGE MP, PC, PSI et PT via les banques de concours CCINP, E3A Polytech, PT

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Théo, promo 2021, un parcours recherche en double-diplôme avec l’Université de Tianjin

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L'esprit de la recherche et de la méthode, la culture de l'expérimentation et de l'amélioration continue sont des qualités personnelles indispensables pour un futur ingénieur. C'est la mentalité que Théo, promo 2021, en parcours recherche au De Vinci Research Center, a pu développer tout au long de ses études et travaux en data science.

Aujourd'hui, étudiant en double-diplôme ESILV-Tianjin University, il revient sur ses découvertes qui l'ont plongé dans le monde du data-tourisme vu par le double prisme de l'approche DVRC et de l'expertise chinoise dans le big data et l'intelligence artificielle. Dans le cadre de son parcours recherche au sein de De Vinci Research Center, Théo Demessance, étudiant de la majeure Informatique, objets connectés et sécurité à l'ESILV, a intégré le Groupe Digital, sous la coordination de Nicolas Travers, en charge des travaux de recherche autour du big data dans le secteur du tourisme. Un secteur dans lequel Théo s'est forgé une expertise reconnue par la communauté internationale de la recherche en data science. Témoignage.

L'ESILV, une école généraliste avec un ADN transversal et une dimension projet

Avant d’intégrer l’ESILV, j’ai effectué mes études au lycée Lakanal à Sceaux, en filière Scientifique spécialité physique. Pendant ma terminale au lycée Lakanal, j’étais très indécis sur ce que je voulais faire plus tard. Beaucoup de domaines m’intéressaient. Ainsi, je suis allé à de nombreux salons rencontrer les différentes filières, écoles et spécialités qui étaient susceptibles de me convenir. Le parcours ingénieur a su retenir toute mon attention grâce à son côté scientifique, mais aussi stratégique et essentiel pour chaque entreprise.
Je me rappelle que l’ESILV m’avait beaucoup plu grâce à son parcours généraliste, sa renommée qui grandissait et son côté transversal (i.e le fait d’évoluer dans un pôle académique avec plusieurs écoles de différentes majeures).
J’intègre donc l’ESILV directement après le baccalauréat en 2016. Les deux premières années sont très théoriques et l’enseignement scientifique est très poussé, mais la dimension projet me plaît beaucoup. Mon intérêt pour l’informatique grandit, mais je suis toujours intéressé par la filière finance. En 3eme année, le cours de Datasciences & IA de Christophe Rodrigues me plait énormément. D’autant plus que je me rends compte que le marché du travail dans l’IA connait un grand essor. Je me renseigne sur le métier de Data Scientist et le recoupement de l’analyse mathématique avec la programmation me séduit. Je choisis donc de m’orienter dans la majeure IBO.

Se former à la recherche et par la recherche dans le cadre du DVRC

Le DVRC, De Vinci Research Center, est le laboratoire de recherche du Pôle Léonard de Vinci. Il a pour objectif de développer une recherche de qualité, reconnue dans les communautés académiques nationales et internationales. Il est composé de 4 groupes : Business, Digital, Finance et Modeling ; qui traitent des sujets différents. Il faut bien distinguer le parcours Recherche et le parcours Innovation. La différence réside selon le point de vue que l’on prend : L'innovation consiste essentiellement à utiliser des découvertes scientifiques afin d’en tirer des produits utiles ou à apporter une contribution à un produit, un processus ou un service existant ; tandis que la recherche c’est l'investigation systématique et l'étude de matériaux et de sources afin d'établir des faits et de parvenir à de nouvelles conclusions. Pour ma part, j’ai réalisé mes travaux au sein du Digital Group, dirigé par Nicolas Travers. Les travaux de recherche du groupe s’intéressent à la transformation digitale à l’ère du Big Data, d’une manière multidisciplinaire et transversale, avec 4 axes principaux : l’entreprise et le numérique (impact de la révolution du digital), l’industrie intelligente (IA et jumeaux numériques), du Big Data aux Smart Data (Data Mining, Machine Learning et Big Data processing) et le Computer Human Interaction (IA et Smart Materials).
Dans le cadre de mon double diplôme avec l’université de Tianjin en Chine, chaque étudiant doit rédiger et publier un article scientifique, dans un domaine que l’on souhaite. Pour ma part, j’ai profité du partenariat afin de travailler en collaboration avec le DVRC et le TJU Lab (Laboratoire de recherche de Tianjin University).
Ainsi, le DVRC a une grosse expertise dans le domaine du tourisme, grâce à une grosse base de données, et des partenariats avec des organismes régionaux afin de pouvoir réaliser des travaux très poussés. J’ai donc voulu apporter ma pierre à l’édifice en produisant un papier dans cette thématique. Je me suis focalisé sur la prédiction de comportements touristiques.
Pour être plus précis, le but de mon papier était de créer un outil (que des entreprises de tourisme entre autres pourraient utiliser) prédisant, avec une certaine probabilité, un lieu ou un touriste donné pourrait aller, en prenant en compte les lieux qu’il a déjà visités. Pour cela, j’ai utilisé le Machine Learning, et plus précisément les chaines de Markov, qui nous permettaient de modéliser des petites séquences temporelles tout en gardant une relation d’ordre entre les éléments de la séquence.
Après plusieurs tentatives dans des conférences internationales, mon papier a été accepté à la 22eme conférence internationale sur la gestion des données mobiles au Canada ; ou j’ai pu présenter mes travaux devant plusieurs chercheurs venant du monde entier. Cette expérience fut très formatrice, car il faut apprendre à fouiller un sujet, à se documenter, à aborder un problème donné, à poser des hypothèses, à essayer de les résoudre, à échouer, et recommencer encore et encore jusqu’à l’obtention de résultats.

Se former au software engineering grâce au double-diplôme ESILV- Tianjin University

Le double-diplôme avec l’université de Tianjin est un partenariat, mis en place par l’ESILV. Il permet, aux personnes acceptées, de réaliser un master chinois de 2 ans et demi en software engineering (ingénierie en génie logiciel). Mes recherches m’ont amenées à trouver ce partenariat qui amenait à un double diplôme, et il a su retenir mon attention : la Chine est le pays le plus avancé et ayant le plus gros budget en IA mondial, l’université est présente dans le top 100 des meilleures universités mondiales en ingénierie, et enfin l’occasion de découvrir un pays dont la culture m’intriguait. https://youtu.be/_rIcqHsSWRI Cependant, même s’il y a beaucoup de points positifs, les modalités pour être diplômé de l’université de Tianjin sont très exigeantes et d’un haut niveau : il faut valider tous les crédits de cours, valider le niveau HSK 3 (équivalent B1) en chinois, publier un article scientifique et/ou déposer un brevet. Les cours sont dispensés en anglais, mais il peut arriver que certains professeurs fassent les dispensent en chinois ! A ce jour aucun étudiant de l’ESILV n’a pu arriver jusqu’au bout !

Étudier l'ingénierie en Chine, une chance unique

Etudier en Chine, c’est une expérience ! Et un excellent choix pour les étudiants qui souhaitent étudier à l’étranger. Surtout compte tenu de l’énorme développement de la Chine dans tous les domaines, ce qui fait de ce pays une destination phare pour de nombreux étudiants du monde entier. Dans un premier temps, cela permet d’apprendre le mandarin, première langue parlée au monde. Tianjin étant une ville très industrielle, peu occidentale, il y a très peu de chinois anglophones ; l’immersion est donc totale. Pour ma part, au bout de 6 mois j’avais réussi à développer un niveau intermédiaire. Dans un second temps, certaines des universités chinoises comptent parmi les mieux classées du monde. Cela apporte un côté très international au profil, très apprécié des recruteurs, et surtout utile si l’on souhaite se tourner vers une carrière internationale. Dans un troisième temps, lorsqu’on parle d’étudier en Chine, on parle de programmes d’études à des coûts acceptables, par rapport aux pays leaders en matière d’éducation comme les États-Unis, le Japon, ou l’Europe et le Royaume-Uni. En effet, la Chine est une grande opportunité pour les étudiants qui cherchent à faire des études supérieures à des coûts abordables. Même en matière de logement et de vie, il existe des villes qui proposent des logements convenables à des coûts conformes à son budget.
Tianjin étant une ville portuaire et donc industrielle, le cout de la vie était très abordable (2/3€ par repas). Cela permet aux étudiants de découvrir la culture immense de la Chine, sans se ruiner et de pouvoir profiter à fond de son expérience ! Tianjin et Pékin étant reliées en 30 minutes en TGV, on peut très facilement avoir accès aux lieux culturels.
Le dernier point, c’est la possibilité de découvrir une région du monde tellement fascinante. En effet, ayant le statut d’étudiant international, je bénéficiais de la résidence permanente (ce qui permet de pouvoir faire des aller retours en Chine sans avoir besoin de visa pour chaque entrée – et cela n’est pas possible lors des échanges de 6 mois), ce qui m’a permis de faire de magnifiques voyages en Asie (Thaïlande, Indonésie, Malaisie, Philippines) sans se ruiner au niveau des billets d’avion. Il faut cependant souligner que les différences avec la France sont notables : culturellement, la hiérarchie entre professeur et élève est très forte. Cela nous amène à savoir travailler seul (ou en groupe), sans un suivi des professeurs. De plus, la majorité du cursus se mise sur la recherche, il faut donc savoir travailler en autonomie, savoir se documenter, … Ce qui m’a frappé c’est le peu de pratique (TD, TP, expériences, exercices, etc.) qu’on a dans les cours. En effet, la plupart des cours sont des présentations de concepts, pratiques, formules. Le professeur estime ensuite que toute la pratique doit être faite de son côté, afin d’arriver le jour de l’examen final avec toutes les clés. Cependant, je n’ai pas noté que le niveau était plus élevé comparé aux cours de mathématiques/informatique que j’ai pu suivre à l’ESILV. Ce qui montre que la formation française est très bonne, et qu’il ne faut pas douter de cela. D’autant plus que les soft skills (savoir présenter en anglais, savoir travailler en groupe) sont des qualités qui m’ont été vantées plusieurs fois. C’est une expérience extrêmement formatrice et enrichissante qui nécessite et développe son ouverture d’esprit, rigueur et adaptabilité. Enfin, d’un point de vue personnel, la Chine m’a réellement ouvert les yeux. On est amené à connaître des gens qui quittent leur pays, foyer, famille pour venir étudier dans un pays inconnu, sans aucun suivi ni point d’ancrage au cas où les choses se passeraient mal. J’ai eu la chance d’être accompagné par les professeurs de l’ESILV, et j’ai vraiment réalisé que cette chance était unique, que je n’avais pas le droit d’abandonner. C’est pour cela que je souhaite remercier à nouveau Sonia DJEBALI et Guillaume GUERARD ainsi que tout le DVRC qui m’ont encadré pendant plus d’un an et demi sans relâche malgré les difficultés liées à la différence de culture et donc de manière de travailler, aux conditions intrinsèques pour valider le double diplôme. Pour la suite, je songe réellement à repartir à l’international. J’ai beaucoup apprécié évoluer dans un milieu que je ne connaissais pas, découvrir une nouvelle culture, et rencontrer de nouvelles personnes d’horizons différents. Aussi, je pense continuer à travailler en tant que Data Scientist pendant quelques années afin de vraiment profiter des connaissances technologiques que j’ai pu apprendre au travers de mes différentes expériences. Puis, l’idée est d’évoluer sur des métiers orientés management, qui me semblent plus appropriés lorsque l’on a de l’expérience, et un peu moins de maîtrise sur les technologies (qui évoluent sans cesse à une vitesse folle !)

Sortir de sa zone de confort pour se former à la data science

Mon premier conseil, peu importe sa spécialité, est de sortir de sa zone de confort. Il y a tellement à apprendre autre part que ça veut vraiment le coup. De plus, ça nous permet de grandir en tant que jeune ingénieur, et d’avoir une certaine assurance lorsque l’on discute avec d’autres personnes. Maintenant, pour les amateurs de data science, je pense que la recherche amène une palette de connaissances très intéressante. La Data Science n’étant pas une science exacte, il est important de savoir aller chercher les informations, savoir lire et écrire des articles techniques en anglais, et savoir accepter l’échec. De plus, à travers mes expériences et les entretiens que j’ai pu avoir, j’ai remarqué que la DS (Data Science) reste très expérimentale en entreprise, ainsi les profils orientés recherche (notamment les doctorants) sont très bien valorisés.

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Bâtiments & villes durables : 12 étudiants ESILV dans le jury Green Solutions Awards

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Encourager le secteur du BTP à aller vers une construction et un urbanisme soutenables. C'est le but de "Green Solutions Awards", concours de solutions pour des bâtiments et villes plus durables organisé par Construction21. Cette année encore, 12 étudiants ESILV ont pu apporter leur expertise en tant que membre du jury Étudiants.

Pour cette édition 2020-21, ce sont plus de 100 étudiants issus de 17 écoles qui se sont prêtés au jeu : ils ont évalué un total de 71 bâtiments durables en appliquant leur propre grille d’analyse. Parmi les membres du jury on compte 12 étudiants ESILV : Mélanie NGO, Lindesy ORVILLE, Corentin NEAUD, Alexandre ROUSSEAUX, Louise PORTE, Alexandre CHEN, Samuel DESCHAMPS, Mary DAL ZUFFO, Erwan HOUSSIAUX, Wassim SERRADJ et Coraline RIOU. Étudiants des majeures Énergie et villes durables et Modélisation et mécanique numérique, ces élèves-ingénieurs font partie de la promo 2021 à l'ESILV. En travaillant main dans la main avec des experts de haut niveau et des professionnels de terrain, pour analyser et sélectionner des projets innovants en lien avec les villes intelligentes, ces ingénieurs en devenir ont eu l'occasion de confronter et améliorer leur approche pédagogique sur la construction durable en France en 2021.

L'expérience des étudiants ESILV aux Green Solutions Awards 2021

"Nous avons évalué 12 projets", nous raconte Mélanie NGO. "Notre gagnant est la "Rénovation biosourcée de 24 logements sociaux" à Raon l'Étape, dans le Grand-Est (88 110). "C'est une structure rénovée, en date des années 1970. Le bâtiment est peu consommateur en énergie par rapport à sa consommation initiale de 400,00 kWhep/m2.an, les travaux ont permis de diviser sa consommation par 10 : 47 kWhep/m2.an.
Avec un classement B sur l'étiquette énergétique, le bâtiment utilise des matériaux économiques et biosourcés ainsi que le chauffage et l'ECS (bois). Le logement collectif émet très peu de gaz à effet de serre : 1,00 KgCO2/m2/an.
Finalement, la rénovation apportée à la façade, à la ventilation et au système de chauffe n'est pas très onéreuse, au coût de 632.8 €/m²", conclut Mélanie. Le projet sélectionné par le jury ESILV correspond au choix du prix Énergie & Climats tempérés. Selon Construction 21, le "parti pris" du projet est ambitieux :
  • diminuer économiquement par 10 les charges énergétiques des locataires
  • utiliser des matériaux locaux et bio-sourcés (structure bois et isolation bois)
  • utiliser une énergie renouvelable et locale (plaquette bois) pour chauffage et ECS

Noter l'innovation durable lors des Green Solutions Awards 2021

"Nous avons évalué les projets à travers plusieurs critères de notation : le coût, la reproductibilité, l'innovation et le caractère durable des projets. Chaque membre de l'équipe a attribué une note pour chacun des critères et nous en avons fait un classement pondéré.
L'évaluation du coût s'est fait par euros/m². La reproductibilité selon la localisation du bâtiment, le type de matériau et les technologies utilisées.
Pour l'innovation, il s'agit de combiner l'usage de nouvelles technologies avec l'environnement du bâtiment. Par exemple, au niveau des conditions climatiques d'un projet, la pose de panneaux solaires sur la toiture d'un immeuble dans une localisation ensoleillée, avec une exposition sud.
Le caractère durable, selon la durée de vie du matériel, l'utilisation de matériaux recyclés et l'utilisation d'énergies renouvelables.
Nous avons repéré que cette année, la tendance des projets se rapproche de l'intégration des énergies renouvelables, des matériaux recyclables, et des structures en bois. Également, nous avons remarqué la quantité importante de rénovations de bâtiments", a expliqué Mélanie. Qu'il s'agisse de solutions BIM, smartcity, IoT ou de mobilité intelligente, les ingénieurs en transition energétique de demain doivent maîtriser les enjeux du développement durable, les technologies numériques et la modélisation des villes et des bâtiments. Le cycle Master  à l'ESILV permet à chaque étudiant de 4e et 5e année de construire leurs compétences techniques et soft skills à travers la pédagogie projet, des parcours multiples (innovation, start-up, recherche) et en collaboration avec des enseignants, des coachs et de nombreux acteurs du monde scientifique et de l'entreprise.

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Robot humanoïde évolué : Exit InMoov, welcome JASPER !

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InMoov : vous souvenez-vous du robot humanoïde, en open source, imprimé en 3D et reproduit dans le monde entier par les passionnés d'électronique ? Au Pôle Léonard de Vinci, ce projet porté par DaVinciBot, l'association de robotique, tourne une nouvelle page de son histoire et devient JASPER.

Imprimer en 3D, assembler et programmer un robot open source InMoov représente une bonne école pour s'initier à la robotique et au déploiement des logiciels en open source. Mais ce type de projet montre aussi ses limites en école d'ingénieurs. Afin de faire évoluer son aventure InMoov, DaVinciBot remplace le projet open source imprimé en plus de 800 heures par un humanoïde "évolué" :  JASPER.

Passer de l'open source à des structures plus résistantes : Jasper

https://www.instagram.com/p/CQZJaIqIesD/ Gauthier Gendreau, promo 2024, chef de projet "InMoov", revient sur l'évolution du robot humanoïde simple imprimé en 3D et sa nouvelle mission.
"JASPER (Just A  Simple Performant Evolved Robot) est le nouveau projet de Da Vinci Bot s'inscrivant dans la lignée d'InMoov.
Nous sommes arrivés à la limite du robot InMoov et de sa structure en plastique et avons cidé de changer radicalement sa structure en reprenant depuis les fondations du projet. Ainsi, nous nous séparons des plans open Source d'InMoov pour créer un robot humanoïde unique: Jasper.
Cette année, nous avons réalisé une alimentation électrique très performante permettant de répondre aux besoins d'InMoov et nous avons terminé le système de communication interne du robot avec les cartes sans-fil.
C'est-à-dire qu'InMoov peut contrôler les différentes parties de son corps via le Wifi, ce qui assure plus de simplicité au niveau des articulations (mois decâbles à passer) et surtout une très grande modularité su système permettant quand on le souhaite d'ajouter ou d'enlever des capteurs/des moteurs. Le vrai faut d'InMoov était sa structure, imprimée en 3D, qui ne permettait pas de réaliser les objectifs du robot (impossible de porter une charge par exemple). La création de Jasper vient donc pallier à ce problème en créant une nouvelle structure plus rigide (Métal, carbone, etc. Ce sera à nos équipes de trouver la meilleure solution." DaVinciBot (DVB) sur Instagram : davincibot_pulv. Pour en savoir davantage sur les projets étudiants à l'ESILV

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Trouver une idée de création d’entreprise en école d’ingénieurs grâce aux projets PING

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La digitalisation de notre monde multiplie les opportunités de création d'entreprises. Et quoi de mieux pour faire émerger les idées d'entrepreneuriat à l'ESILV que les projets de l’Ingénieur Numérique Généraliste de 3e année ? Le point sur le concours "Je monte ma start-up" en école d'ingénieurs.

Il ne faut pas nécessairement passer par une école d'ingénieurs comme celle de Standford - où est née Google - pour poursuivre la fibre entrepreneuriale en faisant de l'innovation de rupture. À l'heure de la start-up nation, les grandes écoles françaises font de l'entrepreneuriat un axe fort de leur développement.
À l'ESILV, les projets PING de la promotion 2023 ont mis l'accent sur l'accompagnement à la création d'entreprise, en plus du parcours start-up.
Comme chaque année, dans le cadre du projet de l'ingénieur numérique généraliste, les étudiants de 3e année doivent proposer une réalisation innovante dans le cadre d’une compétition. Cette année, le défi était d'imaginer un projet de création d'entreprise.

Start-up Challenge : 7 équipes PING en lice pour la meilleure idée d'entrepreneuriat

 Les projets PING 2021 ont été centrés sur le jeu de rôle « je monte ma startup ». Depuis octobre 2020, 98 équipes de 5 étudiants se sont penchées sur différentes idées de business : après avoir  trouvé une idée, elles ont fait un lean canvas, puis réalisé un MVP (Minimum Viable Product).  À l'issue de leurs projets, les équipes PING ont été invitées à défendre leurs idées devant un jury d'experts issus de l'écosystème startup :

  • Jeanne Couroble, intervenante à X HEC Entrepreneurs
  • Sandrine Doppler, consultante marketing
  • François Tabourot, chief executive officer chez BRIGHTEN
  • Matthieu Naves, délégué général de WeLikeAngels, promo 2016
  • Peter-Elias Eid, responsable assurance chez FINANCE-INNOVATION, promo 2016

A la fin de la journée de soutenance PING, les 7 « meilleures » équipes  ont été sélectionnées pour participer au Start Up Challenge qui a eu lieu le 10 juin 2021.

L'équipe gagnante du Prix du concours d'idées start-up est celle travaillant sur le projet Blueteeth, un dispositif qui faciliterait la vie des utilisateurs des technologies bluetooth : Maxime BOUTIN ,  Zachary CHENOT,  Thomas CULINO, Hippolyte GUESDON-VENNERIE , Ferdinand VALANCOGNE.

Le Prix du Start-up Challenge : une idée d'innovation bluetooth

"Actuellement, les enceintes portatives sont très prisées par les jeunes du fait qu’ils peuvent les emporter facilement presque partout et les utiliser dans presque toutes circonstances. Malheureusement, ces enceintes ne sont pas très puissantes, et même si en général on dispose de plusieurs de ces enceintes, on ne peut en utiliser qu’une seule à la fois. Notre produit, Blueteeth, permettrait de pallier ce problème. En effet, grâce à ses multiples émetteurs Bluetooth, il permettrait de connecter toutes les enceintes disponibles, même celles de marques et modèles différents simultanément à un seul téléphone, offrant la possibilité d’avoir un volume sonore plus important et mieux réparti dans une pièce ou dans l’espace occupé. De plus, notre produit offrirait des fonctionnalités supplémentaires : doté d’un amplificateur, il est capable fournir un son en stéréo. Il suffit simplement de séparer de quelques mètres les deux enceintes connectées pour obtenir un son en stéréo. Enfin, ce ne sont pas les seules utilisations possibles de notre produit. Puisqu’il peut se connecter à n’importe quel appareil Bluetooth, notre produit pourrait très bien s’utiliser avec plusieurs paires d’écouteurs sans fils. Ainsi, lors d’un trajet dans un train ou un avion par exemple, il serait possible de suivre un film à plusieurs sur un seul écran en utilisant chacun sa paire d’écouteur sans fils. Son petit format ainsi que son accessibilité économique font donc du Blueteeth un accessoire idéal." En savoir davantage sur les projets ESILV

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Nicolas, promo 2000, PLM CTO & Head of Digital Continuity chez Capgemini

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Issu de la première promotion d'ingénieurs ESILV, Nicolas Croué, promo 2000, s'est taillé une vraie carrière dans le digital et le product lifecycle management.  Aujourd’hui, vice-président, PLM CTO et à la fois head of digital continuity au sein de Capgemini, il nous partage son parcours entre Paris et Toulouse.

En faisant partie de la première promotion de l’ESILV, nous étions convaincus d’être un peu les créateurs du Pôle, de participer modestement à son orientation. La proximité avec les le corps professoral, avec la direction, la qualité des échanges permettait cette dialectique constructive.

Choisir l'ESILV pour son "côté" numérique, transversal et orienté entreprise

Le côté novateur m’a tout de suite attiré, les moyens numériques et par-dessus tout, le lien avec l’entreprise, le nombre de stages et l’aspect pratique et concret de l’enseignement. Nous étions en rupture avec les autres écoles. Ce que j’ai adoré aussi c’est l’apport des cours de « management » de la business school les enseignements croisés avec l’EMLV. C’est encore unique aujourd’hui je crois.
Ce que je retiens du Pôle ce sont ses trois valeurs : l’ouverture, son enseignement orienté entreprise et sa culture du numérique. Nous recrutons beaucoup d’ingénieurs, et j’apprécie la distinction digitale de l’ESILV.
Le PLM (Product Life cycle Management) est une notion que j’avais déjà apprise au Pôle. Aujourd’hui elle est associée à la continuité digitale : faire converger toutes les informations utiles d’un même projet numérique. Le PLM est un des outils collaboratifs rendus nécessaires par les projets digitaux et s’étend aujourd’hui à tous les secteurs d’activité. Il permet d’assurer la traçabilité de la complexité.

Manager de l'industrie numérique : un défi en PME comme en grand groupe

Ma fonction est à la fois simple et compliquée. Un rôle de management avec ses 3 dimensions :  vision, management et business. Il s’agit d’embarquer mes équipes, plusieurs centaines de collaborateurs et d’insuffler une orientation développement pertinente. Piloter les activités sur les 5 continents en assurant la bonne allocation de moyens et de compétences à chacun des projets. Et enfin, il s’agit de travailler au quotidien avec un réseau de partenaires.
Le vrai challenge pour moi ? L’aspect global et l’amplitude horaire qui en découle : démarrer avec l’Inde le matin et finir avec les Etats Unis le soir. Le nombre de projets est impressionnant, les sujets et les enjeux de multiculturalité passionnants, mais la contrepartie, c’est le non-stop.
Mon évolution de carrière, entre PME et Capgemini,  s'est déroulée assez naturellement, en fait. J’avais peur d’être noyé, mais j’ai découvert une culture de l’entrepreneuriat et des moyens fantastiques.  Lorsque j’arrive, j’ai 39 ans, je démarre comme patron d’une équipe à Toulouse, je deviens responsable PLM d’un pays, puis je suis proposé à la position de VP.
Capgemini investit énormément sur les collaborateurs et le développement de la personne, avec un accompagnement exigeant qui enrichit considérablement.  Le groupe fonctionne au mérite. Le rythme est intense, mais personnellement j’ai toujours beaucoup travaillé. Je tiens par ma motivation : je n’ai pas l’impression de travailler la moitié de ma journée grâce à la richesse des projets et des équipes.
A ma sortie d’études, auprès des grands groupes, l’ESILV n’avait pas la notoriété qu’on lui connaît aujourd’hui. La PME m’a alors permis de faire quantité de choses et de progresser rapidement. Aujourd’hui, les PME dans ce secteur du PLM n’existent presque plus. Changer d’échelle était une nécessité pour accéder à d’autres capacités, à d’autres tailles de clients.

De la modélisation systèmes au PLM, une évolution naturelle

Je démarre en tant qu’Ingénieur Calcul chez Samtech, un éditeur de logiciels. Ensuite l’ancien directeur de l’ESILV me demande de lancer l’agence de Toulouse de Imagine, une société de modélisation systèmes dont il tient la direction. Je démarre seul l’activité, ça marche bien et au bout de 5 ans, nous sommes rachetés par LMS.  Je décide alors de changer. C’est mon "coming out" vers le PLM. Je rejoins Keonys qui revend les solutions de Dassault Systèmes. J’y reste 10 ans jusqu’à croiser la route de Capgemini. Le fil rouge de mon parcours est la création. Dès que j’ai un espace de liberté, je crée, je connecte des activités qui ne le sont pas naturellement, et pousse l’innovation, cherche plus de nouveautés intrinsèques fondamentales.

Un conseil pour les futurs ingénieurs ESILV

Ce qu’ils apprennent aujourd’hui et qui les distinguera, c’est la culture générale de l’ingénieur, la faculté de savoir travailler en collaboration avec d’autres et surtout la gestion de leurs émotions. C’est ça le plus important. Je leur dirai aussi de s’appliquer dans l’apprentissage des langues, d’être bilingue, voire trilingue. L’échelle est plus que jamais mondiale et l’anglais le minimum vital.

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Un podium ESILV au challenge City’Zen de Berger Levrault

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L'équipe ESILV gagnante de la 3e place au Cityzen Challenge

La 5e édition du City'Zen Challenge, "Beyond Covid, Rebooting Society" a désormais ses lauréats. Trois projets PING ESILV ont été sélectionnés pour la finale du concours, dont un podium.

La thématique de l'édition 2021 de City'Zen Challenge était : « Beyond Covid, rebooting society ! ». Ce ne sont pas moins de 588 étudiants qui ont déposé 48 projets en lien avec la crise du Covid-19.
Ces solutions innovantes sont pensées pour réinventer le quotidien des usagers de nos villes, et répondre aux enjeux à la fois sanitaires, sociaux, économiques et environnementaux.
10 projets ont concouru à la finale du concours dont la remise des prix s'est déroulée le  30 juin dernier au siège social de Berger Levrault, situé à Boulogne-Billancourt. Les 3 projets ESILV qui ont été sélectionnés pour cette étape décisive ont été réalisés dans le cadre des Projets de l’Ingénieur Numérique Généraliste, ou PING, de la 3e année du cursus ingénieur.

Les projets finalistes ESILV au City'Zen Challenge

Chaque année, dans le cadre des projets PING, les élèves-ingénieurs ESILV doivent proposer une réalisation innovante pour participer à une compétition. En 2021, 3 projets d'ingénieurs numériques généralistes se sont qualifiés pour la finale City'Zen.

QRYPT’ID : application pour la numérisation des papiers d'identité

Qrypt’ID permet à chaque citoyen d’avoir sa carte d’identité sur son smartphone, sous forme de QRCode (Nous avons repris l’idée de QRCode, étant de plus en plus utilisé, notamment dans les plateformes du gouvernement comme Tous Anti-Covid et le probable futur pass sanitaire). Avoir sa carte d’identité à portée de main, sur son téléphone, permet d’éviter les oublis, les vols et permet aussi de lutter contre l’usurpation d’identité. Ce projet a été réalisé par : Souhail Ait LAHCEN, Antoine GOUNOT, Nasreddine GRIHMA,  Clarisse GUICHARD, Jean LE CHEVALIER,  Martin MOULY.

GO2R : application pour la réduction de l'empreinte carbone

L'objectif de GO2R est de "créer une application mobile gratuite pour connaître l’empreinte carbone des produits de consommation alimentaire et textile. L’empreinte carbone sera calculée sur la base de plusieurs facteurs environnementaux reconnus. De plus, l’application proposera des produits alternatifs (en termes de prix et de qualité) qui ont empreinte carbone plus faible." L'équipe GO2R : Feres CHAARI, Antoine COHEN, Artémis COUSSIN,  Marion DERMINEUR,  Hugo DESBIENS,  Lorène DUMAS

Vegegreen : plateforme pour favoriser l'économie locale

eVegeGreen est une application d’échange de produits entre particuliers d’un même quartier qui permet à chacun de produire localement ce qu’il souhaite et dans l’intérêt de toute une communauté. Le but est simple : utiliser cette application pour permettre une mise en relation des acteurs produisant des produits locaux (petits producteurs, fermes, personnes possédant un potager…) et des potentiels acquéreurs de ces produits (particuliers). L’intérêt est de favoriser l’économie locale, la solidarité sociale et l’entraide. Les possesseurs de jardins pourront y laisser libre accès pour que d’autres personnes puissent venir les entretenir et y faire pousser des produits." Lauréate de la 3e place, l'équipe Vegegreen s'est partagé les 25 000 euros du prix City'Zen Challenge avec 4 autres équipes gagnantes. En savoir davantage sur les projets ingénieurs à l'ESILV

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Numérique et handicap : EyeScan finaliste du prix Entreprendre pour demain 2021

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Comment innover pour répondre aux besoins des oubliés du numérique ? C'est la question à laquelle ont tenté de répondre 5 étudiants ESILV de la promo 2023, à travers EyeScan, un projet PING de 3e année. Leur solution a été sélectionnée dans la finale du prix Entreprendre pour demain 2021 de Sopra Steria.

Dans le cadre du projet de l'ingénieur numérique généraliste ou PING, les élèves-ingénieurs participent à un compétition nationale de leur choix, en proposant une solution innovante qui mobilise les compétences acquises en première année du cycle ingénieur. Cette année, le projet EyeScan, qui se propose de faciliter le quotidien des personnes malvoyantes, fait partie des 6 finalistes du concours Entreprendre pour demain de la Fondation Sopra Steria-Institut de France, dans la catégorie Étudiants.

EyeScan : Le numérique au service des malvoyants

Titouan LE BARAZER, Julie CLERGUE, Lise FERRONNIERE, Henri CUPILLARD et Julien LAMBERT, étudiants de la promo 2023, proposent EyeScan, un projet inspiré par les enjeux sociaux, sociétaux et environnementaux.
Autour de la thématique "Numérique et fragilités humaines : quelles solutions innovantes pour répondre aux besoins des oubliés du numérique?", l'édition 2021 du concours Entreprendre pour demain récompense les projets qui répondent aux besoins des oubliés du numérique.
Les étudiants doivent en plus intégrer une dimension environnementale dans leurs projets, et la sobriété numérique en fait partie. C'est pour venir en aide aux handicapés visuels que l'équipe ESILV s'est mobilisée dans le cadre des projets PING. EyeScan est un boitier intelligent en matériaux recyclables, permettant de guider les malvoyants dans les commerces. "Une caméra connectée reliée à un casque bluetooth permettra à la personne de pouvoir scanner les objets et de reconnaitre, grâce à l'IA, le nom du produit, le poids, le prix, les plats possibles,  mais aussi de trouver le rayon adapté à leur recherche", explique Titouan. "Plus qu'un challenge technique, le projet EyeScan est une grande expérience humaine, qui nous permet de nous immerger dans les majeures que nous avons choisies pour notre cycle ingénieur, à savoir Énergie & Villes durables, Santé biotech et Data & Intelligence Artificielle". Accompagnés par un collaborateur de Sopra Steria, les 5 élèves-ingénieurs ESILV doivent perfectionner leur prototype et préparer un pitch de 15 minutes pour passer devant un grand jury. Le grand "test" est prévu pour le 23 septembre.

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Le défi de Lucas, promo 2022 : nager 380 km pour dénoncer la pollution des mégots

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Descendre la Seine à la nage et rejoindre les côtes normandes pour montrer le chemin fait par un mégot jeté dans les égouts de la capitale. C'était le défi sportif de Lucas, élèves-ingénieur de la promo 2022, qui s'est lancé dans un périple de 7 jours pour parcourir les 380 kilomètres séparant Paris de Deauville. Son ambition est de lutter contre la pollution des mégots des cigarettes.

C'est le 29 mai dernier, veille de la journée mondiale sans tabac 2021, que Lucas, promo 2022, élève-ingénieur de  la majeure Informatique, objets connectés et sécurité à l'ESILV, se lançait dans l'aventure : descendre la Seine à la nage sur près de 380 kilomètres pour retracer le parcours des mégots de cigarettes jetés par terre en ville. Un exploit que Lucas et ses 3 coéquipiers, cofondateurs de l'association 0 mégot, ont accompli en 7 jours : ils sont arrivés à Deauville le 5 juin dernier, journée mondiale de l'océan. https://www.instagram.com/p/CPfdU-9IG2N/ Une initiative qui n'a pas manqué de susciter l'intérêt des médias.

Le Figaro Étudiant : Une aventure en famille

Selon un article paru dans Le Figaro étudiant, "Lucas, 21 ans, étudiant ingénieur en cyber sécurité et objets connectés en quatrième année à l’Esilv, nage depuis qu’il est en troisième. Il est le frère de Matthieu, le copain de Chloé, 24 ans, qui a fait des études d’ingénieur en Angleterre. Elle fait de la natation depuis ses 11 ans en club avant de se mettre au triathlon après la terminale. Elle vivra l’aventure avec sa cousine, Louise, 20 ans, championne de France de natation synchronisée en 2014. Une épreuve qu’ils vivront en famille, et à laquelle ils se préparent à Annecy. Ce projet est né dans un train, alors que les compères rentraient d’une traversée du détroit de Gibraltar en octobre 2019. Lucas se souvient: «Matthieu a lancé l’idée en rigolant. En en parlant plus sérieusement, on a vu que c’était possible, en format relais

Le Parisien et 20 minutes : la cigarette, c'est mauvais pour la santé mais aussi pour la planète

Selon Le Parisien, "ces amateurs confirmés s'entraînent dur depuis un an. Vélo, musculation, course à pied... « C’est un relais, on nage 1 heure et on se repose 3 heures dans la péniche qui nous suit et qui nous sert aussi de camp de base », décrit Matthieu Witvoet". Les sportifs veulent attirer l'attention sur "un déchet aussi courant que toxique : nos mégots de cigarette". "Il faut au moins ça pour faire évoluer ne serait-ce qu’un peu les comportements et réduire l’impact sur l'environnement de ces bouts de clopes laissés à l’abandon", explique le frère de Lucas pour 20 minutes. "On ne s’en rend pas forcément compte, mais depuis plus de trente ans, les mégots sont la principale source de déchets plastique dans l’océan". 27% des Français fument quotidiennement et 62% d'entre eux jettent leurs mégots par terre en ville. Au total en France, 40 000 mégots finissent par terre chaque minute et polluent chacun 500 litres d'eau.
« Pas besoin de repenser toutes les usines de production, note Matthieu. Et Lucas d’ajouter : « L’important pour nous, ce n’est pas d’arrêter de fumer, mais de jeter son mégot dans une poubelle. » (www.paris-normandie.fr)
Afin de sensibiliser le plus grand nombre, l'association 0 mégot a organisé une opération géante de collecte de mégots dans les rues de Paris. Avec précisément 855,294 mégots ramassés en une journée, ils ont été tout près d’établir un nouveau record du monde. Les mégots collectés sont ensuite recyclés par EcoMégot pour réaliser du mobilier urbain.

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Master Actuariat : un nouveau double-diplôme ESILV – Paris Dauphine

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Les doubles-diplômes actuariat sont l’assurance de former des ingénieurs-actuaires capables d’évoluer dans un marché de l’assurance et de l’audit renouvelé grâce aux innovations technologiques. Dans cette optique, l'ESILV vient de signer un nouveau double-diplôme avec le Master Actuariat proposé par Dauphine - PSL.

L'ESILV ouvre un nouveau double-diplôme avec Paris Dauphine, destiné aux étudiants qui suivent le master Actuariat du cycle ingénieur à l'ESILV. Cette formation leur permet de se former au métier d'actuaire en 5 ans après le bac. À l'issue de ce programme double-diplômant, les étudiants pourront obtenir à la fois le diplôme d'ingénieur ESILV, celui de Master délivré par Dauphine-PSL et le titre d'actuaire, après avoir validé leur mémoire auprès d'un jury IA.

Le Master 2 ESILV - Dauphine Actuariat

L'ESILV propose aux élèves-ingénieurs de 4e année d'intégrer le Master 2 Actuariat de Dauphine Paris - PSL. Les étudiants sont formés aux méthodes et aux théories des sciences actuarielles et acquièrent une maîtrise approfondie d’outils statistiques, de modèles probabilistes et de mathématiques financières.
L’objectif est de délivrer une formation actuarielle qui répond aux critères de qualité définis par l’Institut des Actuaires.
Le programme de formation se compose d'unités d'enseignement obligatoires, optionnelles et libres. Les UE obligatoires :
  1. Prévoyance et santé
  2. Actuariat de la retraite en France
  3. Théorie du risque et de la réassurance
  4. Gestion globale des risques : VAR
  5. Ethique, professionnalisme et gouvernance d'entreprise
  6. Modèles de taux d'intérêt
  7. Modèles de simulation euh assurance
  8. Comptabilité et réglementation en assurance
Les UE complémentaires :
  1. Analyse des données et scoring
  2. Bases de données
  3. Programmes sociaux internationaux
  4. Introduction à l'économie du risque et de l'assurance
  5. Anglais de l'assurance et de la finance
  6. Introduction générale au droit
  7. Méthodes en Visual Basic
  8. Actuaire : trouver son poste
Les UE optionnelles :
  1. Risque de crédit
  2. Méthodes pour les modèles de regression
Parmi les débouchés du double-diplôme Master Actuariat ESILV- Dauphine Paris : métiers de l’assurance dommage, l’assurance vie, la réassurance, l’actuariat conseil et le risk management. En savoir plus sur le Master actuariat à l'ESILV

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Julie, promo 2024, un semestre en Corée du Sud, à Hanyang University

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Julie, élève-ingénieure en 3e année à l'ESILV, est partie à la découverte de la Corée du Sud durant son échange académique 2021 à Hanyang University, à Seoul. Témoignage.

Bonjour, je m'appelle Julie Clergue et je viens de finir ma 3eme année à l'ESILV. J'ai intégré cette école juste après avoir obtenu mon bac scientifique, au lycée Notre Dame de Boulogne, via le concours Avenir. Ne souhaitant pas faire de prépa pour continuer des projets personnels, et voulant continuer des études scientifiques, l'ESILv m'a tout de suite attirée de par son dynamisme et ses formations proposées.

Partir étudier en Corée du Sud en 2021

Suite à la crise sanitaire, j'ai dû changer de destination et la Corée du Sud fut l'un des pays les plus "safe" pour voyager et partir y étudier. Je voulais avant tout partir loin, loin de chez moi et de tous les repères que j'ai en France. Le continent asiatique m'a toujours attirée de par sa richesse culturelle et le dépaysement que l'on peut y ressentir. La Corée du Sud n'a jamais été un pays où je me voyais voyager plus tard, je ne connaissais au contraire que peu de choses à son propos. Ce fut un facteur de choix. Pourquoi pas partir dans un pays insoupçonné et y découvrir la vie locale ? Hanyang University est une université réputée (150eme au classement mondial) et située dans la capitale. Sa diversité de cours proposés et sa popularité m'ont incitée à effectuer mes études là-bas. Deplus, son emplacement, au coeur de Séoul, était plutôt convénient. https://youtu.be/1gwrXv5TtXM Je suis partie mi-février 2021, le 13 pour être plus précise, juste après notre semaine de partiels. Je suis rentrée il y a peu, début juillet. Pour partir à l'université d'Hanyang il a fallu s'y prendre à l'avance (au moins 3 mois avant le départ). Nous devions payer l'université, obtenir un visa d'études à l'ambassade, puis régler la quatorzaine que nous étions dans l'obligation d'effectuer à l'arrivée dans le pays. La préparation du voyage fut un peu compliquée au vu de la situation sanitaire et des précautions mises en œuvre (test avant l'ambassade, test pcr et antigénique avant le vol, test pcr sur place et confinement de 14 jours en chambre d'hôtel). Les institutions demandaient pas mal de documents dans une période assez courte. Au moins cela nous confortait dans le fait que nous serions plutôt bien protégés face au virus dans le pays.

Un semestre à Hanyang University, à Seoul

L'université est enfait un grand campus. L'école organisait, lors de notre quarantaine, des appels vidéo entre les étudiants étrangers et locaux afin de nous accueillir et nous présenter la vie associative pré-covid. Nous avons ensuite pu faire une visite du campus, accompagnés d'étudiants coréens qui nous faisaient visiter les multitudes de bâtiments et facilités sur place. Il faut dire que le campus est super. Il y a de tout sur place, un hôpital, des restaurants, un musée, des terrains de sport, un amphithéâtre grec.... Il nous fallait une carte pour ne pas nous perdre.
A cause de la situation, la majorité de nos cours se déroulaient en distanciel. Nous pouvions néanmoins venir sur le campus étudier dans la grande bibliothèque et aussi y effectuer nos examens (sans oublier de passer par la boutique pour s'acheter nos plus beaux goodies).
Le choix des cours s'est fait à distance, depuis la France, très tôt le matin (dû au décalage horaire). Il fallait être réactif pour obtenir les cours que nous souhaitions et qui étaient recommandés par l'ESILV.
J'ai choisi de suivre des cours en rapport avec mon choix de majeure (Santé Biotech) que je souhaite poursuivre pour l'année qui va suivre. J'ai donc pris Polymer Chemistry, Electronic Device Materials, Data Analysis with Pythonet Electro Chemistry.
Les cours furent intéressants, je les suivais en vidéo préenregistrée ; contrairement à la France, où à l'ESILV, ils sont en vidéo direct.
Néanmoins la méthode d'institution dépend suivant les cours, certains de mes camarades avaient aussi des directs et d'autres quelques cours en présentiel. Contrairement à la France nous n'avions pas de contrôles, que des devoirs maisons, un mi-partiel et un partiel de fin de semestre.

L'expérience coréenne en échange international

J'ai adoré visiter le pays, nous avons rencontré des personnes incroyables. Dans notre résidence étudiante il y avait des jeunes qui venaient de tous les horizons, mais aussi en dehors nous avons eu la chance de rencontrer un moine professeur d'arts martiaux et son ami professeur d'anglais qui nous ont partagé leur mode de vie hors du commun.
Nous étions comme des enfants, nous redécouvrions tout : les règles de politesse particulières, comment manger, de nouvelles saveurs, comment s'exprimer en coréen et même prendre le métro...
Tout était différent, même si la vie à Séoul a des similarités avec la culture occidentale donc nous n'étions pas totalement perdus. Nous avons eu la chance de pouvoir parcourir les régions tout en continuant nos cours en ligne.
Chaque partie de la Corée a ses paysages atypiques et traditions ; ce fut fascinant de découvrir tout cela.

Poser ses valises à Seoul pour son semestre à l'international

Séoul est une très grande ville (6 fois la superficie de Paris). Le coût de la vie n'y est pas très cher tant que l'on s'adapte à la vie sur place (tel que manger local). Nous ne cuisinions que très peu car les restaurants étaient vraiment abordables et les plats très bons. Le prix moyen était de 4.5€ le repas.
J'ai décidé de loger à Dwell, une résidence avec beaucoup d'étudiants qui offre une chambre aménagée et des espaces communs. Je pense que ce fut le coût le plus important, à peu près 600-700€ par mois, sachant que l'on pouvait aussi faire des collocations ce qui divisait le prix par deux.
D'autres alternatives existent comme les Airbnb ou Guest House qui peuvent être plus abordables. J'ai choisi ma résidence surtout pour rencontrer des jeunes de mon age, car avec le covid la vie sociale était plus limitée que d'habitude.
Voyager dans le pays est étonnamment abordable, si l'on s'y prend à la dernière minute et que l'on choisit les bons jours on peut trouver des vols à partir de 8€ (en moyenne ils sont entre 15 et 30€). Nous avons aussi privilégié le bus qui desservit très bien les villes du pays et logé en AirBnB ou campé dans la nature.
Il y a une multitude de choses à découvrir, Séoul est une ville très dynamique et moderne. J'ai aimé me balader parfois de façon hasardeuse dans la ville, je la considère comme étant un "bazar organisé".
À tout moment, on peut tomber sur un marché très vivant ou au contraire un temple bouddhiste où l'on peut s'échapper et se poser un moment pour méditer.
Observer le soleil qui se couche derrière les buildings et les montagnes bordant la ville fut l'un de mes routines préférées.
Une fois la nuit tombée, la ville ne se couche pas, elle se réveille au contraire. Les néons s'allument, les gens sortent au restaurant et les musiques amusent les rues.
Les Coréens ne parlent pas très bien voire pas du tout anglais, il fallait alors se débrouiller avec nos bases ou à coup de google traduction. Je conseillerai d'apprendre les bases (mots de politesse, commander à manger et les chiffres) avant de venir pour etre plus à l'aise.
Cependant les Coréens adorent la France. Ils utilisent nos mots dans des configurations aléatoires sur des enseignes et produits de vente car c'est la tendance ?
Peu habitués aux touristes et pas à l'aise avec l'anglais, certains locaux avaient "peur" de communiquer avec les étrangers. La majorité étaient curieux et certains même demandaient des photos. La plupart des jeunes ou Coréens que j'ai rencontrés étaient cependant ouverts et heureux de partager leur culture avec nous.

Un échange académique en Corée du Sud ? Définitivement OUI !

Je recommanderais mille fois de partir dans ce pays lors d'un échange. Ce pays regorge de trésors, en rentrant je n'ai pas su résumer à mes proches tout ce que j'y ai vécu tellement j'avais de souvenirs et d'expériences accomplies.
Je recommanderais simplement de rester ouvert et curieux. De ne pas hésiter à échanger avec les locaux et d'explorer les alentours, on ne sait jamais sur quoi on peut tomber ! L'international en école d'ingénieurs

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C’est quoi, un ingénieur ESILV ? Définition, compétences et qualités !

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Devenir ingénieur ESILV, c'est passer par une formation scientifique et technologique généraliste de haut niveau mobilisant le numérique, ouverte à l’international et fidèle à la pédagogie par “projets”.

Ingénieur ESILV, qu'est-ce que c'est ? Pour répondre à cette question, les membres du corps professoral dressent un portrait type d'un ingénieur généraliste au coeur du numérique. Le titre d'ingénieur diplômé ESILV est protégé par la CTI et exige la validation du cursus ingénieur en 5 ans de l'école d'ingénieurs ESILV.
Projets technologiques, majeures, parcours, international, doubles diplômesstages en entreprise...
Autant d'occasions pour les futurs ingénieurs de se confronter aux nombreux défis sociaux et économiques auxquels ils doivent se préparer. Point sur le rôle et les qualités indispensables d'un ingénieur ESILV.

Ingénieur ESILV : la vision des profs

https://youtu.be/rDv4b-b12Ec Bonjour! Bienvenue à L'ESILV, grande école d'ingénieurs généraliste au cœur du numérique.
Un ingénieur ESILV c'est un ingénieur polyvalent, travailleur, très "plastique", ouvert. Qui a de l'ambition.
Généraliste au sens noble, c'est-à-dire, quelqu'un qui a des compétences scientifiques solides, qui va vraiment évoluer facilement sur les projets, sur tout ce qui l'entoure, au gré des technologies, au gré des fonctions.
Souhaitant toujours développer ses compétences et l'impact qu'il va avoir dans ses métiers.
Et puis une autre qualité : la compétence en gestion de projet, c'est une soft skill. C'est quelque chose qui est très reconnu quand ils sortent de l'école, pour leur premier emploi et lors des premiers stages.
Un ingénieur qui sait travailler en équipe. Quelqu'un qu'on a vraiment formé à s'adapter en fait.
L'ingénieur ESILV sait abstraire vraiment les concepts. Il a conscience des responsabilités sociétales qui lui incombent. C'est quelqu'un qui veut améliorer le monde, qui a bien intégré les enjeux des technologies numériques et qui va marquer son époque. Et enfin, un diplômé ESILV, c'est aussi un ingénieur qui sait cultiver la joie de vivre ! Découvrir le cursus ingénieur à l'ESILV  

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Métiers de l’assurance : Et si je devenais actuaire ?

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La France, premier marché européen de l'assurance, compte plus de 300 000 emplois liés à l'assurance. Avec plus de 12 000 embauches annoncées pour 2021, le secteur ne cesse de croître et de recruter. Interviewé par le Monde des Grandes Ecoles et Universités pour le numéro "La Gueule de l'emploi" 2021, Laurent Imbert fait le point sur le métier d'actuaire.

Enseignant et actuaire qualifié, Laurent Imbert est le responsable de la majeure Actuariat, accessible dans le cadre du cycle ingénieur à l'ESILV. Les élèves-ingénieurs ont la possibilité de poursuivre leur master Actuariat par 4 doubles-diplômes, avec l'ISUP, l'Université Paris Dauphine, EURIA et le DUAS. https://youtu.be/d22kw80Ek-4 L'objectif de la majeure Actuariat est de former des ingénieurs actuaires maitrisant les techniques actuarielles, l'analyse des données, la data science et la modélisation des risques. Les diplômés sont très recherchés par les entreprises de l'assurance, de la finance, du consulting et de l'audit. Ces secteurs sont en plein transformation avec des changements réglementaires, prudentiels et comptables importants. Point sur la croissance du marché de l'assurance et l'importance du métier d'actuaire dans le numéro "La gueule de l'emploi", édité par le Monde des grandes écoles et universités.

L'actuariat, un métier rémunérateur dans le secteur croissant de l'assurance

"Les polémiques qui ont pu naître lors de la crise Covid ne doivent pas occulter le rôle sociétal de l’assurance en France", assure Laurent Imbert interviewé dans le cadre d'un dossier dédié au recrutement dans le secteur de l'assurance et des mutuelles en France.
Au-delà de sa fonction réparatrice et indemnisatrice des sinistres, l'assurance revêt aussi une fonction d’amortisseur des crises grâce à des placements sur des branches longues. Elle joue également un rôle de prévention important, notamment en termes de risques industriels, climatiques ou de santé. »
L’actuaire est dans le BtoB, jamais le BtoC. Il travaille sur les mêmes modèles qu’un financier mais avec un vrai supplément d’âme. En lien étroit avec l’économie réelle, il voit et comprend ce qu’il fait et pourquoi il le fait. Sans compter que c’est un métier qui ne connait pas le chômage et qui compte parmi les plus rémunérateurs ! » insiste Laurent Imbert. Découvrir la majeure Actuariat à l'ESILV

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Industrie 4.0, usine intelligente… Quelles évolutions pour aujourd’hui et demain ?

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L'industrie 4.0 ou l'industrie du futur est une réalité qui guide l'innovation dans l'ingénierie numérique depuis bien des années. Quelles sont les évolutions récentes et les directions prévisibles dans les années à venir ? La chronique de pour le Monde des grandes écoles et universités : "L’industrie 4.0…une utopie, un projet futuriste ou déjà une réalité ?"

Dans un article paru sur le site web du Monde des grandes écoles et universités, Samir Yahioui, responsable du département Sciences de l'ingénieur à l'ESILV, partage son point de vue expert sur l'industrie 4.0 et la modélisation numérique.

Quels sont les outils de l'industrie 4.0 ?

Industrie du futur, 4.0, usine intelligente, systèmes autonomes, impression 3D, IIoT, réalité augmentée, objets connectés, cobotique, digital twin, IA ou cloud… ces dénominations de l’ingénierie numérique animent notre industrie depuis cette dernière décennie.
Aujourd’hui, le monde de l’industrie vit dans l’ère du numérique fondée sur l’interconnexion des hommes et des machines. Cette mutation impacte quotidiennement l’ensemble de l’écosystème de l’entreprise : son organisation, ses systèmes de production, ses salariés et ses clients.

L’industrie 4.0 d’aujourd’hui

À la tête de l’industrie d’aujourd’hui se trouvent l’informatique et la robotique. Les chaines de production sont connectées les unes avec les autres, les machines sont contrôlées par des intelligences artificielles qui interagissent entre elles afin d’assurer :
  • Que l’ensemble des machines, des systèmes autonomes et employés puissent communiquer entre eux en permanence au sein de l’entreprise et à l’extérieur
  • Que les systèmes puissent reproduire virtuellement la chaîne de production pour simuler et optimiser le processus de fabrication et le pilotage des installations.
  • Que les systèmes puissent aider les employés à prendre des décisions et à résoudre des problèmes rapidement, et les aider à accomplir des tâches trop pénibles ou dangereuses.
Ces technologies de rupture qui marient hardware et software n’ont pas pour seul objectif de transformer les processus de production dans le but de les rendre plus efficaces et moins coûteux, elles visent également à produire plus vite sans perdre en qualité, d’accroître la personnalisation de la production en maîtrisant les coûts, d’optimiser les ressources et de faciliter le travail.

L’industrie de demain

À chaque révolution, l’industrie a eu un nouveau changement à maîtriser. La quatrième révolution industrielle a apporté la digitalisation et la connectivité, mais à l’approche de la cinquième, elle rapprochera les humains et les machines à l’aide de l’IA et de l’informatique quantique. L’IA est déjà moteur du changement de nos industries. Elle a donné une nouvelle vie aux machines physiques et aux produits connectés ; elle a permis de numériser la fabrication et les opérations.
L’informatique quantique avec sa puissance de traitement et sa rapidité d’exécution largement supérieure aux solutions existantes d’aujourd’hui, permettra de solutionner de larges variétés de problèmes, de l’optimisation à la simulation, à l’apprentissage machine.
Les applications des technologies quantiques permettront donc de réduire les délais de réalisation et d’améliorer la qualité des différents processus de recherche et de développement dans de nombreux domaines tels que le transport, la médecine, l’ingénierie…

L’avenir est aux quantiques

L’Intelligence Artificielle et l’Industrie Quantique vont se développer de façon exponentielle dans les décennies à venir. Ces évolutions qui touchent tous les secteurs d’activités sont en train d’inventer de nouveaux métiers. Selon une étude publiée par Dell et l’Institut du Futur, 85 % des emplois de 2030 n’existent pas encore. Au-delà du diplôme de la formation et des expériences professionnelles, exercer un métier dans l’industrie d’aujourd’hui et de demain va nécessiter d’adopter un état d’esprit agile. Les technologies évoluant sans cesse, il faut sans cesse se maintenir à jour sur les avancées technologiques et organisationnelles, donc à acquérir de nouvelles connaissances et compétences. « Il faut apprendre à apprendre ». Les personnalités et les compétences comportementales (savoir travailler en équipe, savoir communiquer, savoir résister au stress …) des collaborateurs seront scrutées à la loupe.

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Low-tech et sobriété numérique : vers le « smart » responsable

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L’accélération numérique de notre société se manifeste à tous les échelons du vivant : qu'ils s'agisse de nos modes de communiquer, de consommer ou de travailler, le digital nous impose une transformation sur tous les plans. Face au changement climatique, une prise de conscience et un agir responsable sont inévitables. Parmi les alternatives du numérique "fast and furious", la sobriété numérique et le low-tech méritent d'être évoquées.

Le numérique et ses impacts sur l'environnement et la société font l'objet d'un dossier co-signé par Pierre Courbin et Laure Bertrand et publié dans "Grandes Écoles & Université Magazine". Remettre le numérique au service d'un projet de société commun, c'est d'abord réinterroger nos besoins tout en regardant en face l'urgence climatique.

Les impact positifs et négatifs du numérique

Le numérique a apporté et apporte de grandes évolutions à nos modes de vie, c'est incontestable. Ces évolutions sont particulièrement sensibles en ces temps de pandémie, que ce soit pour conserver un contact avec nos proches, avec nos démocraties, avec l'actualité ou avec nos entreprises. Les services rendus par le numérique sont également importants dans le domaine de la consommation énergétique, comme l'explique Gilles Babinet, "digital champion" de la France auprès de la Commission Européenne. Il rappelle que les externalités positives du numérique sont nombreuses : optimisation de la logistique, des transports, des moyens de chauffage, domestiques; etc. Néanmoins, dans le même temps, nos sénateurs ont adopté en début d'année une proposition de loi visant à réduire l'empreinte environnementale du numérique en France. Ils souhaitent, en particulier, "lutter  contre l'obsolescence marketing des smartphones".
De même, le Think Thank TheShiftProject a réalisé un un nouveau rapport pour promouvoir la "sobriété numérique", mettant en évidence à la fois l'impact environnemental du secteur, les enjeux d'hyperconnexion et l'urgence de "la maitrise de nos interactions numériques à l'échelle collective".
Ainsi, que ce soit pour le progrès humain ou pour la maîtrise de notre impact sur l'environnement, le numérique est un allié, mais un allié à surveiller de près.

Le "Smart" promis par les technologies numériques, serait-il "Stupid" ?

Ne nous trompons pas, les technologies numériques ne promettent rien. Une technologie n'est pas particulièrement consommatrice ou intrinsèquement efficace. Elle offre des possibles : à nous de réfléchir aux besoins auxquels elle peut répondre. Et dans l'urgence écologique et sociale dans laquelle nous nous trouvons comme le rappelle TheShiftProject, "le besoin auquel elles répondent doit être réintérrogé par rapport à l'importance d'autres besoins non satisfaits." Pour tirer tout le potentiel bénéfique du numérique, il convient donc de réinterroger le sens, l'objectif et le besoin, plutôt que de chercher à justifier après coup les avantages et les incovenients.
L'exemple du déploiement de la 5G est pour cela symptomatique. Comne l'énumère l'ARCEP, les premiers usages de cette technologie ne répondent pas à des besoins essentiels de l'ensemble des citoyens. L'incompréhension sur l'intérêt de la 5G a donc pu créer de la défiance et une volonté de prudence.
Pour répondre à cela, il serait intellectuellement malhonnête de classer les inquiets comme des simples opposants à la technologie. Il faut au contraire expliquer la vision, il faut montrer l'avenir espéré, l'imaginaire construit et attendu du fait de cette technologie. Il faut ensuite décider ensemble, et accepter qu'en Démocratie, cet imaginaire, cet avenir, ne puisse ne pas être désirable pour tous.

Un puissant vecteur de progrès

Tous comme le contexte écologique, ces questionnements autour de l'usage du numérique ne sont pas des contraintes, mais des merveilleuses opportunités. Opportunité de réinterroger le sens de notre "vivre ensemble", réinterroger le ses de "besoins" et réinterroger les solutions que nous y apportons, qu'elles soient numériques ou pas. Nous avons la formidable occasion de réaffirmer si notre priorité doit se porter sur l'innovation, au sens technologique, ou sur le progrès, au sens humain. Les deux ne sont évidemment pas antinomiques, bien au contraire : reste à choisir qui doit être au service de l'autre.

Le numérique responsable : préparer les futures générations

Depuis 2020, le Pôle Léonard de Vinci a organisé sur ce sujet 4 grands hackathons d'une semaine : Chacun de ces bootcamps interdisciplinaires réunit les 1200 étudiants d'une même promotion des 3 écoles du Pôle : l'ESILV, l'EMLV et l'IIM.  

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